- Rouyn-noranda
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Rouyn-Noranda
Rouyn-Noranda Administration Pays Canada Province Québec Région Abitibi-Témiscamingue Comté ou équivalent Rouyn-Noranda Statut municipal Ville Constitution 1er janvier 2002 Maire
Mandat en coursRoger Caouette
2005 - 2009Démographie Population 39 961 hab. (2002) Densité 6 hab./km2 Gentilé Rouynorandien, Rouynorandienne Géographie Coordonnées
géographiquesAltitudes mini. {{{mini}}} m — maxi. {{{maxi}}} m Superficie 6 435 64 km2 Fuseau horaire Indicatif Code géographique 24 86042 Rouyn-Noranda est une ville du Québec (Canada), de la région administrative de l'Abitibi-Témiscamingue. Rouyn-Noranda est le résultat de la fusion de deux villes, Rouyn et Noranda, qui furent fondées en 1926 sur les rives du lac Osisko suite à la découverte d'un riche gisement de cuivre en 1917 qui mena à la fondation de la mine Noranda. Suite aux réorganisations municipales québécoises de 2002, l'ensemble des municipalités de la MRC de Rouyn-Noranda fusionnent en une seule. Aujourd'hui la Ville de Rouyn-Noranda a le double statut de MRC et de municipalité locale.
En 1966, la ville Rouyn-Noranda devint la capitale administrative régionale, siège de plusieurs bureaux régionaux de différents ministères du gouvernement du Québec. La région conserve encore ses activités industrielles (minières et forestières) et a su développer des activités touristiques (randonnées, pourvoiries, etc.) Cependant, Rouyn-Noranda n'a pas les sous-sols miniers les plus riches, comparativement à Val-d'Or mais elle est la ville qui possède le plus de cuivre.[réf. nécessaire]
Sommaire
Toponymie
Le nom de Rouyn se veut un hommage au capitaine de Rouyn, membre du régiment Royal-Roussillon en 1759, qui s'illustra lors de la bataille de Sainte-Foy en 1760 et reçoit la croix de Saint-Louis. Il retournera par la suite mourir en France.
L'appellation Noranda résulte de la contraction de Nord et Canada qui, à l'origine, devait prendre la forme de Norcanda, mais se mua en sa forme actuelle par suite de la négligence d'un imprimeur distrait. [1].
Le toponyme algonquin de la ville est Conia Asini[2]
Histoire
Chronologie
- 1907 : Fondation du canton de Cléricy.
- 1916 : Fondation du canton de Rouyn.
- 1916 : Fondation du canton de Cadillac.
- 1920 : Fondation du canton de Bellecombe.
- 1920 : Fondation du canton de Montbeillard.
- 1926 : Le canton de Rouyn devient le village de Rouyn.
- 1926 : Fondation de la ville de Noranda.
- 1927 : Le village de Rouyn devient la ville de Rouyn
- 1932 : Fondation du village de Rollet
- 1935 : Fondation du canton de Destor.
- 1940 : Le canton de Cadillac devient le village de Cadillac.
- 1948 : Le village de Cadillac devient la ville de Cadillac.
- 1948 : Fondation de la municipalité d'Évain.
- 1954 : Le village d'Évain se détache de la municipalité d'Évain.
- 1976 : Création de la nouvelle municipalité d'Évain par la fusion de l'ancienne municipalité et du village d'Évain.
- 1978 : Le canton de Cléricy devient la municipalité de Saint-Joseph-de-Cléricy.
- 1978 : Fondation de la municipalité de Saint-Guillaume-de-Granada.
- 1978 : Le canton de Bellecombe devient une municipalité.
- 1978 : Fondation de la municipalité de Saint-Norbert-de-Mont-Brun.
- 1979 : Fondation de la municipalité de Beaudry.
- 1979 : Fondation de la municipalité de Cloutier.
- 1979 : Fondation de la municipalité de Kinojévis.
- 1979 : Fondation de la municipalité de Rollet.
- 1980 : Fondation de la municipalité d'Arntfield.
