- Morsiglia
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Morsiglia
Vue de StantiAdministration Pays France Région Corse Département Haute-Corse Arrondissement Bastia Canton Capobianco Code commune 2B170 Code postal 20238 Maire
Mandat en coursYves Stella
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Cap Corse Démographie Population 146 hab. (2008) Densité 11 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 604 m Superficie 13,34 km2 Morsiglia (on dit aussi Mursiglia en langue Corse) est une commune française située dans le département de la Haute-Corse et la région Corse.
Sommaire
Géographie
Morsiglia est une commune au nord-ouest du Cap Corse, dans le canton de Capobianco, l'une des dix-huit communes regroupées dans la Communauté de communes du Cap Corse. Elle est située sur la côte occidentale du Cap, au Sud de Centuri et au Nord de Pino.
Relief
Les limites de son territoire sont définies par une ligne partant au Nord depuis la petite plage de galets incluant la marine de Mute et où se trouve l'embouchure du petit fiume Guadi[1], longeant la rive droite du cours d'eau presque jusqu'à sa source sur le flanc méridional de la Pointe de Colombara (380 m - Centuri), rasant le sommet de la dite pointe (513 m)[2], se poursuivant par Bocca di Lumaca, col à 471 m d'altitude, et le Col Sainte-Catherine (508 m), une ligne de crête allant jusqu'à Punta di Razzeta (452 m) qui marque l'extrémité orientale de la commune, redescendant par Punta di Fornellu (554 m), Punta di Gualfidone (606 m - Meria), Punta di a Filetta Suprana (590 m), Monte Popolu (496 m) qui marque l'extrémité méridionale de la commune, enfin repartant vers la côte au Sud du golfe d'Alisu par Punta Pastricciola (305 m) et Punta d'Alisgia (155 m).
Ce territoire est cloisonné, formé de quatre bassins fluviaux dont un seul est ouvert sur la côte orientale du Cap, celui du ruisseau Giunchetta qui prend sur Meria le nom de ruisseau de Meria. Le plus important est celui du fiume d'Alisu où se réunissent les eaux de plusieurs vallons qui sont autant de cirques sauvages : Gattaia, Piubese, Mandrione, Bottifangu et Carpinetu.
La façade maritime est comprise entre le Nord de Mute sa marine, et le Sud du golfe d'Alisu. Elle comporte quatre embouchures, celui du fiume Guadi cité précédemment, et ceux des fiume di Tuffo, fiume Giuncula et fiume d'Alisu. Elle présente une pointe remarquable, Capu Corcoli au nord du golfe d'Alisu (ou anse d'Aliso). Hormis la plage de Mute et la plage de l'Alisu, toute la côte est déchiquetée, inhospitalière.
Géologie
Le Cap Corse est un bloc de schistes lustrés édifiés au tertiaire lors de la surrection des Alpes sur un socle hercynien[3]. Les ophiolites, roches très résistantes qui donnent des reliefs aigus et abrupts, sont à Morsiglia composées essentiellement de roches volcaniques, laves basiques en milieu océanique au secondaire nommées Pillow lavas, souvent déformés et transformés par le métamorphisme alpin en prasinites (de teinte verte par la présence d'épidotes) ou en glaucophanites (de teinte bleue).
Climat
De par sa situation au Nord du Cap Corse, la commune est soumise au libeccio vent dominant sec et fort d'ouest, assez fréquent et souvent mêlé au ponant (punente), à la tramuntana hivernale, saine, soufflant du nord et aux traînes de mistral (provinza ou maistrale) venant du nord-ouest, sec et violent l'été, humide et froid l'hiver. Morsiglia est en grande partie protégée du gricale ou crecale, vent humide du Nord-est, et du levante humide et malsain d'Est. Les écarts thermiques y sont modérés. Comme dans l'ensemble du Cap Corse, l'hiver est plus chaud et l'été plus tempéré que partout ailleurs du littoral de l'île, sous l'effet de la mer qui réchauffe les températures. En hiver il ne gèle presque jamais au bord de mer. Les étés sont en général secs. En raison de ces facteurs, le territoire présente ainsi dès l'été, de grands risques d'incendie et fait l'objet d'une surveillance accrue de tous les services de lutte contre les incendies.
