Semiologie de la musique

Semiologie de la musique

Sémiologie de la musique

Tolstoï définissait lart comme : « lactivité humaine par laquelle une personne peut, volontairement, et au moyen de signes extérieurs, communiquer à dautres les sensations et les sentiments quelle éprouve elle-même » (in : Quest-ce que lart ?). Pour lui, « dès que les spectateurs ou les auditeurs éprouvent les sentiments que lauteur exprime, il y a œuvre dart ». Lobjet de lart est donc dévoquer, de communiquer. Lart se situe dès lors dans un contexte social (en l'occurrence pour lui, celui de la production marchande). Cette définition, qui n'est pas sans prêter le flanc à la critique quand on connaît les développements actuels de l'art, compte depuis longtemps ses tenants et ses détracteurs.

Mais c'est à partir de ce postulat constatant la présence de significations, de symboles, de sens, que de multiples domaines artistiques (iconographie, cinéma, peinture...) ont commencé, dans les années 1970, à être abordés sous l'angle de la communication de signes.

Sommaire

Musique et langage

Les structures de la musique et du langage ont en commun le caractère avant tout auditif de la communication qu'elles instaurent, ainsi que son côté transcriptible. Au couple son et note correspondrait les concepts linguistiques de phonèmes (signifiant) et de monèmes (signifié). Ces concepts fondent la double articulation de Martinet. Mais la musique a-t-elle vraiment cette double articulation ? Le rapport langue - parole peut sembler corroborer le rapport des théories musicales à la création ou celui de lécriture à lexécu­tion, à linterprétation : dans les deux cas la langue fonde un assem­blage des unités syntaxiques en syntagmes que la parole réorganise à son gré. Mais si le langage sait parler du langage, la musique ne parle pas de la musique. Les concepts linguistiques évaluent une attente dinformation souvent confrontée à une prévision statistiquement connue. Pareillement, entre redondances et variété, lesprit créateur (poète comme musicien) fait la part de linacceptable et construit une organisation autorégulée de son œuvre. Laudition a le privilège de disposer dune mémoire dans laquelle les stimuli peu­vent être classés sous forme de longues séquences, et grâce à laquelle nous restituons sans erreur des thèmes musicaux longs de quelques di­zaines ou centaines de notes. Ecouter cest choisir ! D ce caractère prévisionnel de laudition, et par contrecoup le besoin de la création de détruire les références, dinstaurer un décalage avec les modèles dorganisation tels quils apparaissent au fur et à mesure de lintégra­tion historique.

Synchronie et diachronie

Au-delà, les structures de la musique et du langage ont également (et peut-être avant tout) en commun leur déroulement temporel. La distinction opérée par la linguistique entre le synchronique et le diachronique, ou entre l'histoire et les changements structurels, ressemble à celle primordiale dans la musique entre le simultané et le contigu. La musique se développe dans le temps, et possède à la fois une structure construite au fur et à mesure de son déroulement, et des harmonies résultants de simultanéités de sons (parfois, comme dans la musique contemporaine, il s'agit plus de conglomérats sonores, et l'harmonie devient « masse sonore »).

Sens et signification

En partant de la référence à la linguistique, science pilote dans le domaine des sciences humaines depuis les années 1950, les auteurs font justement de l'art un système de signes ayant un sens, et cherchant à communiquer une signification. La musique y trouva alors rapidement toute sa place, elle dont l'expression « sonore » la rapproche le plus du langage. De la même façon que Ferdinand de Saussure avait opposé la langue et la parole, la sémiotique développa sur le même thème les oppositions et les complémentarités entre le code et le message. Mais l'art, ne délivre pas de message. « Signifier » en musique ne veut pas dire faire comprendre : l'œuvre musicale veut simplement communiquer une sensibilité personnelle présentée à nos sens mais accessible bien au-delà. Cette communication prend d'ailleurs chez certains compositeurs lallure dune inté­gration de plus en plus complexe de matériaux disparates.

Information et réception

Les compositeurs sont rarement (jamais) en phase avec leur temps. Qui pourrait les en blâmer ; comment refuser dy voir le visage dune esthétique renouvelée quil ne nous appartient pas de ju­ger. Toute création cherche ce que Debussy appelait « le plaisir délicieux de lidée à choisir entre toutes. » De son côté, la réception esthétique repose sur un désir tendu vers linconnu, et qui rencontre le plaisir de la variété de moments inattendus. Le compositeur doit tendre à donner à la fois des balises, des points d'ancrage et à déstructurer l'écoute. C'est pourquoi les règles qu'édictent les théories musicales sont illimitées et souvent transgressées, permettant à la diversité des formes de lécoute musicale de se construire sur la complexité et la variété.