- 1980 : Fondation du village de Lac-Dufault.
- 1980 : Fondation de la municipalité de D'Alembert.
- 1980 : Le canton de Montbeillard devient une municipalité.
- 1981 : Le canton de Destor devient la municipalité de Destor.
- 1981 : La municipalité de Kinojévis devient la municipalité de McWatters.
- 1986 : Création de la ville de Rouyn-Noranda par la fusion des villes de Rouyn et de Noranda.
- 1995 : Création de la nouvelle ville de Rouyn-Noranda par la fusion de l'ancienne ville et de la municipalité de Saint-Guillaume-de-Granada.
- 1997 : La municipalité de Saint-Norbert-de-Mont-Brun devient la municipalité de Mont-Brun.
- 1997 : Création de la nouvelle ville de Rouyn-Noranda par la fusion de l'ancienne ville et du village de Lac-Dufault.
- 1998 : La municipalité de Saint-Joseph-de-Cléricy devient la municipalité de Cléricy.
- 2000 : Création de la nouvelle ville de Rouyn-Noranda par la fusion de l'ancienne ville et de la municipalité de Beaudry.
- 2002 : Création de la nouvelle ville de Rouyn-Noranda par la fusion de l'ancienne ville, de la ville de Cadillac et des municipalités d'Arntfield, de Bellecombe, de Cléricy, de Cloutier, de D'Alembert, de Destor, d'Évain, de McWatters, de Montbeillard, de Mont-Brun et de Rollet.
Des débuts à aujourd'hui
Située au nord-ouest du Québec, la région de l’Abitibi-Témiscamingue a longtemps été le royaume des coureurs des bois, des trappeurs et des amérindiens et plus précisément des Algonquins.
Au début des années 1900, la région de Rouyn-Noranda n'était qu'une vaste forêt sauvage traversée de rivières et de nombreux lacs pratiquement inaccessibles. Un prospecteur de la Nouvelle-Écosse, Edmund Horne, s'aventura sur les rives du lac Osisko pour la première fois en 1911. Il revint deux autres fois pour fouiller le sol et y découvrit finalement des gisements de cuivre d'une grande teneur.
Durant la crise économique de 1929, le gouvernement du Québec encouragea l’implantation de colons. Des gens affluèrent de partout, gonflés d'espoir et d'enthousiasme. Une mine s'érigea, des cabanes de bois apparurent ici et là sur les bords du lac et on parla bientôt d'un village...
Outre un hôtel rudimentaire, l'hôtel Osisko et quelques cabanes qui abritaient les colons, un grand camp se dressa sur une pointe avançant dans le lac. C'était la demeure de monsieur Joseph Dumulon, de Ville-Marie, qui en plus de loger la famille, servait de magasin et de bureau de poste. À l'est, s'élevait à quelques acres le camp des garde-feux, puis en face, le bureau du syndicat où on vendait les emplacements de la future ville.
Jeudi, le 10 octobre 1924, dans le magasin de monsieur Dumulon, l'abbé Fougère célébra la première messe. Sur ce coin de terre plein de promesses, une cinquantaine de personnes prièrent ensemble pour la première fois, regroupées autour d'un comptoir servant d'autel.Les deux villes furent érigées en municipalités la même année, soit le 11 mars 1926 pour Noranda, et le 5 mai pour Rouyn. Elles ont donc fait leurs premiers pas ensemble pour ensuite prendre une allure différente, s'adaptant à leur caractère et à leurs besoins. En 1926, Rouyn-Noranda comptait 27 abonnés au téléphone. L'unique annuaire pour toute la région québécoise et ontarienne s'intitulait : Temiscaming Telephone Directory. Il contenait 88 pages, annonces incluses. Les numéros privilégiés étaient le 1 pour le curé Pelletier, et le 10 pour la mine Noranda. Le curé dut plaider sa cause pour obtenir le numéro 1.
Les deux villes seront fusionnées en 1986, pour former la nouvelle ville de Rouyn-Noranda.
