- Antoine de toulongeon
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Antoine de Toulongeon
Antoine de Toulongeon Naissance 1385
BourgogneMort au combat (à 47 ans)
29 septembre 1432Origine Duché de Bourgogne Grade Maréchal de Bourgogne Service 1400 - 1432 Conflits Guerre de Cent Ans Commandement Armées du duché de Bourgogne Faits d’armes Bataille de Cravant
Bataille de BulgnévilleDistinctions Chevalier de l'Ordre de la Toison d'or Autres fonctions Seigneur
Chambellan de Bourgogne
Gouverneur général des pays de Bourgogne et de Charolais
AmbassadeurImage : Antoine de Toulongeon Antoine de Toulongeon[1] est né en 1385 en Bourgogne et mort le 29 septembre 1432.
Antoine de Toulongeon va occuper des fonctions importantes dans le duché de Bourgogne, ambassadeur en Angleterre et en France, chambellan, maréchal de Bourgogne, gouverneur général des pays de Bourgogne et de Charolais. Il est l'un des premiers chevaliers de l'Ordre de la Toison d'or et l'un des grands capitaines de la guerre de Cent Ans.
Sommaire
Des maréchaux de Bourgogne
L'église de Sennecey recèle un ensemble de peintures mises en place vraisemblablement peu après la reconstruction du choeur de l'église, par la famille de Toulongeon-Sennecey.
Cette maison tire son nom d'un château situé près d'Orgelet (Jura)[2].
Antoine de Toulongeon est le fils de Tristan de Toulongeon (1350-1399), baron de Sennecey, conseiller du grand conseil[3] et de Jeanne de Cotebrune[4].
- Son grand-père maternel, Jean de Cotebrune, est maréchal de Bourgogne[5], chevalier, conseiller, chambellan. Il est fait maréchal par feu Monsieur le Duc, il est confirmé dans la dite charge de maréchal de Bourgogne par le duc Philippe le Bon par lettres patentes données à Troyes le 9 avril après Pâques 1420.
- Son frère aîné, Jean II de Toulongeon (1381-1427), baron de Sennecey et seigneur de Toulongeon, chevalier, conseiller, chambellan, gouverneur de Troyes (1417-1418), maréchal de Bourgogne. Il est décédé le 10 juillet 1427[6].
Antoine de Toulongeon a un autre frère et une sœur qui figurent dans les chroniques et les livres sur l'histoire du duché de Bourgogne :
- André de Toulongeon, d'abord écuyer d'écurie ordinaire, échanson du duc de Bourgogne, puis premier écuyer du corps, se marie en 1428 à l'une fille du duc de Bourgogne, Philippe le Bon. Grand écuyer de France en 1419, il est seigneur de Mornay, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne et son gruyer de la Comté [7]. Il se marie aussi avec Jacqueline de La Trémoille (cousine de Georges de La Trémoille). Il est lui-aussi chevalier de l'ordre de la Toison d'or et mort en Terre Sainte, en 1432, sans avoir reçu l'ordre[8]. André de Toulongeon, ambassadeur du prince, Philippe le Bon au Portugal, y conclut le mariage de son maître avec la princesse Isabelle de Portugal (1397-1471)[9].
- Jeanne de Toulongeon (1382-1419) se marie avec Tristan de Montholon, commandant de la cavalerie des ducs de Brabant et de Bourgogne, le 25 octobre 1415, à la bataille d'Azincourt, où il est tué[10]. Elle se remarie avec Henri de Champdivers, frère d'Odinette de Champdivers, maîtresse du roi Charles VI de France, fils et fille d'Odin, seigneur de Champdivers et écuyer d'écurie du Roi en 1387[11].
Le blason des Toulongeon ou Toulonjon, de Champlitte (Franche-Comté) est : Écartelé : aux 1 & 4, de gueules, à 3 jumelles d'argent ; aux 2 & 3, de gueules, à 3 fasces ondées d'or[12].
Biographie
Du temps de Jean Ier de Bourgogne
Négociations à Paris (1415)
Antoine de Toulongeon est seigneur de Buxy, La Bastie, Montrichard et de Traves. En 1414, il commande une compagnie Jean Ier de Bourgogne et est le compagnon d'armes de son frère Jean qui est plus âgé et a déjà des commandements plus importants.
