Site nucléaire du Tricastin

Site nucléaire du Tricastin

44° 20′ 09″ N 4° 43′ 21″ E / 44.3356977, 4.7224903 Le site nucléaire du Tricastin est un site industriel qui regroupe des installations du cycle du combustible nucléaire et une centrale nucléaire. Il est situé en France, dans la basse vallée du Rhône, au cœur de la région historique du Tricastin, sur la rive droite du Canal de Donzère-Mondragon (Canal de dérivation du Rhône) entre Valence (70 km en amont) et Avignon (65 km en aval). Il s'étend sur une surface de 600 hectares répartie sur quatre communes, Saint-Paul-Trois-Châteaux et Pierrelatte dans la Drôme, Bollène et Lapalud dans le Vaucluse.

Carte simplifiée du site nucléaire du Tricastin

Sommaire

Histoire

Le nom propre « Tricastin » a pour origine la région historique dans laquelle le site est implanté. Cette région tire son nom d'une tribu celto-ligure ayant vécu sur le secteur : les Tricastini, des peuples de la Gaule narbonnaise qui habitèrent sur le Rhône, et dont la capitale fut nommée Augusta Tricastinorum par Pline et Silius Italicus. Le pays qu'ils habitèrent se nomme aujourd'hui Saint-Paul-Trois-Châteaux.

Organisation du site

le site vu d'avion

Le site accueille la plus importante concentration d'industries nucléaires et chimiques de France[1]. C'est le site nucléaire le plus étendu de France devant l'usine de retraitement de La Hague. Le site regroupe de nombreuses activités liées à la fabrication et l'exploitation du combustible nucléaire. Les premières installations sont entrées en fonctionnement au cours des années 1960 pour enrichir de l'uranium à des fins militaires[2]. Actuellement, plus de 5 000 employés travaillent au Tricastin dans un important réseau d'entreprises. Le site fait partie du pôle de compétitivité Trimatec qui « valorise les technologies issues du nucléaire et du génie des procédés qui sont favorables à l'environnement ».

Ces entreprises se répartissent en trois sites séparés : le site EDF, le site Areva qui comprend six entreprises du groupe Areva et le site du CEA.

Site d'EDF

EDF exploite la centrale nucléaire du Tricastin et la Base chaude opérationnelle du Tricastin (BCOT)

Centrale nucléaire du Tricastin

Les quatre réacteurs de la centrale nucléaire du Tricastin
Article détaillé : Centrale nucléaire du Tricastin.

La centrale nucléaire du Tricastin a été construite en 1974, puis mise en service en 1980 (T1 & T2) et 1981 (T3 & T4)[3]. Elle comprend quatre réacteurs à eau pressurisée (REP) de 900 MW chacun, soit une puissance totale de 3 600 MW pour la centrale[4].

Le refroidissement de la centrale est assurée par l'eau du Canal de Donzère-Mondragon. Le combustible nucléaire neuf arrive en train sous forme d'assemblages fabriqué à la FBFC. Le combustible usé est entreposé en piscine de refroidissement pendant quelques mois, avant d'être expédié en train à l'Usine de retraitement de la Hague.

La centrale produit chaque année environ 25 TWh, soit 6% de la production électrique française. L'usine voisine d'enrichissement Eurodif consomme environ 15 TWh par an, soit environ les deux-tiers de la production de la centrale[5]. Cette proximité permet de limiter les pertes dues au transport de l'électricité.

EDF finance les collectivités locales à hauteur de 14 millions d'euros par an au titre de la taxe professionnelle de la centrale du Tricastin.

BCOT

La Base chaude opérationnelle du Tricastin (BCOT) est une installation nucléaire spécialisée dans la maintenance nucléaire. Elle entretient et entrepose des matériels et outillages provenant des circuits et matériels contaminés des réacteurs électronucléaires, à l'exclusion d'éléments combustibles, et notamment les tubes guides, les outillages d'intervention, les matériels voués au démantèlement et les couvercles de cuve[6].

Site AREVA

Six entreprises interviennent sur le site Areva.