Structures et universaux

Claude Lévi-Strauss pour qui la musique représente « le langage moins le sens » utilise sa théorie des structures élémentaires pour découvrir celles qui parcourent toute lhistoire de la musique. Dans sa théorie, ces structures sont notre fond commun, la conscience dune représentation du monde propre à un certain ensemble de lhumanité. Ainsi « en inventant les formes musicales, la musique [a] seule­ment redécouvert les structures qui existaient déjà au niveau my­thique ». Son analyse anthropologique et structuraliste explique pourquoi beaucoup de musiques qui nous paraissent « étrangères » voire « étranges » peuvent s'écouter, et être perçues comme des musiques à part entière. Il suffit alors de se tourner vers les philosophies de la connaissance. Les règles qui engendrent tous les processus créatifs neufs devraient appartenir en commun à toutes les théories issues de la psycholinguistique qui explorent la création.

Syntagmes et paradigmes

En traduisant la structure hiérarchique de lexpression musicale, se dégage un « lexique » et une « syntaxe » musicale. Heinrich Schenker ou Milton Babbitt, tous deux musiciens, s'entendirent à entamer ce projet. Analogue à la langue est alors le corpus des œuvres, cette analyse chaque œuvre se voit définie par sa relation aux autres, chaque style naît de sa structure commune avec le précédent. Le rapport langue - parole semble, dans cette analyse, corroborer le rapport des théories musicales à la création ou celui de lécriture à lexécu­tion, à l'interprétation : dans les deux cas la langue fonde un assem­blage des unités syntaxiques en syntagmes que la parole réorganise, et le langage oral opère par des combinaisons de phonèmes : la note, le signe ou signal musical fonctionne comme le phonème ; les unités syntactiques de la musique, celles qui four­nissent la logique de son ordonnancement propre sont par contre toujours à chercher.
Le langage tel quenvisagé par les linguistes structura­listes américains ou par ceux de lécole française, à laquelle se ratta­chait Georges Mounin, sanalyse comme la distribution de segments unitaires. Cette distribution sopère se­lon des codes précis qui permettent de dégager un signifiant des diffé­rentes analogies de lactivité symbolique et conceptuelle du langage. Les unités sonores, quil reste dans ce cas à définir, opèrent dans la musique comme dans la langue par répé­titions, parallélisme, assemblage, sélection et opposition (binaire, sé­rielle: le rapport est dit syntagmatique ; ou bien elles opèrent par des comparaisons : le rapport est alors paradigmatique. Tout langage, y compris le langage musical, et cest la théorie développée dans la vision sémiologique, est une combinaison à la fois syntagmatique et paradigmatique (en fonction de ce qui suit et de ce qui précède) de ses éléments syntaxiques construits en fonction dune linéarité. Au niveau de la structure générale de lœuvre, des signaux agissent sur la perception de la structure. Certaines fonctions dévolues aux phénomènes musicaux sexploitent pour donner à entendre une fonction sémiotique immanente.
La musique sorganise bien autour de patterns, cest-à-dire de formes acquises culturellement, ou de schémas dacquisition, dassimilation dun ensemble organisé de préférences, dhabitudes, qui dégagent des lois de perception (soulignées par lécole béhavioriste et notamment par les travaux de Georg B. Watson). Ce rapprochement entre des codes (par exemple ceux de la notation musicale), des conventions (celles de la musique tonale), paraît pouvoir imposer un système de communication dont chaque musique ne serait quune des formes. Le nouveau modèle que doit proposer la théorie doit se fonder sur une universalité du langage musical (cette fonction structurée et structu­rante) pour définir les particularités de chaque style, de chaque œuvre.

