Tai-chi-chuan

Tai-chi-chuan
Tai-chi-chuan Taekwondo pictogram.svg
Yang Chengfu dans une posture du tai-chi style Yang, vers 1931.
Yang Chengfu dans une posture du tai-chi style Yang, vers 1931.
Autres noms Tai-chi, taï-chi, t'ai-chi-ch'uan, taiji quan
Forme de combat Formes, light-contact (poussée de main, sans coups), full contact (frappe, coups pieds, etc.)
Pays d’origine Chine
Dérive de Tao yin
Pratiquants célèbres Chen Changxing, Yang Luchan, Yang Chengfu, Sun Lutang
Sport olympique en démonstration (wushu)
Taijitu 太極圖

Le taï-chi-chuan ou tai chi ou taiji quan[1] (chinois traditionnel: 太極拳 ; simplifié 太极拳 ; pinyin: tàijí quán ; Wade-Giles: t'ai⁴ chi² ch'üan²) est un art martial chinois, dit « interne » (neijia), d'inspiration taoïste. Souvent réduit en Occident[réf. nécessaire] à une sorte de gymnastique, il est apprécié des personnes âgées pour son effet bénéfique sur le corps et la santé.

  • les mouvements ont à la fois une connotation martiale (esquives, parades, frappes, saisies…) et énergétique ;
  • ils ont été créés et développés par des moines médecins ou guerriers taoïstes ;
  • le tai-chi-chuan se pratique à mains nues mais est associé à des arts utilisant des armes (éventail, épée, bâton…).

Les sinogrammes du Tai-chi-chuan sont composés des éléments tàijí 太極, « faîte suprême », et quán 拳, « poing, boxe » et traduits littéralement par « boxe du faîte suprême », ou « boxe avec l'ombre », car l'observateur a l'impression que le pratiquant se bat avec une ombre. Une autre traduction courante est « la boxe de l'éternelle jeunesse », le faîte suprême pouvant être traduit moins littéralement par « immortalité » (le but suprême de l'alchimie taoïste).

Sommaire

Histoire

Démonstration de Tai-chi-chuan

Les premiers philosophes taoïstes comme Lao Zi (vers 500 av. J.-C.) pratiquaient une série d'activités physiques très proches du tai-chi-chuan, sous la dénomination wu-wei-wu, "agir-sans-agir". On peut lire au chapitre 69 du Tao-te-king: "On dit justement qu'il marche sans voyager, qu'il résiste sans (se servir de) bras, qu'il projette un adversaire absent, qu'il tient sans soldats." C'est ce mélange de philosophie et de techniques physiques, qui rendent ces premiers textes taoïstes si étranges aux Occidentaux.

Il existe plusieurs hypothèses sur l'origine du tai-chi-chuan en tant que tel :

Le mythe de Zhang Sanfeng

La tradition attribue l'invention du tai-chi-chuan au taoïste semi-légendaire Zhang Sanfeng, vers le début de la dynastie Ming (XIIIe-XIVe siècle). Il est écrit dans le Livre complet sur les exercices du tai-chi-chuan écrit par Yang Chengfu (1883-1936), que Zhang Sanfeng créa le tai-chi-chuan vers la fin de la Dynastie Song (960-1279) et le transmit à Wang Zongyue, Chen Zhoutong, Zhang Songxi et Jiang Fa. Encore plus tôt, Li Yishe (1832-1891) écrivit dans sa Brève introduction sur le tai-chi-chuan : « Le tai-chi-chuan fut fondé par Zhang Sanfeng des Song. » Zhang créa l'école intérieure (nèijiā 内家)par un syncrétisme néo-confucianiste des arts martiaux du bouddhisme Chan du monastère Shaolin et de sa maîtrise du daoyin (neigong 内功) taoïste. Il s'installa dans le temple de Wudang shan, province de Hubei, pour enseigner sa discipline.

À partir des années 1930, Tang Hao, pionnier des recherches historiques sur les arts martiaux, a soutenu l'absence de fondements historiques de la création du Tai-chi-chuan par Zhang Sanfeng. Ses conclusions furent reprises à la même époque par Xu Jedon, et sont encore validées de nos jours par les recherches historiques contemporaines.

