Musée dauphinois

Musée dauphinois
Musée dauphinois
Musée Dauphinois à Grenoble.JPG
Informations géographiques
Pays Drapeau de France France
Ville Grenoble
Adresse 30 rue Maurice Gignoux 38031 Grenoble cedex 1
Coordonnées 45° 11′ 42″ N 5° 43′ 36″ E / 45.1950, 5.726745° 11′ 42″ Nord
       5° 43′ 36″ Est
/ 45.1950, 5.7267
  
Informations générales
Date d’inauguration 1906
Collections objets de la vie quotidienne
Nombre d’œuvres 90 000 objets
Superficie 4 500 m²
Informations visiteurs
Nb. de visiteurs/an 41 344 (2008) [1] 52 000 (2009)
Site web Site officiel

Géolocalisation sur la carte : Grenoble

(Voir situation sur carte : Grenoble)
Musée dauphinois

Le Musée dauphinois est un musée départemental, service du Conseil général de l'Isère, situé à Grenoble en Isère.

C'est un musée ethnographique, archéologique, historique et de société couvrant le territoire de l’ancienne province française du Dauphiné. Il bénéficie du label "Musée de France".

Créé en 1906, il est à l'époque le troisième musée de Grenoble[2]. Le Musée dauphinois va successivement intégrer deux bâtiments historiques du XVIIe siècle, l'ancienne chapelle Sainte-Marie d'en-Bas, puis à partir de 1968, l'ancien couvent Sainte-Marie d'en-Haut, classé monument historique.

Sommaire

Historique du Musée dauphinois

Le Musée dauphinois est fondé en décembre 1906 par la municipalité du maire Charles Rivail, mais surtout sous l'impulsion de l'ethnographe Hippolyte Müller[3].

Chapelle Ste Marie d'en bas

Installé à ses débuts rue Très-Cloître, dans la Chapelle Sainte-Marie-d'en-Bas appartenant, avant 1905, à la communauté des sœurs de la Visitation. En 1647, par manque de place dans le couvent situé sur les hauteurs de la ville, elles avaient fait construire un couvent et une chapelle annexe, rue Très-Cloître, sur la rive gauche, qui prit le nom de Sainte-marie-d'en-Bas.

C'est dans cette ancienne chapelle désaffectée après le vote de la Loi de séparation des Églises et de l'État et rénovée, où est gravé dès 1907 l'inscription lapidaire Musée dauphinois, que s'installe Hippolyte Müller. Il y accumule tous les objets et documents relatifs à la vie quotidienne des habitants des Alpes, du patrimoine industriel jusqu'aux arts décoratifs régionaux, de la période gallo-romaine jusqu'au XIXe siècle. En 1925, Hippolyte Müller participe à la reconstitution du village alpin de Saint-Véran, lors de l'exposition internationale de la houille blanche.

Salle du musée rue Très-Cloître

Très vite, le manque de place se fait sentir devant l'accumulation d'objets puisque dès la fin des années 1940, il est envisagé de trouver un lieu plus vaste. Le maire de l'époque, Léon Martin est sollicité par le directeur des musées de France, pour trouver un cadre « plus digne d'une ville de grand tourisme comme Grenoble ». Le site du couvent désaffecté de Sainte-Marie-d'en-Haut sur la rive gauche de l'Isère est suggéré en 1949, mais le projet de transfert prendra près de deux décennies.

En 1965, la nouvelle municipalité d'Hubert Dubedout décide du transfert du musée dans les locaux nettement plus vastes du couvent Sainte-Marie-d'en-Haut, à la faveur d'une période économique favorable ainsi que de la prochaine tenue des Xe Jeux olympiques d'hiver dans la ville.

Le 3 février 1968, le musée dauphinois installé dans le couvent partiellement rénové, est inauguré par le ministre de la culture André Malraux et le lendemain, le maire Hubert Dubedout, présente au général de Gaulle le positionnement du musée sur une maquette géante de la ville.

Musée dauphinois

Après une première exposition recevant 36 000 visiteurs, le musée est fermé quelques mois afin d'achever la restauration. C'est finalement le 27 juin 1970 que les locaux totalement rénovés, font l'objet d'une deuxième inauguration.

En 1989, le musée acquiert un nouveau bâtiment de 2 000 m² sur les quais de l'Isère afin d'avoir un nouvel atelier et de nouvelles réserves à proximité.

