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Média alternatifRôles Journaliste • Reporter • Éditeur • Éditorialiste • Photographe • Présentateur de nouvelles • Stage • Autres Le journalisme est l'activité qui consiste à collecter, rassembler, vérifier et commenter des faits pour les porter à l'attention du public à travers les médias. On distingue classiquement plusieurs types de journalismes, dont le journalisme d'investigation, le journalisme d'actualité, le grand reportage, ou encore les spécialisations selon certains domaines particuliers (le journalisme politique, scientifique, mondain (ou paparazzi), etc.). Par ailleurs, les métiers du journalisme sont divers, allant du correspondant de guerre au dessinateur de presse, en passant par le journaliste reporter d'images (JRI) au photographe, le journaliste sportif ou la critique musicale et l'éditorialiste. Le statut professionnel des journalistes se distingue entre les pigistes, qui sont freelance et payés à l'article, et les salariés de médias spécifiques. Enfin, ces dernières années, une forme de « journalisme citoyen » est apparu avec le développement d'Internet, de la photographie numérique, etc., permettant à de simples individus de diffuser facilement textes et images sur la Toile.
Sommaire
L'information journalistique
Voici deux définitions, l’une concrète, l’autre théorique :
- En France, une information de presse est définie concrètement :
- par la structure institutionnelle qui réalise et diffuse cette information. L’information est une donnée diffusée par un organe de presse, c’est-à-dire un organisme possédant un numéro attribué sous certaines conditions par une Commission paritaire (Etat/patrons de presse) : périodicité, vente effective, un tiers d’informations à caractère d’intérêt général.
- par le professionnel qui la rédige, le journaliste (droit du travail régi par la Convention collective nationale des journalistes ; carte de presse) qui peut invoquer une clause de conscience dans certains cas. Pour obtenir sa carte (non obligatoire), renouvelable tous les ans, le journaliste doit prouver qu’il gagne plus de 50 % de ses revenus en “salaires presse”. Le journaliste est juridiquement considéré comme auteur et, à ce titre, garde des droits sur ses productions.
- Dans la théorie, dans une société démocratique, une information de presse est :
- une donnée d’actualité et d’intérêt général (donnée significative universellement ou collectivement prise dans les faits et événements du présent ou ayant une signification pour le temps présent)
- sélectionnée et mise en forme
- par une conscience libre, formée à la recherche intéressée de la vérité et soucieuse du bien commun
- et diffusée par un média garantissant l’indépendance du journaliste par rapport à tout pouvoir (politique, idéologique ou économique, y compris par rapport aux intérêts de l’entreprise qui l’emploie quand il y a un enjeu démocratique de l’information).
En théorie toujours, le journaliste/le média peut bien sûr être engagé : il doit alors respecter toujours les faits, viser l’intérêt général et exposer clairement les termes de son parti pris.
Règles éthiques du journalisme
Article connexe : Déontologie du journalisme.Le journalisme est parfois appelé « quatrième pouvoir » pour le rôle de transparence qu'il est censé avoir au sein d'une démocratie, jouant un rôle crucial dans la mise en œuvre de différentes libertés publiques, dont la liberté d'expression. En France, les journalistes se doivent d'obéir à des règles déontologiques dont l'interprétation est sujette à polémique. Une Charte des devoirs des journalistes a été rédigée en juillet 1918, et révisée en 1938. Celle-ci est néanmoins contestée. Ainsi, un débat récent a eu lieu concernant l'émission Les Infiltrés, sur France 2, certains journalistes opposant à celle-ci un article de cette Charte, qui stipule qu'« un journaliste digne de ce nom [...] s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ». Pourtant, le journalisme d'investigation doit régulièrement recourir à de telles méthodes, et prendre cet article au pied de la lettre serait signer la fin de ce type d'enquêtes [1].