L'hypothèse de Wang Zongyue

Wang Zongyue qui aurait vécu sous la dynastie Qing (1644-1911) occupe une place importante dans l'histoire du tai-chi-chuan et son rôle a été reconnu par les maîtres des différentes époques. Son livre À propos du tai-chi-chuan a beaucoup contribué à la propagation du nom de cette boxe.

Selon le Manuel de Taijiquan (太極拳譜) de Shen Shou (沈壽), publié en 1991 par l'Association chinoise de wushu, le créateur du tai-chi-chuan serait Wang Zongyue[2]. Celui-ci aurait pour la première fois exposé la théorie et les techniques du tai-chi-chuan de manière systématique. Il est consigné dans des documents que Wang Zongyue transmit le tai-chi-chuan à Jiang Fa et ce dernier le transmit à Chen Changxing, habitant du village de Chenjiagou.

L'hypothèse du village de Chenjiagou

L'appellation de cette boxe sous le vocable de « taiji quan » (boxe du faîte suprême) apparaît avec Chen Wangting vers la fin de la Dynastie Ming (1368-1644). Leurs représentants sont Tang Hao et Gu Liuxin, chercheurs de l'histoire du Wushu. M. Tang a tiré cette conclusion à la suite des investigations qu'il a menées au village de Chenjiagou, district de Wenxian, province du Henan, et en se référant aux Annales du district et au Registre généalogique de la famille Chen. Selon ce registre, Chen Wangting était « Maître de boxe de style Chen et fondateur du jeu de l'épée et de la lance ». Les différentes écoles contemporaines de tai-chi-chuan (Yang, Wu, Sun) sont originaires ou héritières de la boxe de style Chen bien que les principes de cette boxe soient bien antérieurs (ceci pour dire que cette boxe existait avant qu'elle prenne le nom de taï-chi-chuan).

Un autre registre aurait été découvert très récemment, qui démontrerait que le lieu originel du taichi ne serait pas le village de Chenjiagou, mais plutôt Tang Cun (Henan), village de la famille Li[2]

Styles

tai-chi-chuan matinal à Shanghai.

Style Chen

Article détaillé : Tai-chi style Chen.

Le style Chen (陳) de Chen Changxing (1771-1853) s’est diversifié en de nombreux autres styles : On peut noter le rôle important de Chen Fake (1887-1957 - représentant officiel du style familial à la 17e génération) qui encourage ses élèves à faire progresser et enrichir le style par l'apport d'autres styles (Tang lang quan, Hsing hi, Tongbeiquan, Bagua, etc.)

À partir du style Chen plusieurs styles se sont créés

Style Yang

Article détaillé : Tai-chi style Yang.

Le style Yang (楊) est actuellement le plus populaire. Il a été créé par Yang Luchan (1799-1872) qui apprit le taiji Chen à Chenjiagou avec Chen Changxing
Selon la légende, il modifia le style pour le rendre plus accessible au plus grand nombre [réf. nécessaire]. Il enseigna son style dans la ville de Yongnian, province du Hebei et le transmit à ses fils :

Ce fut Yang Cheng Fu qui diffusa le style et institua la pratique lente et sans force du style Yang. Ainsi, dans la forme Yang de Yang Chengfu, les fajing (jaillissement de la force élaborée, jing, qu’on oppose à la force musculaire brute, li) furent supprimés ainsi que les sauts, les prises d’appui violentes et les mouvements difficiles furent simplifiés ou remplacés. Le style de Yang Luchan subit de nombreuses modifications et emprunts à d'autres styles au fil des générations d'enseignants.

Les écoles issues du taiji Yang et qui ont modifié le style sont très nombreuses.

