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Dévanagari
Dévanagari
Manuscrit du Rig-Veda en dévanagari (début du XIXe siècle).Caractéristiques Type Alphasyllabaire Langue(s) Plusieurs langues du nord de l'Inde dont le sanskrit, l'hindî, le marâthî, le sindhi, le bihari, le bhili, le konkânî, le bhojpuri, le népalais, le nepâlbhâsa et parfois le kashmiri et le romani Historique Époque XIIe siècle[1] jusqu'à nos jours Système(s)
parent(s)Protosinaïtique
Phénicien
Araméen
Brahmi
Gupta
Siddham
DévanagariEncodage Unicode U+0900 à U+097F ISO 15924 Deva[2] La[3] dévanagari ou dévanâgarî, du sanskrit देवनागरी (transcription et translittération IAST devanāgarī), est une écriture alphasyllabaire utilisée pour le sanskrit, le hindî, le népalais, le marâthî et plusieurs autres langues indiennes. C’est une des écritures les plus employées en Inde et au Népal.
Sommaire
Histoire
Origine
Comme la quasi-totalité des écritures indiennes, la dévanagari descend de l'écriture brâhmî [4],[5], plus précisément de l'écriture gupta [6].
On retrace les origines de la dévanagari autour du XIIe siècle, vraisemblablement comme une modification du siddham. Elle remplaça peu à peu l'écriture sharda[7] dans une grande partie du nord de l'Inde.
La dévanagari est maintenant l'une des écritures les plus employées de l'Inde, étant majoritairement utilisée pour écrire le hindî, langue de loin la plus parlée en Inde [8]. Le hindî écrit en dévanagari est également une langue officielle de l'Inde [9], il en est de même pour le népalais écrit en dévanagari, « langue de la nation » du Népal [10]. Cette écriture sert aussi à écrire entre autres le marâthî et le sindhi. Traditionnellement, dans le nord de l'Inde, c'est avec elle qu'on écrivait le sanskrit [4].
Des langues moins parlées utilisent également cette écriture : le bihârî, le bhîlî, le konkânî, le bhojpûrî, le nepâlbhâsa. Il arrive que le kashmîrî et le romani fassent également usage de la dévanagari, bien que le premier utilise principalement l'alphabet arabe sous une forme modifiée, et que le second préfère l'alphabet latin.
Étymologie
Le terme français dévanagari, qui vient du sanskrit, se décompose en :
Ce mot qualifie donc cette écriture de « citadine divine ». Le nom peut aussi être abrégé en nagari [13].
Caractéristiques générales
La dévanagari s’écrit horizontalement, de gauche à droite, ne fait pas de distinction entre majuscules et minuscules [14]. Elle est reconnaissable à la barre horizontale continue sous laquelle sont attachés les caractères[15]. Cette barre s'interrompt brièvement pour certains caractères ouverts en haut[16]. Elle est également interrompue entre les mots dans les langues modernes mais peut recouvrir plusieurs mots d'affilée en sanskrit dans le cas des sandhi[17]. Dans l'écriture manuscrite, elle est tracée après avoir écrit un mot en entier[18].
Elle utilise maintenant les mêmes signes de ponctuation que l’alphabet latin, sauf parfois pour les fins de vers et de phrases dans l’écriture traditionnelle[19]. Il existe des variantes pour certains caractères.
C'est une écriture quasiment phonétique, où un symbole représente toujours le même phonème, même s'il existe quelques variations d'une langue ou d'un dialecte à l'autre. L'unité de base — appelée akshara (du sanskrit अक्षर akṣara ak, signifiant « lettre, caractère »[20]) — est constituée soit d'un groupement d'une ou plusieurs consonnes consécutives éventuellement suivies d'une voyelle, soit d'une voyelle seule[21]. Lorsqu'une voyelle suit une consonne, elle est représentée par un signe diacritique attaché à cette consonne. Lorsque plusieurs consonnes se suivent, elles sont représentées par une ligature. L’akshara constitue souvent, mais pas toujours, une syllabe d'un mot[4].
