- Statuaire grecque
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Sculpture grecque
La sculpture est probablement l'aspect le plus connu de l’art grec antique, celui qui pour un contemporain exprime le mieux le beau idéal et la perfection plastique.
Seule une faible partie de la production sculpturale grecque nous est parvenue. Beaucoup de chefs-d'œuvre décrits par la littérature antique sont désormais perdus ou extrêmement mutilés, et une grande partie ne nous en est connue que par des copies, plus ou moins habiles et fidèles, de l'époque romaine. Beaucoup ont été restaurés par des sculpteurs occidentaux, de la Renaissance à nos jours, parfois dans un sens bien différent de l'œuvre d'origine : un discobole se transforme ainsi en gladiateur mourant, tel dieu reçoit les attributs de tel autre, les jambes de telle statue se trouvent greffées au torse de telle autre.
Sommaire
Matériaux
La plupart des sculptures grecques qui sont parvenues à l'ère moderne sont en pierre, le plus souvent en marbre blanc. Dans l'Antiquité, néanmoins, les Grecs sont loin de favoriser ce matériau. Il est alors en concurrence avec le bronze, la technique chryséléphantine (inscrustations d'or et ivoire), mais aussi l'argile et le bois.
Le bois
Le bois est utilisé principalement à l'époque archaïque, pour réaliser les xoana, figures grossières, caractéristiques de la religion pré-olympique. Le plus célèbre est celui d'Orthia, identifiée ensuite à Artémis, dans le sanctuaire spartiate d'Artémis Orthia. La seule cité de Sparte comprend, selon Pausanias (III, passim), plus de 15 xoana. Certaines de ces statues sont habillées ou portent des armes, témoin le xoanon d'Aphrodite en armes à Sparte.
Les Grecs archaïques recourent également, principalement au VIIe siècle av. J.-C., à la technique du sphyrélaton, attestée déjà chez les Hittites et les Égyptiens : il s'agit de recouvrir de plaques de bronze martelées une âme en bois. C'est ainsi le cas de statuettes de culte représentant Apollon, Artémis et Léto, trouvées dans le sanctuaire de Dréros, en Crète, remontant au VIIIe siècle av. J.-C..
Cependant, le bois est également employé pour des travaux plus raffinés. Ainsi du coffre de Cypsélos, tyran de Corinthe de 655 environ à 625. Pausanias fournit une description détaillée (V, 17, 5 et suivants) du coffre, exposé à Olympie jusqu'aux premiers siècles après Jésus-Christ, avant qu'il ne disparaisse. Le coffre est fait de cèdre orné de figures en ivoire et en or, et représente des scènes de la guerre de Troie.
Du fait de la fragilité du support, peu de sculptures en bois nous sont parvenues. On peut citer un fragment de statuette votive, haut de 28 cm, trouvé à Samos, reproduisant peut-être la statue du culte d'Héra. Il est actuellement exposé au musée d'Archéologie de Samos (n° H41).
La terre cuite
- Article détaillé : figurines en terre cuite grecques
L'argile est un matériau fréquemment utilisé pour la confection de statuettes votives ou d'idoles, depuis la civilisation minoenne jusqu'à l'époque hellénistique. Au VIIIe siècle av. J.-C., en Béotie, on fabrique ainsi des « idoles-cloches », statuettes féminines à jambes mobiles : la tête, petite par rapport au reste du corps, est perchée au bout d'un long cou, tandis que le milieu du corps est très ample, en forme de cloche. Au début du VIIIe siècle av. J.-C., les tombes dites « de héros » reçoivent des centaines, voire des milliers de petites figurines, à la figuration rudimentaire, représentant généralement des personnages aux bras levés, c'est-à-dire des dieux en apothéose.
Par la suite, les figurines de terre cuite perdent leur caractère religieux. Elles représentent désormais des personnages de la vie quotidienne. Aux IVe et IIIe siècles av. J.-C., les figurines dites « de Tanagra » témoignent ainsi d'un art raffiné. À la même époque, des villes comme Alexandrie, Smyrne ou encore Tarse produisent en abondance des figurines grotesques, représentant des individus aux membres déformés, aux yeux exorbités, arborant des rictus et se contorsionnant. Ces figurines sont également réalisées en bronze.
