- Église Saint-Pierre de Senlis
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Église Saint-Pierre
Présentation Période ou style roman, gothique, Renaissance Destination initiale Culte catholique Propriétaire Commune Destination actuelle Salle polyvalente Protection Classé MH (1887)
Site inscritGéographie Pays France Région Picardie Département Oise Localité Senlis Coordonnées modifier L'église Saint-Pierre est une ancienne église catholique située à Senlis (Oise), en France[1]. Elle a été désaffectée à la Révolution et connut de différentes affectations, notamment celle de marché couvert. Salle polyvalente municipale depuis 1979, elle est fermée au public depuis 2009 en raison de son mauvais état.
Sommaire
Localisation
L'église est située dans le département français de l'Oise, sur la commune de Senlis, à l'extrémité sud-est du centre-ville médiéval. La façade occidentale donne sur la place Saint-Pierre, qui a été inscrite au titre des sites par arrêté du 17 décembre 1948[2]. Cette place correspond à l'ancien cimetière de la paroisse Saint-Pierre. Les façades méridionales et orientales de l'église donnent sur l'avenue du général Leclerc, et plus particulièrement sur un parking entre cette voie et l'ancienne église. Au nord, une étroite ruelle sépare le bâtiment des propriétés privées voisines.
En été 2011, le marché hebdomadaire est organisé autour de Saint-Pierre les mardis et vendredis matin. Le bâtiment jouxtant l'ancienne église au sud est la bibliothèque municipale, ancien séminaire construit au XVIIe siècle à l'emplacement du presbytère de Saint-Pierre. Ce bâtiment est inscrit monument historique[3].
Historique
Les origines de l'église Saint-Pierre se perdent dans le temps, mais sont postérieures à l'époque mérovingienne, puisqu'un cimetière mérovingien a été découvert sous l'église. Selon les historiens du XIXe siècle, elle aurait été fondée en l'an 1029 par le roi Robert II, mais tous les actes en rapport avec une fondation en cette année ne mentionnent en fait que l'église Saint-Rieul voisine. La présence d'une église sur le même lieu est de toute façon nettement plus ancienne, ce qui n'a jamais fait de doute. Des fouilles très complètes à l'intérieur de l'ancienne église Saint-Pierre en 1977-78 ont permis de savoir davantage sur cette église préromane, dont les substructures ont été mises à découvert. Elles ont révélé une église de plan basilical de 23,5 m de long sur 12 m à 12,5 m de large, qui occupait exactement l'emplacement de la nef et du bas-côté nord actuels. Le chevet était plat. Le clocher se situait par ailleurs au même endroit que le clocher romane toujours en place, mais avec un désaxement de 5 ° par rapport à ce dernier. Le bas-côté sud n'ayant pas été fouillé, l'existence d'un second clocher au sud ne peut qu'être supposée. Il est impossible à déterminer si cette première église avait déjà le même patron.
L'église Saint-Pierre remonte à la seconde moitié du XIe siècle pour sa partie la plus ancienne, qui est le clocher roman au nord. Une église romane a alors successivement remplacé l'église préromane et ne fut achevée qu'au XIIe siècle. Peu de détails en sont connus, à part qu'elle ne disposait pas de transept. Toute trace en a disparu, hormis les deux étages inférieurs du dit clocher, et peut-être des pans de mur de la façade septentrionale des bas-côtés nord. L'église actuelle a sinon été édifiée en plusieurs campagnes de construction jusqu'à la fin du XVIe siècle, essentiellement au milieu du XIIIe siècle pour le chœur pentagonal proprement dit (sans ses bas-côtés ou chapelles latérales) et le transept ; au milieu du XIVe siècle pour la moitié orientale de la nef et des bas-côtés ; et pendant la période de 1510 à 1530 pour l'autre moitié de la nef et des bas-côtés, la splendide façade occidentale et les chapelles latérales du chœur.
