Centrale nucléaire du tricastin

Centrale nucléaire du tricastin

Site nucléaire du Tricastin

44° 20′ 09″ N 4° 43′ 21″ E / 44.3356977, 4.7224903

Site nucléaire du Tricastin
Centraletricastin.JPG

La centrale nucléaire du Tricastin
Administration
Pays France France
Région Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Province Drôme et Vaucluse (départements)
Commune Saint-Paul-Trois-Châteaux et Pierrelatte , Bollène et Lapalud dans le Vaucluse
Opérateur EDF
Statut
Année de construction 1974
Date de mise en service commerciale 1er décembre 1980
Latitude
Longitude
44° 20′ 09″ Nord
       4° 43′ 21″ Est
/ 44.33583, 4.7225
 
Réacteurs
Fournisseurs Areva NP, Alstom
Type REP
Réacteurs actifs 4 x 900 MW
Production d'électricité
Puissance nominale 3600 MW
Electricité générée annuelle 25.105 GWh (année 2006) 12.300 GWh (année 2007)
Electricité moyenne 24.622 GWh (sur 5 dernières années)
Production totale 609 TWh
Divers
Source froide Canal de Donzère-Mondragon
Architecte {{{architecte}}}
Coût {{{coût}}}
Web url EDF : Tricastin

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Site nucléaire du Tricastin
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Site nucléaire du Tricastin
Site nucléaire du Tricastin
Documentation du modèle - Centrale nucléaire - énergie

Le site nucléaire du Tricastin est un site industriel qui regroupe des installations du cycle du combustible nucléaire et une centrale nucléaire. Il est situé en France, dans la basse vallée du Rhône sur la rive droite du Canal de Donzère-Mondragon (canal de dérivation du Rhône) entre Valence (70 km en amont) et Avignon (65 km en aval). Il s'étend sur une surface de 600 hectares répartie sur quatre communes, Saint-Paul-Trois-Châteaux et Pierrelatte dans la Drôme, Bollène et Lapalud dans le Vaucluse.

Sommaire

Composition du site

Le site accueille la plus importante concentration d'industries nucléaires et chimiques de France[1]. C'est le deuxième site nucléaire le plus étendu de France après l'usine de retraitement de La Hague. Le site regroupe de nombreuses activités liées à la fabrication et l'exploitation du combustible nucléaire. Les premières installations sont entrées en fonctionnement au cours des années 1960 pour enrichir de l'uranium à des fins militaires[2]. Actuellement, plus de 5 000 employés travaillent au Tricastin dans un important réseau d'entreprises dont les plus importantes sont :

Le site fait partie du pôle de compétitivité Trimatec qui « valorise les technologies issues du nucléaire et du génie des procédés qui sont favorables à l'environnement ».

Le nom propre « Tricastin » a pour origine le nom d'une tribu celto-ligure ayant vécu sur le secteur : les Tricastini, des peuples de la Gaule narbonnaise qui habitèrent sur le Rhône, et dont la capitale fut nommée Augusta Tricastinorum par Pline et Silius Italicus. Le pays qu'ils habitèrent se nomme aujourd'hui Saint-Paul-Trois-Châteaux.

Les deux tours de réfrigération de l'usine d'enrichissement Eurodif.

Centrale nucléaire du Tricastin

La centrale nucléaire du Tricastin a été construite en 1974, puis mise en service en 1980 (T1 & T2) et 1981 (T3 & T4).[3] Elle comprend quatre réacteurs à eau pressurisée (REP) de 900 MW chacun, soit une puissance totale de 3 600 MW pour la centrale.[4]

Le refroidissement de la centrale est assurée par l'eau du Canal de Donzère-Mondragon. Le combustible nucléaire neuf arrive en train sous forme d'assemblages fabriqué à la FBFC. Le combustible usé est entreposé en piscine de refroidissement pendant quelques mois, avant d'être expédié en train à l'Usine de retraitement de la Hague.