En 1417, Antoine de Toulongeon, son frère André et son autre frère, Jean II de Toulongeon sont cités parmi les grands seigneurs qui accompagnent le duc de Bourgogne, à Pontoise, Meulan... [13]. Le château de Marcoussy, Dourdan, Palaiseau, et d'autres forteresses à l'environ se rendent en l'obéissance du duc de Bourgogne. Mais pour Montlhéry, il faut assiéger la ville.
Capitaine et gouverneur (1418)
Le 9 janvier 1418, il remplace son frère Jean, comme capitaine et garde de Troyes, Champagne et Brie[14].
Monstrelet désigne Antoine de Toulongeon comme faisant partie des seigneurs envoyés au siège de Rouen, pour le Roi et le duc de Bourgogne[15], en 1418-1419. Histoire de Rouen sous la domination anglaise au quinzième siècle [16] nous dit même qu'il s'y est couvert de gloire. Il est à cette époque, seigneur de Traves et de la Bastie, chevalier, conseiller et chambellan du duc de Bourgogne. Celui-ci lui a confié 2.000 hommes d'armes.
Jean Ier de Bourgogne entame de nouvelles négociations avec les Anglais pour ne pas trouver en Henri V d'Angleterre un ennemi redoutable. Le 22 juillet 1419, un sauf-conduit est accordé aux conseillers bourguignons Regnier Pot, Antoine de Toulongeon et Henri Goethals, qui se rendent à Mantes, pour traiter avec Henri V d'Angleterre.
Le 6 août, ils le suivent à Pontoise, mais ces pourparlers n'amènent aucun résultat et le roi d'Angleterre en annonce la rupture dans une longue protestation de zèle pour la paix, où il rappelle que le château de Pontoise, éloigné à peine de sept lieues de Paris est la clef de la capitale de la France.
Ne faut-il pas placer au même moment l'arrivée à Pontoise des ambassadeurs du Dauphin qui instruit des négociations commencées par le duc Jean, au mépris du traité de Pouilly, n'avait cru pouvoir les déjouer qu'en revenant à sa politique de l'année précédente ? Ces ambassadeurs n'allaient-ils pas annoncer qu' il consentait à livrer à Henri V d'Angleterre avec la Normandie et le Maine, l'une des pairies du duc de Bourgogne, l'héritage même de Marguerite de Male[17].
L'assassinat du duc de Bourgogne
Jean Ier de Bourgogne, dit Jean sans Peur, son duc trouve la mort lors d'une entrevue avec son rival Charles VII de France, le 10 septembre 1419, à Montereau-Fault-Yonne).
Charles VII de France laisse massacrer à coups de haches et de poignards le Duc de Bourgogne. Les Bourguignons crient : Trahison ! Trahison ! Alarme ! Le combat et les cris continuent dans la tente ; on marche sur le duc mourant, que nul ne songe à secourir. Jusqu’alors, les Dauphinois, mieux armés, avaient le dessus ; mais, aux cris du seigneur de Montagu, Antoine de Thoulongeon, Simon Othelimer, Sambutier et Jean d’Armay accourent, s’approchent de la loge, et, tandis que trois d’entre eux dardent leurs épées à ceux du dedans, le quatrième rompe la barrière. De leur côté, les hommes cachés dans la maison par Charles VII de France sortent et arrivent en aide aux Dauphinois.
Les Bourguignons, voyant que toute résistance est inutile, prennent la fuite par la barrière brisée. Les Dauphinois les poursuivent, et trois personnes seulement restent sous la tente vide et ensanglantée.
Article détaillé : assassinat de Jean sans Peur.Du temps de Philippe le Bon
Bataille de Cravant (1423)
Le nouveau duc de Bourgogne, Philippe le Bon, fait alliance avec les Anglais: ce que Jean sans Peur avait toujours évité. Antoine part comme ambassadeur en Angleterre.
