Religion viking

Religion viking

Croyances vikings

Cet article se consacre aux croyances vikings.

"Odin le Vagabond", oeuvre du peintre suédois Georg von Rosen, 1886.

Sommaire

Citation

« Nous autres camarades n’avons pas d’autre croyance qu’en nous-mêmes et en notre force et capacité de victoire, et cela nous suffit amplement. »
Formulation de Gauka-Thorir chapitre CCI Olafs saga hins Helga
Cette formulation se retrouve dans d’autres textes anciens, où ils affirment : ne croire qu’en leur propre puissance et capacité de réussir « eiginn mattr ok megin ». Ils disent ne croire qu’en leurs propres forces , et capacité de victoire « afl okkat » [1].

Les Croyances Vikings

Héritage

À l’origine "les pères des Vikings" avaient le culte d’une Déesse Mère et des grandes forces naturelles: Soleil, eau, terre, air, feu et vie qu’ils ont représentés plus tard par la création d’un panthéon qui compte notamment Odin (Yggr, le redoutable), Odr (fureur) Thor (tonnerre), Jord (terre), Frigg, Freyja (femme), Fjörgyn (il/elle, qui favorise la vie), Sol (la soleil), Máni (le lune), Baldr et Freyr, (seigneur), Surtr (noir du feu), Mimir (mémoire), Bragi (parangon), Logi/Loki (flamme), ... et le grand arbre Yggdrasill[2]. Les Landvaettir esprits tutélaires de lieux naturels: collines, arbres, cascades, pierres... La tête de monstre sculptée sur la proue des bateaux vikings était faite à leur intention afin d'épouvanter les Landvaettir des pays à investir, il convenait de l'enlever avant d'arriver en pays ami[3].

Les Êtres surnaturels adoptés sur le tard (lors de la christianisation), certains sont apportés par l'Église[4], textes bibliques, orientaux ou classiques tels que: les Nornes comme les Parques grecques et le Destin immuable, Alfar (Elfes) comme les chérubins ou les anges, Dises, Valkyries (femmes cygnes) comme les Apsaras, ...

Des témoignages a priori impartiaux, se plaçant d’un point de vue de l’ethnologie, décrivaient « les pères des Vikings » en ces termes :

« ils (germains du nord) n’ont ni druides qui président au culte des dieux, ni aucun goût pour les sacrifices, ils ne rangent au nombre des dieux que ceux qu’ils voient et dont ils ressentent manifestement les bienfaits, le Soleil, le feu, la Lune. Ils n’ont même pas entendu parler des autres. »

César dans De Bello VI, 21

« ils répugnaient à présenter leurs Dieux sous formes humaines, il leur semble peu convenable à la grandeur des habitants du ciel, ils leurs consacrent les bois, les bocages et donnent le nom de Dieux (et Landvaettir) à cette réalité mystérieuse que leur seule piété leur fait voir » « Aucun de ces peuples ne se distingue des autres par rien de notable, sinon qu’ils ont un culte commun pour Nerthus c'est-à-dire la Terre Mère, croient qu’elle intervient dans les affaires des hommes et circule parmi les peuples » (La grande Aïeule primordiale, la Stammor, Jord, Fjorgyn.)

Tacite. Germania IX, 3

Les Scandinaves ou Germains du Nord, jusqu'à la période viking incluse, ne pratiquaient pas de sacrifices humains (inventions chrétiennes pour les diaboliser), la "peine de mort" n'existait pas non plus : les Havamal le disent, "un mort n'est utile à personne". Il y a une compensation pour tout (bot)[5]. En plus du Bot, pour les crimes les plus graves, on prononçait le bannissement pour trois ans (fjörbaugsgardr)[6].

Les "sacrifices" dont parlent les textes (blot) revêtent plusieurs pratiques. Avant de consommer une boisson, un aliment végétal ou animal on verse un peu de liquide, d'aliment ou de sang pour remercier les forces naturelles, la terre nourricière ou les dieux: pour la nourriture, les bienfaits, les interventions passées ou à venir, pour solliciter... C'est l'occasion pour faire un "drekka minni" en l'honneur des Landvaettir, des Ancêtres, des forces naturelles ou des dieux...Ils ont avec les puissances naturelles et les dieux un rapport de "donnant donnant"[7]

Religion?