Contraintes de présentation
La barre horizontale sous laquelle s’inscrivent la plupart des lettres de base est jointive graphiquement avec les barres horizontales des lettres de base précédentes et suivantes, quand elles en ont une. Lors de la justification de texte, il est permis d’allonger l’interlettrage entre les aksharas, en conservant cette jonction graphique qui identifie les mots. Mais la forme graphique de l’akshara reste normalement inchangée (en particulier, le demi-glyphe vertical danda, lié graphiquement à la droite de certaines lettres pleines et qui représente graphiquement la voyelle implicite dans la lettre pleine, ne doit pas s’écarter du demi-glyphe représentant la lettre morte correspondante).
Les aksharas délimitant les syllabes, la césure est permise presque n’importe où dans un mot entre deux aksharas. Toutefois, pour que cette césure respecte les syllabes phonétiques ou sémantiques, la dévanagari permet de transcrire un groupe de consonnes en deux parties distinctes en forçant la dernière consonne du premier groupe à adopter une forme pleine explicitement privée de sa voyelle associée, mais malgré tout séparable. Dans ce cas, ce groupe de consonnes est lié logiquement à l’akshara précédente terminé par une voyelle comme si c'était des consonnes finales, et la césure dans ce cas ne sera pas permise avant ce groupe de consonnes.
Exemple
- Texte en dévanagari (langue hindî)
- सभी मनुष्यों को गौरव और अधिकारों के मामले में जन्मजात स्वतन्त्रता और समानता प्राप्त है। उन्हें बुद्धि और अन्तरात्मा की देन है और परस्पर उन्हें भाईचारे के भाव से बर्ताव करना चाहिये।[22]
- Texte en transcription latine (IAST)
- Sabhī manuṣyoṃ ko gaurav aur adhikārṃ ke mamle meṃ janmajāt svatantrātā aur samāntā prāpt hai. Unheṃ buddhi aur antrātmā kī den hai aur parspar unhẽ bhaīcāre ke bhāv se bartāv karnā cāhiye.
- Traduction en français
- Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
L’alphasyllabaire
L'écriture dévanagari différencie de façon fondamentale les voyelles des consonnes dans le fonctionnement de leur représentation[23].
Voyelles
Une voyelle peut être rendue par deux signes différents selon qu’elle suit une consonne (forme dépendante) ou non (forme indépendante)[24] :
- dans le premier cas, la voyelle dépendante est représentée par un signe diacritique — appelé matra[25] (मात्रा) — qui peut être lié à droite, à gauche, en dessous ou au-dessus de la consonne après laquelle elle est prononcée ;
- dans le second cas, la voyelle indépendante est une akshara à part entière.
Symboles représentant les voyelles Voyelle indépendante Voyelle dépendante après प Transcription Prononciation (API)[26] अ प (seul) a [ʌ] ou [ǝ][21] आ पा ā [ɑː] इ पि i [i] ई पी ī [iː] उ पु u [u] ऊ पू ū [uː] ऋ पृ ṛ dépend des langues ॠ पॄ ṝ [] (r rétroflexe long, en fin de syllabe) ऌ पॢ ḷ [] (l rétroflexe court, en fin de syllabe) ॡ पॣ ḹ [] (l rétroflexe long, en fin de syllabe) ऍ पॅ ẽ é nasal ऎ पॆ e [] ए पे ē [e] ऐ पै ai [ɛ] ऑ पॉ o o ouvert ऒ पॊ o nasal ओ पो ô [o] औ पौ au [au] (o ouvert long) Les voyelles [u] et [uː] ne s'écrivent pas avec les matras habituelles quand elles suivent un र isolé[25] :
Cas particulier après र Voyelle indépendante Voyelle dépendante उ रु ऊ रू Nasalisation
Il y a plusieurs cas de nasalisation de consonnes ou de voyelles pouvant être rendu :
- soit par un bindu (बिन्दु), un point suscrit (par exemple avec अ : अं)
- soit par un candrabindu (चन्द्रबिन्दु) un point surmontant une demi-lune (ici avec अ : अँ )
Lorsque la première consonne d'une combinaison est une nasale et est suivie d'une consonne de la même classe articulatoire, elle peut être représentée par un bindu placé sur l’akshara précédent. Cette nasalisation s'appelle anusvara[27] (अनुस्वार). Devant ह anusvara représente une nasale vélaire[27] (api [ŋ]). Ainsi la labiale म peut être affichée comme un anusvara quand elle précède la labiale ब, la dentale न quand elle précède la dentale त ou स, etc. En sanskrit, la voyelle précédent le bindu est également nasalisée, mais pas en hindi.