A son retour, Antoine de Toulongeon est aussi gouverneur de la maréchaussée de Bourgogne
Fin juillet 1423, l'armée française marche sur Cravant, dans l'espoir de reconquérir cette forteresse. Le sire de Chastellux à son approche demande instamment des secours soit à la duchesse douairière de Bourgogne qui est alors à Dijon, soit au duc de Bedford Jean de Lancastre, à Paris. L'un et l'autre rassemblent en hâte leurs soldats. Les comtes de Suffolk et de Salisbury amènent à Auxerre environ quatre mille Anglais. Ils y rencontrent au moins autant de Bourguignons commandés par Jean II de Toulongeon, maréchal de Bourgogne, son frère. Un règlement sévère est publié dans cette ville pour empêcher toute querelle entre les deux nations qui commencent à se regarder avec jalousie. L'ordre est aussi donné à tout soldat de ne faire aucun prisonnier, tant que l'ennemi ne sera pas mis en fuite et l'Anglais ou le Bourguignon qui refuse de tuer son prisonnier devra être aussitôt tué lui-même. Après la publication de cet ordre Toulongeon et Suffolk mènent leur armée combinée contre celle des Français[18]. Lorsque les rangs Français commencent à céder, les Écossais refusent de se replier et ils sont massacrés par centaines et plus de 3000 d'entre eux périssent sur les rives de la rivière Yonne. John Stuart et le commandant de l'armée Française sont faits prisonniers.
Article détaillé : Bataille de Cravant.Maréchal et gouverneur du duché de Bourgogne
À la mort de son frère, maréchal de Bourgogne, depuis 1422, est établi maréchal de Bourgogne par lettres données à Bruges le 6 août 1427 et gouverneur des pays de Bourgogne et de Charolais[19]
La bataille de Chappes
En 1430, le maréchal de Bourgogne, Antoine de Toulongeon, rassemble tant à Châtillon-sur-Saône qu'à Montbard, pour secourir Chappes, 4.000 hommes dont la fine fleur de la noblesse bourguignonne avec le comte de Joigny, les sires de La Trémoille et de Chastellux, les Vergy et peut-être un contingent d'Anglais.
Pendant plusieurs jours, 800 chevaux gravement gastent et foulent la ville et chastellenie de Bar, en novembre 1430. Cent cinquante cavaliers séjournent à Bar même, où ils commettent d'importants dégâts.
Mais le rusé Barbazan refuse à trois reprises la bataille que lui offre Toulongeon et fait même tomber dans une embuscade un contingent de Bourguignons. Il met ses ennemis en déroute. La garnison tente inutilement de les secourir. Le sire d'Aumont, lui-même est pris[20]. Toulongeon, battu le 13 décembre 1430, doit se retirer à Châtillon-sur-Saône.
Une guerre pour le Duché de Lorraine
Les raisons et la préparation de cette guerre
Les années suivantes voient éclater la guerre pour la succession de Charles II de Lorraine, entre son frère Antoine de Vaudémont et son beau-frère René d'Anjou, duc de Bar. Le maréchal de Toulongeon tient alors les États de Bourgogne[21]. Il est grand ami du comte Antoine de Vaudémont et se bute de porter à la connaissance des états l'injure qu'on fait à son droit. Les états voyant combien il est dangereux pour le Duché d'avoir sur sa frontière du nord un nouvel ennemi aussi puissant que le serait le francophile duc René d'Anjou décident de soutenir son adversaire, d'ailleurs on répand le bruit qu'après avoir soumis le comté de Vaudemont, René d'Anjou veut entreprendre la conquête de la Bourgogne. Les états accordent un subside de 50.000 francs.
On manque d'hommes, la noblesse de Bourgogne ne suffit pas même à garder la province contre tant d'attaques. Le maréchal de Toulongeon se rend à Bruxelles pour exposer au duc, Philippe le Bon, la détresse de son principal domaine et pour le prier d'y envoyer un renfort de ses gens de Picardie et d'Artois, afin de défendre la Bourgogne et d'aider le comte de Vaudémont.
Le conseil bruxellois du Duc ne trouve pas que l'Artois soit moins menacé que le Duché et les seigneurs de cette province qui ont leurs biens à garder ne se soucient point d'aller si loin dans un pays où les Français sont en force encore, pour y être mal payés.