La première campagne de construction à la période gothique portait donc sur le chœur et le transept ; on peut la dater plus précisément pour les années 1240. Dans ce XIIIe siècle, Saint-Pierre était la paroisse la plus importante de Senlis (la cathédrale n'étant alors pas une paroisse). Au début du XVe siècle, une deuxième campagne d'agrandissement fut entamée, visant la reconstruction et le prolongement de la nef encore romane, ainsi que le remplacement du clocher primitif. Ces travaux ne sont pas menés à terme et s'arrêtent avant 1431. Jusque là, trois nouveaux piliers de la grande nef ont été construits, et les colonnes ont reçu des chapiteaux pour supporter les arcs des voûtes. Or, les voûtes de la nef n'ont jamais été réalisées, pas plus que l'étage haut de la nef dont les fenêtres devaient s'élever en-dessus des toitures des bas-côtés. En 1432, à défaut de la construction d'un nouveau clocher, le vieux clocher roman est rehaussé d'un étage et muni d'un toit pyramidal en pierre, probablement sous la direction de Robert Cave. À partir des années 1460, la paroisse reçoit plusieurs dons importants afin de lui permettre d'ériger enfin le beffroi envisagé dès le début du siècle. Un plan est dessiné par les architectes Lorin le Riche et Jean Hazard, mais reste lettre morte.
Entre 1510 et 1520, les premières et secondes travées de la nef et des bas-côtés sont construits. Les bas-côtés sont tous voûtées, mais lors de l'édification du triple portail occidental à la même période, l'on renonce déjà définitivement au rehaussement et voûtement de la nef. En effet, la silhouette de la façade monumentale, qui témoigne « d'un grand talent décoratif et d'une merveilleuse habileté de main [qui] fit oublier ce que l'intérieur du monument présentait d'irrégulier et d'incomplet », s'adapte à la nef dans sa forme inachevée. À cet époque, Saint-Pierre dispose déjà d'un orgue. Entre 1525 et 1530, les chapelles latérales de part et autre du chœur sont en construction, pouvant être aussi considérées comme bas-côtés du chœur. De l'extérieur, l'église n'a pas encore son aspect actuel, puisque le rehaussement du clocher est encore en cours en 1588, « masse carrée, froide, prosaïque, surmontée d'une calotte qui semble écraser le transept méridional de Saint-Pierre ». La calotte achevée en 1592 est aussi qualifiée de « compotier renversé » troublant la silhouette gothique de Senlis.
Le bâtiment est désaffecté et vendu comme bien national en 1792. Il accueille une fabrique de chicorée[4], un escadron de cavalerie à partir de 1832, un magasin de fourrages de l'armée à partir de 1862, avant d'être rendue à la ville en 1877 suite à la construction de la nouvelle caserne, rue du faubourg Saint-Martin. L'ancienne église est alors transformée en marché couvert en 1881, utilisation qui perdure pendant près d'un siècle et sauve le bâtiment de la démolition. L'édifice est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 19 décembre 1887[1]. Il a déjà assez souffert des utilisations antérieures, mais le portail au moins a été restauré en 1846.
Les bombardements pendant la Seconde guerre mondiale ont détruit tout le quartier à l'est de Saint-Pierre, mais miraculeusement épargné l'ancienne église, qui n'a subi aucun dégât.- Après la catastrophe aérienne du 3 mars 1974 en forêt d'Ermenonville, Saint-Pierre devient une chapelle ardente pour les victimes. Sous l'impulsion de cet usage, la ville décide ne plus utiliser l'église comme marché, et l'aménage comme salle polyvalente entre 1977 et 1979[5]. Par défaut d'entretien courant du bâtiment, l'ancienne église a dû être fermée pour de nombreuses années. Des travaux de confortement des voûtes côté nord ont commencé[6] en 2009.