La centrale produit chaque année environ 25 TWh, soit 6% de la production électrique française. L'usine voisine d'enrichissement Eurodif consomme environ 15 TWh par an, soit environ les deux-tiers de la production de la centrale.[5] Cette proximité permet de limiter les pertes dues au transport de l'électricité.

EDF finance les collectivités locales à hauteur de 14 millions d'euros par an au titre de la taxe professionnelle de la centrale du Tricastin.

Usine Eurodif

L'usine de combustible Eurodif produit du combustible nucléaire par enrichissement de l'uranium. Elle est alimentée en uranium (sous la forme d'hexafluorure d'uranium - UF6) par l'usine Comurhex présente sur le site du Tricastin, et en électricité par la centrale nucléaire du Tricastin.

Cette usine est le plus important consommateur d'électricité en France, et le tout premier client d'EDF [6].

Le combustible nucléaire produit par l'usine d'Eurodif est ensuite envoyé à la FBFC sur le site de Romans-sur-Isère.

Sûreté et gestion du Risque

Concernant la centrale nucléaire, « l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) considère que les performances en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection du centre nucléaire de production d'électricité du Tricastin se distinguent de manière positive et que ses performances en matière de protection de l’environnement sont en retrait par rapport à l’appréciation générale des performances que l’Autorité de Sûreté Nucléaire porte sur EDF »[7].

Selon l'Autorité de Sûreté Nucléaire, l'analyse de sûreté prend bien en compte les risques d'agression externe (chute d'avion, séisme, inondation...)[8].

Risque sismique

En 2002 et 2003, EDF a déclaré deux incidents génériques de niveau 1 sur l'échelle INES relatifs à la tenue au séisme de composants de certains REP 900 MWe français, dont ceux de la centrale du Tricastin.

L'incident déclaré le 14 octobre 2002 concerne la tenue au séisme de réservoirs d'eau permettant d'assurer le refroidissement du coeur en cas d'accident[9]. Les travaux nécessaires à la remise en conformité de la centrale se sont terminés en décembre 2005[10].

L'incident déclaré le 28 octobre 2003 concerne la tenue au séisme de tuyauteries connectées à l'un des réservoirs d'eau concerné par l'incident du 14 octobre 2002[11].

Risque d'incendie

Concernant la centrale nucléaire, l'ASN considère en 2007 que

« le site devait encore progresser sur la gestion de la formation, la réalisation des permis de feu et les délais d’intervention en cas d’incendie qui demeurent trop longs[12]. »

Concernant l'installation d'enrichissement, c'est-à-dire l'usine Georges Besse d'Eurodif, l'ASN considère en 2007 que

« le risque incendie était bien pris en compte, toutefois des améliorations sont attendues notamment pour la formation du personnel et sur la rédaction des permis de feu[13]. »

Chute d'avion

Le passage d'avion est interdit au dessus du site nucléaire du Tricastin comme sur l'ensemble des sites nucléaires sous peine d'amende. Toutefois, les nouveaux projets sur le site - par exemple Georges Besse II - tiennent compte du risque de chute d'avion dès les premières phases d'élaboration du projet.

Impacts sur l'environnement

Pollution et incidents

Rejets d'effluents liquides

Un rapport de mai 2007 de l'ASN rappelait à l'ordre Socatri, une filiale d'Areva présente sur le site, en déclarant:

« L'ASN rappelle Socatri à l'ordre pour des écarts répétés à ses autorisations de rejets chimiques et radiologiques (...). Les effluents liquides en sortie de la station de traitement présentent régulièrement des écarts aux seuils de rejets chimiques.
Une nouvelle station de traitement des effluents liquides doit être mise en service en 2008. La canalisation qui évacue les effluents liquides de Socatri, du fait de son ancienneté, a fait l'objet de fuites répétées en 2007.[14] »

Fuite d'uranium du 8 juillet 2008

Wikinews-logo.svg

Wikinews propose des actualités concernant « Fuite radioactive sur le site de Tricastin ».