On distingue trois étages dans la couverture végétale de la commune. Sur le bord de mer, c'est un maquis ras, fait d'épineux notamment de genêts de Corse (genista corsica), de cistes et de lentisques, sculpté par les vents. Au-dessus, le sol est couvert d'un manteau de chênes verts, d'arbousiers et des bruyères. Enfin, sur les hauteurs, là où ont sévi de nombreux incendies, on retrouve le maquis traditionnel, plus clairsemé vers les crêtes.
Le climat est propice à certaines cultures comme la vigne, le cédrat ou encore l'orge. Leurs cultures au XIXe siècle avaient fait la prospérité du Cap corse. Des ruines de moulins à vent et à eau sont encore visibles, tout comme la présence de nombreuses et étroites terrasses autrefois cultivées sur lesquelles aujourd'hui, le maquis a très souvent repris ses droits. Certaines d'entre elles sont toujours cultivées en vigne, produisant un muscat renommé.
Habitat
La commune a la particularité d'abriter 6 tours carrées d'époque génoise, anciennes maisons d'habitations des patriciens, dont certaines ont été restaurées. Elle est composée de 8 hameaux : Pecorile, Baragogna, Stanti, Pruno, Muchieta, Giovanacce, Posace, Mute.
Mute
Mute est une petite marine au nord de la commune. Les Mute situées à l'embouchure du fiume Guadi, autour d'une plage de galets, sont parfois nommées Marina di Morsiglia. Elles disposaient[3] à la fin du XVIIIe siècle, de plus de 40 magazzini (entrepôts) et de vingt petits bateaux. Les derniers bateaux, ceux de pêche, ont disparu en 1946. Mute abrite la chapelle San Sebastianu. Au Sud-est de la marine, un des rares campings du Nord Cap Corse est exploité en saison. À 1 100 m des Mute se trouve la petite source de Racamo, minérale, ferrugineuse et tiède.
Stanti
Stanti est un petit village moyenâgeux, bâti sur un promontoire. Stanti vient du grec istànai qui veut dire « dressé ». S'y trouvent la chapelle San Roccu ainsi qu'une tour carrée du XIIIe siècle. Cette tour haute de 17 m, a été incendiée au XVIe siècle par les Sarrasins.
Au Sud de Stanti, se dresse la tour carrée de Gaspari, du XVIe siècle, également haute de 17 m. À 30 m au sud de la tour on distingue encore les ruines de l'antique village d'Acamorsiglia fondé il y a 25 siècles par les Phocéens, abandonné vers 1905 et nommé Camorsiglia de nos jours.
Au Nord, entre Mute et Stanti, isolé dans une clairière au milieu d'une yeuseraie, situé au bout d'une petite route en cul-de-sac, l'ancien couvent dédié à l'Annunziata. Ce couvent fondé en 1479 dans le style roman, était occupé par des Servites de Marie, ensuite par des Capucins. Il a été pillé en 1563 par Mammi Pacha dit Mammi Corsu, renégat originaire de Pino. Le couvent et son église protégée sont inscrits aux Monuments historiques.
Baragogna
Baragogna est le hameau à l'Ouest du gros village de Pecorile. Il recèle la chapelle l'Annunziata.
Au sud du hameau, un chemin conduit au hameau de Posacce. Il permet de se rendre aux ruines d'une chapelle San Bartolomeu ainsi qu'à la station de pompage d'Arrivo (du latin rivus et du grec réô qui signifient « sans ruisseau »).
Pecorile
Village remarquable avec ses 4 tours carrées dont l'une a été transformée. La plus esthétique est située en haut du village, au lieu-dit Pianasca. Elle a 16 mètres de haut et des murs décorés de trous de boulin, ceux qui ont servi à l'échafaudage pour sa construction. Pecorile possède également une chapelle San Roccu, du XVIIe siècle.