Nous ne pouvons pas parler de religion, la langue ne dispose pas de vocable pour « religion ». Le mot approchant serait « seydr, sejdr ou sidr » : coutume, ensemble de pratiques, magie. Leurs croyances ne possèdent aucun crédo, pas de prières à proprement parler, pas de prêtres, ni ordre religieux, ni temples, point de délire imaginatif ou de longues méditations rêveuses, [8] sans foi, sans dogmes..., mais une totale liberté de pensée[9].

Reconstitution évhémériste chrétienne

(voir article Ragnarök)

L'Église n'avait que le but de faire ravaler les anciens dieux au rang de démons[10]. Snorri et Saxo Grammaticus s’efforceront bien de reconstituer un panthéon organisé vaille que vaille autour de quelques grands dieux en se contredisant souvent et parfois gravement. Il n’est pas difficile de montrer l’inconsistance de leur doctrine, notamment dans leur application à faire de l’évhémérisme [11] en affirmant que les dieux ne sont que d’anciens magiciens divinisés Trojumanna saga (saga des troyens)[12] en raison de leur suprématie dans leur art, on est fondé à les soupçonner de suivre quelques grands modèles célèbres dans tout le Moyen Âge comme Isidore de Séville ou tout simplement la Bible. Régis Boyer [13] L’Église apportait dans ses bagages toute une magie biblique ou orientale qui connut un grand succès dans le monde [14]

Mrs H. Ellis Davidson, historienne : « nous avons affaire à un monde mythique artificiel, bien éloigné de la foi vivante de l’ère païenne »[15].[16]

"Ils subirent des apports extérieurs et donc une grande multiplicité d’influences : textes scythe, gréco-latine, celtique, slave, finno-ougrienne, nord orientale (« chamaniste ») et chrétienne. De là vient sans doute, l’incessante série d’analogies qui s’impose à l’observateur, (ressemblances) Nornes avec les Parques ; Valkyries avec Apsaras ; Tyr avec Mars ; Odinn avec Mercure ; Loki avec Lug ; Fjorgyn avec Perkun ; la Voluspa pourrait avoir été écrite par Hildegarde de Bingen, etc., etc. »"[17] (sainte chrétienne, qui écrivit ses visions cosmogoniques, d'ordre mystique, se rattachant à une certaine forme de merveilleux chrétien. Les auteurs de ces textes étaient de formation cléricale et ils se sont livrés à de l’interprétation des textes bibliques, tel que l’Apocalypse[18].

L'avis des spécialistes

Les historiens et les archéologues [19][20] dont Régis Boyer, nous mettent en garde à de nombreuses reprises : « Il est parfaitement évident que les auteurs de tous les textes que nous avons conservés ou bien étaient des clercs, ou bien avaient reçu une formation cléricale (...) Il s’ensuit que nos sources, toutes nos sources sont impures »[21]. "Il faut donc garder constamment ses distances envers ce texte trop beau pour être vrai."[22] Régis Boyer parle même d’intoxication : « il faut demeurer conscient que cette imprégnation pour ne pas dire intoxication littéraire (chrétienne et classique), afin d’apprécier à leur juste valeur les prestations scaldiques, eddiques, et sagas »[23].

Einar Olafur Sveinsson, spécialiste islandais actuel et son école, disent (en parlant de tous les textes) que : « la littérature ancienne de son pays est mi ecclésiastique, mi séculiere ». Régis Boyer constate : "on ne voit pas comment le contredire "[24].

L'Islande devenue chrétienne, l'Église ne badine pas plus là qu'ailleurs sur la stricte observance de ses lois[25]. La rédaction deux siècles après l’âge Viking, donne latitude à l’Église, d’entreprendre un travail patient et opiniâtre d’éradication, bien connu d’autre part[26]. Elle s’efforçait de dévaluer les croyances et pratiques menaçant la doctrine chrétienne, les dieux passent à l’état de diables, ou subtilement ils se retrouvent ridiculisés. (Harbardsljod ou la Lokasenna). Ou les dieux ne sont plus que de simples humains divinisés[27], ainsi ils périssent lors du combat final (Voluspa, ragnarök…) Régis Boyer [28][29]

Le Destin

"eiginn mattr ok megin"

Les Vikings n’ont pas une conception du destin immuable comme les auteurs chrétiens nous l'ont dépeint.

Dans tous leurs textes, les clercs faisaient de l'interpretatio christiana, pour ré-inventer la mentalité des Vikings deux ou trois siècles après leur disparition.

"L'Église apportait dans ses bagages toute une magie biblique ou orientale fatidique que l'on attribua à tort aux Vikings"[30].

