- 57e régiment d'artillerie
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57e Régiment d'Artillerie Période 1911 – 31 juillet 2009 Pays France Branche Armée de terre Type Régiment d'artillerie Rôle Artillerie sol-air Fait partie de Brigade d’artillerie Garnison Bitche Devise Tocos y se gausos
Touches y si tu l'oseInscriptions sur l’emblème Vitry 1914
Les Monts 1917
L'Ailette 1918Anniversaire Sainte Barbe Équipement Systèmes d'armes très courte portée MISTRAL
ROLANDGuerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondialeFourragères aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 Décorations Croix de guerre 1914-1918
deux palmesmodifier Le 57e régiment d'artillerie est une ancienne unité d'artillerie française dissoute le 31 juillet 2009.
Création et différentes dénominations
Le 57e régiment d'artillerie, créé en 1911 à Toulouse était le régiment d'artillerie de campagne du 17e corps d'armée, sous les ordres du colonel Taurignac. Recevant son étendard des mains du président de la République, il est engagé des le mois d'août 1914 et reçoit son baptême du feu le 24 août dans la région de Neufchâteau. Ses batteries alignent leurs célèbres canons de 75 mm dans les offensives de la Marne où, après plusieurs citations de ses pièces et de ses batteries à l'ordre des corps d'armée, le régiment est cité pour la première fois à l'ordre de l'armée.
Après s'être battu en Champagne en 1915 et 1917, puis dans l'Artois de 1916 à 1917, il participe aux combats de Verdun, gravant autour de Douaumont d'autres pages glorieuses de son existence.
Devenu régiment porté en 1918 à Vendôme, sous l'appellation de 57e Régiment d'Artillerie de Campagne Porté, il monte vers la Belgique et combat dans les dernières offensives de la guerre, s'illustrant en particulier sur l'Ailette affluent de l'Oise, où il obtient une deuxième citation à l'ordre de l'armée le 14 décembre 1918. À la fin des hostilités de la Première Guerre mondiale, ses personnels totaliseront 245 citations, 14 Légions d'honneur et 6 Médailles militaires. Aux noms de Vitry 1914, Les Monts de Champagne 1917, L'Ailette 1918, qui ornent en lettres d'or son étendard, s'ajoutera encore le souvenir des derniers combats de Crimée auxquels participeront trois de ses batteries.
Stationné en Rhénanie dès 1919, le régiment se verra remettre des mains du général Mangin la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918.
Regroupé pour la deuxième fois à Vendôme, le régiment passe à la réserve en 1924 sous l'appellation de 304e Régiment d'Artillerie Lourde pour être dissous en 1929.
Comme le rappelle la xroix languedocienne de son insigne le 57e R.A est mis sur pied à Montauban en 1939 comme Régiment d'Artillerie mixte divisionnaire et part combattre à Mulhouse et Bâle. Après avoir appuyé de ses feux la 67e division d'infanterie au sud du Doubs devant Altkirch, puis dans le Jura en juin 1940, il ne se rendra et ne serra dissous qu'après l'armistice après avoir détruit son matériel.
Par changement d'appellation du 7e groupe d'artillerie antiaérienne de marine (7e GAAMA), le 57e R.A est recréé en 1970 à Colmar, en tant que régiment d'artillerie sol air de la 7e division blindée. Outre une batterie de commandement et des services, une batterie d'instruction, le régiment comprend deux batteries équipées du canon de 40 mm Bofors et une batterie équipée du bitube de 30 mm (AMX-13). Le 11 septembre 1976, le 57e régiment d'artillerie, étendard déployé derrière son chef de corps, fait son entrée à Bitche et s'installe au Quartier Pagézy qu'il occupera jusqu'à sa dissolution en 2009.
Régiment d'artillerie sol-air du 1er Corps d'Armée (Metz) il passe sous commandement du 3e Corps d'Armée (Lille) après la dissolution de celui-là (1er juillet 1990). C'est à Bitche que sa modernisation s'effectua avec l'arrivée des véhicules de l'avant blindé (VAB), du système d'arme sol-air Roland temps clair qui remplacera le canon de 40 mm des 1re et 3e batteries, puis du Roland tout temps qui fera perdre ses bitubes de 30 mm à la 2e batterie et armera la 4e batterie de tir à sa création. Enfin, le 1er juillet 1992, est créée la 5e batterie équipée du système d'arme Mistral. C'est lors de la dissolution du 53e RA, en 1997, que sont reversés les Roland temps clair, pour être remplacé par une partie des Roland tout temps du 53e et du 58 eme RA lors de sa dissolution en 2001 .