La terre cuite est cependant peu employée pour la grande statuaire. L'exception la plus connue est le Zeus enlevant Ganymède d'Olympie, réalisé vers 470 av. J.-C. Dans ce cas, la terre cuite est peinte.
La technique chryséléphantine : or et ivoire
Le matériau le plus coûteux est également le plus apprécié des Grecs. Il consiste en une âme de bois plaquée d'ivoire pour représenter la chair, et l'or pour représenter les vêtements. Les exemples les plus connus sont les statues (perdues) d'Athéna Parthénos à Athènes ou de Zeus à Olympie (l'une des Sept merveilles du monde), toutes deux réalisations de Phidias.
Peu de vestiges subsistent de cette statuaire : les œuvres réalisées selon cette technique sont fragiles. À l'époque hellénistique déjà, les inventaires des trésors des temples de Délos signalent qu'un morceau d'or s'est détaché de la statue chryséléphantine d'Apollon. En outre, l'ivoire et l'or, matériaux précieux, tendant à être arrachés et récupérés. Nous conservons trois têtes et des fragments grandeur nature, découverts à Delphes sous la voie sacrée, datant du milieu du VIe siècle av. J.-C..
L'ivoire est également travaillé seul. Taille des défenses d'éléphant oblige, la production se limite à des statuettes. Les premières subissent l'influence orientale. Quatre d'entre elles, figurant des femmes nues, ont été retrouvées dans le cimetière du Céramique, à Athènes ; elles remontent à 735–720 av. J.-C. Par la suite, le travail de l'ivoire s'éloigne du modèle oriental ; les statuettes sont agrémentées de métaux précieux. Ainsi d'un danseur, élément d'une cithare d'apparat, retrouvé à Samos dans le sanctuaire d'Héra, datant du début du VIIe siècle av. J.-C.
Le métal : du bronze à l'argent
Après la technique chryséléphantine, le métal, notamment l'airain: le bronze (mais aussi des alliages ternaires et quaternaires) est le matériau le plus apprécié des Grecs. Abondamment employé à l'époque minoenne ou mycénienne, sa technique s'est perdue au cours des siècles dits « obscurs ». Les Grecs l'apprennent de nouveau au contact des peuples du Proche-Orient et de l'Égypte. Le travail de la fonte pleine limite d'abord la taille des pièces. On recourt à la technique mixte du sphyrélatos pour pallier cet inconvénient. Les chevaux votifs de l'époque géométrique recourent à un autre subterfuge : les artistes utilisent des fils épais et des feuilles bombées pour figurer les différentes parties de l'animal.
À la toute fin du VIe siècle av. J.-C. est découverte par le sculpteur Rhoïcos la technique de la fonte à la cire perdue sur négatif (ou "en creux"), palliatif à la technique sur positif, permettant de conserver le modèle et le moule originels et d'avoir une épaisseur de bronze plus régulière et plus fine, donc moins de problèmes au refroidissement. Cette méthode, selon Pausanias, serait empruntée à l'Égypte, mais ce point reste très contesté. Grâce à cette innovation, le travail du sculpteur se déplace : il devient, dans les sources, le "plastes", le modeleur, et peut réaliser un travail nettement plus virtuose. Dès lors, le bronze devient le matériau de prédilection des sculpteurs, qui semblent en général avoir été aussi les fondeurs.
Le procédé suit plusieurs étapes : un modèle exactement ressemblant à la figure voulue est créé par le sculpteur puis découpé en plusieurs morceaux. Un moule est ensuite réalisé autour de chacun des morceaux ; cette étape est primordiale, puisque c'est grâce à elle que la sculpture aura son aspect définitif. Le noyau est alors ôté, et conservé, mais les Grecs ne semblent pas avoir pour autant dupliqué leurs sculptures, au contraire des Romains. Le moule est ensuite nappé de cire. Pour cette étape, plusieurs processus sont utilisés : le battage, c’est-à-dire le nappage par de la cire liquide, l'application à la main ou au pinceau. On introduit ensuite un noyau en terre réfractaire, puis le premier moule est enlevé. La fonte se poursuit alors comme une fonte à la cire perdue sur positif : des canaux de cire servant à l'alimentation en bronze et à l'évacuation de la cire et des gaz son ajoutés, puis un moule en argile réfractaire englobe le tout. Le moulé est chauffé pour évacuer la cire et le cuire avant d'y couler le bronze fondu. L'ensemble doit être ensuite refroidi, la statue dégagée et ciselée à froid, puis patinée ou cirée.
