Roger Barberot

Roger Barberot
Roger Barberot
Roger Barberot, Libye, vers 1941.jpg

Naissance 20 janvier 1915
Cherbourg, France
Décès 14 novembre 2002 (à 87 ans)
Neuilly-sur-Seine, France
Origine Drapeau de France France
Allégeance Drapeau de la France Armée française - France FFL
Grade Capitaine de frégate (1947)
Conflits Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie
Commandement 1er escadron du 1er régiment de fusiliers marins
Commandos Noirs (Guerre d'Algérie)
Distinctions Grand Croix de la Légion d'honneur
Compagnon de la Libération
Croix de guerre 1939-1945
Médaille de la Résistance
Ordre national du mérite
Distinguished Service Cross
Autres fonctions Ambassadeur de France en République centrafricaine
Ambassadeur de France en Uruguay
Gouverneur des Terres Australes et Antarctiques Françaises

Roger Barberot, né le 20 janvier 1915 à Cherbourg (Manche) et mort le 14 novembre 2002 à Clichy (Hauts-de-Seine), est un militaire, homme politique et ambassadeur français.

Sommaire

Une jeunesse rebelle

Roger Barberot est né le 20 janvier 1915 à Cherbourg. Son père, Philippe Barberot, est officier de marine et le frère cadet de Charles Barberot. Pendant la Grande Guerre, il commande d'abord le torpilleur 331 qui opère dans la Manche contre les navires allemands[1]. Par la suite, il sert dans les sous-marins et commande le Gay Lussac. Sa mère, Jeanne Ollignier, est issue d'une famille de banquiers de Commentry, dans l'Allier[2].Pendant son enfance, Roger Barberot suit son père dans ses différentes affectations : à Toulon, à l'école des sous-mariniers, puis à Paris où son père est conseiller technique à la commission navale de la Chambre des Députés [3]. Il entre au collège Stanislas, à Paris. Il y fait la rencontre de Maurice Bourgès-Maunoury et de Roger Frey[4]. Il y prépare ensuite, sous l'insistance de son père, le concours de l'École navale qu'il réussit en 1936[5]. Mais la marine ne lui plait guère. Après son passage sur le Jeanne d'Arc, il échoue délibérément aux examens. Par indulgence pour son père, le jury le met en congé avec solde de réforme, en attendant qu'il confirme sa décision de quitter la marine[6]. Il met à profit cette année pour se livrer à la création artistique, chez Othon Friesz et Céria[7],[8].

La France libre

A la déclaration de guerre, son père qui commande la défense côtière de la Méditerranée intervient pour le mobiliser à nouveau dans la marine[9]. Roger Barberot navigue avec la force X sur le croiseur Tourville. L'armistice est annoncée alors que la force est stationnée à Alexandrie. Parmi les officiers, il rejoint un petit groupe qui refuse d'arrêter le combat : le futur Amiral Patou, Honoré d'Estienne d'Orves. Il diffuse lui même des tracts appelant à la poursuite des combats et est mis aux arrêts. Une première tentative d'évasion de nuit échoue. Une seconde réussit le 5 juillet 1940 [10],[11]. Le 20 juillet, il est enseigne de vaisseau dans le 1er Bataillon d'Infanterie de Marine[12]. L'unité est engagée dès octobre contre les italiens, à Buq-Buq[13]. En novembre, il participe à la prise de la forteresse de Sidi-Barrani en Libye[14]. Entre temps, un tribunal français le poursuit pour désertion le 17 septembre 1940, le condamne à 20 ans de détention par contumace le 13 novembre[15]. Dès 1941, il rejoint la légion étrangère et devient Compagnon de la Libération le 7 mars 1941[16]. Au moment où il est finalement condamné à mort par Vichy le 4 juin 1941 à Toulon, son unité est engagée dans la campagne contre les Vichystes en Syrie. Il y rencontre pour la première fois Jacques Paris de Bollardière, dont il deviendra par la suite un ami proche[17]. Le 10 juin 1942, il participe à l'exfiltration des Forces françaises libres à Bir Hakeim[18]. En octobre 1942, son groupe est engagé dans la diversion française d'El Alamein[19]. Néanmoins, suite à la critique que Koenig inflige à Bollardière, il décide de quitter la Légion[20]. Vichy l'a déchu de sa nationalité française le 23 mai.