Autres styles

  • Tai-chi de la frappe des cinq étoiles ..... qui conserve du style Chen, cinq manières de sortir la force.
  • Xingyi quan (形意拳) synthèse entre le Tai-Chi Yang et le Tongbeiquan (style du singe au long bras)
  • Taiji Li (ou Lee) (Taiji Ying-Yang) ............. de Li Ho Hsieh et Li Kam Chan
  • Dongyue développé par Men Hui Feng pour les célébrations chinoises de l'an 2000
  • Tai-chi Wudang Zhao Bao

Formes associées avec d’autres styles internes :

  • Bagua zhang (Tai-chi du cercle ou des huit transformations)
  • Tai-chi de la secte Chan
  • Tai-chi de Shaolin
  • Tai-chi Wudang shan qui se décline en : tai-chi du Singe craintif et du Dragon,
  • Tai-chi qi gong à finalités médicinales
  • Tai-chi Mulan, création très récente (1990) inspirée du nom d'une princesse chinoise Hua Mulan et du dessin animé Mulan relatant son histoire, il se caractérise surtout par un travail à l'éventail. [réf. nécessaire]

Les Tai-chi associés avec des styles « externes » :

Art martial

Simple fouet par Yang Cheng-fu

Le tai-chi-chuan en tant qu'art martial interne insiste sur le développement d'une force souple et dynamique appelée jing, par opposition à la force physique pure.

Une des règles du tai-chi-chuan est le relâchement (song, song kai) qui permet la fluidité des mouvements et leurs coordinations : un mouvement du poing prend naissance à la taille, se prolonge par l'épaule, puis par le bras. Les muscles sont utilisés d'une façon coordonnée et la force pénétrante provient d'une contraction rapide lors de l'impact.

Une fois la relaxation song installée, le pratiquant va développer le peng jing ou force interne consistant à relier chaque partie du corps en restant relaxé : une partie bouge, tout le corps bouge; une partie s'arrête, tout le corps s'arrête. Le peng jing est la force caractéristique du tai-chi ; on peut lui trouver une analogie avec une boule élastique : frappez la boule et votre coup sera retourné vers vous. Plus simplement, le tai chi contrôle les mouvements en exerçant des forces tangentielles ou de rotation.

Lors des coups frappés, l'énergie est tout d'abord concentrée dans le dantian, qui est un des points d'énergie (plus connus sous le nom de « chakras »), situé deux pouces en dessous du nombril (équivalent au second chakra) et un en profondeur, puis est libérée, accompagnée d'une onde de choc propagée par l'ondulation des articulations du pratiquant, tel un fouet. On appelle cela exploser la force ou fajing.

Le tai-chi porte une attention particulière à l'enracinement. L'énergie doit aussi partir des « racines » dans les pieds, puisque c'est généralement eux qui dans la majorité des cas vont lancer le coup que donnera la main, ou toute autre partie frappante.

On dit parfois, « le pied donne le coup, la hanche dirige, et la main transmet ». L'énergie provient des pieds, puis elle est dirigée par la taille avant d'être émise par les mains.

Le Taï chi chuan est un Qi Gong. Il implique un travail sur l'énergie interne et non sur la force externe musculaire.

C'est pourquoi l'entraînement du tai chi ch'uan est tout d'abord exécuté lentement pour sentir les mouvements de l'énergie vitale (Qi) en vue d'exercices d'alchimie interne plus approfondis. Le centre de gravité et la respiration doivent être abaissés au niveau de l'abdomen (dantien).

Le pratiquant pourra commencer à accélérer les gestes, et pratiquera les fajing - libération de l'énergie - d'abord réduits afin d'éviter d'abîmer ses articulations, puis de plus en plus complets.

Les exercices de poussées de mains permettent d'appliquer les principes du tai-chi avec un partenaire et ceci de manière progressive : rester relaxé (song) sur une poussée, par exemple pour démarrer.

Les applications peuvent être exécutées de différentes manières :

  • des coups frappés aussi bien avec les pieds ou les genoux que les mains ou les coudes. Même si l'usage des pieds s'avère difficile à mettre en pratique pour le corps à corps.
  • les chin-na qui sont en fait des clefs que l'on retrouve en aikido ou en ju jitsu.
  • des pressions sur les cavités pour provoquer des blocages respiratoires ou sanguins.
  • des pressions sur les points d'acupuncture qui peuvent léser l'énergie vitale et entraîner des troubles de l'organisme (état mental, destruction des organes internes, K.O., voire la mort). Il s'agit du plus haut degré de maîtrise.

