- Bent Larsen
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Bent Larsen Bent LarsenNaissance 4 mars 1935
Thisted, DanemarkDécès 9 septembre 2010 (à 75 ans)
Buenos Aires, ArgentineNationalité Danois Profession Joueur d'échecs Jørgen Bent Larsen (né le 4 mars 1935 à Thisted, mort le 9 septembre 2010 à Buenos Aires[1]) était un joueur d'échecs danois, grand maître international depuis 1956.
Larsen a été six fois champion du Danemark et candidat au championnat du monde d'échecs à quatre occasions : en 1965, 1968, 1971 et 1977. Il a remporté trois tournois interzonaux : Amsterdam 1964, Sousse 1967 et Bienne 1976, ainsi que de nombreux tournois d'échecs majeurs tout au long de sa carrière (dont le tournoi d'Hastings et le tournoi des hauts-fourneaux de Beverwijk). Il a été le premier joueur à recevoir l'Oscar des échecs en 1967. Depuis le début des années 1970, il vivait une partie de l'année à Las Palmas et à Buenos Aires, avec son épouse d'origine argentine.
Bent Larsen a été considéré comme le plus fort joueur d'échecs ayant jamais vu le jour au Danemark, et le plus fort joueur de Scandinavie jusqu'à l'émergence de Magnus Carlsen dans les années 2000. Dans la seconde moitié des années 1960 et au début des années 1970, Larsen était, avec Bobby Fischer, considéré comme le meilleur joueur non-soviétique dans le monde. Il fait pourtant partie, à l'instar de Paul Keres, David Bronstein ou Viktor Kortchnoï, des joueurs du sommet de l'élite qui dominèrent leur époque mais qui ne devinrent jamais champions du monde.
Sommaire
- 1 Biographie
- 2 Carrière
- 3 Style et contributions à la théorie des ouvertures, le début Larsen
- 4 Deux parties
- 5 Publications
- 6 Bibliographie
- 7 Notes et références
- 8 Voir aussi
Biographie
Bent Larsen, est né à Tilsted, proche de la ville de Thisted au Danemark. Il apprit à jouer aux échecs à l'âge de 7 ans, avec l'aide d'un camarade de classe. Il a représenté deux fois le Danemark dans les Championnat du monde junior, en 1951 à Birmingham (arrivant à la 4e place) et en 1953 à Copenhague (terminant à la 8e place).
Il devint maître international en 1954, à l'âge de 19 ans, grâce à sa médaille de bronze obtenue au premier échiquier à l'Olympiade d'Amsterdam. Ses études l'orientaient vers une carrière d'ingénieur civil, mais il ne décrocha jamais son diplôme et décida en 1956 de devenir joueur d'échecs professionnel. Larsen battit Friðrik Ólafsson lors d'un match d'exhibition à Oslo en 1955 par le score de 4½–3½. Il gagna le tournoi de Copenhague 1956 par le score de 8/9.
En 1980, Larsen fit la connaissance de sa seconde épouse à Buenos Aires. À partir de cette époque, il vécut en Argentine.
Le 9 septembre 2010, Bent Larsen décède à Buenos-Aires des suites d'une hémorragie cérébrale.
Carrière
Champion du Danemark et grand maître
Larsen fut champion du Danemark à six reprises : en 1954, 1955, 1956, 1959, 1963 et 1964.
Il obtint le titre de maître international en 1954, grâce à sa performance à l'Olympiade d'Amsterdam. Il obtint celui de grand maître international, en 1956, après l'Olympiade de Moscou, où il réalisa la meilleure performance (avec 13,5 points sur 19) et obtint la médaille d'or au premier échiquier. Il réussit à annuler sa partie contre le champion du monde de l'époque, Mikhaïl Botvinnik.
De l'automne 1961 à l'automne 1963, Larsen accomplit son service militaire[2], mais obtint une permission pour disputer le tournoi de Moscou 1962 et le tournoi zonal de Halle[Laquelle ?] 1963. En 1964, Larsen se qualifia pour la première fois de sa carrière pour le cycle des candidats au championnat du monde d'échecs, en terminant premier du tournoi interzonal d'Amsterdam, ex æquo avec les anciens et futurs champions du monde Mikhaïl Tal, Vassily Smyslov et Boris Spassky. Ce tournoi marqua l'entrée de Larsen parmi l'élite mondiale des joueurs d'échecs.