En 1992, Le musée dauphinois passe de la tutelle de la ville de Grenoble à celle du Conseil général de l'Isère. Il devient l'un des services de la Direction Culture et patrimoine.

C'est au cours de l'année 2004 que le musée établit son record d'affluence avec plus de 107 000 visiteurs, grâce notamment à une exposition sur les trésors d'Égypte[4]. Sa fréquentation moyenne annuelle est de l'ordre de 50 000 visiteurs par an.

L'ancien couvent de Sainte-Marie d'en-Haut

L'origine du couvent

À l'origine, ce couvent de l'Ordre de la Visitation est fondé dans le climat religieux de la Contre-Réforme du XVIIe siècle. Cette congrégation, réservée aux femmes, est fondée en 1610 par François de Sales et Jeanne de Chantal qui installent leur quatrième maison à Grenoble en lui donnant le nom de couvent Sainte-Marie-d'en-Haut. Le bâtiment est construit de 1619 à 1621 sur la rive droite de l'Isère, au-dessus de la ville, sur les premières pentes de la colline de la Bastille, le long de la montée de Chalemont. À cette même période, la montée de Chalemont cesse d'être le point d'entrée historique de la ville grâce à une voie taillée dans les rochers au bord de l'Isère et à la construction de la Porte de France par le duc de Lesdiguières.

Ses différents occupants

Chapelle de la Visitation, Sainte-Marie-d'en-haut

Ce couvent va connaître au cours des siècles une succession d'occupations diverses. À la Révolution, il devient un bien national et se transforme en prison. En 1804, les religieuses de l'ordre du Sacré-Cœur dirigées par Philippine Duchesne s'y installent et consacrent leur temps à l'enseignement des jeunes filles. Puis c'est au tour des Ursulines, de s'y installer, de 1851 jusqu'en avril 1905, date de leur expulsion. De 1906 à 1920, l'armée y loge des troupes puis à partir de 1920, la ville de Grenoble en mal de logement va y loger provisoirement 150 familles d'origine italienne. Relogées vers la fin des années 1950, ces familles laissent la place à des étudiants de l'école d'architecture pendant quelques années avant que la ville ne commence la restauration du bâtiment.

Le bâtiment et la chapelle

plafond de la chapelle

Le couvent Sainte-Marie-d'en-Haut a conservé l'essentiel de ses bâtiments et notamment le cloître, le chœur des religieuses, derrière la grille duquel les Visitandines assistaient aux offices religieux, et surtout la chapelle au riche décor baroque. On y accède par un long couloir voûté qui débouche dans le chœur des religieuses, greffé en équerre sur la chapelle. Véritable musée dans le musée, la Chapelle de la Visitation est un joyau de l'art baroque français dont les peintures murales, réalisées par le peintre Toussaint Largeot, sont achevées en 1662, année de la béatification de François de Sales[5]. La chapelle reçoit également un grand retable en bois doré installé grâce à la générosité de François de Bonne de Créqui, gouverneur de Grenoble et petit-fils de Lesdiguières. L’autel est réalisé un siècle plus tard, en 1747, à l’occasion de la béatification de Jeanne de Chantal. Une petite chapelle latérale présente des peintures évoquant la vie de François de Sales.

La statue de la Vierge dorée est visible sur cette vue antérieure à 1917

En 1890, les Grenoblois veulent avoir, comme d'autres villes, leur vierge protectrice, Notre-Dame-d’en-Haut. L’architecte Alfred Berruyer, auteur de la basilique de La Salette, fait alors construire contre la chapelle une tour élevée de 30 mètres, surmontée d’une statue de la Vierge en fonte dorée de 3, 60 m de haut pesant 1, 8 tonnes. En-dessous de cette statue monumentale, quatre statues nichées dans les angles, d'une hauteur d'un mètre vingt, représentent les quatre saints protecteurs de la ville, Saint Bruno, Saint Ferjus, Saint François de Sales et Saint Hugues[6]. L'ensemble est inauguré le 25 octobre 1891 en présence de l'évêque de Grenoble, monseigneur Fava. Mais quelques décennies plus tard, l'ensemble de ce nouvel édifice provoque de dangereuses lézardes dans la voûte de la chapelle et menace de s’effondrer, c'est la raison pour laquelle sa démolition est décidée à partir de 1935 et achevée le 18 janvier 1936.