Eurodif Production

Les deux tours de réfrigération de l'usine d'enrichissement Eurodif.
Article détaillé : Usine Georges-Besse.

Eurodif Production exploite l'usine d'enrichissement de l'uranium Georges-Besse. Celle-ci est alimentée en uranium (sous la forme d'hexafluorure d'uranium (UF6)) par l'usine Comurhex présente sur le site du Tricastin, et en électricité par la centrale nucléaire du Tricastin. Le combustible nucléaire produit par l'usine d'Eurodif est ensuite envoyé à la FBFC sur le site de Romans-sur-Isère.

L'entreprise emploie 1067 employés sur le site en 2009[7].

Cette usine est le plus important consommateur d'électricité en France, et le tout premier client d'EDF [8].

Areva NC

Article détaillé : Usine Areva NC de Pierrelatte.

Areva NC exploite une installation nucléaire spécialisée dans le retraitement de matières radioactives issues du cycle du combustible nucléaire : défluoration de l’hexafluorure d'uranium appauvri, dénitration du nitrate d'uranyle, maintenance des conteneurs et demantèlement de certains produits. Elle assure également des services supports au site Areva du Tricastin[9].

L'entreprise emploie 936 employés sur le site en 2009[7].

Comurhex

Article détaillé : Usine Comurhex de Pierrelatte.

Comurhex exploite une installation nucléaire procédant à la transformation de tétrafluorure d'uranium (UF4), en provenance du site de Malvési, en hexafluorure d'uranium (UF6), destiné à être ensuite traité dans l'usine Georges-Besse sur le même site par la société Eurodif Production pour produire de l'uranium enrichi[9].

L'entreprise emploie 353 employés sur le site en 2009[7].

FBFC

Article détaillé : Usine FBFC de Pierrelatte.

Franco-Belge de Fabrication du Combustible (FBFC) exploite une installation industrielle spécialisée dans la fabrication de composants d’assemblages de combustible, des grilles de structure d’assemblages et des grappes de contrôle et de bouchons[9].

Les entreprises FBFC et CERCA emploient 135 employés sur le site en 2009[7].

Socatri

La société auxiliaire du Tricastin (SOCATRI) assure la maintenance et le démantèlement de matériels nucléaires, le traitement d’effluents liquides nucléaires et industriels issus de ses activités et de celles des autres industriels du site Areva avant rejet dans le milieu naturel, la gestion et le traitement de déchets nucléaires en vue de leur élimination[10].

L'entreprise emploie 261 employés sur le site en 2009[7].

SET

Article détaillé : Usine Georges-Besse II.

La Société d’Enrichissement du Tricastin (SET) exploite l’usine d'enrichissement d'uranium par centrifugation Georges Besse II en cours de construction sur le site. Celle-ci remplacera à terme l'actuelle usine Georges-Besse.

Cette usine est constituée de deux unités, Sud et Nord, séprées physiquement sur le site, qui seront mises en service progressivement, grâce à leur conception modulaire.

L'entreprise emploie 141 employés sur le site en 2009[7].

Site du CEA

Article détaillé : Site nucléaire de Marcoule.

Suite à la fermeture de l'usine militaire de Pierrelatte en 1996 le CEA a conservé un pole de recherche civile a Pierrelatte. Les laboratoires du site de Pierrelatte sont regroupées au sein de la CEA Valrho (ou CEA Marcoule).

Information et concertation du public

Trois instances d'information et de concertation du public relatives au site nucléaire du Tricsatn coexistent[11] :

  • la Commission Locale d’Information auprès des Grands Équipements Énergétiques du Tricastin (CLIGEET), qui suit l’activité des installations nucléaires de base. Elle est présidée par le Président du Conseil général de la Drôme.
  • La Commission d’Information Areva NC (CI AREVA NC), qui suit l’activité de l’installation nucléaire de base secrète. Il s’agit d’une installation nucléaire dont les activités appellent une protection particulière au titre de la défense nationale. Elle est présidée par le Préfet de la Drôme.
  • Le Comité local d'information et de concertation (CLIC), qui suit l’activité des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE), comme par exemple COMURHEX. Il est présidé par le Préfet de la Drôme.