En juin 1943, il rejoint le 1er régiment de fusiliers marins que constitue avec habileté Hubert Amyot d'Inville[21]. En juin 1943, il se rend à Casablanca pour percevoir le nouveau matériel américain qui équipera l'unité, devenue unité de reconnaissance[22]. Il prend le commandant du 1er escadron dès 1944[23]. La campagne d'Italie démarre avec l'arrivée à Naples le 25 avril. Le 5 mai, l'unité est engagée dans l'offensive du Garigliano. Roger Barberot et son unité s'illustrent à San Andrea et parviennent à enfoncer les défenses allemandes. La route est ouverte pour les alliés[24]. Le général de Gaulle le décore de la Légion d'Honneur le 18 mai 1944[25]. C'est la première Légion d'honneur attribuée à titre individuel par le Gouvernement Provisoire de la République Française. La campagne d'Italie se poursuit vers Rome, que son unité quitte pour le Nord le 9 juin.

En août 1944, le 1er RFM débarque à Saint-Tropez. Le 23 août, l'escadron de Barberot marche sur Toulon où la résistance s'oppose aux Allemands[26]. Puis l'unité est engagée en pointe pour la remontée du Rhône et entre le premier à Lyon le 3 septembre[27]. Elle poursuit son offensive éclair pour s'arrêter devant la résistance allemande, organisée aux frontières de la Lorraine. Le 27 septembre 1944, son escadron libère Clairegoutte, et fait 260 prisonniers. Le 6 octobre, il attaque et enlève Ronchamp. Le 8 octobre, il enlève la côte 820. Le 20 novembre, il enlève Plancher-Bas, puis Rougegoutte le 22, Rougemont-le-Château le 27[4],[10]. L'unité est ensuite envoyée au repos dans la région de Lure début décembre. Néanmoins, l'offensive allemande menace l'Alsace libéré et l'unité est engagée le 7 janvier pour s'opposer à la contre-attaque[10]. En mars, elle est retirée du front Est sans entrer en Allemagne, et redéployée dans les Alpes où elle livre les derniers combats[28]. Il termine la Seconde Guerre mondiale comme officier de marine français le plus cité du conflit[5]. Le 30 avril, l'ensemble de ses condamnations par Vichy est annulée. Après une rencontre difficile avec Leclerc[29], il ne rejoint pas le corps expéditionnaire pour le Pacifique et achève donc sa guerre.

Le RPF

Dans un premier temps Roger Barberot reste dans l'armée. Il passe capitaine de corvette en décembre 1945[4]. Mais dès le retour du général de Gaulle dans l'arène politique en 1947, il démissionne au grade de capitaine de frégate et rejoint l'état-major du RPF. Il reçoit la carte n°64 dès juillet[30]. Dans un premier temps, il devient chargé de mission au B.O.P. (Bureau d'Organisation Politique) avec Pierre de Bénouville[30]. La dynamique du nouveau mouvement rayonne à l'étranger et lorsque Roger Barberot se rend en décembre 1947 au Brésil pour une visite privée, il est reçu comme un représentant officiel du gouvernement[31]. À partir de 1948, il participe activement à la grande tournée politique en province du Général, en vue des élections et mobilise le réseau des anciens de la France Libre et de la Résistance[32]. Par intermittence, il loge chez sa mère à Paris ou à Bois-le-Roi chez son épouse Monique. En juillet 1948, il rejoint le comité chargé des questions de la défense nationale du RPF[33]. Mais il entrevoit déjà l'essoufflement de la structure. Il adresse une note au Général de Gaulle en ce sens mais il n'est pas suivi[34]. Progressivement, malgré les premiers succès électoraux, le mouvement s'enlise puis tombe en sommeil. Roger Barberot se retire lui même du mouvement et s'installe à Bois-le- Roi. Il voyage en Iran puis en Afghanistan[35]. En 1954, il accompagne une expédition anthropologique en Équateur, dans la cordillère des Andes[36].