En 1998 a été créé la 4e batterie en tant que batterie parachutiste (personnels venant en partie du 35e Régiment d'Artillerie Parachutiste) et les batteries du régiment prendront la forme que nous connaissons à l'heure actuelle. Création de la 6e batterie (Roland / Mistral) en 2003.
En juillet 2008 : annonce de la dissolution du régiment par le président de la République dans le cadre de la restructuration des Armées.
- Le 57e régiment d'artillerie est officiellement dissous en date du 31 juillet 2009.
- Ses 4 batteries de tir sont transférées dans 4 régiments prestigieux d'artillerie sol-sol:
- La première batterie est transférée au 93e régiment d'artillerie de montagne de Varces.
- La deuxième Batterie est transférée au 68e régiment d'artillerie d'Afrique de La Valbonne.
- La troisième batterie est transférée au 11e régiment d'artillerie de marine de La Lande d'Ouée.
- La quatrième batterie (parachutiste) est transférée au 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes.
Faits d'armes inscrits sur l'étendard
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[1]:
Décorations
Sa cravate est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 avec deux citations à l'ordre de l'armée. Il a le droit au port de la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918.
Devise
« Tocos y se gausos » : sa devise (identique à celle du 59e Régiment d'Infanterie) qui veut dire « touches y si tu l'oses ».
Organisation du régiment entre 2000 et 2008
À l'été 2003, le régiment s'est réorganisé. Outre une augmentation de ses effectifs, deux nouvelles batteries ont été créées, et la batterie de base et instruction s'est transformée en batterie d'administration et de soutien. Le régiment compte donc actuellement neuf batteries, dont une parachutiste (B4) ainsi que la batterie de réserve (la 5e batterie qui compte environ 110 hommes).
- 1re batterie : la première batterie de tir est une batterie dotée du missile de très courte portée sol-air MISTRAL. Elle s’oriente désormais vers une spécialisation pour le combat en montagne. Partis en Côte d’Ivoire au cours de l’année 2006 les hommes de la B1 viennent de rentrer de Guyane à l’été 2007.
- 2e batterie : la deuxième batterie de tir est une batterie dotée du missile de très courte portée sol-air MISTRAL. Après un séjour à Djibouti en 2006 la batterie est partie en Côte d’Ivoire pour une mission de quatre mois dans le cadre de l’opération Licorne d’octobre 2006 à février 2007, puis s’est orienté vers un Vigipirate à Paris en septembre 2007. Elle sera déployée au Liban en protection des éléments français de la FINUL de mai à septembre 2008.
- 3e batterie : la troisième batterie de tir est une batterie elle aussi dotée du missile de très courte portée sol-air MISTRAL. Engagée en Nouvelle-Calédonie au sein du RIMAP-NC en 2005. Elle sera l’élément meneur du détachement LOT en Bosnie dès novembre 2007 pour une mission de 6 mois dans les Balkans.
- 4e batterie : la quatrième batterie est l’unité parachutiste du 57e RA. Dotée du système d’arme très courte portée MISTRAL monté sur VLRA cette unité est la seule batterie apte à fournir par la troisième dimension la protection sol-air de toute force projetée. La batterie déployé au Liban fin 2007 est de nouveau en Guyane en protection du centre spatial guyanais pour le premier trimestre 2008.
- 5e batterie : la cinquième batterie est la batterie de réserve du régiment, elle remplit de réelles fonctions opérationnelles avec notamment l’engagement d’une section complète dans le cadre de l’opération Vigipirate pendant les étés 2006, 2007, et 2008.
- La BCL (Batterie de Commandement et de Logistique) forte de ses mécaniciens et maintenanciers assure le soutien de tous les modules engagés en opérations.
- La BAS (Batterie d’Administration et de Soutien) assure le soutien dans le domaine matériel et administratif mais également celui du camp de Bitche. La BAS est en outre responsable de l’incorporation et de la formation de toutes les jeunes recrues engagées au 57e RA.