Sûreté nucléaire

Concernant la centrale nucléaire, « l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) considère que les performances en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin se distinguent de manière positive et que ses performances en matière de protection de l’environnement sont en retrait par rapport à l’appréciation générale des performances que l’Autorité de Sûreté Nucléaire porte sur EDF »[12].

Selon l'Autorité de Sûreté Nucléaire, l'analyse de sûreté prend bien en compte les risques d'agressions externes (chute d'avion, séisme, inondation externe...)[13].

Risque sismique

En 2002 et 2003, EDF a déclaré deux incidents génériques de niveau 1 sur l'échelle INES relatifs à la tenue au séisme de composants de certains REP 900 MWe français, dont ceux de la centrale du Tricastin.

L'incident déclaré le 14 octobre 2002 concerne la tenue au séisme de réservoirs d'eau permettant d'assurer le refroidissement du coeur en cas d'accident[14]. Les travaux nécessaires à la remise en conformité de la centrale se sont terminés en décembre 2005[15].

L'incident déclaré le 28 octobre 2003 concerne la tenue au séisme de tuyauteries connectées à l'un des réservoirs d'eau concerné par l'incident du 14 octobre 2002[16].

Risque d'incendie

Concernant la centrale nucléaire, l'ASN considère en 2007 que

« le site devait encore progresser sur la gestion de la formation, la réalisation des permis de feu et les délais d’intervention en cas d’incendie qui demeurent trop longs[17]. »

Concernant l'usine Georges Besse d'Eurodif, l'ASN considère en 2007 que

« le risque incendie était bien pris en compte, toutefois des améliorations sont attendues notamment pour la formation du personnel et sur la rédaction des permis de feu[18]. »

Chute d'avion

Le passage d'avion est interdit au-dessus du site nucléaire du Tricastin comme sur l'ensemble des sites nucléaires sous peine d'amende [réf. souhaitée]. Toutefois, les nouveaux projets sur le site - par exemple Georges Besse II - tiennent compte du risque de chute d'avion dès les premières phases d'élaboration du projet.

Impacts sur l'environnement

Pollution et incidents

Rejets d'effluents liquides

Un rapport de mai 2007 de l'ASN rappelait à l'ordre Socatri, une filiale d'Areva présente sur le site, en déclarant:

« L'ASN rappelle Socatri à l'ordre pour des écarts répétés à ses autorisations de rejets chimiques et radiologiques (...). Les effluents liquides en sortie de la station de traitement présentent régulièrement des écarts aux seuils de rejets chimiques.
Une nouvelle station de traitement des effluents liquides doit être mise en service en 2008. La canalisation qui évacue les effluents liquides de Socatri, du fait de son ancienneté, a fait l'objet de fuites répétées en 2007[19]. »

Fuite d'uranium du 8 juillet 2008

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Dans la nuit du 7 au 8 juillet 2008[20], lors du nettoyage d'une cuve[21], une solution uranifère a été répandue sur le site et dans les rivières avoisinantes. La Socatri, une filiale de l'AREVA annonce que le volume d'effluent relâché est de 6,25 m3, rapportant la quantité d'uranium libérée à 75 kg. 224 kg d'uranium ont débordé d'une cuve de traitement d'uranium, dont 74 kg seraient parvenus jusqu'à la rivière de la Gaffière et le Lauzon[22].Cet incident a été classé provisoirement[23] au niveau 1 sur l'échelle internationale des événements nucléaires (équivalent à une « anomalie de fonctionnement ») par l'Autorité de sûreté nucléaire[24]. Socatri a rapporté l'incident à l'ASN 8h30 après les faits[25].

Le Réseau Sortir du nucléaire a porté plainte contre X[26], en visant particulièrement l'exploitant Socatri-Areva et l'Autorité de sûreté nucléaire[27], et la CRIIRAD devrait porter à son tour plainte contre l'exploitant[25]. Le Réseau Sortir du nucléaire a accusé Areva de mise en danger volontaire de la population en n'ayant informé que tardivement les populations concernées de cette pollution[28]. Les communes ont été averties 12 heures après. La préfecture a décrété l'interdiction de pêche, de baignade et d'irrigation ainsi que les restrictions sur la consommation d'eau sur les communes de Bollène, Lapalud et Lamotte-du-Rhône[29].