L'anusvara dans les combinaisons Devant l'anusvara signifie Exemple Vélaire क, ख, ग, घ ou ह ङ पंखा = पङ्खा Palatales च, छ, ज ou झ ञ शतरंज = शतरञ्ज Rétroflexes ट, ठ, ड ou ढ ण गुंडा = गुण्डा Dentales त, थ, द, ध, ल ou स न अंतर = अन्तर Labiales प, फ, ब ou भ म संभव = सम्भव
La nasalisation de voyelle s'appelle anunasika[28] (अनुनासिक). Elle est rendue par un bindu ou un candrabindu[28]. En hindi, le candrabindu est rarement utilisé et le bindu seul presque systématique. Une solution parfois retenue est d'utiliser le candrabindu quand l’akshara n'est surmonté d'aucun signe, le point seul quand le graphe syllabique est accompagné d'un matra[29]. Dans ce cas, le point est à droite de celui-ci[30].Exemples de voyelles nasalisées Voyelle indépendante non-nasalisée Voyelle indépendante nasalisée Voyelle dépendante après प अ अँ पँ आ आँ पाँ ए एँ पें ओ ओं पों Autres signes diacritiques
La dévanagari dispose d'autres signes diacritiques se plaçant après une voyelle :
Diacritique (ici après ए) Appellation Fonction एऽ avagraha (अवग्रह)[31] utilisé pour prolonger le son d'une voyelle (en marâthî, le signe marque explicitement la non-élision de la voyelle implicite en fin de mot, cette élision étant généralement implicite et non marquée) एः visarga (विसर्ग)[32] est prononcé comme un [h] suivi de la répétition de la voyelle précédente[33] Consonnes
Lorsqu’une consonne n'est ni directement précédée ni directement suivie d’une autre consonne, elle est représentée par un symbole de base (forme pleine). Dans ce cas elle est prononcée suivie de la voyelle implicite [ə][35], ou parfois prononcée sans voyelle du tout dans certains cas dans des langues comme le hindî[25]. De nombreux glyphes de consonnes comportent une barre verticale appelée danda[36].
Si la consonne est suivie du signe diacritique sanskrit virama (विराम), aucune voyelle n'est prononcée[4]. Ce signe est attaché en dessous du danda final de la consonne pleine, ou centré dessous si le signe de la consonne pleine ne comporte pas de danda : क् (ici accompagnant क). Il est appelé halant (हलन्त) en hindî[37].
La dévanagari distingue les consonnes occlusives aspirées de celles qui ne le sont pas, et les dentales des rétroflexes[13].