L'usage de patines volontaires dans la Grèce antique est encore très problématique pour les historiens de l'art.
Outre le bronze et les alliages similaires, les sculpteurs utilisent plusieurs autres matériaux métalliques, notamment pour donner de la polychromie à leurs statues par des incrustations. Ainsi les lèvres sont-elles le plus souvent dans un alliage très riche en cuivre, donc très rouge. Jusqu'au milieu du Ve siècle, les sourcils, le sang et les pointes des seins des hommes nus sont incrustés dans ce même matériau. Il arrive également que les dents soient plaquées d'argent, comme dans le cas de l'Aurige de Delphes (où elles ne sont pourtant pas visibles), et un doigt provenant de l'Acropole d'Athènes atteste de la véracité du récit de Pausanias quand il parle d'ongles en argent. Quant aux yeux, il arrive qu'ils soient l'œuvre d'un artisan spécial, comme l'attestent les sources pour la période romaine (l'artisan est appelé oculus faber). Le globe oculaire, en marbre, ivoire, calcaire ou pâte de verre blanche est évidé pour y glisser l'iris en pâte de verre, quartz ou cristal de roche, qui comporte lui même une cupule où placer la pupille, dans un verre de couleur différente ou en obsidienne. Le tout peut être maintenu par des arceaux métalliques. Les incrustations de l'iris et de la pupille n'emplissent pas entièrement la cavité qui leur est destinée, afin que la lumière puisse jouer avec. Des nuances très fines peuvent être obtenues, comme dans le cas d'une tête d'enfant hellénistique provenant d'Olympie dont l'iris est dans une pâte de verre brune avec des reflets violacés.
Le marbre
Matériau privilégié à la période archaïque, le marbre est supplanté au Ve siècle par le bronze, mais reste encore largement utilisé dans les sculptures architecturales.
Périodes et styles
- la période archaïque, allant du VIIIe siècle à la fin du VIe siècle av. J.-C. ;
- le premier classicisme, représenté par des sculpteurs comme Phidias, Myron ou Polyclète, au Ve siècle av. J.-C. ;
- le second classicisme, période dominée par Praxitèle et Lysippe, qui s'étend du IVe siècle av. J.-C. au règne d'Alexandre le Grand ;
- la période hellénistique, dont les œuvres emblématiques sont la Vénus de Milo, le groupe du Laocoon du Vatican ou encore la Victoire de Samothrace, qui va de la mort d'Alexandre en 323 av. J.-C. jusqu'à la domination romaine.
Ces quatre périodes correspondent à des styles différents plus qu'à des espaces géographiques.
En effet, bien que réalisées le plus souvent en Grèce continentale, les œuvres archaïques et surtout classiques ont été largement répandues par le commerce maritime et les colonies de Grande Grèce, friandes des œuvres de leur terre d'origine. Comme on peut le constater par exemple à Pompéi, la catastrophe de l'an 79 a permis de retrouver dès le XVIIIe siècle des œuvres de l'époque classique importées de Grèce, qui ont contribué aux collections des Borghèse (par exemple le Gladiateur Borghèse) et du musée de Naples (Apollon citharède, Adonis), mais qui faisaient de la Campanie un espace grec classique encore au Ier siècle de l'ère chrétienne.
En revanche, les œuvres hellénistiques sont plus souvent produites localement, notamment en Asie Mineure (Pergame) ou en Afrique du Nord (Alexandrie, Carthage).