Alors, le maréchal de Toulongeon et Antoine de Vaudémont s'adressent à quelques bâtards de grandes maisons, à de pauvres gentilshommes, à des aventuriers chefs de compagnies, tous gens qui n'ont que de petits revenus et ne se trouvent pas dans leur pays en aussi bonne position qu'ils auraient voulu. Les bâtards de Brimeu, de Fosseuse, de Neuville, le sire de Humières, un nommé Robinet Huche Chien, et quelques autres, consentent volontiers à aller chercher aventure sur les marches de Lorraine. Ils rassemblent mille ou douze cents pauvres compagnons accoutumés depuis longtemps à courir les camps et à vivre de pillage, de ces hommes qu'on voie partir sans trop s'inquiéter s'ils reviendraient, mais raides vigoureux et éprouvés à la guerre[22].
Philippe le Bon appuie le premier, et la querelle se vide aux portes de la frontière de la Bourgogne. L'armée de Bourgogne se réunit avec les Picards qu'amène le maréchal de Toulongeon à Montsaugeon, près de Langres Le comte Antoine de Vaudémont y vient aussi avec ses partisans.
Les batailles
Les maréchaux Antoine de Toulongeon et Antoine de Vergy[23], entrent dans le Barrois par Jonvelle et Châtillon-sur-Saône. On commence par mettre tout à feu et à sang comme faisait le duc René d'Anjou, dans le comté de Vaudémont. Ce dernier laisse assez de monde pour continuer la guerre et vient à la rencontre des Bourguignons. Ils ne sont point assez nombreux pour s'engager ainsi dans un pays difficile, tout coupé de haies et de fossés,les vivres allant leur manquer. Le maréchal ordonne prudemment au grand chagrin de son ami, le comte Antoine de Vaudémont, de revenir en Bourgogne[24].
Les Lorrains avancent. Le duc René d'Anjou envoie défier les Bourguignons. Le sire de Toulongeon répond qu'il est prêt et ne désire que combattre.
Le maréchal de Toulongeon fait distribuer du vin à ses gens, leur donne courage en ce grand péril. Ceux qui avaient haine ou rancune s'embrassent. Antoine de Vaudémont parcoure les rangs à cheval Il proteste sur le salut de son âme que sa querelle est bonne et juste et que le duc René veut à tort lui ravir son héritage[25].
Ils battent l'armée de René d'Anjou à la bataille de Bulgnéville, près de Neufchâteau, et le font prisonnier lui-même avec une foule de gentilshommes, le 2 juillet 1431. Toulongeon est blessé au visage pendant la bataille.
La dernière charge a lieu dans cette plaine de Bulgnéville, ce 2 juillet 1431. L'armée de René d'Anjou charge les bourguignons du maréchal de Toulongeon. Deux mille chevaliers et hommes de troupe français se font hacher par les canons.
Les vainqueurs repassent triomphants à Jonvelle et à Jussey, avec leur illustre captif, qui gémit près d'un an à Dijon dans une tour, puis à Salins, dans le vieux manoir de Bracon. Érard du Châtelet, seigneur de Coiffy, et Gérard d'Haraucourt, seigneur de Chauvirey, sont les négociateurs de sa liberté, pour laquelle Philippe le Bon retient les fils de René d'Anjou en otages, et se fait livrer quatre de ses châteaux, entre autres celui de Châtillon-sur-Saône, en 1432[26].
Article détaillé : Bataille de Bulgnéville.Le duc de Bar doit en outre payer 200.000 thalers d'or au maréchal de Toulongeon pour sa rançon, somme considérable.
La fin de sa vie
Le maréchal de Toulongeon possède le château de Chassy. C'est peut-être dans cette maison forte qu'il meurt, comme sa femme, quelques années plus tard.
Le maréchal de Toulongeon survit peu à son triomphe de la bataille de Bulgnéville : il meurt en septembre 1432, et il a pour successeur Pierre de Beauffremont, arrière-petit-fils de Philippe de Jonvelle, homme d'expérience et de courage, chevalier d'une constitution athlétique et fameux dans les joutes et les tournois.