La chapelle est classée monument historique le 19 juin 1916.

Les jardins de l'ancien couvent de Sainte-Marie d'en-Haut

Jardin du cloître

Le jardin du cloître au centre duquel se trouve un cadran solaire est représentatif des jardins du XVIIe siècle avec leurs haies de buis organisées autour de quatre carrés de pelouse.

À l'est du musée, plusieurs jardins en terrasses s'étendent le long de la montée de Chalemont. Autrefois cultivés en vignes et potagers, ils permettent aujourd'hui aux visiteurs de bénéficier d'un panorama exceptionnel, à environ trente mètres au-dessus de la ville ancienne.

Ces terrasses, ainsi que le bâtiment du musée, sont classés monument historique depuis le 3 novembre 1965[7].

Les collections et le centre de ressources documentaires

Le musée conserve 90 000 objets mais seuls 5% d'entre eux sont exposés. Il possède aussi une iconothèque de 25 000 documents et 125 000 photographies. Une campagne de numérisation de l'ensemble des collections est engagée depuis 2007. Un premier versement de notices est disponible en ligne sur le site internet du musée.

Les expositions

Les expositions présentées au musée interrogent les faits de société, y compris dans leur actualité la plus immédiate. Le Musée dauphinois offre deux expositions de longues durées : Gens de l'alpe et La Grande Histoire du ski". Deux nouvelles expositions temporaires sont proposées à chaque saison. Ces expositions sont accompagnées par un programme de rencontres articulé autour du spectacle vivant (Théâtre, danse, conte, concerts de musique baroque, musique classique, musique du monde, musique contemporaine, jazz joués régulièrement dans la chapelle de la Visitation), des arts plastiques, de conférences, de projections de documentaires. Chaque exposition fait l'objet d'une publication. Le catalogue complet est disponible sur le site internet du Musée.

Expositions de longue durée

  • Gens de l'alpe, depuis fin 1998 - Remaniement scénographique en 2006
  • La Grande Histoire du ski, depuis 1994

Expositions temporaires

  • Hannibal et les Alpes (avril 2011-Juin 2012)
  • Ce que nous devons à l'Afrique (octobre 2010 - janvier 2012)
  • Vaucanson et l’Homme artificiel, des automates aux robots (avril 2010 - juin 2011)
  • Tibétains, Peuple du monde, (octobre 2009 - 31 décembre 2010)
  • Habiter (Avril 2009 - Juin 2010)
  • Être ouvrier en Isère (XVIIIe-XXIe siècle) (Octobre 2008 - janvier /2010)
  • Rester Libres ! (Décembre 2006 - Novembre 2008)
  • Trésors d'Égypte : la « Cachette » de Karnak (septembre 2004-Janvier 2005), exposition-hommage à Georges Legrain à l'occasion du IXe congrès international des égyptologues.
  • Chevaliers paysans de l'an mil au lac de Paladru (1993-1994)

Questions de société

  • Etre ouvrier en Isère - du 24/10/2008 au 01/01/2010
  • Rester libres ! -du 08/12/2006 au 03/11/2008
  • Le musée dauphinois a cent ans ! - du 07/10/2006 au 31/06/2007
  • Germaine Tillion - Itinéraire et engagements d'une ethnologue -du 04/02/2005 au 08/05/2005
  • Un air de famille - du 11/10/2003 au 29/04/2004
  • Français d'Isère et d'Algérie - du 21/05/2003 au 21/09/2004
  • Millénaires de Dieu - du 25/11/2000 au 31/12/2001
  • Peurs bleues - L'enfant et les croquemitaines - du 07/04/2000 au 30/04/2001
  • Pour que la vie continue - D'Isère et du Maghreb, paroles d'immigrés - du 01/10/1999 au 31/12/2000
  • D'isère et d'Arménie - du 01/04/1997 au 03/03/1998

Alpes humaines

  • Habiter - du 26/04/2009 au 30/06/2010
  • Eugénie Goldstern - du 22/11/2007 au 30/06/2008
  • Le monde n'est pas un panorama - du 14/04/2006 au 26/06/2006
  • Transhumance - du 23/03/2003 au 07/07/2003
  • Art post'alpe - du 25/01/2003 au 09/03/2003
  • Les géographes inventent les Alpes - du 15/12/2001 au 31/05/2002
  • Les champs de la ville - du 01/05/1991 au 06/05/1993