- La BDO (Batterie des Opérations) fournit les moyens matériels et humains pour armer les postes de commandement de groupement dans le cadre des projections. Elle regroupe en particulier tous les moyens de commandement (transmissions et SIC) nécessaires à la conduite des opérations.
- La BC (Batterie de Camp) est responsable du fonctionnement du camp de Bitche depuis l’été 2000, elle assure également le soutien des troupes en manœuvre sur le camp. Voir les informations sur le camp de Bitche.
Les missions
Le régiment appartient à la Brigade d'artillerie et sa mission est d'assurer la protection antiaérienne des forces engagées.
Grâce au système d'armes Mistral, les unités du 57e RA défendent contre des attaques provenant de la troisième dimension (avions, hélicoptères, drones) les zones d'engagement des unités interarmes, les sites vulnérables, et les unités elles-mêmes, quelles soient en stationnement ou en mouvement.
Récemment engagé au Liban et en Côte d'Ivoire, le régiment assure également des missions de courte durée en Guyane et à Djibouti.
Il mène en outre régulièrement des exercices avec l'armée de l'air, à l'étranger (campagne de tir en Turquie, exercices conjoints avec des forces européennes) et assume des missions de sécurité intérieure (Vigipirate).
Le camp de Bitche
Sa mission : offrir des prestations d’entrainement
Parmi les zones qui bordent la frontière allemande, le camp de Bitche occupe une place particulière. En effet, créé par l’armée allemande entre 1903 et 1908 le camp a ensuite été reconquit par la France en 1919. Dans les années 1930, avec le réarmement de l’Allemagne nazie, les troupes de la ligne Maginot s’y installent à la fin de leur tour de garde et la région fourmille de militaires. Aujourd’hui, c’est un ensemble d’experts interarmes qui travaillent pour la collectivité et se trouvent tournés vers plus de 60 formations et organismes hors de la garnison. C’est aussi un outil de travail complexe et multidisciplinaire, exigeant en termes de soutien, pour l’équipe qui le pilote comme pour le régiment. En définitive, c’est à la fois une mission et un outil spécifiques, différents de la mission opérations-instruction du régiment, et placés sous la responsabilité du chef de corps qui est ainsi en charge de deux grandes fonctions.
Types d’activité
Avec 300 jours d’activation par an, le camp est en manœuvre « à temps plein ». Cela suppose des travaux de programmation (séjours et prestations), d’étude de projets et de revalorisation, de budget, de soutien direct à l’instruction des manœuvres, de suivi et d’entretien des moyens confiés aux usagers, mais aussi de présence auprès des formations et d’écoute, sans oublier l’indispensable surveillance au profit plus de 60 formations abonnées.
Mise à disposition de moyens d’entrainement et d’un soutien pédagogique (techniques de tir, adaptation permanente des moyens d’instruction)
Vocation interarmes :
Préparation des unités partant en opérations extérieures.Un camp capable d’accueillir des formations de toutes tailles du niveau compagnie à brigade, ainsi que les centres de commandements des grandes unités nationales et internationales (EURO-CORPS).
Le camp en chiffres
Le camp c'est 3600 hectares de zones et d’installations :
- des bâtiments d’hébergements et des installations spécifiques ;
- une capacité d’accueil qui répond au besoin de 12 UE simultanément ;
- des installations de sport et d’aguerrissement ;
- des parkings et zones d’implantation variées ;
- des moyens d’entraînement au combat (SITTAL, village de combat) ;
- des services qui participent directement au soutien des personnels en manœuvre ;
- les services du camp proprement dits.
Un terrain d’exercice :
- des zones de manœuvres aux multiples capacités tactiques ;
- 25 champs de tir ;
- 3 zones de bivouac ;
- 1 deuxième village de combat ;
- 1 site de franchissement et d’activités nautiques de combat ;
- 1 dépôt de munitions récemment mis aux normes.
Projections 2006-2008
400 hommes et femmes par an depuis 2005, sur 4 continents et près de dix théâtres.
Les matériels
Le poste de tir MISTRAL
Mission
Il est destiné à assurer la défense antiaérienne de points particuliers et de zones limitées. Il est équipé d'une caméra et d'un système d'identification d'aéronef. Ce système fait de la section MISTRAL une unité de tir sol-air capable d'intervenir rapidement et avec efficacité quel que soit le cadre d'emploi, en tous lieux, de jour et de nuit.