À titre d'exemple, le rapport Charon remis au ministère français de la Culture et de la Communication en juin 1998 faisait état des réflexions de la Presse Hebdomadaire Régionale. En matière de déontologie, il préconisait de :
- Publier une information de qualité
- honnête et respectueuse de la vérité
- collectée sans recours à des procédés déloyaux
- fondée sur des faits vérifiés
- présentée de bonne foi
- impartiale, c'est-à-dire présentant les différents aspects d'une situation
- Défendre la liberté de l'information
- en veillant à son indépendance à l'égard de tous les pouvoirs
- en exerçant son esprit critique, qui impose de douter méthodiquement de tout
- en distinguant clairement l'information des messages de communication ou de publicité
- Respecter les personnes
- en respectant la dignité de la personne humaine
- en faisant preuve de compassion pour les personnes frappées par le malheur
- en respectant l'intimité de la vie privée
- en publiant toute demande légitime de droit de réponse
- en reconnaissant et en rectifiant ses erreurs
- Promouvoir la liberté d'expression
- en prenant en considération les observations de ses lecteurs
- en s'interdisant tout discours d'incitation à la haine ou à la discrimination
- Renforcer les valeurs qui fondent la démocratie
- en poursuivant, dans la publication de l'information, un but légitime au regard du droit du lecteur d'être informé
- en ne négligeant a priori aucune information de proximité dans tous les domaines de la vie sociale
- en ayant le souci d'éclairer, par l'information et le commentaire, le jugement du citoyen sur tous les aspects de l'actualité politique et générale
- en faisant preuve d'équité, pour considérer tous les citoyens égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi
Ce même rapport faisait état de règles professionnelles demandant que l'éditeur de presse hebdomadaire régionale s'engage à veiller à ce que ses journalistes :
- vérifient leurs sources ;
- n'usent pas de méthodes déloyales ;
- ne versent aucune rémunération aux personnes qui acceptent d'être des sources d'information ;
- ne publient que des informations, avérées et précises, dont l'origine est connue, en les accompagnant si nécessaire de la réserve qui s'impose ;
- s'interdisent de percevoir quelque avantage que ce soit en raison de la publication ou de la non-publication d'une information ;
- informent les personnes peu familières avec la presse que leurs propos pourront être diffusés, et donc portés à la connaissance d'un large public ;
- restent critiques à l'égard des perquisitions au déroulement desquelles les forces de l'ordre invitent les journalistes ;
- n'acceptent aucune consigne d'un annonceur ;
- n'acceptent des cadeaux que s'ils servent directement l'accomplissement du travail journalistique ;
- refusent toutes pressions et n'acceptent d'autres directives rédactionnelles que celle de l'éditeur ou des responsables de la rédaction ;
- ne soumettent pas un reportage aux sources avant sa publication ;
- fassent preuve de respect à l'égard des personnes qui viennent de vivre un drame, en évitant de les harceler pour obtenir une information ;
- s'interdisent la calomnie et les accusations sans fondement ;
- refusent de nourrir et d'amplifier la rumeur, même si d'autres supports s'en sont déjà fait l'écho ;
- veillent dans le choix de leurs photos à ne pas induire une présomption de culpabilité par l'image ;
- traitent l'information, y compris les faits divers, sans rechercher le sensationnalisme ;
- assurent le suivi des informations publiées ;
- respectent fidèlement le sens des propos rapportés ;
- situent les faits et opinions dans leurs contexte, sans en exagérer ou en diminuer la portée ;
- départagent soigneusement ce qui relève :
- de l'information factuelle ;
- de l'analyse ;
- et de l'opinion personnelle.
- recueillent le point de vue de toutes les personnes mises en cause dans une affaire et, lorsque l'une d'elles se refuse à toute déclaration, en informent les lecteurs.
Principes et pratiques du journalisme
La distinction entre faits et commentaires
Rapporté tel quel, un fait n'est pas toujours suffisant. Ainsi dans les écoles de journalisme, cite-t-on régulièrement l'annonce qu'il aurait fallu faire pour commenter la marche de César sur Rome : « César et ses légions ont franchi le Rubicon » ou « César et ses légions ont franchi le Rubicon, la République est en danger » ?