Mucchieta
Mucchieta est un village situé à un kilomètre au sud de Pecorile. Il renferme un oratoire San Giuvanni ainsi qu'une tour. Le bas du village est traversé par la route D80. Plus au sud, cette route contourne la Cima di Ficaria (201 m) à flanc de montagne, longeant des falaises tombant à pic dans la Méditerranée.
Posacce
Posacce est un hameau voisin de Casanova, autre hameau beaucoup plus petit. Ils sont tous deux situés à peu de distance au nord de Sundi et séparés par la D35. Posacce était autrefois aussi appelé Pilusacce. On y trouve un oratoire San Bartulumeu. À 50 m au nord de Casanova se dresse la tour carrée de Petrillo qui avait été héroïquement défendue en 1563 lors de la razzia du renégat Mammi Pacha.
Sundi
Sundi est un village souvent nommé Giovannacce, du nom de la tour carrée qu'il renferme et qui est accolée à une maison. S'y trouve un oratoire Santa Trinità. Proche du village, les ruines du castello di Morsiglia détruit par Gênes au XVIe siècle. À 500 m à l'est, la chapelle Santa Lucia désaffectée près de laquelle était le village de Poggio dit autrefois Puggjola, lequel a été brûlé en 1560 par Mammi Pacha. Ce dernier venait d'épargner le couvent San Francesco de Pino.
Pruno
Petit village, Pruno (Prunu) est situé à l'Est de Pecorile. Pour y accéder, il faut emprunter une route en cul-de-sac. Pruno possède une chapelle San Giacumu. Le village avait 65 habitants en 1875[3] et n'en a plus que 4 en hiver. De Pruno part un sentier vers l'Est permettant de rejoindre Rogliano via le col Sainte-Catherine 508 m et la chapelle ruinée de San Agostino 567 m.
Accès
La commune de Morsiglia est desservie par la route D80 qui fait le tour du Cap Corse et qui passe à Centuri au nord et à Pino au sud. La D35, l'une des deux routes départementales traversant latéralement le Cap et qui relie les littoraux occidental et oriental, permet de se rendre de Morsiglia à la marine de Meria. Baragogna se trouve à la jonction de la D80 avec la D35 qui franchit la dorsale du Cap en passant par Bocca di Campu Merlinu, col à 386 m, puis longe le ruisseau de Méria sur tout son parcours jusqu'à la côte.
Au début du XXe siècle, le car mettait 4 heures pour relier Bastia à Mucchieta via Macinaggio (Rogliano). Au sud de Mucchieta, la sinueuse D80 épouse la côte, contourne la Cima di Ficaria (201 m) à flanc de montagne, longeant à plus de 100 m d'altitude des falaises tombant à pic dans la mer.
Communes limitrophes
Histoire
Antiquité
Morsiglia est un nom d'origine grecque : mὸros (imposé par le destin) + sàlos (mouillage). Morsiglia était un antique comptoir commercial installé par des Phocéens au VIe siècle av. J.‑C., comme Massalia (Marseille) qui fut fondée à la même époque par d'autres Phocéens qui transformèrent le petit port de Lacydon existant avant leur arrivée.
Moyen Âge
Du IXe siècle à 1197, Morsiglia[3] était aux seigneurs Peverelli, puis de 1198 à 1248 aux Avogari qui l'ont cédé à Ansaldo da Mare (Seigneurie de San Colombano).
En 1348, à la mort de Galeotto da Mare dit "Giachetto", arrière-petit-fils d'Ansaldo, son fief est partagé entre ses enfants Babiano, Bartolomeo et Nicolas fils de Crescione. Nicolas hérite de Morsiglia. Le petit fief de Morsiglia ne dura que très peu de temps, jusqu'en 1358 date à laquelle une révolte populaire dirigée par Sambucucciu d'Alandu chasse de leurs fiefs les seigneurs et les remplace par des Caporali.
Morsiglia possédait un château nommé Morsiglia qui fut pris en 1558 par les Génois avec son défenseur Jean d'Ortinola qui était partisan de la France. Ce château a été entièrement détruit.
