Occident (mouvement politique)

Occident (mouvement politique)
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Occident, fondé en 1964, était un mouvement politique français d'extrême droite. Dissous le 31 octobre 1968, il fut remplacé par Ordre nouveau.

Sommaire

Origine

Issu de la dissolution le 2 novembre 1963 de la section de Paris de la Fédération des étudiants nationalistes par François d'Orcival « pour indiscipline et refus de l'orientation nationaliste[1] » et la mise « en dehors des activités et de la communauté nationalistes » de plusieurs militants par la direction de la FEN le 18 février 1964[2], le mouvement Occident a été fondé en avril 1964 par une équipe de lycéens et étudiants, essentiellement parisiens, qui ont choisi initialement pour porte-parole Pierre Sidos, l'ancien fondateur de Jeune Nation.

Fin 1965, le mouvement comptait 600 adhérents. De 1964 à 1968, on peut estimer à environ 1 500 le nombre d'adhésions à Occident[3]. D'anciens animateurs du mouvement donnent toutefois des évaluations beaucoup plus basses : une centaine de militants en 1965, guère plus de 800 sur toute la France en 1968.

Idéologie

Durant sa première année d'existence, lorsqu'il est sous l'influence de Pierre Sidos, le mouvement reproduit passivement un classique discours d'extrême droite, venu tout droit des années 1920-1930, où l'on discerne l'héritage de Charles Maurras. Les publications d'Occident dénoncent alors la démocratie, citant Louis-Ferdinand Céline : « Le gouvernement du peuple, pour le peuple, et par la vinasse », et rejettent « le mythe de l'élection », qui doit être remplacé par la « sélection des meilleurs éléments de la communauté populaire, en vue de constituer une nouvelle élite, fondée sur le mérite et les talents ». « Les nationalistes français constituent contre la république maçonnique et ploutocratique le Parti de la Nation française, le Parti de la seconde Révolution française, qui abolira les effets néfastes de la première[4].

Occident se réfère alors volontiers à l'écrivain Robert Brasillach (fusillé en 1945 pour collaborationnisme), se montre ouvertement raciste, célèbre les vertus du « sang » (« Le sang obsédera toujours l'esprit humain, sang mystique du Christ, sang biologique de la fécondation, sang commun à tous les peuples d'Europe » écrit Occident université, n° 6, 5 mars 1965), exalte l'« ethnie française », et affirme : « Pervers et nuisible sous toutes ses formes, le libéralisme est l'ennemi le plus dangereux du nationalisme ».

Le terme « fasciste » n'est pas renié[5] : « Dans toutes les démocraties, la jeunesse s'ennuie, et dans toutes les démocraties, il y a des “blousons noirs”. Alors que dans les pays qualifiés de “fascistes”, il n'y en a jamais eu. Cela tient au fait que tout fascisme est l'expression d'un nationalisme, qui seul peut cristalliser la volonté de la jeunesse en un immense élan révolutionnaire ; le nationalisme, c'est la jeunesse au pouvoir. »

À la fin de 1965 intervient un tournant très net, à la suite de l'éviction de Pierre Sidos. Occident abandonne les références au passé, ne se soucie plus de rechercher une légitimité aux yeux de l'extrême droite traditionnelle mais au contraire se pose en rupture avec « les chers aînés, vivant dans le souvenir jaloux d'une trentaine de faillites, d'une quinzaine de défaites et d'un nombre respectable de trahisons »[6]. Tandis que le fonds doctrinal se réduit à un nationalisme basique placé dans la tradition de Maurice Barrès, la propagande se concentre sur l'anticommunisme dans le contexte historique de la Guerre froide et s'appuie alors exclusivement sur des thèmes de politique internationale, le Viet-Nam en premier lieu, comme font au même moment les groupuscules d'extrême gauche qu'une constante micro-guerilla oppose à Occident dans les universités et les lycées.