En 1997, les émissions d'anhydride sulfureux (dioxyde de soufre) dans l'atmosphère sont évaluées à 150 000 tonnes annuellement. Métallurgie du cuivre Noranda prévoyait réduire à 90% les émissions de dioxyde de soufre dans l'air d'ici la fin de l'an 2001. Il est évalué à environ 50 000 tonnes seront rejetées annuellement. Par comparaison, la grande région de Montréal produit 23 000 tonnes de SO2 par année.
Encore en 1997, Transports Canada cédait la propriété de l'aéroport à la Ville de Rouyn-Noranda. Depuis, l’aéroport, situé sur la rive est de la rivière Kinojévis à 16km de la ville, joue un rôle majeur sur l’échiquier du développement économique et industriel de la communauté.
Population
Bien qu’aujourd’hui la population soit très majoritairement d'origine québécoise (canadienne-française), dans les débuts, un grand nombre de nationalités cohabitait dans les villes-sœurs. Ce phénomène particulier est dû en grande partie à la main-d'œuvre étrangère engagée par la Mine Noranda pour son exploitation. Les Polonais formèrent le groupe le plus nombreux et ils ont déjà été très actifs en fondant une chorale mixte, un groupe de danses folkloriques ainsi qu'une équipe de football. Les Italiens viennent ensuite, suivis des Anglais, des Irlandais, des Yougoslaves, des Français, des Allemands des Ukrainiens et des Russes.
La majorité des immigrants mentionnés plus hauts, qui n’avaient appris que l'anglais, comme il se faisait généralement à l'époque avant la loi 101, sont retournés dans leurs pays d'origines mais la plupart sont tout simplement en Ontario, d'autres provinces et les États-Unis. Quelques personnes sont restés et leurs enfants se sont assimilés à la population québécoise de la ville, certains ont continué à vivre en anglais dans la ville. Il faut aussi constater comment, à l’époque, la population canadienne-française surpassa numériquement avec les années la population canadienne-anglaise et immigrante.
Origine ethnique de la population de Rouyn-Noranda Ville Origine ethnique 1931 1941 1961 1972 Noranda Allophones 49,7% 22% 16% 6,8% Rouyn Allophones 28,6% 20% 6,3% 4,8% Rouyn-Noranda Population totale 5 471 13 384 30 193 28 562(*) Rouyn-Noranda Francophones 42.9% 61.3% 79.23% 85.9% (*) 1971
On pouvait retrouver à Rouyn-Noranda il y a quelques années, en plus des églises catholiques francophones, un grand nombre de chapelles et d'églises de confessions chrétiennes, différentes éparpillées sur l'ensemble de la ville et même une synagogue pour les juifs.
En 1931, la population de Rouyn se chiffre à 3 225 personnes (57% d’origine française, 14% d’origine anglaise, 29% d’origine autres), celle de Noranda à 2 246 personnes (23% d’origine française, 27% d’origine anglaise, 50% d’origines autres)
En 1951, la population de Rouyn se chiffre à 14 633 personnes (85% d’origine française, 7% d’origine anglaise, 8% d'origines autres), celle de Noranda se chiffre à 9 672 personnes, le nombre d’habitants anglophones commence alors à diminuer grandement.
En 1971, la population de Rouyn se chiffre à 17 821 personnes (94% d’origine française, 1% d’origine anglaise, 5% d'origines autres), celle de Noranda se chiffre à 10 741 personnes (72% d’origine française, 21% d’origine anglaise, 7% d’origine autres)
En 1981, la population de Noranda se chiffre à 8 670 personnes, celle de Rouyn à 16 941 personnes.
En 1991, la ville fusionnée de Rouyn-Noranda compte 27 800 personnes.
En 2001, la langue maternelle prédominante dans la région de Rouyn-Noranda est le français et ce pour 97 % de l’ensemble de la population. Au fil des décennies, l’anglais avait été adopté comme langue maternelle par la plupart des immigrants (Irlandais, Écossais, Allemands, Polonais, Ukrainiens.. ) Les autres langues non officielles représentent 1% et se retrouvent principalement parmi les Algonquins de la région.