En introduisant les Nornes (Parques grecques), ...: "les clercs chrétiens se trompaient gravement sur la mentalité Viking." En effet, pour imposer leur vision du Destin irrévocable, les auteurs chrétiens associèrent: Urd (le nom d'une source), Skuld (le nom d'une Valkyrie), et Verdandi (seule la Voluspa cite ce nom). Pour Jean Renaud: "Urd était probablement la plus authentique des trois, à laquelle on aurait associé par la suite les deux autres"[31].

Les spécialistes ont démontré que tous les textes ayant échappé à l’éradication et à la censure chrétienne, ne peuvent nous donner la réalité des croyances Vikings. Pour le professeur Régis Boyer: "Tous les documents islandais anciens sont écrits sur palimpsestes (parchemins dont on a effacé l’écriture pour les réutiliser), il faut gratter l'apport continental chrétien pour tenter de retrouver l'authenticité scandinave (germanique) ancienne" [32]

La seule réalité historique de ces textes est la mentalité : il est bien plus intéressant d'essayer de la reconstituer que de prendre à la lettre des récits souvent trop complaisants ou adaptés de sources latines[33].


En fait, quels que soient les projets de leurs Dieux, les Vikings demeurent libres et croient en leur capacité d’infléchir leurs Dieux et de forcer le destin[10], pour le modifier, car ils croient à la chance (gaefa), à leurs talents, à leur force et volonté, à leur capacité de réussite, et aussi à l'appui de leurs ancêtres: ce qu’ils nomment « eiginn mattr ok megin » [34][35][36].

Les Vikings pragmatiques ne sont en aucun cas des fatalistes subissant un destin[37]. Ce sont avant tout des combattants et des hommes libres qui décident de leur sort au risque de déplaire aux dieux. Ils croient à la magie ou si l'on préfère, au sentiment de la présence constante du surnaturel[38] et à la divination pour percer les projets de leurs ennemis, des dieux et des forces tutélaires, afin de changer le cours des évènements, d'anticiper sur le destin[39], donc de le modifier, car rien n'est écrit définitivement.

Ils sollicitent les forces, les dieux et leurs Ancêtres qui leurs répondent dans leurs songes "mik dreymdi, at Freyja" (exemple: Freyja m'a rêvé que...)[40].

Ces faits sont très éloignés et incompatibles avec la vision du Destin, des auteurs chrétiens qui ont rédigé ou corrigé la quasi totalité des documents dont nous disposons, comme la Voluspa, le Ragnarök... Il n'y a donc pas de destin que leur volonté ou l'aide de leurs Dieux ou de leurs Ancêtres ne puisse modifier car « les Scandinaves étaient des hommes d’actions prisant les valeurs d’actions et on leur fait tort en les accablant de pratiques et de concepts dont, sans aucun doute, ils eussent été fort empêchés !»[41]

Les Vikings et la christianisation

« la mission par échanges culturels, puis par la parole, puis par l’épée[42]».

La conversion au christianisme des Vikings s’est effectuée, de façon pacifique mais aussi violemment, sur plus de quatre siècles. Il ne s’agit pas d’une guerre de religion, car les Vikings étaient ouverts à d’autres dieux et croyances et y trouvaient parfois un intérêt politique et commercial. « Tant que la foi chrétienne ne menaçait pas les anciennes coutumes, les païens considéraient le Christ avec indulgence » [43]. Des Scandinaves n'ont pas hésité à intégrer Jésus dans leur panthéon aux côtés de leurs divinités traditionnelles comme Odin ou Thor.

Les Nordiques entrèrent en contact avec la religion chrétienne suite aux premières missions d'évangélisation dans la première moitié du VIIIe siècle, c'est-à-dire avant l'expansion viking. En 725, Willibrord, évêque d'Utrecht, échoua à convertir les Danois. L'imprégnation du christianisme devint beaucoup plus palpable suite aux raids vikings. Les pillards ramenaient dans leur pays un butin notamment composé d'objets du culte chrétiens. L'empereur Louis le Pieux ranima les tentatives d'évangélisation. Vers 822-825, la Scandinavie fut déclarée terre de mission. Ebbon, archevêque de Reims, puis Ansgar, moine de Corbie, prêchèrent au Danemark sans grand succès.