Symboles représentant les consonnes Plosives Non-plosives Sourdes Sonores Nasales Sonantes Fricatives Spirante latérale non-aspirées aspirées non-aspirées aspirées Vélaires क [k] (k) ख [kʰ] (kh) ग [ɡ] (g) घ [ɡʱ] (gh) ङ [ŋ] (ṅ) Palatales च [c͡ç] (c) छ [c͡çʰ] (ch) ज [ɟ͡ʝ] (j) झ [ɟ͡ʝʱ] (jh) ञ [ɲ] (ñ) य [j] (y) श [ç] (ś) Rétroflexes ट [ʈ] (ṭ) ठ [ʈʰ] (ṭh) ड [ɖ] (ḍ) ढ [ɖʱ] (ḍh) ण [ɳ] (ṇ) र [r] (r) ष [ʂ] (ṣ) ळ [ɭ] (ḷ) Dentales त [t̪] (t) थ [t̪ʰ] (th) द [d̪] (d) ध [d̪ʱ] (dh) न [n] (n) ल [l] (l) स [s] (s) Labiales प [p] (p) फ [pʰ] (ph) ब [b] (b) भ [bʱ] (bh) म [m] (m) व [β̞] (v) Glottale ह [ɦ] (h) Quand un mot est terminé par un akshara surmonté d'un anusvara qui ne sert pas à nasaliser une voyelle, cet anusvara représente म्[38]. Par exemple ग्रामं = ग्रामम्.
Consonnes étrangères
Pour transcrire des sons non-natifs de la dévanagari, certaines consonnes sont souscrites d'un point[39] appelé nuqtā[40].
Quelques exemples de consonnes souscrites d'un nuqtā Symbole Transcription Prononciation (API) क़ q [q] ख़ x [x] ग़ ġ [ʀ] ज़ z [z] ड़ ṛ [ɽ] ढ़ ṛh [ɽʱ] फ़ f [f] Combinaisons
Quand plusieurs consonnes sont prononcées d'affilée (sans voyelle intermédiaire), la dévanagari utilise des combinaisons de consonnes qui regroupent plusieurs symboles de consonnes formant une ligature[41]. Elle peut être soit une simple compression graphique des consonnes attachées entre elles, soit un glyphe entièrement nouveau[42]. Elle peut être complétée d'une voyelle sous forme de matra classique qui s'applique à l'ensemble de la combinaison créée[30]. La ligature résultant d'une combinaison et son éventuelle voyelle forment un akshara.
Une combinaison peut aussi être représentée en apposant simplement un virama à la première consonne[37].
Regroupement par la droite
Dans le cas général le plus simple, quand la première consonne (en forme pleine) est bordée à droite par un danda, elle est combinée à l’autre en perdant son danda et en se collant à la suivante. De même क et फ voient leur extrémité droite atrophiée[43].
Exemples avec perte de la partie droite 1re consonne 2e consonne Combinaison स त स्त ब द ब्द ष य ष्य क य क्य फ़ त फ़्त Abréviation de la seconde consonne
Dans quelques cas, c'est la deuxième consonne de la combinaison qui est atrophiée, la première gardant sa forme initiale. Ainsi lorsque द est la première consonne d'une combinaison, la deuxième vient en général se coller en bas à sa gauche après avoir perdu son danda. Bien que bordée d'un danda, श peut prendre une forme spéciale — elle-même bordée d'un danda — quand elle est la première d'une combinaison et que la deuxième consonne est व, र, च ou न, la deuxième consonne venant alors se coller en bas à sa gauche. Cependant la forme habituelle avec une simple absence du danda peut se recontrer également[41]. En première position d'une combinaison ह, elle, reçoit en bas à gauche la consonne suivante, ou bien s'ouvre par la droite[44].
Exemples avec द, श ou ह en 1re consonne 1re consonne 2e consonne Combinaison द व द्व द ध द्ध श व श्व ह म ह्म ह व ह्व Le cas de र
La consonne र prend des formes très particulières dans les combinaisons.
Si elle suit une consonne munie d'un danda dans sa forme pleine, र est généralement représentée sous la forme d’un segment oblique accroché en bas à gauche du danda. Lorsque cette consonne précédente ne comporte pas de danda, र est représentée sous la forme d'un segment ou de deux segments obliques joints par le haut et attachés sous la consonne précédente en forme pleine[42].
Quand र précède une autre consonne, elle est représentée sous forme d’un arc de cercle courbé vers la droite, placé en haut à droite de l’akshara (c’est-à-dire le groupe de consonnes qui suit et qui peut lui-même former une ligature ou être accompagné d'une voyelle dépendante) à laquelle elle appartient[41].