Le tai-chi-chuan se pratique généralement à mains nues, mais il existe des formes de tai-chi avec éventail, poignard, épée, bâton, sabre, que le pratiquant pourra apprendre après quelques années d'expérience.

La pratique

Séance d'entraînement

En dehors de l'apprentissage des mouvements, postures et respirations, la pratique du taichi chuan se déroule en plusieurs phases. La séance débute par des exercices d'assouplissement et de relâchement des muscles et des articulations, destinés à favoriser la circulation du qi et appelés daoyin fa (導引法) ; littéralement technique (fa) pour nourrir (yin) la voie (dao). Suivent des exercices nommés yiyin fa (一引法), qui consistent en des mouvements visant à développer la sensation de coordination entre les jambes, le bassin, la colonne vertébrale et les bras qui donnent au taichi chuan son efficacité martiale. C'est à cet instant qu'on apprend à engendrer une force explosive à partir du bassin, une relation entre l'enracinement des pieds et le mouvement des bras, une force propulsive par l'ondulation du dos, etc.

Vient ensuite une petite séance de qi gong statique, avant de commencer l'enchaînement ou taolu (套路), encore nommé gong jia (功家) ; perfectionnement du style. Cet enchaînement se pratique à trois reprises ; une fois à vitesse normale pour corriger les mouvements, une seconde fois un peu plus rapidement pour habituer le corps à l'unité dynamique du début à la fin, et une troisième fois lentement, comme une phase méditative, pour travailler la circulation du qi. Selon les écoles et le niveau, l'enchaînement comprend entre 24 et 109 mouvements.

Au terme des enchaînements, viennent les exercices à deux. La première forme, tuishou (推手), consiste à apprendre à sentir la force et le mouvement d'autrui en poussant puis absorbant avec les mains. Quand la sensation se développe on commence à projeter le partenaire avec sa propre force, comme en aïkido. La seconde forme, sanshou (散手), est une forme de combat libre qui met en application les mouvements du taichi chuan. Dans les deux cas la pratique doit solliciter la souplesse et la détente, en gardant toutefois une certaine vigueur, et le travail de la respiration.

La séance se termine par un daoyin fa, pour détendre le corps et les articulations — parfois un peu de qi gong pour continuer la stimulation du qi engendrée par la pratique — , puis une phase de méditation sous différentes formes. L'école Yang pratique celle de l'arbre, une méditation debout qui développe l'enracinement.

Ba duanjin

Les ba duanjin (八段錦), huit pièces de brocart, sont une série d'exercices de qigong préparant le corps à la pratique du tai-chi-chuan. Le but est d'ouvrir les trois portes (sanguān 三关), c’est-à-dire dénouer les épaules, la taille et les hanches afin de faciliter la circulation du qi. Popularisés par le général Yue Fei au XIIe siècle pour entretenir ses troupes, ils évoquent le brocart, longue étoffe de soie brodée portée par les nobles, et symbole de bonne santé. Ils enchaînent huit mouvements aux noms évocateurs : soutenir le ciel par les mains, bander l'arc et viser l'aigle, séparer le ciel et la terre, la chouette regarde vers l'arrière, l'ours se balance, toucher les pieds des deux mains, serrer les poings, ébranler la colonne de jade. Les premières traces écrites de ces exercices peuvent se retrouver dans des textes de l'époque Song, le Dao Shu (道枢) et le Yijian Zhi (夷堅志)[3].


Compétition de Tui Shou

Grand enchaînement

Le Grand enchaînement ou « forme longue » se compose de 80 à 108 mouvements (selon la façon de les décompter des différentes écoles) qui simulent un combat contre un adversaire imaginaire. Il s'exécute très lentement.

La respiration est abdominale, la tête est droite, dans le prolongement du tronc, comme si elle était maintenue vers le haut par un fil.
La pointe de la langue est collée contre le palais afin de faciliter la circulation de l'énergie intérieure (qi) en soi.

Tui shou

Le tui shou (推手), main poussante, sont des exercices qu'on exécute à deux. Le but est d'apprendre à écouter le partenaire, ce qui permet d'esquiver, dévier et contrôler une force qui est exercée contre soi. Il existe des compétitions internationales de tui shou.