Le changement décisif se produisit où de grands chefs se convertirent. Des princes comprirent tout l'intérêt d'embrasser une religion qui consolidait leur pouvoir. En Francie, le jarl Rollon accepta d'être baptisé en échange de recevoir un territoire qui allait devenir le duché de Normandie. C'était un excellent critère d'intégration dans le monde franc. En Scandinavie, des rois se servirent de la religion du Christ afin de « dépasser les particularismes culturels et surtout les dissensions politiques entre clans »[44]. Le but ultime étant d'unifier leur royaume. En somme, la conversion au christianisme avait pour origine des motivations essentiellement politiques. Le prince norvégien Håkon le Bon se fit baptiser en Angleterre et, de retour en Norvège, entreprit une christianisation de son pays. Il rencontra une forte opposition à la propagation de sa foi. « En 933, des sujets de Hakon [le Bon] brûlèrent des églises, tuèrent des prêtres et forcèrent Hakon à abandonner son projet de christianiser tout le pays »[45]. L’opposition à la foi chrétienne fut brisée plusieurs dizaines d'années plus tard avec une violence peu chrétienne, d'abord par le roi Olaf Tryggvason, baptisé en 995. « Il fit preuve d’une poigne évangélisatrice redoutable pendant les cinq ans de son règne sans doute mû par un fanatisme religieux hors du commun. Son œuvre fut achevée par Olaf Haraldson»[46] (1016-1028). Au Danemark, Harald à la Dent Bleue agit de même. En 985, le royaume est unifié et christianisé sous sa poigne. En Suède, malgré le zèle des missionnaires comme l’évêque Bruno de Querfurt, le paganisme demeurait encore au XIe siècle. Les missionnaires, voyant qu’ils ne pouvait pas détruire les anciennes croyances, les christianisèrent progressivement en récupérant les anciennes déités païennes[47].

La christianisation engendra des résistances suivies de bannissements et de brutalités, car cette nouvelle foi était coercitive, imposant un dieu unique. Les Vikings avaient l’obligation d’abandonner leurs anciennes croyances. « L’Église n’autorise pas d’autres dieux, qu’elle considère comme des démons et des forces du Mal. Freyja, la grande Déesse des Vikings, symbole de la fécondité, fut pour l’Église un objet de ridicule et de mépris » [48]. Les textes de Snorri Sturluson lui-même vantaient les exactions chrétiennes. « Ceux qui n’abandonnaient pas le paganisme étaient expulsés, à d’autres il [nldr Olaf Haraldson]) faisait couper les mains ou les pieds ou extirpait les yeux, pour certains il les faisait pendre ou décapiter, mais ne laissait impuni aucun de ceux qui ne voulaient servir Dieu (...) à qui il affligeait de grands châtiments (...). Il leur [au peuple norvégien] donna des clercs et en institua dans les districts... »[49].

En Suède, les Varègues furent contraints d’accepter la christianisation, en même temps que les Slaves, en 989, lors du baptême général ordonné par le roi Valdimarr[50].

La christianisation de l'Islande se présente sous un autre jour. Au cours d'une réunion de l'Althing au solstice d’été de l'an 999 [51], les Islandais décidèrent, contraints et forcés, d'adopter le christianisme officiellement. « Les menaces du roi Olafr Tryggvason, qui décide de garder tous les fils de grands chefs Islandais séjournant en Norvège, pèsent certainement d’un grand poids sur le fameux Althing de 999 » [52],[53]. « Olafr Tryggvason fit preuve d’une poigne évangélisatrice redoutable, il imposa le christianisme aux Féroé, avec l’aide du jeune chef Féroïen Sigmundr Brestisson, converti à la nouvelle religion (Faereyinga saga) et en Islande, en envoyant des missionnaires comme Thangbrandr dont l’efficacité n’avait d’égale que la violence (Kristni saga). En 999, une décision officielle, après un débat houleux de l’Althing, établit la nouvelle religion : la loi obligeait les Islandais qui n’étaient pas encore baptisés à le faire. » [43]. D’autre part, ils craignaient une division religieuse, et donc politique, du pays entre païens et chrétiens, ces derniers étant déjà nombreux sur l'île. Risque de partition d'autant plus grand que l'Islande ne connaissait pas ni roi ni quelconque prince à sa tête[54].

Reconstitution contemporaine

La foi Scandinave Asatru, Odinisme, a été reconstituée avec plus ou moins de succès et certains pays acceptent de la compter parmi les religions officielles.

Il est très difficile aujourd'hui d'approcher un tant soit peu les croyances originales des Vikings, compte tenu de mille ans de censures et de réécritures chrétiennes: « il faut demeurer conscient que cette imprégnation pour ne pas dire intoxication littéraire (chrétienne et classique), afin d’apprécier à leur juste valeur les prestations scaldiques, eddiques, et sagas »[55].