Exemples avec र 1re partie 2e partie Combinaison प र प्र ग र ग्र ट र ट्र र त र्त र चा र्चा र र र्र Cas particuliers
Il existe enfin des combinaisons particulières pour lesquelles les formes initiales sont très modifiées voire inapparentes[37].
Quelques cas particuliers 1re consonne 2e consonne Combinaison त त त्त त र त्र क त क्त द द द्द द य द्य द म द्म क र क्र ज ञ ज्ञ क ष क्ष L’écriture dévanagari traditionnelle utilise des centaines de ces ligatures spécifiques, toutefois aucune n'est essentielle à la lecture, tant que le signe virama permettant la distinction des consonnes mortes et vives est bien représenté.
Autres symboles et ponctuation
Symbole Appellation Fonction । danda (डण्डा), (khadi[19]) pai[45] (खड़ी पाई) ou purna virama (पूर्ण विराम)[46] marque la fin d’un vers en poésie ou dans un texte religieux, ou bien la fin d'une phrase ॥ double danda marque de fin de paragraphe ou d’une strophe en poésie ॰ symbole d’abréviation placé après un akshara[19] ॐ Om̐ symbole sacré hindou Om̐ प॑ udatta[40] (उदात्त) accentuation pour la prononciation de certains textes en sanskrit प॒ anudatta[40] (अनुदात्त) accentuation pour la prononciation de certains textes en sanskrit Chiffres
Bien qu'étant parfois utilisée avec les chiffres arabes[47], la dévanagari dispose de ses propres symboles pour ceux-ci :
Chiffre dévanagari ० १ २ ३ ४ ५ ६ ७ ८ ९ Chiffre arabe 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Ils sont empruntés à la brahmî.
Variantes
En plus de légères différences esthétiques dans certains cas, la dévanagari connaît des importantes variations dans la représentation des symboles अ, आ, ओ, औ, ण et झ[48].
Variantes des symboles Forme courante Forme alternative Ordre lexicographique
De même que l'alphabet latin suit l'ordre alphabétique, la dévanagari suit un ordre, notamment utilisé dans les dictionnaires. [49]
On a d'abord les voyelles dans l'ordre अ, आ, इ, ई, उ, ऊ, ऋ, ॠ, ऌ, ॡ, ए, ऐ, ओ, औ, puis les signes de nasalisations (anusvara ou candrabindu) suivit de visarga, et enfin les consonnes dans l'ordre क, ख, ग, घ, ङ, च, छ, ज, झ, ञ, ट, ठ, ड, ढ, ण, त, थ, द, ध, न, प, फ, ब, भ, म, य, र, ल, व, श, ष, स, ह[34],[50]. Une consonne marquée d'un nuqta suit immédiatement la consonne non marquée[51].
Références
Notes
- ↑ (en) Chronologie sur le site de l'Université du Colorado
- ↑ Consortium Unicode, « Codes pour la représentation des noms d’écritures », 1 mai 2004. Consulté le 12 octobre 2007
- ↑ Le genre masculin est considéré une forme vieillie.
- ↑ a , b , c et d Coulmas 2003, p. 136
- ↑ Sauf indication contraire, lorsqu'une transcription sera utilisée pour rendre compte des lettres de la dévanagari avec les lettres de l'alphabet latin, on utilisera la transcription IAST
- ↑ Coulmas 2003, p. 150
- ↑ Cette écriture est toutefois longtemps restée en usage pour noter le kashmîrî.
- ↑ (en) Office of the Registrar General, India, « Census of India », 1991. Consulté le 12 octobre 2007
- ↑ Constitution indienne, citée dans (en) Gouvernement indien, « The Union: Official Language ». Consulté le 12 octobre 2007.