En 1971, après avoir été battu sèchement 6 à 0 par Bobby Fischer lors du match de demi-finale des candidats au championnat du monde, Larsen échoua à se qualifier pour le cycle suivant des candidats en 1973 et il cessa d'être un prétendant dangereux pour le titre mondial.
En 1988, Larsen perdit une partie contre l'ordinateur Deep Thought lors du Software Toolworks Championship, devenant ainsi le premier grand maître à essuyer une défaite contre un ordinateur dans un tournoi.
Malgré ces revers, Bent Larsen continua de jouer de façon occasionnelle. En 1999, il finit 7e sur 10 au championnat du Danemark ; il fut 4e au Mémorial Najdorf à Buenos Aires en 2002.
En juillet 2004, son classement Elo était encore de 2 470.
Tournois zonaux, interzonaux et matchs des candidats (1957 – 1982)
De 1958 à 1982, Larsen prit part à huit tournois interzonaux et termina trois fois premier (en 1964, 1967 et 1976). Larsen était plus à l'aise en tournoi qu'en match et les matchs des candidats pour le titre mondial ne lui réussirent guère. Il disputa neuf matchs lors des cycles des candidats dont deux matchs de départage. Il remporta trois quarts de finale (en 1965, 1968 et 1970) et deux matchs de classement pour la troisième place (en 1966 et 1969). Il perdit trois demi-finales des candidats (en 1965, 1968 et 1971) et un quart de finale (en 1977).
1957 –1960 : seizième de l'interzonal
Larsen se qualifia pour le tournoi interzonal de Portorož de 1958 grâce à sa 3e-4e place du tournoi zonal de Wageningen en 1957, mais il n'y occupa qu'une modeste 16e place (+5 -8 =7). De septembre à octobre 1959, Larsen fut le secondant de Bobby Fischer dans le tournoi des candidats de Bled, Zagreb et Belgrade[3]. Il ne put se qualifier pour le tournoi interzonal de Stockholm de 1962 à cause de sa 4e place lors du tournoi zonal de Berg en Dal en 1960.
1963 – 1966 : éliminé par Tal
Après sa deuxième place au tournoi zonal de Halle, en 1963, Larsen effectua on retour en 1964, au tournoi interzonal d'Amsterdam qui fut un succès et une surprise pour les commentateurs, puisqu'il partagea la 1re-4e place avec Tal, Smyslov et Spassky, et devança Bronstein, Stein et Reshevsky avec un score de 17 / 23 (+13 -2 =8). Il fut le seul non-Soviétique à occuper une des six premières places et se qualifia pour les matchs des candidats.
En 1965, il élimina Ivkov en quarts de finale des candidats (+4 -1 =3) avant d'être battu en demi-finale par Tal (+2 -3 =5). Les règles de la Fédération internationale des échecs prévoyaient un match entre les deux éliminés des demi-finales pour déterminer qui se classait 3e du cycle des candidats afin qu'il puisse pallier l'éventuel désistement d'un qualifié durant le cycle ultérieur. En 1966 à Copenhague, Larsen remporta ce match contre Efim Geller (+3 -2 =4).
1967 – 1969 : éliminé par Spassky
Lors du cycle suivant, l'interzonal de Sousse fut pour Larsen un triomphe, car il conquit la 1re place avec 1½ point d'avance sur ses poursuivants : Geller, Kortchnoï, Gligoric, Portisch, Reshevsky, Stein et Hort. Il marqua (+13 -3 =5), un score impressionnant pour ce niveau de compétition. Cette victoire lui donna le droit de disputer à nouveau les matchs des candidats.
En 1968, il domina Lajos Portisch en quarts de finale des candidats (+3 -2 =5) et tomba en demi-finale devant Boris Spassky (+1 -4 =3). Pour la même raison qu'au cycle précédent, il disputa, à Eersel en 1969, un match pour la 3e place contre Mikhail Tal et le gagna (+4 -1 =3).
1970 – 1971 : éliminé par Fischer
En 1970, à Palma de Majorque, Bobby Fischer domina l'interzonal et Larsen partagea la 2e-4e place (+9 -2 =12), après avoir battu le vainqueur, et accéda à nouveau aux matchs des candidats.
