Toulouse Football Club (1937)

Toulouse Football Club (1937)
Toulouse FC
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Généralités
Nom complet Toulouse Football Club
Fondation 20 mars 1937
Disparition 1967 fusion avec le Red Star
Statut professionnel de 1937 à 1967
Couleurs Rouge et blanc
Stade(s) Stadium municipal
(10 000 places)
Siège 1 allée Gabriel Biénès
31028 Toulouse
Palmarès principal
National[1] Coupe de France (1)
Championnat de D2 (2)
Maillots
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Couleurs de l’équipe
Domicile
Couleurs de l’équipe
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Extérieur
Couleurs de l’équipe
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Troisième

Le Toulouse Football Club est un club de football français fondé en 1937 et dissous en 1967. Ce club qui porte le même nom que l'actuel club vedette de la Ville Rose, le Toulouse FC, n'a pourtant aucun rapport avec le « TéFéCé ».

Sommaire

Palmarès du club

Compétitions nationales

Compétitions européennes

Records

  • Victoires consécutives[5] : 6
  • Matchs consécutifs sans défaite : 13
  • Plus grand nombre de matches : Guy Roussel, gardien (295)
  • Plus grand nombre de buts : Pierre Dorsini, avant-centre (90)

Historique

Les racines du football toulousain

Stade Olympien des Etudiants de Toulouse rugby 1906
Stade Olympien des Etudiants de Toulouse rugby 1906

Deux clubs dominent le football toulousain avant la Première Guerre mondiale : le Stade olympique des étudiants toulousains et le Stade olympien vélo-sport de Toulouse. Les « Étudiants » se paient même le luxe d'éliminer sèchement (5-0!) l'Olympique de Marseille (1905) et le fameux Olympique Cettois (1907) en phases finales du championnat de France U.S.F.S.A. Mais, les Toulousains n'atteignent jamais la finale nationale, échouant en demi-finales en 1905 et 1906. Les Étudiants se muent en « Stade Toulousain » (1908) et dominent sous ce nom la période allant jusqu'à la Première Guerre mondiale, sans pour autant atteindre les demi-finales nationales.

Ainsi, contrairement à une légende tenace, le football de « haut niveau » est pratiqué dans la Ville Rose depuis déjà un siècle ! Toulouse, à l'image de Bordeaux, est à la pointe du football dans une zone pourtant largement favorable au rugby. Rappelons ici que les rugbymen du Stade Toulousain n'engrangent leur premier titre national qu'en 1912.

La fondation du club

L'entre-deux-guerres est nettement plus favorable aux manieurs de ballon ovale. Toutefois, l'idée de créer un grand club pro à Toulouse émerge rapidement. Le 7 juillet 1936, une commission de propagande pour l'implantation du football professionnel à Toulouse se réunit sous l'impulsion de M. Lauriol et du président du FC Sète voisin, Georges Bayrou. On décide d'organiser des matches de prestige afin de jauger le potentiel de spectateurs dans la cité des violettes. La première rencontre oppose le club espagnol de Badalona au FC Sète (victoire sétoise 3-0) devant 10.000 spectateurs. Les Sétois affrontent ensuite Cannes : nouvelle victoire de Sète et surtout nouveau succès populaire. Enfin, le 3 janvier 1937, les Toulousains goûtent au football européen avec un match Wiener de Vienne contre Kipest de Budapest. Ces matches d'exhibition s'étant montrés concluants en termes de recettes, la création d'un club professionnel à Toulouse est décidée.

Le 20 mars 1937, dans une salle du 9 place des Arcades au Capitole, naît le Toulouse Football Club, dont les couleurs sont rouge et blanche. M. Lauriol en est le président. Le club est admis à disputer le championnat professionnel de Division 2 en juillet 1937. Le Stadium (10.000 places) est mis en chantier en cette même année 1937 afin d'accueillir la prochaine Coupe du monde de football.