- ↑ (en) Birendra Bir Bikram Shah Deva, « Constitution népalaise », p. 1. Consulté le 12 octobre 2007
- ↑ deva dans Huet 2007
- ↑ nāgara dans Huet 2007
- ↑ a et b Montaut et Joshi 1999, p. 19
- ↑ Snell 2003, p. 5
- ↑ Ce n'est cependant pas la seule écriture indienne à avoir cette caractéristique.
- ↑ Montaut et Joshi 1999, p. 27
- ↑ Coulmas 2003, p. 140
- ↑ Montaut et Bakaya 1994, p. XXVIII
- ↑ a , b et c Snell 2003, p. 16
- ↑ akṣara dans Huet 2007
- ↑ a et b Coulmas 2003, p. 134
- ↑ Version corrigée de celle disponible dans Coulmas 2003, p. 243.
- ↑ Coulmas 2003, p. 131
- ↑ Bahri 2004, p. (xi)
- ↑ a , b et c Montaut et Joshi 1999, p. 22
- ↑ Federica Boschetti, Dictionaire Français Hindi, Editions du Makar, 1994 (ISBN 2-9506068-2-2), p. 4
- ↑ a et b Montaut et Joshi 1999, p. 25
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- ↑ Montaut et Joshi 1999, p. 24-25
- ↑ a et b Montaut et Bakaya 1994, p. XXXI
- ↑ દવે et al. 2006, p. 61
- ↑ Montaut et Bakaya 1994, p. XXXVII
- ↑ Coulmas 2003, p. 138
- ↑ a et b Montaut et Joshi 1999, p. 19-21
- ↑ Montaut et Joshi 1999, p. 21-22
- ↑ (en) K. Machida, « Classification of Conjunct Glyphs of Devanagari Script », 2006. Consulté le 12 octobre 2007
- ↑ a , b et c Bahri 2004, p. (xvi)
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- ↑ a , b et c (en) Consortium Unicode, « Caractères unicode pour la dévanagari », 2006, p. 3. Consulté le 12 octobre 2007
- ↑ a , b et c Montaut et Joshi 1999, p. 23
- ↑ a et b Montaut et Joshi 1999, p. 23-24
- ↑ Bahri 2004, p. (xv)
- ↑ Montaut et Bakaya 1994, p. XXXVI
- ↑ Bahri 2004, p. 385
- ↑ (hi) પ્રો. શ્રી રામચંદ્ર શર્મા, परफेक्ट हिन्दी-गुजराती टीचर, ગૌરવ, p. ૩૪
- ↑ Snell 2003, p. 17
- ↑ Bahri 2004, p. (xiii)
- ↑ Snell 2003, p. 18
- ↑ Constaté dans Huet 2007 pour ॠ et ऌ
- ↑ Snell 2003, p. 8
Bibliographie
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- (en) Florian Coulmas, Writing Systems, Cambridge University Press, 2003 (ISBN 0-521-78737-8), « Vowel incorporation - Devanagari »
- Gérard Huet, Héritage du Sanskrit Dictionnaire sanskrit-français, 20 mai 2007
- Annie Montaut et Akshay Bakaya, Le hindi sans peine, Assimil, 1994 (ISBN 2-7005-0172-1), « L'écriture et les sons du hindi »
- Annie Montaut et Sarasvati Joshi, Parlons hindi, L'Harmattan, 1999 (ISBN 2-7384-8135-3), « Les sons et les lettres »
- (en) Rupert Snell, Teach yourself Hindi, Teach yourself, 2003 (ISBN 0-340-86687-X), « The Hindi script and sound system »
- (gu) સુરેશચંદ્ર જ. દવે, મનસુખ કે. મોલિયા, મોહિની આચાર્ય et મહારુદ્ર કે. શર્મા, સંસ્કૃત - ધોરણ 10, ગુજરાત રાજ્ય શાળા પાઠ્યપુસ્તક મંડળ, 2006.
Manuel d'apprentissage du sanskrit.
Voir aussi
Articles connexes
- Transcription de la dévanagari
- Transcription des langues indiennes
- Écritures indiennes et informatique
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