Le maréchal de Toulongeon est mort comblé d'honneurs par le duc. Il est enseveli dans l'église de Toulongeon, en Bourgogne[27].
Sa descendance
Après la mort d'Antoine de Toulongeon, les liens avec les Vergy sont donc fréquents.
Antoine de Toulongeon s'est marié avec Béatrice de Saint-Chéron, fille de Jean et d'une Vergy. Ils ont deux fils et une fille :
Jean III de Toulongeon, seigneur de Traves, marié avec Claudine de Blâmont, dame de Vellexon
- Jeanne de Toulongeon, mariée à Jean de Grandson. Celui-ci affranchit la seigneurie de Pesmes, le 15 novembre 1416, Saint-Julien, en 1424 et Puits, en 1425. Jean de Grandson devient conseiller du duc de Bedford Jean de Lancastre, régent du royaume de France, et de son épouse Anne de Bourgogne, et capitaine d'armes de la cour de Bourgogne. Ils auront six enfants[28].
- Claude de Toulongeon, seigneur de Toulongeon, chevalier de l'Ordre de la Toison d'or [29], marié avec Guillemette de Vergy, dame de Bourbon-Lancy.
Veuf, Antoine de Toulongeon se remarie en 1424 avec Catherine de Bourbon, dame de Clessy. Catherine de Bourbon est l'arrière-petite-fille de Louis Ier de Bourbon[30] et veuve d'un Damas, un autre des premiers chevaliers de l'Ordre de la Toison d'or. Elle est morte en sa maison forte de Clessy, à Chassy. Elle demande à ce que mille francs soient dépensés pour dire des messes et faire des aumônes à l'intention du sire de Toulongeon, son second mari[31]. Cet argent sera donné par le duc de Bourgogne, qui lui doit toujours une partie importante de la rançon de René d'Anjou, 20.000 saluts. Ils ont trois enfants : Tristan II, Georges et Catherine.
Mais si la famille de Toulongeon garde le Château de Saint-Aubin plus de cent cinquante ans, en 1579, Saint-Aubin deviendra la propriété de Claude d’Ambly, descendant d’une famille bourgeoise originaire de Bourbon-Lancy. Avant cela, Claude de Toulongeon, fils de Jean III de Toulongeon, gruyer et chambellan de Bourgogne, a ses biens confisqués par Louis XI de France à cause de son attachement à la Maison de Bourgogne[32].
Notes et références de l'article
- ↑ Ou Thoulongeon
- ↑ Nobiliaire de Franche-Comté - Page 757, de Roger de Lurion.
- ↑ Collection des Chroniques Nationales Françaises écrites en Langue vulgaire ..., par Jean Alexandre C. Buchon, p.clxv
- ↑ Dite de Chalon
- ↑ Sources: - personne: H&G 89.454.
- ↑ Histoire du canton de Sennecey-le-Grand (Saône-et-Loire) et de ses dix-huit ..., par Léopold Niepce, p.325 et Information 1778 dans le corpus : CourAm, Information 2963 dans le corpus : HotJsP.
- ↑ Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, Côte d ..., par Archives départementales de la Côte-d'Or, Joseph Garnier, M. Rossignol, p.157.
- ↑ Encyclopédie méthodique ou par ordre de matières : par une société de gens de ..., p.584.
- ↑ Histoire des Séquanois et de la province séquanoise, des Bourguignons et du ... Par François-Ignace Dunod de Charnage, p.359.
- ↑ La Chesnaie-des-Bois et Panthéon de la Légion d'honneur - Page 497, de Théophile Lamathière
- ↑ Père ANSELME-POTIER de COURCY, Histoire de la maison royale de France... 4e édition corrigée et complétée..., Tome IX, P.828.
- ↑ Reproduction dans le Grand Armorial de France
- ↑ Chroniques d'Enguerrand de Monstrelet, par Enguerrand de Monstrelet, François Noël Alexandre Dubois, p.37.
- ↑ Mémoires et documents, par Société de l'Ecole des chartes, p.27
- ↑ Mémoires de Pierre de Fenin, par Pierre de Fenin, p.105.