S'en tenir aux faits a des incidences sur la manière d'écrire. Une autre anecdote attribuait à un rédacteur en chef les consignes suivantes : « Une phrase se compose d'un sujet, d'un verbe et d'un complément. Si vous mettez un adverbe, vous êtes virés ! Pour les adjectifs... consultez moi ! »[réf. nécessaire].
Tout journaliste professionnel se doit, en principe, de respecter un principe d'objectivité, en imposant une distance critique entre les faits et sa propre interprétation des faits. Ce point fait néanmoins débat, le journalisme engagé invoquant souvent l'impossibilité d'aboutir à une objectivité totale et le caractère éthique d'une prise de position subjective assumée en tant que telle.
Proche du problème de l'objectivité en histoire, la problématique spécifique de l'objectivité en journalisme est caractérisé par le caractère immédiat, présent, des faits relatés par le journaliste, l'urgence de la publication, la complexité des faits traités et l'économie des médias eux-mêmes. Plus que d'objectivité totale, on parle de pôle d'objectivation. Analysant la photographie, Roland Barthes montrait ainsi que si celle-ci se donne à voir comme pure présentation du fait, ou pure « dénotation », elle est en fait toujours déjà connotée, c'est-à-dire interprétée: il n'y a que des faits interprétés. Barthes écrit ainsi:
« Or, ce statut purement « dénotant » de la photographie, la perfection et la plénitude de son analogie, bref son objectivité, tout cela risque d'être mythique (ce sont les caractères que le sens commun prête à la photographie): car en fait, il y a une forte probabilité (...) pour que le message photographique (...) soit lui aussi connoté. La connotation ne se laisse pas forcément saisir tout de suite au niveau du message lui-même (...), mais on peut déjà l'induire de certains phénomènes qui se passent au niveau de la production et de la réception du message: d'une part, une photographie de presse est un objet travaillé, choisi, composé, construit, traité selon des normes professionnelles, esthétiques ou idéologiques, qui sont autant de facteurs de connotation; et d'autre part, cette même photographie n'est pas seulement perçue, reçue, elle est lue, rattachée plus ou moins consciemment, par le public qui la consomme, à une réserve traditionnelle de signes » [2].
C'est cette problématique de l'objectivité qui a conduit à mettre en place, en particulier dans la presse anglo-saxonne, la distinction entre les « faits » et les commentaires. En principe, l'article factuel se borne à rapporter faits, citations et détails pratiques, avec un souci d'objectivité et de neutralité. A l'inverse, l'article de commentaire, en particulier l'éditorial, est un texte comportant d'évidentes marques de subjectivité, dans lequel un journaliste (souvent une plume reconnue par la profession ou le grand public) propose une analyse ou une interprétation des faits qui n'engage que lui ou son journal. Les grands organes de presse ont leurs éditorialistes attitrés dont la fonction n'est plus de rapporter les faits mais d'en proposer une lecture, parfois orientée politiquement ou philosophiquement.
En pratique, cette distinction est parfois peu claire. D'une part, elle ne se manifeste pas toujours aux yeux du lecteur par des choix assez affirmés de typographie ou de localisation dans le journal; cette indistinction-là peut se trouver accrue dans les versions en ligne. D'autre part, il est souvent reproché aux articles factuels une objectivité insuffisante, car l'apparence de relation brute des faits peut masquer, délibérément ou non, une orientation partisane, philosophique ou idéologique : le choix des thèmes traités ou au contraire passés sous silence, l'ordre adopté dans la succession des informations au sein du journal, d'une page ou d'un article, la sélection et la hiérarchisation des idées au sein d'un article, ce qui est énoncé explicitement ou implicitement, le choix des noms, verbes et adjectifs aux connotations diverses, sont autant de procédés rédactionnels susceptibles d'influer sur l'interprétation du lecteur.
Enfin, la distinction binaire entre faits et commentaires ne rend pas compte de la variété des types d'articles. De nombreux journaux proposent, au-delà des faits mais (en principe) en-deçà du commentaire, des analyses qui situent les faits dans un contexte plus large, les mettent en perspective.