Comme ses adversaires, Occident donne alors dans un jeunisme exacerbé, prétend incarner « l'espérance révolutionnaire de la jeunesse », et s'engage dans une radicalisation illustrée par des mots d'ordre provocateurs tels que « Tuez les communistes partout où ils se trouvent ! » (début 1966), reprenant l'exhortation du maréchal Suharto en Indonésie, où les communistes et présumés communistes sont assassinés par centaines de milliers[7]. De même, Occident approuve bruyamment le coup d'État du 21 avril 1967 en Grèce et précise : « La seule méthode reconnue pour mettre fin à l'agitation marxiste étant l'élimination physique, nous suggérons au gouvernement grec de ne pas se laisser prendre au piège d'un pseudo-humanitarisme[8]. »

Le nom du mouvement est devenu en 1966-1967 un slogan résumant son positionnement : il défend l'Ouest contre l'Est marxiste. Ce faisant, il rejette implicitement l'opposition entre monde blanc et tiers-monde qui structurait la doctrine d'Europe-Action et de la FEN, considère que la décolonisation est une affaire classée et que le monde occidental a vocation à s'étendre à toutes les nations en lutte contre le communisme, quitte à soutenir les objectifs de la géostratégie mondiale des États-Unis. Toutefois, en juin 1967, au moment de la Guerre des Six Jours, il se refuse à manifester en faveur de l'État d'Israël, au contraire du reste de l'extrême droite française quasi-unanime dans son enthousiasme pour l'État hébreu. Le mouvement s'inscrit alors explicitement dans l'orbite intellectuelle de Maurice Bardèche, dont la revue Défense de l'Occident est alors l'organe doctrinal officieux d'Occident.

Une dernière phase s'ouvre durant l'hiver 1967-1968. Conscient de ne plus faire le poids face à la montée en puissance de l'ultra-gauche, Occident se détache du romantisme adolescent des débuts et recherche à nouveau des alliances chez les adultes et dans la droite traditionnelle. A cette fin il se fond en janvier 1968 dans le cadre du Front uni de soutien au Sud-Vietnam que dirige Roger Holeindre. Alain Madelin stoppe la presse du mouvement, Occident cesse dès lors toute production idéologique autonome.

Historique

Dans le Quartier latin, les « Occidentaux » usèrent de violence contre les militants d'extrême gauche, en signe d'opposition à la représentation de la pièce de Jean Genet Les Paravents au Théâtre de l’Odéon à Paris le 4 mai 1966, dont ils obtinrent finalement le retrait, puis contre la librairie La joie de lire (appartenant à François Maspéro) et contre le café Champollion, le même mois, et contre des partisans du Nord-Vietnam, en octobre et novembre 1966 (sept blessés parmi les militants d'extrême gauche, dont trois sont hospitalisés)[9].

Le 12 janvier 1967, une petite équipe d’Occident attaqua les comités Viêt Nam sur le campus de l’université de Rouen, blessant grièvement des étudiants, l'un d'eux étant laissé dans le coma[10]. Cette agression entraîna l’interpellation rapide d’une vingtaine de membres du groupuscule, dont Gérard Longuet, Alain Madelin et Patrick Devedjian. Treize militants d'Occident sont condamnés le 12 juillet 1967 pour « violence et voies de fait avec armes et préméditation[11] ». Cette affaire alimenta la tendance paranoïaque des militants d’Occident, prêts à se soupçonner mutuellement de trahison. Patrick Devedjian figurait en tête de liste des « balances » possibles. Convoqué sous le prétexte d’une réunion, le jeune militant fut soumis à un interrogatoire musclé et à la « baignoire ». Complètement nu, il enjamba la fenêtre et se laissa suspendre dans le vide avant d’être embarqué par une ronde de police[12].

Au début du mois de mai 1968, les militants d'Occident multiplièrent les provocations contre les militants d'extrême gauche, au point que, selon Joseph Algazy, « il est vraisemblable que ces violences dans les campus ont contribué, elles aussi, au déclenchement de l'explosion de Mai 68[13] ». Lorsque l'explosion intervint, les membres d’Occident hésitèrent à rejoindre les barricades pour renverser le régime gaulliste qu’ils exécraient ou, au contraire, à lutter contre les militants d'extrême gauche. Alain Madelin proposa un ralliement à la droite gaulliste mais ne put l'imposer : les militants se dispersèrent, les uns faisant campagne pour les gaullistes, les autres se rapprochant des Républicains indépendants, quelques-uns s'opposant aux CRS.