La guerre d'Algérie

En 1956, il rencontre le général Lorillot, commandant en chef en Algérie[37]. Son intérêt pour l'enjeu algérien l'amène à demander son rappel dans l'armée dès juin[38]. Il prend le commandement d'une demie brigade de l'armée de l'air, formée de réservistes rappelés. La constitution de l'unité dans un contexte de profonde désorganisation manque de provoquer une mutinerie début juillet 1956, sur la base de Mourmelon[39]. Pour constituer un encadrement solide, Roger Barberot rappelle des anciens de la France Libre[40]. La nouvelle unité débarque à Alger le 22 juillet 1956 et s'installe non loin de la ville dans plusieurs postes dès le 8 août[41]. Placé sous le commandement du général de Bollardière, les deux hommes élaborent fin août une nouvelle stratégie autour du principe de la nomadisation. Il s'agit de renforcer la proximité avec la population et de mettre en échec le FLN[42]. Le 15 septembre sont créés les "Commandos Noirs"[43]. L'expérience est suivie avec intérêt par le haut commandement. En octobre 1956, l'unité est inspectée par le général Manceaux-Demiau[44]. Jean-Jacques Servan-Schreiber se retrouve mobilisé dans l'unité et se lie avec Barberot (il racontera son expérience dans Lieutenant en Algérie). Roger Barberot se lie aussi avec le colonel Argoud, qui commande le 3e chasseur d'Afrique, limitrophe avec la demie brigade, avant que leurs chemins politiques ne les séparent après le retour du Général[45]. Toutefois, la démobilisation des premiers appelés menace l'expérience, Bollardière et Barberot s'opposent de plus en plus à d'autres éléments de l'armée et à certains pieds-noirs. La publication des articles de Servan-Schreiber, la prise de position de Bollardière contre la torture et sa mise aux arrêts entraînent la démission de Roger Barberot en avril 1957[46]. Il rédige en un mois un ouvrage témoignage : Malaventure en Algérie. Son combat politique reprend. Il fait partie de ceux qui travaillent au retour du Général de Gaulle. De sensibilité sociale, il rencontre Mendès-France en novembre 1957 afin de trouver un soutien au projet gaulliste[47]. La même année, il se rend en visite privée au Mali et découvre l'Afrique noire[48].

Ambassadeur du Général

Le retour du Général au pouvoir remet Roger Barberot dans l'action politique. Il devient membre du comité directeur du Centre de la Réforme Républicaine, adhérent à l'UDT[5]. Il annonce une couleur "gaulliste de gauche" qu'il revendiquera jusqu'à la fin. Il se présente à la députation de Paris en mai 1958, sous l'instigation de Pierre Closterman, mais échoue face à Baylot[16]. Il rentre ensuite au ministère de l'Éducation Nationale, auprès d'André Boulloche[16]. En décembre 1960, le Général de Gaulle le nomme Ambassadeur de France en République centrafricaine, à Bangui[49]. Sur place, il se lie d'amitié avec le général Marcel Bigeard[50]. Il œuvre pour l'appaisement de la relation entre le jeune pays indépendant et son ancienne métropole. Il fait bâtir l'ambassade de France et lance plusieurs chantiers de coopération[51]. Après un retour en métropole, où il acquiert une maison à l'île de Ré, en 1963[52], il devient ambassadeur de France en Uruguay, à Montevideo[16]. Cette nomination est interprétée comme une continuité de la tournée du Général de Gaulle en Amérique du Sud. Néanmoins, Roger Barberot se heurte à un manque de moyens significatif et ne trouve pas la latitude pour bâtir une vraie politique de coopération[10]. Il lance en 1966 une nouvelle Alliance française à Montevideo, fait contrôler le lycée français dont il estime le niveau très médiocre, mais ne parvient pas à dépasser ces actions ponctuelles[53]. Il manifeste rapidement le souhait de revenir en France. En mars 1967, il se présente à la députation dans la 3e circonscription de l'Essonne face à Pierre Juquin mais il est battu[49]. En juin 1967, on lui propose la direction du Bureau de la Production Agricole (BDPA). Le Général hésite à le faire quitter l'Uruguay, mais donne finalement son accord en avril 1968, à la veille des événements de mai[49],[16]. Ces événements le bousculent, comme tout le pouvoir en place. Il vit difficilement le flottement du gouvernement, et tente d'amener de Gaulle à l'action lors d'un repas le 22 mai[54]. Proche de Jacques Foccart depuis sa période africaine, il participe activement à l'organisation des forces anti révolutionnaires et de la manifestation de soutien au Général, le 30 mai[49],[10]. Candidat dans la 11e circonscription des Hauts de Seine il manque de peu d'être élu lors du raz de marée gaulliste, il réussit à faire invalider l'élection de Guy Ducoloné (PC) mais échoue encore lors de l'élection partielle de décembre[49]. Dès ce moment, et surtout après le départ du général, il s'occupe pleinement du BDPA.