Archéologie

  • Premiers bergers des alpes - du 10/04/2008 au 30/06/2009
  • Trésors d'égypte - La cachette de karnak - du 01/09/2004 au 31/12/2004
  • Hippolyte Müller - Aux origines de la préhistoire alpine - du 05/05/2004 au 26/06/2006
  • Les Allobroges - du 11/10/2002 au 15/09/2003
  • Premiers alpins - du 01/09/1995 au 31/01/1997
  • Nos villages ont cinq mille ans - du 01/05/1995 au 30/10/1995
  • Chevalier de l'an mil - du 01/10/1993 au 30/05/1996

Patrimoine en Isère

Ce cycle d'exposition est conçu et realisé par le Service Patrimoine culturel du Conseil général de l'Isère

  • Patrimoine en Isère : Pays de roussillon - du 05/12/2003 au 31/03/2004
  • Patrimoine en Isère  : l'Oisans - du 15/06/2001 au 15/11/2001
  • Patrimoine en Isère  : le pays de Chambaran - du 15/12/1999 au 31/03/2000
  • Patrimoine en Isère : pays du Trièves - du 01/01/1997 au 31/09/1997

Patrimoine et art contemporain

  • Matrice, exposition de Marie Goussé - 2010
  • Filer la métaphore, du bouton au Matrimoine - Collectif artistique La Mercerie - 2007 - 2008
  • Pascale Violland - installation - du 01/06/2007 au 03/09/2007
  • Racines - du 01/06/2000 au 31/12/2000 - en partenariat avec le Magasin-CNAC, grenoble

Patrimoine industriel / savoir-faire / artisanat

  • Papetiers des alpes - six siècles d'histoire - du 08/10/2005 au 31/06/2007
  • Potiers et faïenciers au musée dauphinois - du 13/10/2002 au 31/12/2002
  • Hache - du 01/10/1997 au 30/01/1999
  • Les maîtres de l'acier - du 01/10/1996 au 31/07/1997

Patrimoine narratif - patrimoine oral

  • Etres fantastiques de l'imaginaire alpin a l'imaginaire humain. - du 07/10/2006 au 31/12/2007

Personnalités en Dauphiné

  • Louis Mandrin, malfaiteur ou bandit au grand coeur ? - du 13/05/2005 au 27/03/2006
  • Martinotto frères : une dynastie de photographes à grenoble - du 15/06/2002 au 15/01/2003

Les expositions de 1968 à 1991

  • Les champs de la ville - mai 1991
  • Médinas et Ksours, Une culture millénaire - Février - Avril 1991
  • Premiers princes celtes - Novembre 1990 à mai 1991
  • Bijoux berbères du Maroc : Traditions juives et arabes, au creuset du monde berbère - 24 octobre 1990 au 31 mars 1991
  • Corato-Grenoble - Grenoble - 1989
  • Eux et nous - 1989
  • Quelle mémoire pour demain ? - 1989
  • Villages de Roumanie, identités en péril - Exposition photographique - Juin à octobre 1989
  • Cathédrales électriques - Cent ans d'Hydroélectricité en Dauphiné 19 décembre 1989 au 31 décembre 1990
  • Profession guide, deux siècles de passion montagnard - 18 novembre 1988 - été 1989
  • De pain et d'espérance 1788-1988 - Grenoble et le Dauphiné à la veille de la Révolution - 1988
  • Découverte et sentiment de la montagne * 1988
  • Sainte-Marie-d'en-Haut - 1988
  • Regard des années 20 et 30 - Mémoire d'architecture - Mallet Stevens - 13 novembre au 5 décembre 1987
  • Masques - 23 mai au 30 septembre 1987
  • Les celtes et les Alpes - Février à mai 1987
  • La main du gantier - 26 octobre à fin 1986
  • De mémoire d'homme 1986-1987
  • Le désert du monde - L'ordre des Chartreux - Octobre 1984 - octobre 1985
  • Poteries et potiers de Cliousclat - 17 décembre 1983 au 29 février 1984
  • Itinéraires archéologiques à Naples et ses environs - 8 novembre au 5 décembre 1983
  • Ex-voto napolitains (XVIe - XXe siècle) - 1982
  • Le roman des grenoblois - 1982 au
  • Saint-Véran, la mémoire du Queyras - 1981
  • 4000 ans de chaussures - 1981
  • Les colporteurs fleuristes de l'Oisans - 1981
  • Enfants des montagnes 1979
  • Poterie des fellahs d'Egypte - Septembre 1979
  • Art esquimaux contemporain - 10 novembre au 5 décembre 1976
  • Amisch quilt - 9 juillet au 29 août 1976
  • Art populaire du Tyrol - La maison paysanne
  • 15 novembre 1975 au 15 avril 1976
  • Sérigraphies - 1974
  • Marques postales dauphinoises - Donation Rebreyend-Laubies - Mai - Juin 1974
  • Hache - Ébénistes à Grenoble - 1974
  • Peintures paysannes de Dalécarlie - 1973
  • Lumière et feu - Avril - juillet 1973
  • Marionettes 73 à Grenoble - 1973
  • Art et Architecture - 1972
  • Art de Rome et de ses provinces - 1971
  • Vivre à Grenoble hier - 1971
  • Jalons d'histoire dauphinoise - 1970-1982
  • Trésors du Musée dauphinois - 1968
  • À la découverte de l'art roman dauphinois - 1964
  • Exposition d'art religieux ancien - 1963