Le décret du 12 juin 1968, dissolvant plusieurs mouvements extrémistes en application de la loi de janvier 1936, épargne Occident. René Capitant, ministre de la Justice, argue : « Le mouvement Occident a employé la violence, parfois, mais il ne s'est pas dévoilé comme un mouvement subversif. » La préfecture de police de Paris avait pourtant demandé sa dissolution dès le 24 juillet 1964, de même que le directeur central des Renseignements généraux, le 8 décembre 1966[14].

Le 27 octobre 1968, à la suite du saccage par les militants d'Occident du local du Snesup (Syndicat national de l'enseignement supérieur) puis du journal Action, un groupe commun pro-chinois et anarchiste investissait le café Relais-Odéon, lieu de rendez-vous habituel des militants d'Occident, y répandait plusieurs bidons d'essence avant de lancer un cocktail Molotov entraînant un incendie dont les dégâts furent chiffrés à 250 000 F (de l’époque )[réf. nécessaire]. Prévenus par une « taupe » dans les milieux d'extrême gauche, les militants nationalistes s'étaient ce jour-là abstenus de se rendre à leur « quartier général »[réf. nécessaire]. Le soir même, la librairie maoïste de la rue Gît-le-Cœur était plastiquée, tandis qu'un autre groupe anarchiste s'efforçait en vain d'incendier la Librairie française d'Henry Coston, tenu par erreur pour un proche du mouvement Occident[réf. nécessaire].

Le 31 octobre, devant les risques d'engrenage, Raymond Marcellin, ministre de l'Intérieur, faisait adopter par le Conseil des ministres la dissolution d'Occident[15], par application de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées[16], avec effet le lendemain 1er novembre 1968.

Plusieurs de ses membres, souvent les plus américanophiles, rejoignirent par la suite les mouvements libéraux ou conservateurs de droite, à l'instar d'Alain Madelin, de Patrick Devedjian de Claude Goasguen. D'autres choisirent de continuer à l'extrême droite, avant de rejoindre le RPR, le Centre national des indépendants et paysans ou l'UDF, comme Alain Robert, François Haut ou Hervé Novelli. De son côté, Michel de Rostolan rejoint le CNIP, avant de se rallier au Front national[17].

Commentaires des anciens membres ou sympathisants

  • Pour Patrick Devedjian : « Je ne me suis jamais caché de mon passé. J’étais d’origine arménienne et c’était aussi une façon, pour moi, de me sentir français. J’étais anticommuniste et, finalement, je n’ai pas changé. Je me suis engagé pour la cause de l’Algérie française. J’ai quitté Occident en 1966, après avoir découvert Raymond Aron. Ce mouvement n’avait rien à voir avec l’extrême droite de Jean-Marie Le Pen. C’était une autre époque, on ne peut pas comparer[18]... »
  • Pour Gérard Longuet : « Pour des raisons personnelles, j’étais Algérie française et anticommuniste. J’ai fait un bout de chemin avec la FEN, avant de basculer vers Occident. Nous étions une bande de copains. Je n’ai jamais supporté que l’on m’interdise de m’exprimer. J’ai fait la campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour en 1965. On se spécialisait dans la relation conflictuelle et musclée avec l’extrême gauche. On s’est pris des raclées, j’ai eu le cuir chevelu entamé. Après l’incident de Rouen, où je n’étais pas impliqué, j’ai rejoint les Républicains indépendants[18]. »
  • Pour Alain Madelin : « [J'étais animé par un] anti-communisme militant, extrême et passionné, qui a accompagné une bonne partie de ma vie d'étudiant. Et comme à ce moment-là, la France de l'anticommunisme était marginalisée, nous avons été systématiquement confinés à l'extrême droite. En face, ils étaient pour Mao et Pol Pot, pour les Gardes rouges et pour les Khmers rouges. Je ne regrette pas de ne pas avoir choisi ce camp-là[19]. »
  • Pour Hervé Novelli : « J’étais plus jeune que les autres, mais j’étais spontanément du côté de l’ordre. A l’époque, il n’y avait rien entre l’extrême droite et l’extrême gauche. Je n’ai pas un regret, Occident, c’était un engagement anticommuniste dans lequel je me reconnais toujours. C’est une époque révolue, il en reste une sorte d’amitié liée à l’adolescence. Ne tombons pas dans le piège de la béatification de l’extrême gauche et de la diabolisation de l’extrême droite[18]. »
  • Pour François d'Orcival : « J’étais à la FEN [Fédération des étudiants nationalistes], de 1962 à 1964. Cela correspond à des convictions de jeunesse, au bouillonnement des 20 ans. Je n’ai pas à renier cette époque, et il n’y a rien qui soit indigne. En 1962, j’avais été interné dans un camp, car j’étais Algérie française. Nous étions antimarxistes, mais je n’ai pas fait partie d’Occident. Je n’ai jamais été un extrémiste. Je ne suis pas un ancien combattant, et je suis journaliste depuis quarante ans. Tout ce que je peux dire, c’est que de Gaulle avait raison[18]. »
  • Pour Didier Schuller : « Je suis entré à la Corpo de droit à Assas en 1964. J’étais un militant d’occasion qui fait le coup de poing. J’étais très Algérie française, mais si je ne suis pas allé à Occident, c’est que je ne voulais pas être le “juif” de ce mouvement. Je suis vite revenu vers des choses plus raisonnables, et en 1972, je suis entré dans les cabinets ministériels[18]. »
  • Pour Patrice Gélinet : « Une connerie de jeunesse, comme d'autres ont été gauchistes. C'était il y a plus de quarante ans, c'est-à-dire plus de temps que celui qui sépare l'élection de Mitterrand en 1981 de sa francisque. Je ne renie pas le passé, mais je n'en suis pas particulièrement fier[20]. »