- ↑ Par Pierre Adolphe Chéruel
- ↑ Histoire de Flandre. Par Joseph Marie B.C. Kervyn de Lettenhove, Kervyn de Lettenhove, p.207 et 208.
- ↑ Histoire des Français Par Amédée Renée, p. 20.
- ↑ Brancion: les seigneurs, la paroisse, la ville ... Les ruines de Brancion - Page 105, de J. Louis Bazin, G. Lequin, J. Virey
- ↑ L'Univers, histoire et description de tous les peuples ..., p.510
- ↑ Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477 par Amable Guillaume Barante, p.439.
- ↑ Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477 Par Amable Guillaume Barante, p.440.
- ↑ Et pas Jean III de Vergy qui est mort dès 1418 !
- ↑ Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477 Par Amable Guillaume Barante, p.441.
- ↑ Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477 par Amable Guillaume Barante, p.442.
- ↑ Histoire de la seigneurie de Jonvelle et de ses environs, abbé Coudriet et abbé Chatelet, Troisième époque - Chapitre 1.
- ↑ Histoire de René d'Anjouroi de Naples, duc de Lorraine et cte de Provence, Par Louis François Villeneuve-Trans, p.124.
- ↑ "PESMES et ses Seigneurs (suite)", page 172 du Classeur n°3 de documents sources généalogiques, rassemblés par Olivier PESME.
- ↑ Père ANSELME-POTIER de COURCY, Histoire de la maison royale de France... 4e édition corrigée et complétée..., Tome II, p.870D
- ↑ Sources: - famille 1: Europäisch Stammtafeln X 151 les Damas en Bourgogne II: barons de Digoine, - famille 2: Europäisch Stammtafeln XIV 58 les Bourbons de la région de l'Arroux.
- ↑ Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, ou Recueil ..., par P.-Louis Lainé
- ↑ Père ANSELME-POTIER de COURCY, Histoire de la maison royale de France... 4e édition corrigée et complétée..., Tome IX, P.834.
Bibliographie
- Bibliothèque nationale, manuscrit, fonds français, 32113
- DUNOD de CHARNAGE, Mémoires pour servir à l’histoire du comté de Bourgogne, Besançon, 1740, in-4, X-783, Page : 230-41, Cote B.n.F. : 4° Lk2. 749
- H. JOUGLA de MORENAS (puis comte Raoul de Warren), Grand armorial de France, Paris, 1934-1949, 6 vol. in-fol., tome : 6, Cote B.n.F. : Fol. Lm1. 209
- L. MORERI, Le grand dictionnaire historique..., 20e éd. Paris, 1759, 10 vol. in-fol., tome: 10, Cote B.n.F. : G. 1116-1125
- La CHENAYE-DESBOIS, Dictionnaire généalogique..., 3e éd. Paris, 1863-1876, 19 vol. in-4, tome : 19, Cote B.n.F. : 4 Lm1. 27. A
- Léopold NIEPCE, Histoire de Sennecey et de ses seigneurs, Chalon-sur-Saône, 1866, in-8, 526
Page, tome : 1 ; 2, 513, Cote B.n.F. : 8° Lk7. 12311
- Monseigneur J. FEVRE, Histoire de Riaucourt, t. 1. Langres, 1882, in-8, Page : 126-7, Cote B.n.F. : 8° Lk7. 21945
- Père ANSELME-POTIER de COURCY, Histoire de la maison royale de France... 4e édition corrigée et complétée..., T. IX, supp. 2e partie (1873-81) en 2 vol., (Pour la 1re partie du t. IX, supp., voir A.9.S.), Tome : 2, Cote B.n.F. : Fol. Lm3. 398 B.
- Jean Richard, Claude de Toulongeon, sire de la Bastie, et la résistance bourguignonne à Louis XI, dans R. de Smedt (sous la direction de), De Ordre van het Gulden Vlies te Mechelen en 1491 (Handelingen van de koninglijke Kring van Oudheidkunde, Letteren en Kunst van Mechelen, 95/2), Malines, 1992, p. 175-187
Articles connexes
Liens et documents externes
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