Les conservateurs

Les conservateurs directeurs du musée :

  • Jean-Claude Duclos de 2000 à 2011
  • Jean Guibal de 1986 à 2000, actuellement Directeur de la Culture et du Patrimoine au Conseil général de l'Isère
  • Jean-Pierre Laurent de 1971 à 1986
  • Marcel Maget en 1970
  • Michel Colardelle de 1969 à 1970
  • Marcel Boulin de 1966 à 1969
  • Joseph Laforges de 1955 à 1966
  • Victor Piraud de 1953 à 1955
  • Joseph Collomb de 1933 à 1953
  • Hippolyte Müller de 1906 à 1933 - Fondateur du Musée dauphinois

Les conservateurs membres de l'équipe actuelle du musée

  • Chantal Spillemaecker, depuis 1982, - C. Spillemaecker est également directrice du Musée Hector-Berlioz à La Côte-Saint-André (Isère)
  • Jean-Pascal Jospin, depuis 1983
  • Valérie Huss,

Les conservateurs ayant été membres de l'équipe du musée

Accès

  • En transports en commun, par la  Navette Le Rabot
  • En voiture, par la rue Maurice Gignoux débouchant sur le quai Perrière. A noter que la rue Maurice Gignoux est la seule rue en pente naturelle de la ville de Grenoble.
  • À pied, par la montée de Chalemont, démarrant place de la Cymaise, en face du Pont Saint-Laurent dans le quartier Saint Laurent.

Notes et références

  1. Bilan de fréquentation des 70 principaux sites et musées de l’Isère
  2. Le premier est le musée-bibliothèque des Beaux arts place de Verdun et le second le muséum d'histoire naturelle.
  3. Selon Jean-Claude Duclos dans son livre Cent ans, Musée dauphinois
  4. selon le livre de Jean-Claude Duclos, Cent ans
  5. Il est canonisé en 1665.
  6. Trois statues sont portées disparues depuis 1936, seule la statue de Saint François de Sales est encore conservée.
  7. Selon le site annuaire-mairie

Bibliographie

  • Cent ans, Jean-Claude Duclos, Ed. Département de l'Isère - Coll. Musée dauphinois, Grenoble, 2006 (ISBN 2-905375-89-2)
  • ...Et l'Homme se retrouve, Cheminements Muséographiques, Jean-Pierre Laurent - Entretiens avec Mireille Gansel, Ed. Département de l'Isère - Coll. Musée dauphinois, 2008 (ISBN 978-2-35567-020-6)
  • Hippolyte Müller, Aux origines de la Préhistoire alpine, Collectif sous la direction de Jean-Pascal Jospin, Ed. Département de l'Isère - Coll. Musée dauphinois, 2004 (ISBN 2-905375-61-2)
  • Sainte-Marie d’en-Haut à Grenoble. Quatre siècles d’histoire par Chantal Spillemaecker. Ed. Département de l'Isère - Coll. Musée dauphinois, 2010 (ISBN 978-2-35567-041-1)

Annexe

Articles connexes

Liens externes



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