Veauville-lès-quelles

Veauville-lès-quelles

Veauville-lès-Quelles

Veauville-lès-Quelles
Carte de localisation de Veauville-lès-Quelles
Pays France France
Région Haute-Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Arrondissement du Havre
Canton Canton d'Ourville-en-Caux
Code Insee 76730
Code postal 76560
Maire
Mandat en cours
Gérard Colin
Intercommunalité
Latitude
Longitude
49° 44′ 24″ Nord
       0° 42′ 24″ Est
/ 49.74, 0.706666666667
Altitude 75 m (mini) – 145 m (maxi)
Superficie 3,21 km²
Population sans
doubles comptes
102 hab.
(1999)
Densité 31 hab./km²

Veauville-lès-Quelles est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime et la région Haute-Normandie.

Sommaire

Géographie

Commune du pays de Caux Veauville-lès-Quelles est au dernier recensement une commune de 103 habitants (580 en 1851) sur 321 ha à 125 mètres d’altitude, à 49°44’40 de Latitude Nord et 0°42’34 de Longitude Est, en Caux Maritime.

Le Pays de Caux est un vaste plateau du crétacé supérieur recouvert uniformément d’argiles à silex et de limons fertiles, associant culture intensive et élevage bovin.

Le Pays de Caux s’achève sur la mer par de hautes falaises crayeuses échancrées par les « brèches » (estuaires des fleuves côtiers) ou les « valleuses » (vallées sèches suspendues). Ces murailles naturelles, dont la hauteur avoisine parfois une centaine de mètres, continuent de fasciner les scientifiques. Ces falaises sont un grand livre ouvert sur les quatre-vingts millions d’années qui les ont façonnées.

Car la Côte d'Albâtre, qui doit son nom à la couleur blanche de ses falaises, est née sous la mer, bien avant l’apparition des dinosaures, d’une accumulation d’algues calcaires microscopiques appelées cocolithes. Mêlés à des couches de silex, ces cocolithes forment les strates de nos falaises, aujourd’hui sculptées par l’érosion.

Le littoral possède des plantes spécifiques, souvent mal connues du grand public, mais qui se sont répandues à travers le monde au fil des siècles. L’ancêtre du chou-fleur et du chou de Bruxelles, le Brassica oleracea, est par exemple une espèce qui colonise les substrats crayeux du littoral cauchois. De même, toutes les variétés de betteraves dérivent de la betterave maritime qui pousse au pied des falaises ; la carotte, le céleri et l’oseille trouvent, eux aussi, leurs origines sur nos côtes. Située sur un axe de migration, la Côte d’Albâtre accueille également de nombreuses espèces d’oiseaux attirés par les cavités des falaises, propices à la nidification.

Le département présente des paysages très variés, reflets de la diversité géographique. La « masure » est un élément essentiel du paysage cauchois : sorte de cour ouverte, de plan rectangulaire, la masure entoure la ferme et les bâtiments d’exploitation agricole ; complétée de pommiers, bordée de « fossés » (talus) et d’une double rangée d’arbres (des hêtres en général) qui donne l’apparence d’un pays semi-bocager.

Toponymie

« WIAUVILLES QUE DICITUR LA WILLAME D’ESCALES » est cité en 1235.

« VEAUVILLE D'ESCALES » en 1337 (Guillaume d'Escales, seigneur du lieu)

VEAUVILLE : « LE DOMAINE DE WIFEL » du latin villa, domaine rural, précédé du nom de la personne anglo-saxonne ou scandinave.

LESQUELLES : « ESCALES » surnom provenant des serrages faits en forme d’échelle posés dans les champs pour en règlementer l’accès.

VEAUVILLE est appelé VIAUVILLE dans Eudes Rigaud, et surnommé communément les QUELLES ou les ECHELLES. Le nom d’Echelles ou Equelles que l’on trouve si souvent au Moyen Âge, et qui vit encore dans Écales-Alix, Écales-sur-Villers, Touffre-Écalle, Foucard-Écales, etc., vient des barrières que l’on mettait autrefois dans les champs pour empêcher les bestiaux et les voitures de passer. Ce nom d’Escales rappelle l’ancienne famille d’Escales qui précéda les La Rive, connus au XIIe et XIIIe siècles, et qui ont fourni des maires à la ville de Rouen.