En 1971, il battit Wolfgang Uhlmann en quarts de finale des candidats (+4 -2 =3) avant d'être sèchement éliminé par Bobby Fischer (0 à 6).
1973 – 1977 : éliminé par Portisch
L'interzonal de Leningrad en 1973 fut une grosse déception, puisqu'il ne prit que la 5e-6e place (+8 -5 =4), ce qui l'excluait de la course au titre. Larsen avait commencé le tournoi en marquant six points sur sept, mais il perdit avec les Blancs contre le futur vainqueur Kortchnoï puis quatre autres parties ensuite, et finit 2,5 points derrière les vainqueurs.
Le succès revint à l'interzonal de Bienne en 1976 où il s'adjugea la 1re place devant Petrossian, Tal et Portisch (+8 -2 =9), ce qui lui ouvrit les portes des matchs des candidats.
En 1977, Larsen disparut dès les quarts de finale des candidats, éliminé par Lajos Portisch (+2 -5 =3).
1979 et 1982 : septième et sixième de l'interzonal
À Rīga en 1979, après un bon début, Larsen perdit lors de la onzième ronde contre Polougaïevski, puis trois autres parties et il termina 7e-8e et fut éliminé : 10 / 17 (+7 -4 -6).
Pour sa dernière participation aux cycles des candidats, Larsen ne se classa que 6e-7e de l'interzonal de Las Palmas de 1982 : 6,5 / 13 (+4 -4 =5).
Victoires dans les tournois internationaux
De la fin des années 1950 aux années 1970, Larsen comptait parmi les favoris des compétitions auxquelles il participait et il remporta de nombreux tournois.
Sources : Nicolas Giffard, Le Guide des échecs, éd. Robert Laffont, 1993, et le site Viking Chess
- 1955 – 1973
- 1955 : championnat des pays nordiques
- 1956-1957 : Hastings, ex æquo avec Svetozar Gligorić
- 1958 : Mar del Plata
- 1960 : Beverwijk, ex æquo avec Petrossian
- 1961 : Beverwijk, ex æquo avec Borislav Ivkov
- 1964 : Amsterdam (interzonal)
- 1966 : Le Havre
- 1967 :
- La Havane (devant Taïmanov, Smyslov, Gligoric et Polougaïevski),
- Palma de Majorque (devant Smyslov, Botvinnik, Portisch et Gligoric),
- Winnipeg (ex æquo avec Klaus Darga et devant Keres, Spassky et Benko)
- Sousse (interzonal)
- 1968 :
- Monte-Carlo (devant Botvinnik, Hort, Portisch, Smyslov, Byrne et Benko),
- Toronto (championnat open du Canada),
- Aspen (championnat open des États-Unis)
- 1969 :
- Palma de Majorque (devant Petrossian, Hort, Kortchnoï et Spassky),
- Büsum
- 1970 :
- 1972 : Teesside
- 1972-1973 : Hastings
- 1973 :
- 1975 – 1990
- 1975 : Orense
- 1976 :
- Lanzarote,
- Costa Brava
- Bienne (interzonal)
- 1977 :
- 1978 :
- open de Lone Pine (devant Polougaïevski, Portisch, Petrossian, Stean, Bisguier Benko, Miles et Olafsson)
- Esbjerg
- 1979 :
- Buenos Aires (11 points sur 13 et 3 points d'avance sur Spassky, Miles, Najdorf, Andersson, suivis de Gheorghiu, Ivkov et Petrossian),
- Copenhague
- 1980 : Buenos Aires, 9,5 points sur 13, devant Timman, Ljubojevic, Karpov, Andersson, Najdorf et Hort
- 1981 : Buenos Aires
- 1983 : Buenos Aires
- 1985 :
- 1986-1987 : Hastings, ex æquo avec Chandler, Lputian et Speelman
- 1988 : open de Naestved
- 1989 : Londres : 9,5 / 13
- 1990 : New York : 6,5 / 9
Larsen prit aussi les places d'honneur de nombreux autres tournois prestigieux dont des deuxièmes places à Palma de Majorque en 1968 (derrière Kortchnoï), à Palma de Majorque (interzonal) en 1970 (derrière Fischer), à Bugojno en 1980 (derrière Karpov), à Niksic en 1983 (derrière Kasparov), et une troisième place à Santa Monica en 1966 (derrière Spassky et Fischer).