Période archaïque
La période archaïque (700-480 av. J.-C.) est caractérisée par une grande simplicité des formes et des postures, souvent symboliques, dont l'expression la plus typique se retrouve dans les kouros (κοῦροs, « jeune garçon ») et koré (κόρη, « jeune fille »). Il s'agit de figures humaines en pied, masculines ou féminines, offrandes faites par la cité aux divinités. Ces statues, de taille généralement humaines, sont une première évolution vers un réalisme naturaliste. Les proportions ne sont cependant pas respectées avec, notamment, une disproportion des cuisses, une taille particulièrement fine, des épaules trop larges... Les traits du visages sont caractérisés par un sourire et des pommettes saillantes, de grands yeux en amandes particulièrement bombés. Les kouroi (masculin pl) sont entièrement nus, les korai (féminin pl) vêtues d'un chiton (tunique de lin) ou d'un peplos (tunique de laine). Ce style est probablement inspiré des oeuvres égyptiennes découvertes en Grèce grâce au commerce à partir du VIIème siècle avant Jésus Christ et se caractérise par la coiffure en nattes tressées, la jambe gauche avancée (attitude qualifiée de "maniérisme attique") ainsi que par la frontalité de ces oeuvres. Les détails de la musculature sont peu réalistes et ne sont souvent représentés que par de simples incisions dans la pierre. Nous devons leur conservation à leur caractère sacré les empêchant de pouvoir quitter le temple auquel ils ont été dédiés.
L'archaïque se termine avec l'archaïque récent (début vers 530 avant JC). On assiste à un changement dans la compréhension du corps humain, moins schématique, plus sensible ; le corps est compris dans sa totalité, devient plus organique et commence à bouger. Les formes, plus lourdes, annoncent le Style Sévère.
Cette période comporte des œuvres essentiellement sculptées dans le marbre ou la pierre, la terre cuite, la technologie de fonte du bronze ne permettant pas encore de fonderies de grande taille. Ces œuvres sont parfois polychromes, et il semble que l'usage de peindre les statues était assez général et durable en Grèce.
Période classique
La période classique voit apparaître des sculptures qui maîtrisent l'anatomie et la pose, dont les auteurs sont identifiés, notamment du fait de la définition de canons esthétiques de proportions qui leur étaient propres. Le répertoire de la période classique embrasse aussi bien la mythologie que les héros, représentés dans le naturel supposé du quotidien, avec l'apparition du contrapposto ou déhanchement de la jambe d'appui. La maîtrise de l'exécution fait de la sculpture du Ve siècle av. J.-C. le sommet de l'esthétique classique, qui inspirera encore la Renaissance et le néo-classicisme des XVIIIe et XIXe siècles européens.
La période classique est aussi l'époque de sculptures monumentales, parfois en bronze (aurige de Delphes), parfois dans des matériaux moins usités, comme les sculptures chryséléphantines (placage d'or et d'ivoire) de Zeus ou d'Athéna, que Phidias a réalisées pour leurs temples respectifs, à Olympie (une des sept merveilles du monde) ou à Athènes.
Le second classicisme (IVe siècle av. J.-C.) se distingue du premier par un affinement des canons de proportion, mais surtout par une interprétation plus légère, moins raide, que la période précédente, ainsi que des sujets plus quotidiens. L’Hermès portant Dionysos enfant attribué à Praxitèle est l'un des meilleurs exemples de cette période.
Le marbre blanc est la matière la plus usitée par les sculpteurs, le plus souvent ceux de Paros ou du Pentélique, qui donnent à la lumière une lisibilité douce des courbes et des volumes. Les copies romaines en marbre polychrome rouge ou vert détruisent cette lisibilité et n'ont guère que l'intérêt de « faire riche», comme le disait Gustave Moreau. En ce qui concerne les bronzes, ils faisaient couramment l'objet de rehauts rapportés comme des yeux en émail, des lèvres et des seins en cuivre, des cils en bronze.