Histoire

Le village c’est la réunion morale de fermes et de hameaux isolés. Là, les fermes ou métairies se composent uniformément d’une enceinte carrée, garnie de fossés ou plutôt de retranchements plantés d’un double rang d’arbres de haute-futaie. Dans cet enclos fortifié, s’élèvent, sur différents points, d’abord l’habitation du fermier et de ses gens, la maison du maître « villa urbana », puis les bergeries, les étables et les écuries, la demeure des animaux, « villa rustica » enfin sur d’autres points le four, les granges et la charretterie, « villa agraria » ou « fructuosa ». En un mot c’est le système des Romains qui couvrit ce pays de « villas », dont nous retrouvons partout les ruines.

C’est ce genre de construction, dont l’existence se perpétua dans ce pays aux périodes mérovingienne et carolingienne, qui fut cause qu’à l’époque normande ou capétienne, le plus grand nombre de nos villages prit le nom de « villes » terminaison si répandue chez nous, qu’il n’y a pas en France une seule province qui en possède autant que le pays de Caux. À coup sûr ce n’est pas qu’ici le nom de « ville » ou « villa » soit romain ; pas le moins du monde ; il est roman. Il appartient à la basse latinité du Xe et du XIe siècle, et il s'est allié à un nom d’homme de ces temps-là.

Dans chaque village, la maison de tisserand s’adapte aux besoins du métier : luminosité et salle de travail (« chambre à cacher »). Jusqu’au début du XIXe siècle, le tissage se pratique à domicile.
Les tisserands fabriquaient des tissus à partir des cultures du plateau et de l’élevage de la vallée.
Le Lin cultivé était roui puis écouché ou teillé au moulin flamand . Le métier, souvent installé au fond de la grande pièce de la chaumière, du côté nord, était éclairé par des « verrines », petites vitres encastrées entre les colombes et scellées avec du torchis. De l’aube aux dernières lueurs du jour, les tisserands manœuvraient les navettes, assis sur une planche de bois posée sur les montants du métier. Ces métiers à tisser rustiques étaient très souvent fabriqués par les menuisiers locaux. Peu à peu ces tisserands ont émigré vers les vallées industrialisées ; les filatures et usines de tissage ont remplacé les métiers qui ont disparu définitivement vers 1935.

Les produits finis étaient portés chez des collecteurs à Anvéville, Envronville, Beuzeville… qui livraient les tissus dans les grandes villes voisines voire les pays frontaliers tels que l’Allemagne. En retour les négociants passaient les commandes suivantes et fournissaient les écheveaux de fils nécessaires car les usines avaient déjà remplacé les fileuses à domicile.

Les navettes utilisées dans les chaumières étaient souvent en buis, les œillets et autres pièces métalliques en fer. Lorsque les navettes étaient endommagées, les tisserands les faisaient réparer. On y greffait des petites pièces du même bois pour les rendre à nouveau utilisables.

On tissait des siamoiseries ou siamoises, tissus dont la trame était en coton et la chaîne en lin, des mouchoirs, des draps pour les lits, des burnous...

VEAUVILLE LESQUELLES est au cœur d’une des premières régions d’élevage et de culture de France depuis le XIXe siècle. Les célèbres vaches laitières côtoient les champs de blé, de betteraves à sucre et de lin, une spécialité locale. C’est pourquoi entre 1910 et 1950 les nombreux moulins de la vallée de la Durdent s’étaient reconvertis dans le teillage du lin ; de vieux fours abandonnés aujourd’hui, étaient utilisés pour rouir artificiellement le lin, c’est-à-dire isoler les fibres textiles du reste de la plante.

La vallée de la Durdent était au XIXe siècle très active, commerciale et industrielle puisque en 1870, il fut demandé la construction d’une ligne de chemin de fer Yvetot-Cany suivant la vallée. C’est un autre tracé entre Beuzeville-la-Grenier et Fécamp qui fut retenu par l’administration des chemins de fer. Les « usiniers » de la vallée furent obligés de porter leurs produits ou retirer les marchandises à la gare dite de Grainville-la-Teinturière ou celle de Cany.