Les techniques d’écriture journalistique
Article détaillé : Techniques d'écriture.- Pourquoi informer ?
- Comprendre le monde et donner aux citoyens les moyens d’agir
- Identification à un groupe donné (catégorie socio-professionnelle, etc.)
- Sensibiliser, mobiliser, alerter
- Divertissement (people, etc.)
- Critères de sélection des articles
- la nouveauté (l’actualité)
- l’intérêt (pour le lecteur d’abord et pour la communauté ensuite)
- l’originalité
- La loi de proximité
- temporelle (aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain)
- géographique (le mort-kilomètre ou mort kilométrique : la mort occupe une place d'autant plus faible que le nombre de kilomètres qui la sépare du lecteur est élevée, car le lecteur se sent moins touché)
- socio-culturelle
- affective
- psychologique (sexe, maladie/mort, religion)
- idéologique (toujours, même quand neutralité affichée)
- vie pratique
- Savoir précisément à qui on s’adresse. Bien connaître son public et la ligne éditoriale du journal
- Bien concevoir le message pour l’énoncer clairement
- Hiérarchiser les informations (privilégier l’actualité et
- Choisir un angle précis (éviter les généralités ou de vouloir tout dire sur un sujet)
- Rédiger simple et court (compter le nombre de signes)
- Concevoir un plan efficace
- Présenter la copie selon les normes (calibrage)
- Prévoir la mise en scène du texte (plusieurs niveaux de lecture : titres, intertitres, etc.)
- Se relire plusieurs fois (grammaire et orthographe, compréhension, lisibilité)
L’écriture du texte
- Définir le message essentiel et l’angle précis.
- Répondre aux six questions clés : qui, quoi, où, quand, comment, pourquoi ?
- Le plan privilégié : la pyramide inversée (l’essentiel d’abord puis du plus important au moins important)
- Soigner le style, faire des phrases courtes
- Les différents niveaux de lecture : titres, sous-titres, inter-titres, chapeaux, légendes photos, etc.
- Les illustrations
Les genres journalistiques
- Les genres informatifs
- la brève
- le filet
- l’article
- le compte rendu
- le dossier
- Les genres de commentaire
- l’éditorial
- le dessin d’actualité
- la critique
- la chronique
- la tribune libre
- Divers
- l’écho, le billet
- le courrier des lecteurs
- le portrait
- les marronniers
- la rubrique des chiens écrasés
- Le journalisme d'investigation qui traite les faits dont la collecte peut être entravée par des tiers intéressés à leur non-divulgation, ou que le sujet étudié réclame un travail de recoupement long et complexe.
- Le journalisme d'actualité qui concerne principalement la radio, la télévision, la presse écrite quotidienne et Internet. Il s'agit de relater les événements récents qui constituent l'actualité. Les journalistes cherchent à obtenir les informations en exclusivité (appelées scoop dans le jargon du métier) assurant la réputation du média pour lequel travaille le journaliste.
- Le grand reportage qui consiste à mener une enquête en profondeur lors des guerres ou des grands événements historiques. Il est généralement considéré comme l'activité la plus noble du journalisme.
Journalisme en France
Article détaillé : Journalisme en France.Histoire du journalisme
Voir l'article principal Histoire de la presse
Histoire dans le monde
Dans l'Empire Romain les Acta Diurna étaient affichés dans les espaces publics. On y publiait des fait divers, des nouvelles militaires, des actes de décès, des chroniques sportives... En 1622 Nathaniel Butler fonde à Londres le premier hebdomadaire : Le Weekly News. Il sera suivi en France par La Gazette de Théophraste Renaudot dont le premier numéro est publié le 30 mai 1631.
Le 22 octobre 1835 Charles-Louis Havas crée la première agence de presse mondiale : l'Agence des feuilles politiques, correspondance générale. Elle deviendra en 1944 l'Agence France-Presse.