Description
Plan et structure
L'église Saint-Pierre suit globalement un plan cruciforme classique. Elle se compose d'une nef d'environ 27,5 m de long et de 10 m de large à l'intérieur, d'un transept et d'un chœur, dont la largeur des travées centrales est de 90 % de celle de la nef. Ils font ensemble environ 22 m de long. La nef composée de quatre travées est accompagnée de deux bas-côtés de quatre travées chacun, dont la largeur correspond à la moitié de celle de la nef. Les croisillons nord et sud du transept se composent chacun d'une travée carrée d'une cote de 9 m, de la même dimension que celle de la croisée du transept également carrée : ce sont les uniques travées carrées de l'église avec celles des chapelles latérales du chœur. Ce dernier est quant à lui composée de deux travées consécutives, dont le second se termine par trois pans coupés faisant saillie sur la façade. Abstraction faite de ce chevet polygonal, la longueur cumulée des deux travées du chœur n'atteint que 25 % de plus que la cote de la croisée du transept. Les quatre chapelles latérales, pouvant être qualifiées de bas-côtés du chœur, sont trois siècles plus jeunes que ce dernier et ont obturé deux des cinq pans du chevet. Elles sont donc également d'un plan carré, et la cote dépasse ici la moitié de la largeur du chœur, c'est-à-dire que le rapport observé pour la nef et ses bas-côtés n'a pas été observé.
Comme particularité, l'orientation de la nef et de l'ensemble transept-chœur n'est pas identique. Ce dernier est désaxé de 10 ° par rapport à la nef afin d'obtenir l'orientation parfaite est-ouest primant apparemment au XVe siècle avant toute considération esthétique et pratique. L'orientation est-sud-est - nord-nord-ouest de la nef est un héritage de l'église préromane, qui était exactement identique. En effet, l'église préromane a été reconstruite en église romane, puis cette dernière a coexisté pendant deux à trois siècles environ (selon les parties) avec le chœur gothique. Comme conséquence du désaxement, les premières travées de la nef et des bas-côtés sont de forme trapézoïdale irrégulière. Il n'est par contre pas évident pourquoi les autres travées des bas-côtés ne sont pas parfaitement rectangulaires : surtout au sud, pour la première et seconde travée, la forme trapézoïdale irrégulière est nettement perceptible. Les piliers de la nef et les contreforts des bas-côtés ne se font donc pas directement face. La première travée du bas-côté nord porte le clocher roman, qui saute peu à l'œil en raison de la position dominante du clocher Renaissance, au sud de la première travée du bas-côté sud, et en raison de la mauvaise accessibilité de la façade nord, visible seulement depuis une ruelle[7].
Architecture
La façade occidentale sur la place Saint-Pierre, terminée en 1516, se présente dans le plus pur style flamboyant et mérite encore toute attention, bien que son état ne parle plus en sa faveur. Sa division tripartite est bien hiérarchisée de par les deux tourelles, qui permettent l'accès aux combles de la nef et assurent en même temps le rôle de contreforts pour la façade. Elles présentent quatre niveaux d'un filigran[Quoi ?] décor flamboyant, évoquant le remplage de lancettes, et sont couronnées par des pinacles. Quant aux contreforts aux angles de la façade, ils ont été traités par un décor assorti. Les trois segments de la façade correspondent aux bas-côtés et au vaisseau central, et sont chacun dotés d'un portail. Les portails des deux extrémités sont plus étroits, alors que celui du centre est en fait un double portail, avec deux portes séparées par un étroit trumeau. Il était jadis garni par un gable, dont la physionomie n'est plus connue, et qui obturait pour moitié la fenêtre haute de la nef (aujourd'hui lambrissée). Trois statues de saints ornaient jusqu'à la Révolution l'archivolte et le trumeau du portail central, dont ne restent aujourd'hui que les dais. Il en est de même des statues de gauche et de droite des portails latéraux. Les trois portails sont tous à arc surbaissé afin de laisser la place à des hauts tympans ajourés de vitraux. Ils s'inscrivent dans un arc en tiers-point, tout comme les archivoltes, sauf pour le portail de la gauche, ou l'archivolte se termine au sommet par deux arcs de cercle qui se contrebutent. Finalement, les trois segments de la façade sont couronnés par des pignons triangulaires aux rampants garnis de crochets, sous la forme de chimères pour le pignon central, et couverts de motifs flamboyants sculptés[8],[9].