La région permet de magnifiques randonnées et offre de superbes panoramas : falaises blanches percées de grottes, coteaux verdoyants, roches aux formes étranges et aux forêts profondes composant un paysage particulièrement majestueux où errent chevreuils, sangliers, écureuils. Le Pays de Caux était, à l’époque gauloise, peuplée par diverses tribus, les Calètes, qui, en 56 avant J-C, opposèrent une faible résistance aux troupes romaines de Sabinus, lieutenant de César. Intégrée à la deuxième Lyonnaise avec Rouen pour capitale, la région profita de la « pax romana ».

Héricourt était la première fontaine baptismale des Calètes. Fréquemment envahie par les barbares, la région était le lieu de pratiques superstitieuses, de traditions païennes, de croyances druidiques et scandinaves. Les sorciers, les fées, les loups-garous, les gobelins et le cheval Bayard ont longtemps eu ici créance et les vieillards racontent que l’ancienne rivière de Saint-Valéry, sortie des coteaux de Néville, fut bouchée avec des balles de laine, parce qu’elle était l’objet d’un culte idolâtrique. Le christianisme se développa dès le IVe siècle, grâce à saint Victrice, compagnon de saint Martin.

Sous les Mérovingiens, le pays fut incorporé à la Neustrie.

Au IXe siècle, il fut ravagé par les envahisseurs normands, ces hommes du nord qui s’appelaient eux-mêmes les Vikings. Après avoir marché sur Paris, leur chef Rollon reçut en 911 par le traité de Saint-Clair-sur-Epte le diocèse de Rouen, Évreux et Lisieux du Roi de France, constitutif du Duché de Normandie.

En 1066, avec l’aide de barons normands, le Duc de Normandie Guillaume partit conquérir l’Angleterre. Dès lors, l’affrontement entre le roi de France et le roi d’Angleterre, Duc de Normandie, devint inévitable et, en 1204, Philippe Auguste profita de la division entre les fils d’Henri II Plantagenêt pour reprendre la Normandie et l’annexer à la couronne.

Le 19 mars 1315, Louis le Hutin promulga une « charte aux Normands », symbole de l’unité de la Normandie, que les cahiers de doléances invoquaient encore en 1789. Thomas de Rippia, ou Ripa, seigneur de VEAUVILLE-L’ESCHELLE et de HERVILLE, possédait la première portion de la cure. La seconde appartenait à Lucas La Mallet, seigneur d’AUFFAY. En 1250, Guillaume de Houdetot, marié à Mlle de Ripa, devint le seigneur de HERVILLE et de VEAUVILLE-L’ESCHELLE.

En 1381, Richard de Houdetot, chevalier chambellan du roy, bailli de ROUEN, remit la possession de ces trois seigneureries (VEAUVILLE-L’ESCHELLE, AUFFAY et HERVILLE). Le demi-fief d’OHERVILLE était un démembrement du fief de VEAUVILLE-LES-QUELLES dont il continua à relever jusqu’au XVIe siècle, époque où l’aveu en fut rendu au roi. Tout au long de la guerre de Cent ans, la région fut le théâtre de luttes entre Français et Anglais, et Rouen — où fut brûlée Jeanne d'Arc — fut occupé par les Anglais de 1419 à 1449. Les guerres de religion eurent des répercussions dramatiques dans une région ou la Réforme était solidement implantée (notamment la région de Luneray) ; l’Édit de Nantes, en 1598, ramena la paix et la prospérité économique.

L’église Notre-Dame a été reconstruite à VEAUVILLE LESQUELLES au XIXe siècle parmi des maisons de brique, silex et colombages avec de grandes toitures pentues témoignage d’une couverture passée en chaume.

Les châteaux et manoirs abondent dans la région et VEAUVILLE LESQUELLES s’enorgueillit du château de Mathonville. Le bienheureux Thierry de Mathonville, moine de Jumièges, premier abbé de Saint-Evroult, était né au château dont il porte le nom.