L'ASN a demandé le 11 juillet à la Socatri de suspendre l'activité de sa station de traitement[30] et de prendre des « mesures immédiates de mise en sécurité »[31].

Des mesures de teneur en uranium faites, entre le 8 et le 13 juillet, dans la nappe phréatique au Tricastin ont révélé des « valeurs [qui] ne peuvent être expliquées par le rejet accidentel » d'après l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Didier Champion, directeur de l'environnement à l'IRSN, estime qu'« on ne peut exclure qu'il y ait eu des rejets antérieurs, à l'origine d'une pollution à l'uranium »[32],[33].

Rejets de carbone 14 de juin et juillet 2008

Au delà de ses activités de gestion d'effluents, la SOCATRI réalise des opérations de reconditionnement pour le compte de l'Andra. Ces opérations consistent à trier des déchets des « petits producteurs » (laboratoires médicaux, hôpitaux...) et à les orienter vers l'exutoire adéquat (incinération, stockage)[34]. Lors d'une opération de reconditionnement en juin 2008, un rejet de carbone 14 (utilisé comme traceur pour les examens médicaux) gazeux conduit l'installation à dépasser sa limite de rejet mensuelle pour ce radioélément. L'anomalie est identifiée lors de mesures le 4 juillet. L'activité de l'atelier de traitement est immédiatement suspendue. Areva affirme que l'ASN est informée de cet incident le 7 juillet lors d'un point hebdomadaire entre les organismes[35].

Pendant les opérations de mise à l'arrêt, les rejets continuent, conduisant le 18 juillet 2008 à un dépassement de 5 % de la limite annuelle de rejet[36]. L'ASN est informée le 5 août de ce dépassement de la limite annuelle et décide de la suspension pour le reste de l'année, à la Socatri, de toutes les activités susceptibles de générer un rejet de carbone 14 gazeux. L'incident est classé au niveau 1 de l'échelle INES[37].

Assemblages bloqués de septembre 2008

Le 8 septembre 2008, 2 assemblages sont restés accrochés aux structures internes supérieures au cours d’une opération de renouvellement du combustible nucléaire. Dès le constat fait de l'anomalie, l’opération a été immédiatement arrêtée. Les 2 assemblages restaient suspendus sous l’eau dans la cuve, tandis que l’exploitant faisait procéder à l’évacuation du bâtiment réacteur et à son isolement.

Les assemblages sont restés bloqués plus d'un mois[38]. EDF a proposé des solutions techniques le 14 octobre pour récupérer les deux assemblages. L'Autorité de sûreté nucléaire les a évaluées sur la "maquette" du centre d'expérimentation et de validation des techniques d'intervention sur chaudières nucléaires à eau pressurisée (CETIC) de Chalon-sur-Saône. Le 22 octobre, l'ASN a donné son aval à l’opération[39].

Il n' y a eu aucun risque dû à la criticité, ni au défaut de réfrigération des assemblages, lors de cet incident.

Un incident de même type s'est déjà produit en France sur un assemblage en 1999, à la centrale nucléaire de Nogent sur Seine (Aube) qui a aussi été soldé sans problème particulier. Toutefois la situation à Tricastin était différente avec 2 assemblages contigus suspendus, au lieu d’un seul en 1999.

Pollution radiologique du site de Tricastin

Corinne Castanier, directrice de la CRIIRAD, évoque notamment une possible pollution par les canalisations de rejet de la Socatri ou les déchets issus d'une ancienne usine militaire d'enrichissement de l'uranium qui a fonctionné sur le site du Tricastin de 1964 à 1996, et enfouis à l'autre extrémité du site[40],[41].