Mise en œuvre
Ce missile est servi par un chef de pièce et un pointeur-tireur. D'une longueur de 1,98 m, le MISTRAL se compose d'un missile de 19 kg et d'un tube de lancement de 5 kg ainsi que d'une charge militaire à billes de 3 kg. C'est un missile de type tire et oublie d'un calibre de 90 mm. Sa portée de tir varie entre 600 et 5 000 m, avec un plafond de cible limité à 3 000 m. La vitesse du missile est de Mach 2,5.
Véhicule de l'avant blindé T 20/13
Le tourelleau T20-13 est destiné à équiper des véhicules chargés de la lutte contre l'infanterie et les blindés légers ainsi que pour l'autodéfense contre les aéronefs volant en basse altitude. Le combat peut se dérouler en ambiance normale ou NBC.
Armement principal
L'armement principal est un canon mitrailleur de 20 mm, le CN-MIT 20 F2, à double alimentation, tirant des obus perforants sous-calibrés et des obus explosifs. Le canon mitrailleur de 20 mm modèle F2 (CN-MIT 20 F2) est une arme collective lourde automatique pouvant effectuer du tir au coup par coup ou par rafales. Munie d'un système à double alimentation, elle est montée sur un véhicule porteur ou sur un affût et est destinée au combat contre le personnel, les engins blindés légers et les avions volant à basse altitude
Mission principale
Sa mission principal est de participer à la lutte anti-aérienne toutes armes intervenant à partir de 1 500 m, suivant les règles d'ouverture du feu en vigueur, contre tout aéronef ennemi procédant ou non à une attaque aérienne à basse ou très basse altitude.
Mission secondaire
Sa mission secondaire est de participer à la manœuvre au sol, en prenant à partie les engins blindés légers jusqu'à 1 000 m, le personnel à découvert, jusqu'à 2 000 m dans le but au mieux de les détruire, au minimum de les neutraliser
NC1 / MARTHA
La rédaction de la FCMR du programme MARTHA étape 1 est terminée en 1993. Le contrat de développement est lancé en juillet 1996. En décembre 1996, la décision de réutiliser des sous-ensembles des stations SAMANTHA pour la réalisation des NC1 30 et NC1 40 est prise par l’État-major de l'armée de terre (EMAT). Les premiers essais de qualification du prototype du NC1 30 débutent mi-avril 1999. La mission du NC1 30 est de relier la section à la chaîne de coordination dans la troisième dimension et de coordonner les feux des pièces MISTRAL.
Généralités
Le NC1 30 est composé de deux véhicules :
- un véhicule principal,
- un véhicule d’accompagnement.
L’équipage est de quatre hommes (un chef de centre, un opérateur de coordination, deux conducteurs).
Véhicule principal
Reprenant l’allure générale du centre d’alerte et de coordination SAMANTHA, le véhicule principal a subi quelques modifications mineures. Il s’agit, en particulier, de l’adjonction de moyens de localisation et d’orientation automatique ainsi que de la mise en place d’un nouveau calculateur. Le système est intégré dans un abri technique mobile (ATM), ex SAMANTHA, normalisé de 15 pieds et pourvu de coins ISO permettant sa fixation rapide sur les porteurs de type ACMAT 6.50 SH et RVI 200 x 13 équipés de twist-locks.
Il comprend :
- un radar 2630 P identique à celui du SAMANTHA,
- deux compartiments techniques,
- un local opérationnel.
Véhicule d'accompagnement
Dans la phase étape 1 du programme MARTHA, le véhicule d’accompagnement est utilisé en tant que support de moyens de communication (deux PR4G).
Dans la phase étape 2 du programme MARTHA, ce véhicule fait l’objet d’une nouvelle définition intégrant le moyen de communication MIDS (en) qui permet la mise en œuvre de la Liaison 16.