Vers 1563 et 1583, Morsiglia est ravagé par les Barbaresques. À cette époque deux familles originaires de Morsiglia font fortune : les Lenci et les Gaspari.
- Les Lenci associés à des Marseillais, exploitent le corail sur les côtes algériennes entre 1547 et 1604, et animent le commerce et la vie politique à Marseille, sous la protection du roi Louis XIV (le roi de France fut l'hôte des Lenci à Marseille en 1669). De cette famille, Tomaso Lenciu était un riche armateur qui possédait un splendide palais à Marseille et qui fut créé en 1553 gentilhomme par Henri II sous le nom de Thomas de Lenche. Son neveu, Antoine Lenche était élu 2e consul. Il sera assassiné à Marseille le 28 août 1588 par les ligueurs. Ce riche marchand marseillais soutenait les intérêts du roi de France Henri III contre ceux de la Ligue catholique. La raison en était que la Ligue était proche de l'Espagne, alliée à la République de Gênes, contre laquelle les Lenche étaient opposés. La fortune des Lenche s'est accumulée dans le commerce du corail depuis le Bastion de France (près de Bône en Afrique du Nord)[4].
En 1589 le corps d'Antonio Lenche est rapatrié en l'église San Cipriano, par ses cousins Giovani, Paolo et Orlando de Porrata.
- Les Gaspari étaient des diplomates au service de l'Espagne. Ils aidèrent généreusement les pauvres et le couvent de Morsiglia.
En 1592, la commune est contrôlée par Gênes. Communauté de la seigneurie Da Mare, Morsiglia comptait environ 500 habitants vers 1600[5]. Les lieux habités étaient alors Mocchiete, Baragona, lo Pruno, le Jovanaccie, le Pecorile, le Pilosagie, li Stanti, Aquamorsiglia.
Temps modernes
En 1757, Pascal Paoli contrôle Morsiglia et presque tout le Cap Corse. Au XVIIIe siècle, Morsiglia faisait partie de la pieve de Capo Bianco qui deviendra en 1789, le canton de Rogliano qui était alors composé des communes de Centuri, Ersa, Morsiglia, Rogliano et Tomino.
Époque contemporaine
Entre 1971 et 1973, naissent de nouveaux cantons dont le canton de Capobianco créé en 1973 avec la fusion imposée des anciens cantons de Rogliano et Luri.
Entre 1914 et 1918, Morsiglia comptait sur sa commune un camp d'internés dans lequel étaient déportés les civils allemands (hommes) de métropole.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 2008 Yves Stella DVG . mars 2008 Yves Stella DVG . Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2008 107 137 125 119 110 123 144 146 Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Économie
- Bar-station service-journaux 7 jours sur 7 Chez Mimi et Angèle
- Épicerie u Mercatellu, un des rares commerces ouverts à l'année sur le littoral occidental du Cap Corse
- Viticulture : production de vins muscat (Domaine de Pietri)
- Négoce des vins AOC Patrimonio « Pascal Paoli » rouge/rosé/blanc et pétillant de muscat - siège à Morsiglia
- Club de plongée et un camping à Mute.
Lieux et monuments
La commune de Morsiglia recèle des œuvres diverses remarquables, certaines classées[6]
Architecture sacrée
Couvent de l’Annonciation
Le couvent de l’Annonciation (Annunziata) avec son église (élément protégé), est inscrit à l’inventaire des monuments historiques par arrêté du 24 janvier 1995. (Notice n°PA00135327). Il est situé au milieu d'une yeuseraie, loin de toute habitation. Une route goudronnée de moins d'un kilomètre permet d'y accéder. La commune de Morsiglia est connue pour abriter le Couvent de l'Annonciation (fondé en 1479), l'un des plus anciens monastères de Corse, où se tiennent très régulièrement des expositions d'art contemporain.