Période hellénistique
L'époque hellénistique (300 à 30 avant J-C) est sans doute assez méconnue. L'historien allemand Johann Gustav Droysen a pour la première fois utilisé le terme "hellénistique" dans Geschichte des Hellenismus en se référant à des critères linguistique et culturel. Cette période débute à la mort d’Alexandre le Grand en 323 et se terminera vers le 1er siècle av. J-C. Elle connaît des bouleversements sociaux et le morcellement de la société. Il s’agit d’un art cosmopolite avec une préoccupation particulière de la part des princes et des gouverneurs. L’enrichissement est favorisé par la conquête de l’Egypte et de la Syrie au Moyen-Orient. Cependant les centres importants se déplacent, comme à Pergame (en Anatolie, de nos jours en Turquie) et à Alexandrie (ville fondée par Alexandre le Grand et premier port antique d’Egypte). Avec ces évènements, Athènes devient moins importante. Elle est souvent présentée comme une transition entre la période classique grecque et le style romain. Lysippe de Sicyone est le précurseur du développement du portrait, il sera d’ailleurs le portraitiste attitré d’Alexandre le Grand. Il conçoit ses œuvres en fonction du public avec un nouveau canon d’un rapport 1/8 du volume totale pour la tête. Ses modèles sont plus élancés, plus affinés, il s’attache à la pleine maitrise de l’art du portrait. L’Apoxyomène en marbre de Lysippe datant de 320 Av J-C pour 250 cm représente un athlète nu raclant sa peau avec un strigile (sorte de rasoir); c'est une sorte de symbole d’instabilité de la vie. L’Hercule Farnèse de 320 av. J-C également mesure 307 cm. Hercule y est représenté reposant sur sa massue recouverte en partie de la peau du lion, et il tient à la main les pommes du Jardin des Hespérides. Il y a une structure complexe, que nous font comprendre différents points de vue sur sa position car il articule précisément la face et les profils. Il s’approprie l’espace, il recherche l’équilibre et pour la toute première fois dans l’histoire de la Grèce, Homère est marqué par la vieillesse dans un réalisme effectif. Interet marqué pour l'expressivité, la musculature exacerbée, les attitudes emphatiques, les thèmes du combat et la douleur.
Le Laocoon de Polydore, œuvre magistrale, représente la douleur, les combats, la guerre, tout ce qui marque la vie. La période héllénistique marque la fin (en suspens) de la statuaire grecque. Les Romains vont s’en inspirer autant dans la sculpture, que dans la peinture ou l’architecture. On remarquera que l’évolution dans la figure humaine est très longue surtout à cause de toute la rationalisation qui y gravite, cependant on gardera à l’esprit que l’histoire des arts, c’est l’histoire des peuples.
Voir aussi
Articles connexes
Article général :
Articles consacrés à des sculptures grecques : parcourir la catégorie:sculpture de la Grèce antique.
Musées comprenant d'importantes collections de sculpture grecque :
- British Museum de Londres ;
- Glyptothèque de Munich ;
- musée du Louvre à Paris ;
- Metropolitan Museum of Art de New York ;
- musée Pio-Clementino du Vatican ;
- Musée national archéologique d'Athènes.
Bibliographie
- J. Boardman :
- La Sculpture grecque archaïque, Thames & Hudson, coll. « Histoire de l'art », Paris, 2003 (ISBN 2878110765),
- La Sculpture grecque classique, Thames & Hudson, coll. « Histoire de l'art », Paris, 2003 (ISBN 2878110862),
- La Sculpture grecque du second classicisme, Thames & Hudson, coll. « Histoire de l'art », Paris, 2003 (ISBN 2-87811-142-7) ;
- G. Duby et J.-L. Daval (dir.), La Sculpture de l'Antiquité au XXe siècle, Taschen, 2005 (ISBN 2-7434-6529-8) ;
- F. Haskell, N. Penny, Pour l'amour de l'antique. La statuaire gréco-romaine et le goût européen, Hachette, coll. « Pluriel », Paris, 1999 (ISBN 2-01-278918-8) ;
- B. Holtzmann et A. Pasquier, L'Art grec, La Documentation française, coll. « Manuels de l'École du Louvre », 1998 (ISBN 2-11-003866-7) ;
- M. Muller-Dufeu (éd.), La Sculpture grecque. Sources littéraires et épigraphiques, éditions de l'École nationale supérieure des Beaux-Arts, coll. « Beaux-Arts histoire », 2002 (ISBN 2-84056-115-8) ;
- Alain Pasquier et Jean-Luc Martinez, 100 chefs-d'oeuvre de la sculpture grecque au Louvre, Louvre éditions, Paris, avril 2007, 223 p (ISBN 2-7572-0052-6)
- R. R. R. Smith, La Sculpture hellénistique, Thames & Hudson, coll. « Histoire de l'art », Paris, 1996 (ISBN 2878111079).
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