Politique
Le conseil municipal de Rouyn-Noranda comprend un maire et quatorze conseillers représentants chacun un district de la ville. Tous les membres sont élus au suffrage universel lors d'élections municipales pour un mandat de quatre ans.
Depuis le 6 novembre 2005, le maire est Roger Caouette, fils de l'ancien chef créditiste Réal Caouette. Il a succédé à Jean-Claude Beauchemin, ancien conseiller spécial des premiers ministres Jacques Parizeau et Bernard Landry, en poste depuis 2002.
Culture
Rouyn-Noranda est la ville natale d'un poète francophone d'Amérique, Richard Desjardins.
Riche d'une communauté artistique unique, Rouyn-Noranda bénéficie de la présence de nombreux artistes en son sein.
La vie culturelle de Rouyn-Noranda est enrichie par la présence du Centre d'exposition de Rouyn-Noranda, de L'Écart et de plusieurs autres lieux favorisants l'émergence de la vie artistique.
Festivals, évènements et organismes
Événements annuels Dates Fondation Festival du documenteur de l'Abitibi-Témiscamingue 21 au 25 juillet 2009 2004 Osisko en lumière 7 au 9 août 2009 2004 Festival de musique émergente en Abitibi-Témiscamingue 2 au 6 septembre 2009 2003 Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue Édition 28 : 31 octobre au 5 novembre 2009 1982 Fête d'hiver de Rouyn-Noranda 19 au 21 février 2010 1988 CERN "Créé en 1973, le Centre d'exposition de Rouyn-Noranda est un organisme sans but lucratif accrédité par le ministère de la Culture et des Communications du Québec. Le Centre d'exposition est un lieu de diffusion, de création, d'animation et d'éducation. Le Centre d'exposition de Rouyn-Noranda considère la conservation comme un volet de plus en plus important de sa mission avec la constitution de sa collection permanente d'œuvres d'artistes professionnels de l'Abitibi-Témiscamingue et des autres régions du Québec. "
L'Écart, Lieu d'art actuel " Le Centre des artistes en arts visuels de l'Abitibi-Témiscamingue (CAAVAT) est un regroupement d'environ 70 artistes représentatif de différentes disciplines et tendances des arts visuels de la région. Issu de ce regroupement est né L'écart... Lieu d'art actuel, un centre d'artistes autogéré qui agit comme lieu de diffusion en art actuel. La diffusion du travail récent d'artistes de la région et d'ailleurs ou priment la recherche, l'expérimentation et l'innovation y est privilégiée. Par le biais de ses expositions et de ses activités parallèles, il se veut un lieu de ressourcement, de confrontation, d'information, de documentation et de diffusion de l'art actuel. "
Tourisme et sites historiques
La Maison Dumulon site officiel Premier bâtiment de Rouyn-Noranda, elle fait revivre l'ambiance des années 1920. Site historique regroupant un magasin général, un bureau de poste ainsi que la résidence familiale de l'époque. Vente de produits régionaux et d'artisanat.
Église orthodoxe russe Saint-Georges, construite en 1954-1955 par la communauté russe composée alors d'une vingtaine de familles. Convertie en musée religieux après sa fermeture en 1981, on y commente la célébration de la messe, les rites religieux ainsi que le rôle important des ethnies étrangères.
La Synagogue Beit Knesset Israel de style néo-roman fut construite en 1948 sur le même site où une première synagogue en bois avait été édifiée en 1932. La communauté juive représenta à son zénith une quarantaine de familles dans les années 50.
Circuit d'interprétation historique du Vieux-Noranda. Misant sur la mise en valeur de ses quartiers anciens, la ville de Rouyn-Noranda développa des circuits patrimoniaux destinés aux piétons et aux cyclistes. Des panneaux d'interprétation, réalisés par le Comité du Vieux-Noranda, mettent en évidence certains éléments du cadre architectural.