Areva NC a nié ces hypothèses dans son communiqué du 16 juillet 2008, intitulé « SOCATRI répond aux allégations de la CRIIRAD[42] », dont une dépêche de l'AFP du 9 juillet 2008 reprend les termes :

« Selon un rapport du Haut Commissariat à l'énergie atomique publié en 1998, la butte [où ont été enfouis les déchets radioactifs d'origine militaire] a bien engendré une pollution de la nappe, traitée par pompage de 1980 à 1998. Une étude d'impact ayant ensuite conclu à l'absence de risque sanitaire, le tertre est depuis sous simple surveillance, les mesures faisant apparaître une concentration moyenne d'uranium de 8 microgrammes par litre, deux fois moins que la norme de l'OMS. »[43].

Le directeur-adjoint de l'environnement à l'IRSN, Jean-Christophe Gariel, a déclaré à l'AFP qu'« établir des relations de cause à effet entre telle ou telle installation et le marquage n'est pas immédiat. Cela va demander des investigations relativement poussées ».

L'inventaire national des déchets radioactifs[44] indique que cette butte contient 760 tonnes de déchets de barrières de diffusion, pour une activité globale de 42 GBq (soit une activité massique de 55 Bq/g, ce qui les classe dans la catégorie de déchets « très faible activité »).

Explosion et incendie sur un transformateur de juillet 2011

Le 2 juillet 2011, une explosion et un incendie sont apparus sur un transformateur électrique, l'incendie a été maîtrisé au bout d'une heure par le personnel et les pompiers arrivés en renforts[45].

Projet de GDF Suez

Lors de l'annonce par le président français Nicolas Sarkozy de la construction d'un second réacteur EPR en juillet 2008, Tricastin est mentionné parmi les cinq sites envisagés (avec Flamanville, Penly, Chooz et Marcoule)[46]. Mais c'est finalement le site de Penly qui est choisi[47]. En février 2010, GDF Suez envisage à nouveau d'implanter un réacteur sur le site, mais cette fois un réacteur ATMEA[48].