Ensemble paroissial Saint-Cyprien
Situé au hameau de Muchieta l'ensemble comprend l'église paroissiale Saint-Cyprien (San Ciprianu), la chapelle de la confrérie des pénitents de la Sainte-Croix (Santa Croce) des XVIe siècle ; XVIIe siècle ; XVIIIe siècle ; XIXe siècle et le clocher (élément protégé), classé aux monuments historiques par arrêté du 9 juillet 1996. (Notice n°PA2B000002). L'église Saint-Cyprien renferme :
- un fauteuil de célébrant en bois taillé, cuir et cuivre du XVIIe siècle, type de fauteuil rare en Corse. œuvre classée MH par arrêté du 7 octobre 2005 (Notice n°PM2B000762).
- un tableau d'autel Saint Christophe portant l'Enfant Jésus et Notre-Dame du Mont Carmel, remettant le scapulaire à saint Erasme et son cadre, daté et signé Giuseppe Badaracco F. 1642 classé MH le 24 juillet 2002. (Notice n°PM2B000726).
Autres
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste à Pecorile. Elle renferme un fauteuil de célébrant en bois taillé ajouré du XVIIe siècle ; œuvre classée MH par arrêté du 7 octobre 2005 (Notice n°PM2B000761).
- Chapelle Notre-Dame des Grâces située à 400 m d'altitude à l'Est du village. Une route en cul-de-sac permet d'y accéder depuis la D35, route traversant latéralement le Cap et reliant Morsiglia à Meria.
- Chapelle Sainte-Lucie située au sud de Sundi, en contrebas de la route D35.
Architecture civile
Jardins de la villa Stella
Le jardin de la villa Stella à Percorile Baragogna, propriété d'une personne privée, est inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[7].
Jardin du palais Guelfuggi
Le jardin à Percorile, détruit, est inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[8].
Tour de Saint-Jean
Au XVe siècle, les habitants du Cap Corse élèvent trente-deux tours pour se protéger. Ces tours de guet sont souvent rondes. Celles de Morsiglia sont carrées, édifiées par les notables pendant la période de transfert de souveraineté de Pise à Gênes. La tour de Saint-Jean fait partie des quatre qui protégeaient le hameau de Pecorile. Haute de seize mètres, elle est couronnée de mâchicoulis soutenant une terrasse. Le tout est construit en moëllons de schiste liés par de l'argile. La porte donne sur une terrasse aménagée plus tardivement.
La tour, ses façades et sa toiture, propriété d'une personne privée, est inscrite à l’inventaire des monuments historiques par arrêté du 30 janvier 1990[9].
Autres
- Les moulins à vent et à eau.
Personnalités liées à la commune
- François Antommarchi dernier médecin de l'empereur Napoléon Ier à Saint-Hélène, originaire de Stanti (Morsiglia).
Bibliographie
- Joseph Pianelli, Corsi e Turchi : les barbaresques et la Corse, Ajaccio, Association Arte e storia, 2003
- Michel Vergé-Franceschi, Histoire de Corse : le pays de la grandeur, Paris, éd. du Félin, 1996
2 vol., tome I : Des origines au XVIIe siècle, tome II : Du XVIIe siècle à nos jours
- Stéphane Massiani, La Corse … et ses chapelles romanes, Imprimé sur les presses de l’imprimerie A. Robert, 13011 Marseille, mai 1991
Morsiglia : Chapelle San’Agostino, p. 27
Notes et références
- Sandre Code Y7420500
- IGN Rando Corse
- Fascinant Cap Corse de Alerius Tardy 1994
- Vergé-Franceschi (Michel), Chronique maritime de la France d'Ancien Régime, Paris, Sedes, 1998, p.240
- Base Infcor
- (fr) Morsiglia : Bases Mérimée, Palissy, Mémoire sur le site officiel du ministère français de la Culture
- Notice no IA2B001295, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no IA2B001294, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00099266, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (fr) Site officiel
- (fr) Morsiglia sur les bases de données Mérimée, Palissy et Mémoire du ministère français de la Culture
- (fr) Patrimoine de la commune sur le site du ministère français de la Culture
Catégorie :- Commune de la Haute-Corse
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