On dit que ce généreux CLERCY DE MATHONVILLE a dépensé près de 100.000 francs de l’époque à l’embellissement de l’église. Le clocher est précédé d’un fronton grec, en pierre blanche, supporté par quatre colonnes de granit, d’une jolie forme. Deux niches renferment saint Pierre et saint Paul, les gardiens de l’église. Le chœur et la nef forment la croix, dont les bras montrent les chapelles de la Sainte-Vierge et des Saints-Anges. Le principal ornement de cette église est le maître-autel, du plus beau marbre noir et blanc que l’on puisse trouver. Le tabernacle, aussi de marbre, fermé avec une porte de cuivre, sert de piédestal à une grande statue en marbre de Notre-Dame, patronne de la paroisse. À droite et à gauche sont deux anges d’albâtre. Le sanctuaire est d’une belle et noble simplicité. Le chœur est fraîchement orné, marbré dans ses murs comme dans ses lambris ; le pavage est un échiquier noir et blanc. Le porte-christ est une guirlande finement sculptée sur bois, dans le goût des porte-christs du XVIIIe siècle. Le baptistère est en marbre ; dans la nef est un tableau du CRUCIFIEMENT, de l’école de Jouvenet. Dans le cimetière, près du chœur, est la tombe commune de MM. J.-P. et A.-L. de CLERCY, chevaliers de Saint-Louis et lieutenants-colonels, tous deux morts octogénaires, l’un en 1834, l’autre en 1842. Ce dernier étant le bienfaiteur de l’église.

Monsieur de CLERCY DE MATHONVILLE avait voulu que tout fût bienfait autour de lui. Il avait réuni, dans le même endroit, le cimetière, l’église, la croix, le presbytère, la mairie et les écoles.

Cette nouvelle église remplaçait une plus ancienne qui devait dater du XIIIe siècle, mais sans certitude absolue. Le clocher, entre le chœur et la nef, ressemblait à celui de Hautot-Saint-Sulpice. Il a été déplacé deux fois depuis 1780. D’abord il fut mis au côté de l’église, sur la chapelle seigneuriale de Monsieur de CLERCY. Une inscription conserva quelque temps la mémoire de cette translation. Puis il a été mis au portail dans le remaniement général de l’église. Toujours, le seigneur a été maître de l’église à VEAUVILLE-LESQUELLES.

Au XIIIe siècle, les héritiers d’un sire « de la Rivière », étaient patrons-présentateurs de la cure. Une des filles de ce gentilhomme ayant épousé le seigneur de Hotot, porta le bénéfice dans cette maison. Aussi le sire de Hotot y présentait-il au droit de son épouse, lorsque RIGAUD rédigea son pouillé. Le bénéfice comptait alors 40 paroissiens et valait 40 livres au curé REMY. En 1738, il y avait 50 feux.

Cette église possède aux archives historiques de notre département une liasse contenant des contrats, des titres de biens et de rentes, des baux et des parchemins du XVIIe et du XVIIIe siècle.

En 1820, le hameau d’Attemesnil, actuellement sur le territoire de CARVILLE POT DE FER fut rattaché provisoirement à VEAUVILLE. La population passa à 600 habitants. L’église fut agrandie et transformée : les travaux commencèrent en 1836 sous la gestion de l’abbé SAINT YVES. En 1856, une nouvelle cloche fut acquise. Elle pèse 850 kilos et fut baptisée Marie-Eugénie. En 1883, le presbytère endommagé fut reconstruit la même année. En 1996, la restauration de l’église commença par des travaux de remise en état de toiture.

C’est donc au château de MATHONVILLE, selon toute vraisemblance, que naquit le bienheureux Thierry, premier abbé de Saint-Evrould. Moine de Jumièges dès son enfance, il était prieur de ce grand monastère sanctifié par le bienheureux EVROULD et illustré depuis par Orderic Vital. Ce fut un homme saint et savant ; il édifia l’église actuelle au double point de vue spirituel et matériel. S’étant démis de sa charge en 1057, il partit pour Jérusalem et mourut à l’île de Chypre, en 1059, devant l’autel de Saint-Nicolas, en présence des religieux ses frères et Orderic Vital en a fait le plus grand éloge dans son Histoire. C’est lui qui nous apprend qu’il était Normand de naissance et du pays de Caux. « B. Theodoricus de Mathonvillâ, natione Normannus, ex Calogiensi provinciâ oriendus. » (cf. Neustria pia, page 97).