La tour romane au nord se situe au-dessus de la première travée du bas-côté nord. Édifiée pendant la seconde moitié du XIe siècle, il suit l'exemple du clocher de l'Église Saint-Aignan à l'instar des autres clochers romans de la région. Il ne comportait initialement que deux étages, rigoureusement identiques, avec deux baies gémellées par face. Elles sont décorées chacune de deux colonnettes aux chapiteaux très simples, ainsi que de billettes au-dessus de la voussure. De façon audacieuse, la base du clocher a été complètement reprise vers 1430 à l'intérieur de l'église, afin d'harmoniser cet élément avec les autres travées des bas-côtés gothiques. Ce remaniement pose un sérieux problème de stabilité, faisant que le clocher a tendance à s'incliner vers l'est. Le rehaussement de ce même clocher à partir de 1431 ne fut pas pour arranger ce problème, auquel il ajoute le poids élevé du troisième étage et du toit pyramidal en pierre. De ce fait, les fenêtres romanes ont très tôt dû être murées. Le troisième étage est de caractère purement utilitaire, sans décoration aucune ; il est simplement percé de deux baies gémelles par face à l'instar des étages romans, mais avec des arcs en ogives surbaissés. La coiffe pyramidale à huit pans cernée par quatre pinacles est loin d'être un chef-d'œuvre et paraît pataude ; l'on peut à ce propos rappeler le contexte difficile de cette campagne de travaux en pleine guerre de Cent Ans[10].
Le chœur pentagonal de 1240-1250, véritable cage de verre, était un chef-d'œuvre, altéré par l'ajout des chapelles latérales à chevet plat en 1525-1530. Une unique voûte sexpartite couvre la seconde travée du chœur et le chevet. Les chapelles latérales sont voûtées d'ogives dont les nervures suivent des dessins complexes, différents pour chacune des quatre travées. Le transept, faisant largement saillie sur la façade, est à peu près contemporain du chœur et éclairé par deux immenses baies aux extrémités nord et sud. Le remplage d'origine n'a pas été préservé (au moins au sud) et a été remplacé par une structure simplifiée. Atteignant la même hauteur sous plafond, il est également voûté d'ogives. La construction dégage une impression d'une grande légèreté. L'ensemble chœur et transept, malgré un plan plutôt conservateur, est parfaitement représentatif de la période rayonnante.
La nef aveugle de quatre travées communique avec les bas-côtés par des grandes arcades en arc brisé. L'on peut toujours y voir les colonnes engagées se poursuivant verticalement au-delà des piliers des arcs formerets, se terminant par des chapiteaux aux tailloirs vides. Ainsi, la charpente en carène du XVIe siècle s'est conservée jusqu'à ce jour. Les bas-côtés sont toutefois voûtés d'ogives, avec des nervures complexes pour les premières travées nord et sud. Chacune des travées des bas-côtés a reçu une charpente et un toit individuels, à trois versants, sauf à l'extrémité ouest où les toits prennent appui sur les pignons décoratifs pour des raisons esthétiques. Le bas-côté nord remplace les structures de l'ancienne église romane sur le même endroit et a plutôt reconstruit que construit à l'époque flamboyante, alors que le bas-côté sud a été construit à neuf parallèlement. Bien que les deux premières travées de chaque côté ne datent que de 1525/30 et de la période Renaissance, les influences Renaissance sont quasiment absentes et l'unicité de styles avec les troisièmes et quatrièmes travées antérieures d'un siècle est remarquable. Les baies des deux premières travées ont toutefois adopté le plein cintre revenu à la mode à la Renaissance[11],[9].