Les débuts du club (1937-1939)

Le premier entraîneur-joueur de Toulouse est l'ancien capitaine de l'équipe de France, Pierre Cazal. Le gardien Roux et les attaquants Cammarata, Laurent et Jelinek sont les fers de lance de la jeune équipe. Pour leur première saison, les Rouge et Blanc terminent à une honorable 7e place. En Coupe de France, le T.F.C. atteint le stade des 8es de finale. L'Olympique Lillois met fin à cette campagne (1-0).

A signaler durant ces années 1930' la présence dans l'équipe du toulousain André Riou, futur entraîneur du club qui se distinguera par la suite en remportant pour la première fois le championnat (1958) et la coupe (1954) de Belgique à la tête de l'équipe du Standard de Liège, toujours coiffé de son sempiternel béret sur le banc de touche.

L'avant-centre Fernand Planquès signe à Toulouse pour la somme importante pour l'époque de 65.000 F. Avec ses coéquipiers, il mène le T.F.C. en 4e position du championnat 1938-39.

Le club pendant la guerre (1940-1945)

Mais la guerre intervient. De nombreux joueurs s'exilent à Toulouse (dont le 1er buteur de la Coupe du monde Lucien Laurent), et le club devient une place forte du football français. Au cours de la saison 40-41, le T.F.C., renforcé par les Racingmen Raoul Diagne, Maurice Dupuis et Mario Zatelli, ainsi que Lucien Laurent, enlève la finale de la Coupe de France de zone non occupée face à Saint-Étienne (1-0 but de Zatelli). En finale inter-zone, les Toulousains, qui pratiquent un W.M. défensif avec marquage individuel, sont battus 3-1 par les Girondins de Bordeaux. Deuxième des championnats de zone Sud 1941 et 42, le T.F.C. est enfin sacré champion en 1943.

Les vainqueurs du championnat sud 1943:
Azza, Benezech, Camarata, Cros, Daho, Enée, Fascinati, André Frey (international), Hoffmann, Jelinek, Curt Keller (international), André Riou, Mario Zatelli

La saison suivante, la funeste réforme du colonel Pascot transforme le T.F.C. en Toulouse-Pyrénées. Cette équipe fédérale atteint la 6e place en championnat et les 8es de finale de la Coupe de France, tandis que le T.F.C. amateur est éliminé en 16es.

Dès 1944, les équipes fédérales disparaissent et le T.F.C. professionnel renaît. Toulouse parvient en demi-finales de la Coupe 1945, mais est sèchement éliminé par Lille, 4-0.

De la Libération aux joies de la Coupe (1945-1961)

Le T.F.C. est reversé en D2 à la reprise des compétitions de paix. MM. Bardou, Masal et Carrière composent le comité directeur du club. Cammarata est nommé entraîneur-joueur et recrute René Vignal. La ligne d'attaque Cammarata-Keller-Hoffman inscrit 88 buts dans la saison (seul le L.O.S.C., champion de D1, fait mieux avec 89 buts), permettant au T.F.C. de terminer deuxième, derrière Montpellier à la différence de buts et d'accéder en Division 1. M. Bardou quitte alors la président avec le sentiment du devoir accompli. M. Lauriol reprend son poste. De nouveaux joueurs font leur apparition comme Noël Sinibaldi, mais très vite, les résultats sont plus que moyens ; M. Bardou est alors rappelé à la présidence. Il place Enée, joueur au T.F.C. depuis 1942, au poste d'entraîneur. Celui-ci parvient à maintenir le club parmi l'élite en arrachant la 14e place.

A l'intersaison 1947, Toulouse perd de nombreux joueurs dont Keller et Vignal, cédé au Racing pour 2 MF. Le gardien Ibrir, Fortunel, Sbroglia et Bilancini endossent la tunique rouge et blanche. Toujours sous la conduite d'Enée, le T.F.C. se classe 13e.