Thierry de Mathonville devait donc être le fils du seigneur du lieu. On ne sait rien d’autre avant qu’apparaisse à Veauville Pierre de Clercy dont le père, Charles, était en 1503 seigneur de Bornanbusc, près de Goderville, plain-fief de haubert tenu du roi.

Pierre de Clercy eut trois fils, Guillaume, Vivien et Pierre, et c’est du mariage du second avec Louise de Rély que sont issus Charles et Jacques de Clercy.

On suppose que Jacques fut l’auteur d’une partie des constructions du château de Mathonville : une partie basse utilisant largement le grès de la région est bien de cette époque. La partie haute du château, en briques, correspond à une réfection du XIXe siècle. Les douves ont disparu, mais un charmant pavillon servant de remise est particulièrement remarquable comme témoin d’une époque où fleurissait la pierre en bossage mise en valeur par une jolie couleur de la brique.

La vue, du côté de la plaine, porte loin, et deux petits pavillons (il n’en reste qu’un) encadraient cette longue perspective. Le colombier et d’autres petites constructions apportent un charme qui atténue l’impression d’austérité dû au grès. Du belvédère aménagé dans l’amusant clocheton édifié au-dessus de la toiture, on peut apercevoir la mer, à quatre lieues.

Né du mariage de Jacques de Clercy avec Anne Auber de Vertot, Jean de Clercy épousa Suzanne Quesnel et eut plusieurs enfants : François fut seigneur de Vertot et de Mathonville ; Jean-Baptiste, qui lui succéda, épousa en 1718 Catherine Paon de Baudribosc, et ce sont leurs armoiries accolées qui timbrent la porte de la petite église de Baudribosc. De leurs trois fils, deux moururent des blessures reçues à la bataille de Minden, en 1759. Le troisième, Jean-Baptiste-Louis de Clercy, épousa Anne-Françoise de Vaudretz qui lui donna cinq enfants, dont quatre furent chevalier de Saint Louis, comme le rappelle la pyramide élevée à droite de la porte de l’église de Veauville. L’aîné Jean-Baptiste-Philippe, épousa en 1785 Marie-Marthe-Victoire du Puy d’Arnouville et se fixa à Ermenouville dont il devint maire sous la Restauration. Son fils, Charles-Eugène de Clercy, épousa en 1810 Marie-Aimée-Claire de Caumont, née au château de Derchigny que sa mère Marie-Charlotte de Clieu (petite fille de Gabriel, gouverneur de la Guadeloupe) avait apporté au comte de Caumont. De leurs sept enfants, seuls deux eurent postérité : Mme de Malartic, grand-mère du comte de Montalembert, ancien vice-président du Sénat dont il fut longtemps le doyen, et Henri-Charles de Clercy dont la fille fut Mme de Beaunay.

Recherches historiques effectuées par Alain Gardeur avec la bibliographie et extraits suivants :

  • Les Églises de l’arrondissement d’Yvetot par M. l’Abbé Cochet.
  • Gentilshommes et gentilhommières en Pays de Caux par Pierre Jamme et Jean-François Dupont-Danican.
  • Seine Maritime par Michel de la Torre.
  • Seine Maritime, Gallimard.
  • Guide Bleu Hachette.
  • Le Guide du Pays de Caux par Pierre Auger et Gérard Granier.
  • Entre ciel et eau... Héricourt en Caux par l’association Archives et vieilles pierres d'Héricourt-en-Caux.
  • Le Livre de la Vache par Alain Raveneau.
  • Le Patrimoine des communes de la Seine Maritime, Flohic Éditions
  • Pays de Normandie.
  • Documentations du Syndicat d’initiative.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 Gérard Colin
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
1962 1968 1975 1982 1990 1999
130 148 99 98 86 102
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Liens externes

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