La seule réalité historique de ces textes est la mentalité: il est bien plus intéressant d'essayer de la reconstituer que de prendre à la lettre des récits souvent trop complaisants ou adaptés de sources latines[56].

L'archéologie, l'histoire, et le passage à l'étamine de toutes nos sources, et en considérant avec plus d'attention les témoignages antérieurs à la domination chrétienne, qui semblent être les plus objectifs (comme ceux cités plus haut dans le chapitre héritage), permettront d'avoir une idée plus précise de ce qui auraient pu être les "Croyances Vikings".

Voir aussi

Notes et références

  1. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs;31, 32
  2. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.23;35
  3. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.25
  4. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.37
  5. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.33
  6. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.69
  7. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.38
  8. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs;41; 46
  9. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.33, 44
  10. a  et b Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs; 44
  11. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P 8 ISBN 978-2-228-90165-9
  12. Régis Boyer « l’Islande médiévale », Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 pages 179,202,211
  13. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.34
  14. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.47
  15. Mrs H. Ellis Davidson, Gods and Myths of Northern, Harmondsworth, Penguin Books, N° A670, 1964 page 24
  16. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, page 37, ISBN 978-2-228-90165-9
  17. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P8 ISBN 978-2-228-90165-9
  18. Régis Boyer, Vikings idées reçues, le cavalier bleu, Éditions ISBN 2-84670-040 0 2002, page 70
  19. Torfi H.Tulinius : chp :la conversion du Viking (traduction de R.Boyer, les nouvelles découvertes de l’archéologie, collection mémoires et histoire 2008, ISBN 2-7467-0736-5
  20. Einar Olafur Sveinsson, Hilda Roderick Ellis Davidson, Viktor Rydberg, Eugen Mogk , Jean Renaud. Jacob Grimm, A. d'Apremont, Keary Charles, Grau...
  21. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7, p. 98
  22. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, page 37, ISBN 978-2-228-90165-9
  23. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p 206
  24. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 page 203
  25. Régis Boyer « l’Islande médiévale », Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7, p185
  26. Régis Boyer, Les Sagas islandaises, Payot, ISBN 978-2-228-90164-2 p122
  27. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.33-34
  28. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p186
  29. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9 p.34
  30. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs;44,47
  31. Jean Renaud: les dieux des Vikings, éditions Ouest France, ISBN 2-7373-1468-2, page 122
  32. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 page90
  33. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9, p 18
  34. Régis Boyer : Les Vikings 800-1050, la vie quotidienne Hachette page 218, ISBN : 2-0123-5690-7
  35. F. Ström : Den egna kraftens män, Göteborg, 1948
  36. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs; 32, 33
  37. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs; 37,40,44
  38. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs; 42
  39. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs;93
  40. Régis Boyer le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs; 43
  41. Régis Boyer, Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, édition Payot, P8 ISBN 978-2-228-90165-9
  42. KD Schmidt : Trosskiftet Kulturhistoriskt lexikon för Nordisk Medeldit
  43. a  et b Jean Renaud, les dieux des Vikings, éditions Ouest France, ISBN 2-7373-1468-2, sept 96, p. 188
  44. Philippe Descamps, « Des rois sous le signe du Christ », Cahiers de Sciences et Vie, Vikings : enquête sur les secrets des maîtres des mers, n°80, avril 2004, p. 110
  45. Jean Renaud, op. cit., p.188
  46. Jean Renaud, op. cit., p.187
  47. Bernard Mariller, Vikings, collection B-A BA, éditions Pardès, 2003
  48. Jean Renaud, op. cit., p. 190
  49. Régis Boyer, Les Vikings : histoire et civilisation, Paris, Perrin, 2002. Régis Boyer, Yggdrasill. la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, 2007. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p.&nbs;18
  50. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. 81
  51. Régis Boyer, le Christ des Barbares, éditions du CERF, p. 89
  52. Régis Boyer : la vie religieuse en Islande, Paris, Fondation Singer-Polignac, 1979, 1ére partie
  53. Régis Boyer :Yggdrasill, la religion des anciens Scandinaves, éditions Payot, 2007, page 224
  54. Philippe Descamps, op. cit., p. 112
  55. Régis Boyer, L’Islande médiévale, Guide des belles lettres, ISBN 2-251-41014-7 p 206
  56. Régis Boyer, Le Christ des Barbares, éditions Cerf ISBN 2-204-02766-9, p 18

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