Dans la nuit du 7 au 8 juillet 2008[15], lors du nettoyage d'une cuve[16], une solution uranifère a été répandue sur le site et dans les rivières avoisinantes. La Socatri, une filiale de l'AREVA annonce que le volume d'effluent relâché est de 6,25 m3, rapportant la quantité d'uranium libérée à 75 kg. 224 kg d'uranium ont débordé d'une cuve de traitement d'uranium, dont 74 kg seraient parvenus jusqu'à la rivière de la Gaffière et le Lauzon [17].Cet incident a été classé provisoirement[18] au niveau 1 sur l'échelle internationale des événements nucléaires (équivalent à une « anomalie de fonctionnement ») par l'Autorité de sûreté nucléaire[19]. Socatri a rapporté l'incident à l'ASN 8h30 après les faits[20].

Le Réseau Sortir du nucléaire a porté plainte contre X[21], en visant particulièrement l'exploitant Socatri-Areva et l'Autorité de sûreté nucléaire[22], et la CRIIRAD devrait porter à son tour plainte contre l'exploitant[20]. Le Réseau Sortir du nucléaire a accusé Areva de mise en danger volontaire de la population en n'ayant informé que tardivement les populations concernées de cette pollution[23]. Les communes ont été averties 12 heures après. La préfecture a décrété l'interdiction de pêche, de baignade et d'irrigation ainsi que les restrictions sur la consommation d'eau sur les communes de Bollène, Lapalud et Lamotte-du-Rhône[24].

L'ASN a demandé le 11 juillet à la Socatri de suspendre l'activité de sa station de traitement[25] et de prendre des « mesures immédiates de mise en sécurité »[26].

Des mesures de teneur en uranium faites, entre le 8 et le 13 juillet, dans la nappe phréatique au Tricastin ont révélé des « valeurs [qui] ne peuvent être expliquées par le rejet accidentel » d'après l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Didier Champion, directeur de l'environnement à l'IRSN, estime qu'« on ne peut exclure qu'il y ait eu des rejets antérieurs, à l'origine d'une pollution à l'uranium »[27],[28].

Rejets de carbone 14 de juin et juillet 2008

Au delà de ses activités de gestion d'effluents, la SOCATRI réalise des opérations de reconditionnement pour le compte de l'Andra. Ces opérations consistent à trier des déchets des « petits producteurs » (laboratoires médicaux, hôpitaux...) et à les orienter vers l'exutoire adéquat (incinération, stockage)[29]. Lors d'une opération de reconditionnement en juin 2008, un rejet de carbone 14 (utilisé comme traceur pour les examens médicaux) gazeux conduit l'installation à dépasser sa limite de rejet mensuelle pour ce radionucléide. L'anomalie est identifiée lors de mesures le 4 juillet. L'activité de l'atelier de traitement est immédiatement suspendue. Areva affirme que l'ASN est informée de cet incident le 7 juillet lors d'un point hebdomadaire entre les organismes[30].

Pendant les opérations de mise à l'arrêt, les rejets continuent, conduisant le 18 juillet 2008 à un dépassement de 5 % de la limite annuelle de rejet[31]. L'ASN est informée le 5 août de ce dépassement de la limite annuelle et décide de la suspension pour le reste de l'année, à la Socatri, de toutes les activités susceptibles de générer un rejet de carbone 14 gazeux. L'incident est classé au niveau 1 de l'échelle INES[32].


Assemblages bloqués de septembre 2008

Depuis le 8 septembre 2008, 2 assemblages sont resté accrochés aux structures internes supérieures au cours d’une opération de renouvellement du combustible nucléaire. Dès le constat fait de l'anomalie, l’opération a été immédiatement arrêtée. Les 2 assemblages restant suspendus sous l’eau dans la cuve, tandis que l’exploitant faisait procéder à l’évacuation du bâtiment réacteur et à son isolement.

Les assemblages sont toujours bloqués après plus d'un mois.[33]. EDF a proposé des solutions techniques le 14 octobre pour récupérer les deux assemblages. L'Autorité de Sûreté Nucléaire les a évaluées sur la "maquette" du centre d'expérimentation et de validation des techniques d'intervention sur chaudières nucléaires à eau pressurisée (CETIC) de Chalon-sur-Saône. Le 22 octobre, l'ASN a donné son aval à l’opération[34].