Le massif clocher méridional construit entre 1558 et 1592 s'inscrit par contre très clairement dans l'architecture Renaissance. Depuis le XIXe siècle au moins, les jugements des archéologues et historiens à son encontre ne lui sont guère favorables, car il ne respecte ni l'architecture gothique de l'église ni ses proportions, et semble l'écraser. Haut de 47 m, il comporte seulement trois très hauts étages en dessous de la coupole du sommet. Les deux étages supérieurs sont ajourés par deux étroites baies et un oculus par côté, qui n'ont jamais été vitrées. Les fenêtres du rez-de-chaussée comportent un remplage et des traces de vitraux. La pièce qu'il abrite ne communique toutefois pas avec l'église. Sur le premier étage, des grandes statues de saints sont à signaler côté ouest. La boule de cuivre doré couronnée d'une grande croix dorée au sommet de la coupole a été fondue à la Révolution[12],[9].
Bibliographie
- Julie Aycard, « Saint-Pierre de Senlis à l'époque flamboyante », dans Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, 2002-2003, p. 105-123
- Marc Durand (sous la direction de), Senlis archéologique et monumental : Saint-Pierre, Saint-Aignan, le Palais Épiscopal, Senlis, Société d'histoire et d'archéologie de Senlis, 1995, 222 p.
- Marc Durand, Didier Vermeersch et Monique Wabont, « Les fouilles de l'ancienne église et du cimetière Saint-Pierre à Senlis (Oise) », dans Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, 1998, p. 23-71
- Dominique Vermand, « Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis », dans Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, 1990-1994, p. 73-112
Annexes
Liens internes
Références
- Église Saint-Pierre, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Senlis - Place Saint-Pierre sur le site DREAL Picardie - Recherche par commune des zonages du patrimoine naturel et paysager de Picardie. Consulté le 17 juin 2011. Cf.
- Notice no PA00114908, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Dominique Vermand, « Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis », dans Société d’Histoire et d’Archéologie de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, 1990-1994, p. 73-112 ; p. 73-80 ; et Eugène Müller (chanoine), « Essai d'une monographie des rues, places et monuments de Senlis : 4e partie », dans Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Ernest Payen, 2e série, vol. VII, 1881, p. 121-330 [texte intégral (page consultée le 24 août 2011)] ; p. 205-214. Cf.
- Cf. Marc Durand et Philippe Bonnet-Laborderie, Senlis et son patrimoine : La ville en ses forêts, GEMOB, Beauvais, 2004 (réédition revue, corrigée et augmentée), 170 p., ISSN 1255-0078 ; p. 129 ; ainsi que Félix Louat, Histoire de la Ville de Senlis, op. cit., p. 176 et 188. Selon Durand et Bonnet-Laborderie, l'utilisation comme annexe de la caserne de l'ancien séminaire ne commence qu'en 1843, mais il faut alors s'interroger où les chevaux furent jusque-là hébergés, et à quoi servit l'ancienne église entre 1832 et 1843.
- Lire en ligne. Cf. le bulletin de liaison n° 46 de l'association « Sauvegarde de Senlis » de mars 2010, p. 3 et 8 ;
- Cf. Dominique Vermand, Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis, op. cit., notamment le plan p. 75.
- Cf. Dominique Vermand, Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis, op. cit., p. 103-105.
- Marc Durand et Philippe Bonnet-Laborderie, Senlis et son patrimoine : La ville en ses forêts, Beauvais, GEMOB, 2004 (réédition revue, corrigée et augmentée), 170 p. ; p. 127-129. Cf.
- Cf. Dominique Vermand, Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis, op. cit., p. 83-85 et 98.
- Cf. Dominique Vermand, Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis, op. cit., p. 88-97 et 100-103.
- Cf. Dominique Vermand, Etude monumentale de l'église St-Pierre de Senlis, op. cit., p. 88-97 et 111.
Catégories :- Église de l'Oise
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