San shou

  • Le san shou (散手), esquiver les mains, est un enchaînement qui se pratique à deux dans un jeu continu d'attaques et de défenses feintes.

Les armes

  • Le bing chi ou Pratique des armes (Taiji Bixing) : la pratique des armes fait partie de la grande tradition du Taiji Quan. Pour chaque arme, on étudie un enchaînement fondamental. Voici une liste d'armes utilisées dans les tai-chi d'armes :
Taiji shan, taiji avec éventail

Intérêt médical

Le tai-chi-chuan a été testé et s'avère efficace sur les symptômes de plusieurs maladies, même si un effet placebo ne peut être exclu du fait de l'absence de comparaison en aveugle. C'est le cas pour la fibromyalgie[4], pour la polyarthrite rhumatoïde[5] et l'ostéo arthrite du genou[6].

Bibliographie

  • Chavanne (Jean-François), Kou (James), Yiou (Eric), Tai chi chuan, livre avec DVD, Marabout, 2005. (ISBN 2-501-04576-6).
  • Crompton (Paul), Le Taïchi facile, traduction Serge Mairet, Budo Éditions. (ISBN 978-2846170635).
  • Despeux (Catherine), Taiji Quan : Art martial - Technique de longue vie, Éditions Guy Trédaniel, 1990. (ISBN 2-85707072-1).
  • Deverge (Michel), Tai Ji Quan d'après l'enseignement du Maître Ang Tee Tong, Au signal-Chiron-SEDIREP, 1988. (ISBN 2-7027-0293-7).
  • Dsu Yao (Chang) & Fassi (Roberto), Taï chi chuan, préface de Henri Plée, Éditions de Vecchi. (ISBN 2-7328-0746-X).
  • Dr Jwing Ming (Yang), Les secrets de l’école Yang de taïchi, traduction Serge Mairet, Budo Éditions.
  • Dr Jwing Ming (Yang), Le secret des anciens maître de taiji, traduction Serge Mairet, Budo Éditions. (ISBN 978-2846170123).
  • Gilman (Michael), Cent Une Réflexions sur le Taiji, traduction Serge Mairet, Budo Éditions. (ISBN 2846170290).
  • Poy-Tardieu, N., Le guide des arts martiaux et sports de combat, Paris : Budo Éditions, 2001.
  • Sapin (Jean-Claude), Tao, Qi et Taï chi chuan - Tradition et pratiques, Paris : Éditions Ellébore, 2007. (ISBN 978-2-86898-599-6)
  • Wang Xian & Caudine (Alain), À la source du taiji quan - Transmission de l'école Chen, Éditions Guy Trédaniel, 2005. (ISBN 2-84445-553-0).
  • Waysun Liao, Les trois Classiques du Taijiquan, traduit par Serge Mairet, le Courrier du Livre. (ISBN 978-2702903537).

Notes et références

  1. « Taï-chi-chuan » et « tai chi » appartiennent à la langue française selon Le Grand Robert, et se sont répandus vers les années 1980. D'autres variantes de tai chi, dont la transcription pinyin « taiji quan », sont mentionnées dans le Grand dictionnaire terminologique de l'Office québécois de la langue française.
  2. a et b (en)Stanley E. Henning, dans Journal of Chinese Martial Studies, n°1, 2009, p.77 sur www.martialstudies.com.hk
  3. (en)Ki Che Leung (Angela), Furth (Charlotte), Health and Hygiene in Chinese East Asia: Policies and Publics in the Long Twentieth Century, Duke University Press, 2011. (ISBN 978-0822348269)
  4. Wang C, Schmid CH, Rones R et Als. A randomized trial of tai chi for fibromyalgia, N Engl J Med, 2010;363:743-754
  5. Wang C, Tai Chi improves pain and functional status in adults with rheumatoid arthritis: results of a pilot single-blinded randomized controlled trial, Med Sport Sci, 2008;52:218-229
  6. Wang C, Schmid CH, Hibberd PL et Als. Tai Chi is effective in treating knee osteoarthritis: a randomized controlled trial, Arthritis Rheum, 2009;61:1545-1553

Voir aussi

Articles connexes

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