Il n' y a aucun risque de criticité non plus de de défaut de réfrigération des assemblages

Un incident de même type s'est déjà produit en France sur un assemblage en 1999, à la centrale nucléaire de Nogent sur Seine (Aube) qui a été soldé sans problème particulier. Toutefois la situation à Tricastin est différente avec 2 assemblages contigus suspendus, au lieu d’un seul en 1999.

Pollution radiologique du site de Tricastin

Corinne Castanier, directrice de la CRIIRAD, évoque notamment une possible pollution par les canalisations de rejet de la Socatri ou les déchets issus d'une ancienne usine militaire d'enrichissement de l'uranium qui a fonctionné sur le site du Tricastin de 1964 à 1996, et enfouis à l'autre extrêmité du site[35],[36].

Areva NC a nié ces hypothèses dans son communiqué du 16 juillet 2008, intitulé « SOCATRI répond aux allégations de la CRIIRAD[37] », dont une dépêche de l'AFP du 9 juillet 2008 reprend les termes :

« Selon un rapport du Haut Commissariat à l'énergie atomique publié en 1998, la butte [où ont été enfouis les déchets radioactifs d'origine militaire] a bien engendré une pollution de la nappe, traitée par pompage de 1980 à 1998. Une étude d'impact ayant ensuite conclu à l'absence de risque sanitaire, le tertre est depuis sous simple surveillance, les mesures faisant apparaître une concentration moyenne d'uranium de 8 microgrammes par litre, deux fois moins que la norme de l'OMS. »[38].

Le directeur-adjoint de l'environnement à l'IRSN, Jean-Christophe Gariel, a déclaré à l'AFP qu'« établir des relations de cause à effet entre telle ou telle installation et le marquage n'est pas immédiat. Cela va demander des investigations relativement poussées ».

L'inventaire national des déchets radioactifs[39] indique que cette butte contient 760 tonnes de déchets de barrières de diffusion, pour une activité globale de 42 GBq (soit une activité massique de 55 Bq/g, ce qui les classe dans la catégorie de déchets « très faible activité »).

Projet de GDF-Suez

Lors de l'annonce par le président français Nicolas Sarkozy de la construction d'un second réacteur EPR en juillet 2008, Tricastin est mentionné parmi les cinq sites envisagés (avec Flamanville, Penly, Chooz et Marcoule)[40]. Mais c'est finalement le site de Penly qui est choisi.[41]