Circuit d'interprétation historique du Vieux-Rouyn
Destination Or Site officiel
Fonderie Horne. L'une des plus importantes fonderies de cuivre et de métaux précieux au monde. La fonderie Horne a fait ses débuts en 1926 et la première coulée de cuivre a eu lieu le 17 décembre 1927. Aujourd'hui, elle raffine le minerai qui nous provient de 18 pays. Visite du musée, de l'usine de smeltage et des services connexes.
L'écart, Lieu d'art actuel Le musée d'art actuel est situé en plein cœur du quartier du vieux Noranda, où l'on retrouve une concentration élevée d'artistes.
Éducation
Rouyn-Noranda bénéficie de la présence d'un cégep et d'une université florissante.
Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) Depuis plus de vingt ans, l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue éduque, cohorte après cohorte, des jeunes prêts à conquérir le marché du travail et ce dans plusieurs domaines dont l'éducation, le génie civil, le multimédia, etc.
Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue (CÉGEPAT) Depuis sa création, en 1967, le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue innove afin d'offrir des formations à la hauteur des espoirs des jeunes de la région et d'ailleurs. Pour desservir un territoire de 65 143 km², le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue a trois campus d'enseignement régulier, situés à Amos, Rouyn-Noranda et Val-d'Or, de même que les centres de formation continue de Ville-Marie et de La Sarre.
Sports
Les Huskies de Rouyn-Noranda évoluent dans la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.
Les Citadelles de Rouyn-Noranda évoluent dans la Ligue de hockey midget AA Norbord Nexfor de l'Abitibi-Témiscamingue.
Rouyn-Noranda a accueilli les Jeux du Québec durant l'été 1973.
Dans les années 1940 et 1950, les villes de Rouyn et de Noranda étaient réputées pour produire un grand nombre de hockeyeurs talentueux. Il était commun de dire que si l'Abitibi avait été plus rapproché géographiquement des grands centres, un grand nombre de ses joueurs auraient joué dans la LNH. Sam Pollock maintenait de constantes et bonnes relations avec les gens du hockey abitibien. Plusieurs hockeyeurs qui jouent ou qui ont joué dans la Ligue nationale de hockey viennent de Rouyn-Noranda, dont Dave Keon, Jacques Laperrière, Réjean Houle, Pierre Turgeon, Sylvain Turgeon, Éric Desjardins, Dale Tallon, Stéphane Matteau, Jacques Cloutier, Christian Bordeleau, Jean-Pierre Bordeleau, Paulin Bordeleau, Andre Racicot, Hubert "Pit" Martin, Gordie McRay, Jacques Cossette, Jean Lemieux, Roland Cloutier.
Médaillée d'or aux Jeux Olympiques de Turin, la hockeyeuse Gina Kingsbury a grandi à Rouyn-Noranda.
La "Grande Dame du badminton canadien", Denyse Julien, vient de Rouyn-Noranda. Un gymnase y porte même son nom.
Divisions de recensement voisines
- Abitibi-Ouest
- Abitibi
- La Vallée-de-l'Or
- Témiscamingue
- District de Timiskaming
- District de Cochrane
Évêché
- Diocèse de Rouyn-Noranda
- Cathédrale Saint-Michel-Archange de Rouyn-Noranda
Municipalités limitrophes
Notes et références
- ↑ Commission de toponymie du Québec[1]
- ↑ « L'homme de Neawigak : et autres histoires algonquines » de Joseph 'Josie' Mathias, ISBN 2920579126. Fiche sur le site de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec
Voir aussi
Liens externes
- (fr) Site officiel Rouyn-Noranda
- (fr) Site officiel du festival du cinéma
- (fr) Site officiel des Huskies de Rouyn-Noranda
- (fr) Site officiel des Citadelles de Rouyn-Noranda
- (fr) Villes industrielles et minières au Québec: Rouyn-Noranda. Histoire. Iconographie
- (fr) Centre d'exposition de Rouyn-Noranda
- (fr) L'ÉCART.. . LIEU D'ART ACTUEL
- (fr) Site officiel de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
- (fr) Site officiel du Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue
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