La période trouble du post-gaullisme

Roger Barberot voit le BDPA comme un organisme opérationnel au service de la politique de coopération. Sa fonction est d'assurer une prestation de conseil dans le domaine agricole dans le monde entier. Néanmoins, à la tête du BDPA, il devra affronter trois affaires successives. Tout d'abord, dès sa prise de fonction en 1968, il trouve une situation financière difficile. Son ministère de tutelle souhaite supprimer l'organisation en la fusionnant avec un autre organisme, la SATEC. Roger Barberot entame un plan d'économie radical mais s'oppose difficilement à Yvon Bourges, secrétaire d'état aux Affaires Etrangères. Le redressement des comptes, fin décembre 1969, permettra à l'organisme de survivre, mais il faudra à plusieurs reprises la médiation du premier ministre pour débloquer la relation tendue entre Barberot et Bourges[55]. Une seconde affaire - appelée Affaire Delouette - éclate en avril 1971 et une réputation d'agent secret et de "barbouze" va dès lors être accolée à Roger Barberot[56] . Delouette est un ancien membre du SDECE, mais aussi un employé récent du BDPA. Il est arrêté aux États-Unis avec un chargement d'héroîne. Il dénonce une implication du colonel Fournier, qui fait l'objet d'une inculpation. L'affaire devient publique en novembre 1971 et Roger Barberot, qui est cité dans l'affaire, dénonce à la radio une opération de déstabilisation politique orchestrée par le colonel Beaumont[57]. Il ne sera pas personnellement inculpé, mais l'étalage d'informations construit une image trouble de son organisation. L'affaire de l'île de Ré, qui éclate au même moment, achèvera de ternir son image et celle du BDPA, présenté comme une officine de couverture[58]. Dans cette affaire, un promoteur immobilier - M. Souchère - se dit victime d'une tentative de racket par Philippe Dechartre, secrétaire d'État du gouvernement, mais aussi président du Comité d'Aménagement et de Développement de l'Ile de Ré (CADIR). Cette association a été créée en 1967 en vue de canaliser le développement économique de l'Ile de Ré. Parmi ses membres, Gilbert Beaujolin mais aussi Roger Barberot qui a acheté une maison à La Flotte en Ré depuis 1963[57]. Souchère s'est vu refuser son projet immobilier, comprenant notamment un golf, qu'il avait présenté en 1969. Le journal Minute porte l'affaire en public. Le 13 avril 1972, Barberot, Dechartre et Beaujolin sont solidairement condamnés en appel par le tribunal de Poitiers à 2 millions de francs d'amende[59]. Barberot conservera la confiance du gouvernement, mais décide toutefois de démissionner du BDPA le 17 mai 1973[60]. Il dénoncera dans cette troisième affaire, qui le meurtrit profondément et le met dans une situation financière très difficile[61], une manipulation orchestrée par l'ancien député Patrice Bougrain-Dubourg - habitant de l'île de Ré, lui aussi membre du CADIR et employé par le BDPA -, qui aurait été lié financièrement à Souchère [62].

Ses derniers engagements

En juin 1973, Roger Barberot est nommé administrateur supérieur des Terres australes et antarctiques françaises. Il lance plusieurs projets autour des infrastructures et la grande pêche ainsi que l'émission de timbres philatéliques[8]. Il quitte son poste en 1980. Jusqu'à sa mort le 14 novembre 2002, il se consacre à ses activités artistiques, dont la peinture. Il apportera son soutien à la candidature du candidat souverainiste Jean-Pierre Chevènement aux élections présidentielles de 2002. Il meurt le 14 novembre 2002. Un timbre des Terres australes et antarctiques françaises à son effigie est édité en 2005.

Décorations

Roger Barberot sera l’officier de marine français le plus décoré de la Seconde Guerre mondiale. Parmi ses décorations, on compte :

Œuvres

  • Fusiliers Marins, France-Empire, Paris, 1947
  • Héros de la Mer, La Jeune Parque, 1951
  • Malaventure en Algérie avec le général Paris de Bollardière, Paris, Plon, 1957, 243 p. (OCLC 419920100) 
  • À bras le cœur, Paris, Robert Laffont, 1972, 466 p. (OCLC 482814370) 
  • Brouillards et pièges, Neuilly-sur-Seine, impr. Labarelly, 1977