Notes

  1. En mars 1963, la direction de la FEN avait décidé de renoncer à l'activisme, décision contestée par plusieurs membres.
  2. La direction de la FEN donne les raisons de cette exclusion collective :
    « Cette décision a été prise après diverses tentatives (…) de s'emparer des fichiers nationaux de la FEN, de créer des activités fractionnelles, à la suite d'une personnalisation systématique des problèmes et d'un activisme détraqué. Ces éléments se sont placés sous l'autorité d'éléments adultes avec lesquels nous n'avons aucun rapport autre que des relations purement politiques, et qui ne peuvent en aucun lieu influer au sein de notre organisation : MM. Pierre Sidos et Georges Maillet. Ils tentent actuellement de créer le trouble parmi certains amis de province, et de mettre sur pied un pseudo-Front universitaire européen qui change de nom tous les trois jours. » (F.E.N.-Presse, circulaire, 18 février 1964) ; cité dans Frédéric Charpier, Génération Occident : de l'extrême droite à la droite, éd. du Seuil, 2005, pp. 79-80.
  3. Frédéric Charpier, op. cit., encart photographique no 2.
  4. Occident université, no 3, non daté, cité dans Joseph Algazy, L'extrême droite en France de 1965 à 1984, p. 47.
  5. Occident université, n° 5, 15 février 1965.
  6. Occident université, juin 1966.
  7. Frédéric Charpier, op. cit., p. 114.
  8. Occident université, 17 mai 1967, cité dans Frédéric Charpier, op. cit., p. 115.
  9. Joseph Algazy, L’Extrême droite en France, de 1965 à 1984, Paris, L’Harmattan, 1989, pp. 52-53.
  10. Frédéric Charpier, op. cit., p. 132.
  11. Frédéric Charpier, op. cit., p. 142.
  12. Frédéric Charpier, op. cit., p. 139.
  13. Joseph Algazy, L’Extrême droite en France, de 1965 à 1984, p. 57-58.
  14. Joseph Algazy, op. cit., p. 58.
  15. Décret du 31 octobre 1968 portant dissolution de l'association dénommée Occidental.
  16. Loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et les milices privées.
  17. Michel de Rostolan, blog de Radio Courtoisie, 27 juin 2005.
  18. a, b, c, d et e Entretien au Monde, 13 février 2005.
  19. Biographie d'Alain Madelin sur son site personnel
  20. « 2 000 ans et des podcasts », Strategies.fr, 7 janvier 2010.

Bibliographie

  • Joseph Algazy, La Tentation néofasciste en France. 1944-1965, éd. Fayard, 1984.
  • Id., L'Extrême droite en France de 1965 à 1984, éd. de L'Harmattan, 1989 ; rééd. 2000.
  • Frédéric Charpier, Génération Occident : de l'extrême droite à la droite, éd. du Seuil, 2005.
  • Jack Marchal, Frédéric Chatillon, Thomas Lagane, Les Rats maudits - Histoire des étudiants nationalistes, 1965-1995, 1995.

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