Compétitions par équipes
Olympiades (1954 – 1970)
Larsen défendit les couleurs du Danemark au cours de six éditions et joua toujours au premier échiquier. À la différence des autres grands maîtres de son niveau qui se faisaient souvent remplacer, il présentait la particularité de jouer un nombre élevé de parties en participant à presque toutes les rondes des Olympiades.
- 1954 - Amsterdam : +11 -3 =5 - Médaille de bronze individuelle
- 1956 - Moscou : +11 -1 =6 - Médaille d'or individuelle
- 1958 - Munich : +11 -4 =4
- 1966 - La Havane : +9 -5 =4
- 1968 - Lugano : +8 -5 =5
- 1970 - Siegen : +11 -2 =4 - Médaille de bronze individuelle
À partir de 1972, Larsen refusa de participer aux compétitions par équipes organisées par la Fédération internationale des échecs pour protester contre la prise en compte des résultats individuels des participants lors de ces compétitions dans le calcul de leur classement Elo. Il considérait que seul le résultat collectif des équipes devait compter.
Match URSS contre le Reste du monde (1970)
En 1970, Larsen occupa le premier échiquier de l'équipe du Reste du monde qui affrontait les meilleurs joueurs de l'Union soviétique. Pour la rencontre de 1970 à Belgrade, il était initialement prévu que Bobby Fischer jouât au 1er échiquier de la sélection internationale. Mais Larsen fit valoir que ses résultats des années passées étaient supérieurs à ceux de l'Américain (Fischer n'avait disputé qu'une seule partie en 1969 et effectuait sa rentrée en compétition) et revendiqua le droit d'être à la tête des adversaires de l'URSS. Il menaça même de se retirer si sa demande n'était pas acceptée. Fischer accepta d'occuper le deuxième échiquier.
Finalement, Larsen fut opposé au champion du monde Boris Spassky au 1er échiquier. Leur match se solda par une égalité : Larsen remporta une partie, fit une nulle et perdit une partie (+1 -1 =1). Le champion du monde, en méforme, fut remplacé par Leonid Stein lors de la quatrième ronde ; Larsen remporta cette dernière partie et finit le tournoi sur le score global de 2,5 points sur 4 (+2 -1 =1).
Championnat d'Europe par équipes (1971)
En 1971, le Danemark disputa la phase préliminaire de cette compétition, mais ne put se qualifier pour phase finale de Bath en 1973. Larsen y marqua 5 points sur 6 (+1 -1 contre Włodzimierz Schmidt, 2-0 contre Wolfgang Uhlmann et 2-0 contre Ilkka Saren). Il ne participa pas aux autres éditions de cette épreuve.
Oscar du meilleur joueur de l'année 1967
En 1967, Larsen fut le premier récipiendaire de l'Oscar du meilleur joueur de l'année, récompense honorifique alors nouvellement créée et attribuée par les journalistes spécialisés.
Style et contributions à la théorie des ouvertures, le début Larsen
Le style de Larsen est marqué par des attaques farouches, jouant exclusivement pour le gain au lieu de rechercher des nulles tranquilles, ce qui lui a parfois valu quelques désillusions. Ceci fut particulièrement vrai lors de son match de 1971 contre Bobby Fischer où il pouvait annuler certaines parties, mais préféra jouer pour le gain et perdit.
Larsen est un joueur doté d'une grande imagination, essayant de nombreuses idées jugées peu orthodoxes. On peut se rappeler ses ouvertures peu habituelles. Il est l'un des très rares grands maîtres à avoir employé le début Bird (1. f4) assez régulièrement, et avec lequel il battit Boris Spassky au tournoi interzonal d'Amsterdam en 1964, ou l'attaque Nimzo-Larsen (1. b3), nommée ainsi en son honneur et celui de Aaron Nimzowitsch. En 1979, il vainquit Anatoli Karpov à Montréal avec la peu fréquente défense scandinave (1.e4 d5).
Larsen apporta aussi sa contribution à des ouvertures plus classiques.