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Le Monde, 17 juillet 2008.
  2. [pdf] Georges Besse II : une nouvelle usine et son environnement Dossier d'Areva pour le débat public de construction de l'usine Georges Besse II
  3. ASN, « Site du Tricastin ». Consulté le 21 mai 2009
  4. EDF, « Présentation de la centrale du Tricastin ». Consulté le 21 mai 2009
  5. http://www.industrie.gouv.fr/energie/nucleair/epr_1_2.htm
  6. Avis du 28 avril 1998 du Conseil de la concurrence
  7. [pdf] Chapitre 12 - Les centrales nucléaires d'EDF - La sûreté nucléaire et la radioprotection en France en 2007, Rapport annuel de l'ASN, p. 359
  8. [pdf] Lettre de suite de l'inspection du 3 mai 2005 - Thème agressions externes
  9. Erreur de conception affectant la résistance au séisme de réservoirs d'eau de plusieurs réacteurs de 900 MWe - Autorité de sûreté nucléaire
  10. Suite de l'anomalie générique de conformité relative à la résistance au séisme de réservoirs d'eau de plusieurs réacteurs de 900 MWe d'EDF - Autorité de sûreté nucléaire
  11. Erreur de conception affectant la résistance au séisme de certaines tuyauteries des réacteurs du Blayais, de Chinon, Cruas, Dampierre, Gravelines, Saint-Laurent et du Tricastin - Autorité de sûreté nucléaire
  12. [pdf] Inspection du CNPE du Tricastin (INB n° 87/88) - Thème incendie Lettre de suite de l'inspection du 6 et 7 mai 2008
  13. [pdf] Inspection de l’usine de Georges BESSE - Thème incendie Lettre de suite de l'inspection du 15 avril 2008
  14. Tricastin : le rapport qui accuse, La Provence, 10 juillet 2008
  15. « Fuite d’une solution contenant de l’uranium à l’usine SOCATRI du Tricastin », note d’information datée du 8 juillet 2008 de l'IRSN
  16. « Débordement d'effluents uranifères dans l'environnement à l'usine SOCATRI (Drôme) », note d'information du 8 juillet 2008 de l'ASN.
  17. Claire Angot, Tricastin: Des écarts déjà signalés, Le Journal du dimanche, 10 juillet 2008
  18. Débordement d'effluents uranifères dans l'environnement à l'usine SOCATRI (Vaucluse) : bilan de la surveillance environnementale - Autorité de sûreté nucléaire
  19. « Rejet d'uranium à Tricastin: quantité moins importante qu'annoncée », Yahoo, 9 juillet 2008.
  20. a  et b « Tricastin : la filiale d'Areva déjà épinglée », Le Figaro, 10 juillet 2008.
  21. http://www.lepoint.fr/actualites-societe/tricastin-plainte-du-reseau-sortir-du-nucleaire/920/0/264022
  22. http://www.sortirdunucleaire.org/actualites/communiques/affiche.php?aff=430
  23. « Les associations écologistes dénoncent la gestion de l'incident au Tricastin », Yahoo, 9 juillet 2008.
  24. « Les premières mesures seraient rassurantes à Tricastin », L'Express (dépêche de Reuters), 10 juillet 2008.
  25. Nucléaire : Socatri priée de stopper l'activité de Tricastin, Europe 1, 11 juillet 2008
  26. « L'Autorité de sûreté nucléaire demande l'arrêt de la station de traitement du Tricastin », Le Monde, 11 juillet 2008.
  27. De l'uranium suspect décelé dans la nappe phréatique au Tricastin Le Monde, 14 juillet 2008.
  28. Un taux d'uranium suspect découvert au Tricastin [1], Le Figaro, 15 juillet 2008.
  29. [pdf] Suite à un rejet gazeux en carbone 14 à la SOCATRI, l’Andra a engagé une enquête auprès des producteurs de déchets concernés Communiqué de presse de l'Andra du 6 août 2008
  30. Tricastin: Encore une fuite cachée? article du 6 août 2008 sur lejdd.fr
  31. Dépassement de la limite autorisée de rejets gazeux d'isotope 14 du carbone à l'usine Socatri du Tricastin : l'IRSN mène une évaluation des conséquences dosimétriques de cet incident Communiqué de presse de l'IRSN du 7 août 2008
  32. Avis d'incident - L'ASN suspend les activités de SOCATRI (Bollène) générant des rejets de carbone 14 sur le site de l'ASN
  33. opération sauvetage reportée - L'usine nouvelle, 15/10/2008
  34. L'ASN estime que la nouvelle solution technique proposée par EDF est satisfaisante - Note d'information de l'Autorité de Sûreté du 22/10/2008
  35. « Réactions en chaîne au Tricastin », Libération, 15 juillet 2008.
  36. « De l'uranium militaire incriminé au Tricastin », Le Monde, 16 juillet 2008.
  37. Tricastin : SOCATRI répond aux allégations de la CRIIRAD, Areva NC, 16 juillet 2008.
  38. dépêche AFP du 9 juillet 2008
  39. inventaire national des déchets radioactifs publié par l'ANDRA.
  40. http://www.jdf.com/societes-francaises/2008/07/03/02007-20080703ARTJDF00004-epr-vers-un-deuxieme-reacteur-en-france.php?ID_NOTATION=195726
  41. http://www.elysee.fr/download/?mode=press&filename=06.02_Discours_Flamanville.pdf


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