Notes et références

  1. Correspondance familiale, Archives Privées, B.Desfrançois
  2. Source Privée, F.Paulhac
  3. Témoignage de Marie-José Barberot-Paulhac, sœur de Roger Barberot
  4. a, b et c Roger Barberot, biographie sur le site de l'Ordre de la Libération, http://www.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/52.html
  5. a, b et c Dictionnaire du Gaullisme, Bouquins, Robert Lafont, 2006
  6. Roger Barberot, A Bras le cœur, Lafont, 1972, page 12
  7. Roger Barberot, A Bras le cœur, Lafont, 1972, chapître 1
  8. a et b Texte d'accompagnement, Timbre Roger Barberot des Terres Australes et Antarctiques Françaises, Marie-Caroline Barberot-Dannaud, 2005
  9. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 10
  10. a, b, c, d et e Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972
  11. Témoignage Evasion Roger Barberot 1940 - Edgard de Larminat, http://www.france-libre.net/temoignages-documents/temoignages/ralliement-barberot.php
  12. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 45
  13. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 49
  14. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972, page 55
  15. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont,1972, page 70, page 274
  16. a, b, c, d et e Nécrologie de Roger Barberot, Journal Le Monde du 20 novembre 2002
  17. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont,1972, page 79
  18. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 100
  19. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont,1972, page 119
  20. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont, 1972, page 128
  21. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 130
  22. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 138
  23. Dictionnaire du Gaullisme, Bouquins, Robert Lafont, 2006
  24. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 158
  25. Nécrologie Roger Barberot, Le Nouvel Observateur, 2002
  26. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, chapitre 15
  27. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, chapitre 16
  28. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, chapitre 20
  29. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 266
  30. a et b A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972, page 277
  31. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972, page 278
  32. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972, page 287
  33. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972
  34. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972, page 282
  35. Texte d'accompagnement, Timbre Roger Barberot des Terres Australes et Antarctiques Françaises , Marie-Caroline Barberot-Dannaud, 2005
  36. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 1
  37. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 38
  38. Nécrologie Roger Barberot du Nouvel Observateur, 2002
  39. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 48
  40. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 64
  41. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 148
  42. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 80
  43. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 148
  44. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957
  45. Malaventure en Algérie avec le Général Paris de Bollardière, Roger Barberot, Plon, 1957, page 140
  46. Article Roger Barberot, dictionnaire du Gaullisme
  47. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont, 1972, page 398
  48. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont, 1972, page 394
  49. a, b, c, d et e Jacques Foccart -Le Général en mai Journal de l'Elysée II 1968 - 1969 Fayard Jeune Afrique - 1998
  50. A Bras le Coeur, Roger Barberot, Editions Robert Laffont,1972
  51. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 422
  52. Cette année-là naissent ces deux jumeaux, Jean-Philippe et Valérie
  53. Roger Barberot, A Bras le cœur, Editions Robert Laffont, 1972, page 441
  54. Brouillard et pièges, Roger Barberot, 1977
  55. Brouillard et Pièges, Roger Barberot, 1977, chapître 2
  56. Dans Les Parrains Corses de Jacques Follorou et Vincent Houzille, Fayard, page 192, Barberot est d'abord présenté comme le responsable de la lutte contre l'OAS en 1961, puis comme agent du SDECE chargé de bâtir des réseaux en Amérique du Sud lors de son passage à Montevideo
  57. a et b Brouillard et Pièges, Roger Barberot, 1977
  58. Article Roger Barberot dans L'Unité - hebdomadaire du Parti Socialise - 13 septembre 1974
  59. Article Roger Barberot dans L'Unité - hebdomadaire du Parti Socialise -n°13 - 21 avril 1972 - Condamnation CADIR. Voir également l'article de René Backmann, « Les barons voraces », paru dans le Nouvel Observateur du 31 juillet 1972 : page 15 : De l'île de Ré à Puteaux
  60. Brouillard et Pièges, Roger Barberot, 1977, page 45
  61. Jacques Foccart -La fin du Gaullisme V 1973 - 1974 Fayard Jeune Afrique - 2001, page 276
  62. Brouillard et Pièges, Roger Barberot, 1977, Chapitre 7, où tout un chapitre est consacré à "un certain monsieur Bougrain"
  63. http://militarytimes.com/citations-medals-awards/recipient.php?recipientid=6352

Annexes

Bibliographie

  • Daniel Rondeau et Roger Stéphane, Des hommes libres - La France Libre par ceux qui l'ont faite, Grasset, 1997
  • Jean-Jacques Servan-Schreiber, Lieutenant en Algérie, Juliard, 1957
  • Dictionnaire du Gaullisme, Bouquins, Robert Lafont, 2006

Liens externes


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