Dans les années 1920 apparaissent les actualités cinématographiques, puis les premiers radio-reportages. Suivront, dans les années 1940, les premiers journaux télévisés.
Histoire de la presse au Japon
- kawara-ban : L'ancêtre du journalisme est équivalent au troubadour des régions européennes. Il est le porteur des nouvelles et des histoires.
- décembre 1862 : Le shogunat de Tokugawa crée un journal (shinbun) pour informer la population des tentatives d'incursion et d'ouverture du Japon par les étrangers.
- 1868 : De nouveaux journaux, souvent pilôté par des intérêts privés, apparaissent afin de combattre une information unique.
- 1874 : Le premier correspondant de guerre japonais, Ginko Kishida, est envoyé à Taïwan avec les troupes pour le journal Tokyo Nichi-Nichi.
- 1875 : 1re loi anti-diffamation pour protéger le gouvernement et ses officiels des attaques trop virulentes. Certains journalistes vont connaître la prison.
Différents styles journalistiques
Notes et références
- ↑ André Rouillan, Les infiltrés: journalisme déboussolé, Paris Art n°260, 18 décembre 2008
- ↑ Roland Barthes, « Le message photographique », in L'obvie et l'obtus. Essais critiques III, Le Seuil, 1982, p.9-24 (citation extraite p.12-13).
Voir aussi
- Scandales journalistiques
- Déontologie du journalisme
- Annuaire des journalistes en France
- Histoire de la presse
- Journal | Journaliste | Reportage
- Médias
- Concentration des médias
- Censure et liberté de la presse
- Indépendance des rédactions
- Charte des devoirs professionnels des journalistes français
- Charte de Munich (1971)
- Union syndicale des journalistes CFDT
- Syndicat national des journalistes
- Syndicat national des journalistes CGT
Liens externes
- Commission de la Carte d'Identité des Journalistes Professionnels
- Syndicat national des journalistes SNJ
- Glossaire des termes techniques utilisés dans la presse
- Les Signets de la Bibliothèque nationale de France - Métiers du journalisme(répertoire de sites sur les métiers du journalisme).
Bibliographie
- Florence Aubenas et Miguel Benasayag, La Fabrication de l'information. Les journalistes et l'idéologie de la communication, éd. La Découverte.
- Pierre Bourdieu, Sur la télévision, Raisons d'agir, Paris, 1996
- Jean-Marie Charon, Cartes de presse, Stock.
- Serge Halimi, Les Nouveaux chiens de garde, Liber-Raisons d'agir, 1997.
- Jacques Le Bohec, Les Rapports presse-politique, L'Harmattan, 1997.
- Jacques Le Bohec, Les Mythes professionnels des journalistes, Paris, L'Harmattan, 2000.
- Jacques Le Bohec, L'Implication des journalistes dans le phénomène Le Pen, L'Harmattan, 2004)
- Jacques Le Bohec, Les Interactions entre J.-M. Le Pen et les journalistes, L'Harmattan, 2004.
- Jacques Le Bohec, Élections et télévision, Presses universitaires de Grenoble, 2007.
- Hélène de Maleissye, Le Filtre médiatique, Paroles de journalistes, éd. Indiciel, 2006.
- Jean-Luc Martin-Lagardette, Le Guide de l'écriture journalistique, éd. La Découverte 2005 (6e édition)
- Jean-Luc Martin-Lagardette, L'Information responsable. Un défi démocratique, Paris, éd. Charles Léopold Mayer (ECLM), 2006.
- Erik Neveu, Sociologie du journalisme, La Découverte, coll. Repères.
- François Ruffin, Les Petits soldats du journalisme, éd. Les Arènes
- Denis Ruellan, Le Professionnalisme du flou, Presses universitaires de Grenoble, 1993.
- Denis Ruellan, Les "Pros" du journalisme, Rennes, PUR.
- Aude Vassallo, La Télévision sous de Gaulle. Le contrôle gouvernemental de l'information 1958/1969 Bruxelles, INA-De Boeck, 2005.
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