Voir aussi

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Liens externes

Notes et références

  1. Le Monde, 17 juillet 2008.
  2. [PDF] Georges Besse II : une nouvelle usine et son environnement Dossier d'Areva pour le débat public de construction de l'usine Georges Besse II
  3. ASN, « Site du Tricastin ». Consulté le 21 mai 2009
  4. EDF, « Présentation de la centrale du Tricastin ». Consulté le 21 mai 2009
  5. http://www.industrie.gouv.fr/energie/nucleair/epr_1_2.htm
  6. la Base chaude opérationnelle du Tricastin sur www.asn.fr. Consulté le 7 juin 2011
  7. a, b, c, d, e et f Le site du TYricastin sur www.ladrome.fr. Consulté le 7 juin 2011
  8. Avis du 28 avril 1998 du Conseil de la concurrence
  9. a, b et c Areva Pierrelatte : la chimie de l'uranium sur www.areva.com. Consulté le 7 juin 2011
  10. Socatri : maintenance et décontamination sur www.areva.com. Consulté le 7 juin 2011
  11. Site du Tricastin sur www.ladrome.fr. Consulté le 7 juin 2011
  12. [PDF] Chapitre 12 - Les centrales nucléaires d'EDF - La sûreté nucléaire et la radioprotection en France en 2007, Rapport annuel de l'ASN, p. 359
  13. [PDF] Lettre de suite de l'inspection du 3 mai 2005 - Thème agressions externes
  14. Erreur de conception affectant la résistance au séisme de réservoirs d'eau de plusieurs réacteurs de 900 MWe - Autorité de sûreté nucléaire
  15. Suite de l'anomalie générique de conformité relative à la résistance au séisme de réservoirs d'eau de plusieurs réacteurs de 900 MWe d'EDF - Autorité de sûreté nucléaire
  16. Erreur de conception affectant la résistance au séisme de certaines tuyauteries des réacteurs du Blayais, de Chinon, Cruas, Dampierre, Gravelines, Saint-Laurent et du Tricastin - Autorité de sûreté nucléaire
  17. [PDF] Inspection du CNPE du Tricastin (INB n° 87/88) - Thème incendie Lettre de suite de l'inspection du 6 et 7 mai 2008
  18. [PDF] Inspection de l’usine de Georges BESSE - Thème incendie Lettre de suite de l'inspection du 15 avril 2008
  19. Tricastin : le rapport qui accuse, La Provence, 10 juillet 2008
  20. « Fuite d’une solution contenant de l’uranium à l’usine SOCATRI du Tricastin », note d’information datée du 8 juillet 2008 de l'IRSN
  21. « Débordement d'effluents uranifères dans l'environnement à l'usine SOCATRI (Drôme) », note d'information du 8 juillet 2008 de l'ASN.
  22. Claire Angot, Tricastin: Des écarts déjà signalés, Le Journal du dimanche, 10 juillet 2008
  23. Débordement d'effluents uranifères dans l'environnement à l'usine SOCATRI (Vaucluse) : bilan de la surveillance environnementale - Autorité de sûreté nucléaire
  24. « Rejet d'uranium à Tricastin: quantité moins importante qu'annoncée », Yahoo, 9 juillet 2008.
  25. a et b « Tricastin : la filiale d'Areva déjà épinglée », Le Figaro, 10 juillet 2008.
  26. http://www.lepoint.fr/actualites-societe/tricastin-plainte-du-reseau-sortir-du-nucleaire/920/0/264022
  27. http://www.sortirdunucleaire.org/actualites/communiques/affiche.php?aff=430
  28. « Les associations écologistes dénoncent la gestion de l'incident au Tricastin », Yahoo, 9 juillet 2008.
  29. « Les premières mesures seraient rassurantes à Tricastin », L'Express (dépêche de Reuters), 10 juillet 2008.
  30. Nucléaire : Socatri priée de stopper l'activité de Tricastin, Europe 1, 11 juillet 2008
  31. « L'Autorité de sûreté nucléaire demande l'arrêt de la station de traitement du Tricastin », Le Monde, 11 juillet 2008.
  32. De l'uranium suspect décelé dans la nappe phréatique au Tricastin Le Monde, 14 juillet 2008.
  33. Un taux d'uranium suspect découvert au Tricastin [1], Le Figaro, 15 juillet 2008.
  34. [PDF] Suite à un rejet gazeux en carbone 14 à la SOCATRI, l’Andra a engagé une enquête auprès des producteurs de déchets concernés Communiqué de presse de l'Andra du 6 août 2008
  35. Tricastin: Encore une fuite cachée? article du 6 août 2008 sur lejdd.fr
  36. Dépassement de la limite autorisée de rejets gazeux d'isotope 14 du carbone à l'usine Socatri du Tricastin : l'IRSN mène une évaluation des conséquences dosimétriques de cet incident Communiqué de presse de l'IRSN du 7 août 2008
  37. Avis d'incident - L'ASN suspend les activités de SOCATRI (Bollène) générant des rejets de carbone 14 sur le site de l'ASN
  38. opération sauvetage reportée - L'usine nouvelle, 15/10/2008
  39. L'ASN estime que la nouvelle solution technique proposée par EDF est satisfaisante - Note d'information de l'Autorité de Sûreté du 22/10/2008
  40. « Réactions en chaîne au Tricastin », Libération, 15 juillet 2008.
  41. « De l'uranium militaire incriminé au Tricastin », Le Monde, 16 juillet 2008.
  42. Tricastin : SOCATRI répond aux allégations de la CRIIRAD, Areva NC, 16 juillet 2008.
  43. dépêche AFP du 9 juillet 2008
  44. inventaire national des déchets radioactifs publié par l'ANDRA.
  45. (fr) Drôme : explosion à la centrale nucléaire de Tricastin sur le Nouvelobs
  46. http://www.jdf.com/societes-francaises/2008/07/03/02007-20080703ARTJDF00004-epr-vers-un-deuxieme-reacteur-en-france.php?ID_NOTATION=195726
  47. http://www.elysee.fr/download/?mode=press&filename=06.02_Discours_Flamanville.pdf
  48. GDF Suez veut construire un réacteur Atmea dans la vallée du Rhône - Le Monde - 24.02.10 avec Reuters

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