Ville de garnison
Article détaillé : Histoire de Bitche.Bitche, trouvant ses origines à la fin du Xe siècle, la seigneurie de Bitche fut très convoitée de par la position clef occupée par la ville. Cédée au comté de Deux-Ponts en 1527, la ville revient en 1606 aux ducs de Lorraine. Envahie en 1663 par les troupes suédoises après une résistance héroïque, la ville connaît ensuite l'occupation des troupes royales, des Lorrains, des Suédois, des Espagnols et des Impériaux. Rendu aux Lorrains au traité de Vincennes en 1667, le pays de Bitche fut annexé par Louis XIV. C'est sans doute à cette époque que la ville prit le nom de « Bitche ». En raison de l'importance de la place, les travaux de construction de la citadelle furent confiée à Vauban en 1679. Rasée en 1697, elle fut rebâtie de 1741 à 1754 suivant les plans de Cormontaigne, fidèles au tracé de Vauban. En 1793 la citadelle résistera aux assauts des Prussiens et en 1846 les fortifications furent renforcées (fort Saint Sébastien).
Pendant la guerre de 1870, sommée de se rendre dès le 7 août 1870, la garnison de Bitche sous la direction du lieutenant-colonel Teyssier, soutint un siège de 8 mois. Ce n'est que le 27 mars 1871 qu'elle ouvrit ses portes, sur ordre écrit du gouvernement français, après avoir obtenu les honneurs de la guerre.
Bitche deviendra une ville de garnison jusqu'en 1919, date du retour à la France de l'Alsace-Lorraine. La ville reçoit alors son drapeau et la Légion d'honneur. Pendant la seconde guerre mondiale la ville fut durement éprouvée, notamment lors des combats qui se déroulèrent entre le 6 décembre 1944 et le 16 mars 1945. Libérée par la 100e division américaine, elle recevra en 1949, la Croix de guerre et sera citée à l'ordre de l'armée. Fidèle à son passé militaire, la ville de Bitche accueille désormais le 16e B.C. depuis 2010, ainsi que de nombreuses unités qui séjournent toute l'année sur le camp de manœuvre.
- Chef de Corps :
- 1962 1963 7°GAMa COLMAR CEN Roger FLOCH
- 1963 1965 7°GAMa COLMAR CEN GLOAGUEN
- 1965 1966 7°GAMa COLMAR CEN FEREC
- 1966 1967 7°GAMa COLMAR LCL Guy GLEIZES
- 1967 30/10/1970 7°GAMa COLMAR LCL André SELMERSHEIM
- 01/11/1970 1971 57°RA COLMAR LCL André SELMERSHEIM
- 1971 1973 57°RA COLMAR LCL Henri TOURANGIN
- 1973 1975 57°RA COLMAR LCL Michel BOURDIN ,finira général ** (2S)
- 1975 10/09/1976 57°RA COLMAR LCL Jacques SEIGNAN
- 11/09/1976 1977 57°RA BITCHE LCL Jacques SEIGNAN
- 1977 1979 57°RA BITCHE LCL Jean MORVILLE
- 1979 1981 57°RA BITCHE LCL Serge AUZANNEAU , finira général ** (2S) en 1987 N°2 de la STAT
- 1981 1983 57°RA BITCHE COL Jacque PIALLAT , finira general ** ( 2S)
- 1983 1985 57°RA BITCHE COL Pierre MAZARS de MAZARIN , finira comme général 4*,inspecteur de l'artillerie
- 1985 1987 57°RA BITCHE LCL Jean ROULIN
- 1987 1989 57°RA BITCHE COL Charles CORBERAND finira général ** (2S)
- 1989 1991 57°RA BITCHE COL René GANGLOFF , finira en 2002 comme general ***
- 1991 1993 57°RA BITCHE LCL Patrice MOMPEYSSIN finira en 2005 comme general **
- 1993 1995 57°RA BITCHE LCL Gilbert PINEL
- 1995 1997 57°RA BITCHE COL Stéphane NOUVEL
- 1997 1999 57°RA BITCHE LCL Alain TOURON , passe general ** le 05/01/2010
- 1999 2001 57°RA BITCHE LCL Dominique LACROIX ,actuellement Adjoint au directeur central de la structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels terrestres, chargé des opérations - Versailles
- 2001 2003 57°RA BITCHE COL Bruno LAFITTE actuellement chef du sirpa armée de terre
- 2003 2005 57°RA BITCHE COL Michel SOLINSKI actuellement à la FAT à Lille
- 2005 2007 57°RA BITCHE COL Arnaud LADRANGE OTAN
- 2007 2009 57°RA BITCHE COL Jean-François VASSEUR chef de la mission EPIDOTE en Afghanistan
Sources et bibliographie
- Historique de l'artillerie française, H. Kauffert.
Notes et références
- Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
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- Unité militaire française historique
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