Grammaires génératives

Dès 1957 le linguiste structuraliste Noam Chomsky est parvenu, grâce aux nouvelles technologies informatiques de traitement de lintelligence artificielle, à dégager du traitement formel des langues une nouvelle théorie du langage fondée sur luniversalité de certaines structures. Noam Chomsky construisit alors une grammaire universelle, description purement structurale, par définition dépourvue des contraintes sémantiques. Il soppose dans cette théorie aux tenants du béhaviorisme pour qui le langage possède avant tout la double articulation signifiant - signifié, et est donc une communication. Il réussit lexploit de dé­gager du langage les structures syntaxiques profondes, un stock relati­vement réduit de phrasesnoyaux” (kernel) à partir desquelles se construisent tous les discours particuliers. Cette théorie marque la naissance de la psycholinguistique moderne. Le principal intérêt de cette révolution chomskienne pour lélaboration des règles de construction de tous les langages, y compris du langage musical, cest quelle explique comment le cerveau produit et reconnaît des énoncés « signifiants » qui nont jamais été uti­lisés précédemment. La production, même infinie, peut sopérer par des règles en nombre fini. Ces règles sont dites de transformation, ou transformationnelles et dassociation ou associa­tionnelles. Elles furent reprises dans la théorie générative de la mu­sique par Fred Lerdahl et Ray Jackendoff (1981) pour expliquer un mé­canisme similaire dans la création musicale, sous les termes psycho­logiques de structures de groupement, structures métriques, réductions de lespace-temps, réductions de prolongation. Lerdahl et Jackendoff fondèrent la théorie générative de la musique sur la perception par lauditeur de lorganisation de la musique (tonale puis atonale) par des lois empruntées à la Gestalttheorie. Mais surtout leur théorie nest pas sans conséquences ni implications pour la composi­tion. Si lon entend, comme le font les auteurs, par système composi­tionnel non pas un algorithme, mais un ensemble de procédures, on ne se limite plus à des règles inhibitrices, et, comme le souhaitait le prouver la théorie de Chomsky, la génération dune énonciation nouvelle, peut obéir à un système fini de règles. Le caractère séman­tique est interprétatif. Le code de production appartient à tout le monde (il a un caractère général) et parvient à être traduisible parce quil est quantifiable.

Code et théorie musicale

De fait, la musique se construit souvent à partir d'un code, la théorie musicale : qu'elle soit tonale ou atonale, spectrale ou sérielle, la théorie, existante ou inventée (théorie a priori et théorie a posteriori) reste le fondement de l'écriture musicale.

Elle s'écrit (mais également se conçoit) alors comme un système de signes, c'est-à-dire d'objets reconnaissables sur la base de quelques caractéristiques propres à la culture. Certes elle reste un art non signifiant. Igor Stravinski dans une apostrophe demeurée célèbremais malheu­reusement souvent utilisée à contresens par ses détracteursfut lun des premiers à considérer à juste titre que la musique navait dautre signification que celle de tout art : une direction qui fondait son es­sence (et son sens), mais qui ne pouvait et ne devait pas être confon­due avec une analyse en termes détats psychologiques. Il réunissait par les deux conceptions du sens, dynamiques et linguistiques :

« Je considère la musique par essence impuissante à expri­mer quoi que ce soit : un sentiment, une attitude, un état psychologique, un phénomène de la nature, etc. Lexpression na jamais été la propriété immanente de la musique. La raison dêtre de celle-ci nest daucune fa­çon conditionnée par celle-. Si, comme cest presque toujours le cas, la musique paraît exprimer quelque chose, ce nest quune illusion et non pas une réalité. Cest simplement un élément additionnel que, par une convention tacite et invétérée, nous lui avons prêté, imposé, comme une étiquette, un protocole, bref, une tenue et que, par accoutumance ou in­conscience, nous sommes arrivés à confondre avec son essence. »

Pourtant la rythmique du Sacre du Printemps brise les carcans de la mesure pour réinven­ter une forme de rythme inconnue de la culture occidentale. Pierre Boulez quand il étudie la rythmique du Sacre essaie de montrer que, même très élaborée, cette rythmique conserve la trace dun matériau traditionnel. Mais de quelle tradition peut-on parler ? S'il y a eu « scandale » à la création, c'est bien que le public ne pouvait donner un sens à cette musique. Non seulement le compositeur cherche à exprimer une certaine vision immanente de son art, mais l'auditeur construit par son écoute l'expressivité de la musique : chaque culture a sa propre esthétique de la réception (cf. sociologie de la musique). Ce qui fait dire aux théoriciens de la sémiologie musicale qu'il y a au moins deux niveaux de sémantique musicale : celui du compositeur, nommé poïétique ou poiesis (« création »), et celui de l'auditeur, nommé esthésique (« réception »).

Tous les critères d'authenticité ou de fidélité aux textes jouent sur cette ambiguïté. Les redécouvertes des interprétations baroques ont leur tenant et leur aboutissants qui ne peuvent pas, pour l'interprète comme pour l'auditeur, être analysés, à l'orée du XXIème siècle, dans le même sens que celui entendu au XVIIIème. Toutes les polémiques de l'interprétation musicale sont nées de ce double aspect du sens musical.