Selon Kasparov et Anand[4], les idées de Larsen jouèrent un rôle décisif dans le développement de la variante de Méran améliorée de la défense semi-slave, caractérisée par le coup de Larsen : 8. ... Fb7 !? (après 1. d4 d5 2. c4 c6 3. Cc3 Cf6 4. Cc3 e6 5. e3 Cbd7 6. Fd3 dxc4 7. Fxc4 b5 8. Fd3). Larsen utilisa cette variante avec les Noirs dans ses quarts de finale des candidats contre Ivkov (en 1965), Portisch (en 1968) et Uhlmann (en 1971).
En 1980, à Tilburg, Larsen battit le champion du monde Karpov avec les Noirs en utilisant une innovation dans la défense russe qui, selon Kasparov[5], « donna naissance à une nouvelle manière de penser dans la défense Petroff. »
Deux parties
Bien que Larsen ait un total négatif contre Bobby Fischer, il le battit deux fois avec les Noirs. Voici l'une de ses victoires à Santa Monica en 1966 :
1. e4 e5 2. Cf3 Cc6 3. Fb5 a6 4. Fa4 Cf6 5. O-O Cxe4 6. d4 b5 7. Fb3 d5 8. dxe5 Fe6 9. c3 Fc5 10. Cbd2 O-O 11. Fc2 Ff5 12. Cb3 Fg4 13. Cxc5 Cxc5 14. Te1 Te8 15. Fe3 Ce6 16. Dd3 g6 17. Fh6 Ce7 18. Cd4 Ff5 19. Cxf5 Cxf5 20. Fd2 Dh4 21. Df1 Cc5 22. g3 Dc4 23. Dg2 Cd3 24. Fxd3 Dxd3 25. Fg5 c6 26. g4 Cg7 27. Te3 Dd2 28. b3 b4 29. Dh3 bxc3 30. Dh6 Ce6 0-1
Dans le même tournoi, avec les Blancs, il prit aussi le dessus sur le champion du monde Tigran Petrossian :
1.e4 c5 2.Cf3 Cc6 3.d4 cxd4 4.Cxd4 g6 5.Fe3 Fg7 6.c4 Cf6 7.Cc3 Cg4 8.Dxg4 Cxd4 9.Dd1 Ce6 10.Dd2 d6 11.Fe2 Fd7 12.0-0 0-0 13.Tad1 Fc6 14.Cd5 Te8 15.f4 Cc7 16.f5 Ca6 17.Fg4 Cc5 18.fxg6 hxg6 19.Df2 Tf8 20.e5 Fxe5 21.Dh4 Fxd5 22.Txd5 Ce6 23.Tf3 Ff6 24.Dh6 Fg7 25.Dxg6 Cf4 26.Txf4 fxg6 27.Fe6+ Tf7 28.Txf7 Rh8 29.Tg5 b5 30.Tg3 1 - 0
Publications
- Mes 50 meilleures parties d'échecs, Petite Bibliothèque Payot, 1992
- Les Coups de maître aux échecs, Payot, 1989
Bibliographie
- Bent Larsen, Mes 50 meilleures parties d'échecs, Londres (1970), éd. Payot 1972, rééd. Petite Bibliothèque Payot, 1992
- Nicolas Giffard, Le Guide des échecs, Robert Laffont, 1993
- Garry Kasparov, (en) My Great Predecessors, part IV, Everyman Chess, 2004
- Paul Keres, Ivo Nei, Mes parties favorites de Fischer, Spassky, Kortchnoï et Larsen (4x25), Editorial Chessy, 2006
Notes et références
- « Décès de Bent Larsen » sur europe-echecs.com
- Bent Larsen, Mes 50 meilleures parties d'échecs, p. 109, éd. Payot, 1972.
- Bent Larsen, Mes 50 meilleures parties d'échecs, p. 82, éd. Payot, 1972.
- Garry Kasparov, My Great Predecessors, IV, p. 181
- Garry Kasparov, My Great Predecessors, IV, p. 197
Voir aussi
Liens externes
- (en) Courte biographie et parties de Bent Larsen sur ChessGames.com
- (en) Portait de Bent Larsen sur le site ChessBase à l'occasion de son 75e anniversaire.
- (en) Hommage de l'historien Edward Winter : photographies, citations et documents divers.
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