Tripartition

Il faut donc reconnaître avec Jean Molino puis avec Jean-Jacques Nattiez, fondateurs de la sémiologie musicale, que le sens musical est à double niveau : celui du compositeur, qu'ils nomment poïésis, et celui du récepteur, ou esthésique. Chaque compositeur, surtout à notre époque chacun refuse de se laisser enfermer dans des ghettos stylistiques, cherche à définir un langage qui lui soit propre. Jean-Jacques Nattiez dans ses Fondements dune sémiologie musicale, a ancré son étude dans lanalyse des correspondances symboliques que la musique établit depuis le niveau de sa création jusquà celui de sa réception. Il explique que le langage musical s'établit à la fois au niveau créatif que le compositeur cherche à exprimer, et à ce que le récepteur fait de la perception formelle, du sens, de la structure, ce qu'il appelle le niveau esthésique. La musique art du temps, est aussi l'art du temps perçu, (que chacun sait parfaitement subjectif). Roman Jakobson, dans un schéma célèbre, a posé la nécessité dun code commun au récepteur et au locu­teur, et à lobjet dont on parle. Cette restriction nopère que dans une procédure discursive de la com­munication. Un processus dintégration de la continuité du temps musical noffre au contraire pas de restrictions de cet ordre. La recon­naissance dune œuvre musicale seffectue par corrélation de linformation transmise avec le contenu dune mémoire à long terme permanente. Nattiez situe un troisième niveau qui est l'intermédiaire entre ces deux  : celui de la partition, ou « niveau neutre ». Pour linterprétation musicale la notation possède à la fois cet atout considérable de transmettre la création de lauteur lui-même. malgré tout, lacuité des différences de transcription à travers lédition prouve sil était nécessaire que cette transmission est toujours relative et le penchant fixiste qui défend à lœuvre dévoluer sous peine de trahir la pensée de son auteur rendent ce niveau très important.

Lécriture musicale, à linstar des mathématiques représente une forme dabstraction ; mais elle fait subir aux formes dexpression de semblables penchants à luniformisation vers un standard. Enfin, et surtout, l'écriture parvient à réintégrer le symbole personnel en procurant une certaine autonomie à l'interprète qui peut donner de multiples fa­cettes à la composition. La puissance du symbole confiée à linterprète procure à la musique une dimension importante, que ni le compositeur ni le récepteur ne peuvent vraiment contrôler.

Symbole et transcendance

Les énoncés du langage, forme signifiante et abstraite de la communication, sont une manifestation de lintelligence conceptuelle de lhomme, de son aptitude à communiquer. Toute science qui manipule des concepts généraux se construit sur un lan­gage,souvent difficile à faire évoluer. Le langage est souligné par tous les auteurs comme la forme évoluée de communication qui a permis à lhomme de se forger un savoir et dexpérimenter les lois de lunivers. Cette aptitude à relier le signe, le mot, le concept et la chose ou lidée dans des représentations signi­fiantes arbitraires et abstraites est en loccurrence purement humaine et nexiste nulle part ailleurs dans le monde animal. Lart, qui, comme l'explique Hegel se définit comme la manifestation sensible de lidée, dépasse sensiblement ce cadre de représentation. Limagination créatrice de l'art, imagination symbolique, intervertit le sens commun du symbole : la musique a certaines connotations (elle peut représenter pour certains des émotions, des affects), mais ce n'est pas son but. En sappuyant sur des référents expressifs attribués aux modes, aux phrasés, aux accents, aux mé­lismes, la musique ne cherche pas à traduire une image ou même directement des sentiments. Il s'agit non plus d'une symbolisation univoque, mais de « re-présenter », cest-à-dire comme le signifiait Nietzsche de présenter autrement, dune autre façon, ce qui nappartient pas à lexpérience sensible. La musique exerce un pouvoir de transcendance en signifiant par référence à un temps vécu propre à chacun. Ses perceptions peuvent opérer différemment pour chacun des es­prits qui la reçoivent tout en conservant une unité et une universalité. La sémantique musicale, par essence abstraite, crée en fait un monde bien particulier, qui est à la fois immanent à son matériau et transcendant au monde perçu par chacun. Les énoncés musicaux détiennent un « signifié » qui leur confère un potentiel à structurer lœuvre suivant différents niveaux de hiérarchie. Le matériau musical se déduit de la représentation ; limmanence de son expression est retenue pour en affecter lémotionau sens de mouvement de lâmeà un donné musical transcendant.

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