La grande affaire de l'année 1948 est l'arrivée à Toulouse du canonnier yougoslave Golob, grâce au talent de négociateur du président Bardou. Les frères Lanfranchi sont également recrutés et le T.F.C. se hisse en 9e position au printemps 1949. Le club de la cité des violettes évolue désormais dans un Stadium refait à neuf et pouvant accueillir jusqu'à 35.000 spectateurs. La saison suivante montre enfin la vraie valeur de la formation toulousaine, juste renforcée par Urbanski et Marty. Seconds à l'approche des fêtes de fin d'année, les « Violettes » décrochent la 4e place, avec quelques regrets. Le président Bardou est tout de même fier de son équipe qui peut compter sur un public fidèle : plus de 10.000 spectateurs de moyenne sont enregistrés au Stadium!

Durant la période des transferts, l'avant-centre Marcel Poblome et le meneur de jeu Gomez quittent la ville rose, tandis que l'attaquant de Valladolid Vaquero vient renforcer la ligne offensive. Durant la saison 1950-51, la malchance s'acharne sur le T.F.C. L'infirmerie ne désemplit pas et les finances sont au plus bas. En cours de saison, le siège du club quitte la place du Capitole pour s'installer rue d'Alsace. Ce déménagement provoque une scission au sein des dirigeants, les anciens restant alors au Capitole!

17e au classement final en 1951, les Toulousains retrouvent « l'enfer de la D2 ». Un changement s'opère alors à la tête du club : le comité directeur est réduit à six membres dont MM. Lonné et Puntis. M. Bardou reste président et Enée entraîneur. Il dirige une équipe qui enregistre les départs de Yvon Fortunel, Octave Sbroglia, Marcel Lanfranchi et Abderrahmane Ibrir. Pour composer sa formation, Enée s'appuie sur une base défensive solide (Mercadier, Jean Lanfranchi, Libar et Bouchouk), mais délaisse quelque peu l'attaque. Résultat, le T.F.C. est 12e de D2, en marquant seulement 52 buts pour 57 encaissés.

Cette désillusion entraîne une nouvelle révolution de palais : M. Puntis, ancien trésorier et mécène du club, est porté à la présidence. Il démet Enée de ses fonctions et nomme Charles Nicolas entraîneur. Dans le même temps, le T.F.C. perd son international André Frey, au club depuis 1944. Rapidement, les Toulousains sont à la lutte en haut de tableau avec Strasbourg. Le match décisif entre les deux clubs se déroule à la Meinau devant 27.000 spectateurs dont un millier de Toulousains. À cette occasion, les supporters du T.F.C. offrent à leurs homologues strasbourgeois une oie vivante. Mais, du fait d'un arbitrage très contestable de M. Tordjam[réf. nécessaire], le match, remporté par Toulouse 2-1, se termine dans la plus grande confusion : envahissement du terrain, intervention de la police... Du coup, les Strasbourgeois, mécontents, rendent l'oie! De retour à Toulouse, les supporters s'occupent de l'animal puis le font empailler à sa mort. Ainsi, cette « mascotte » trônera désormais au siège du club.

A l'issue de la saison, les Rouge et Blanc sont sacrés champions de D2 et accèdent en première division. L'attaque toulousaine est particulièrement efficace avec 92 réalisations, tandis que la défense est hermétique (29 buts concédés). Cette équipe 1952-53 a fière allure : citons ici le gardien Rouxel, les défenseurs Pleimelding et Hadad, les milieux Rossi, Dereuddre et Cahuzac, sans oublier les redoutables attaquants Abdelhamid Bouchouk, Mellberg (meilleur buteur cette saison avec 27 buts) et le Finlandais Rytkonen, grande vedette du T.F.C. jusqu'à son départ en 1960.

Eliminé en Coupe de France en 8es de finale, le T.F.C. participe à la première Coupe Drago. Le 5 mai 1953, Sochaliens et Toulousains s'affrontent en finale. Menés 3-0 à la mi-temps, les Toulousains remontent leur handicap après le repos, 3-3! Sochaux est déclaré vainqueur après tirage au sort... La même année 1953, Toulouse est également finaliste du Trophée Teresa Herrera face au Real Madrid, qui l'emporte 8-1.

De retour en D1, Jules Bigot, ex-international et deux fois vainqueur de la Coupe de France, prend en main l'équipe. Sur leur lancée, les Toulousains jouent les premiers rôles en championnat, se classant 4e en 1954. M. Puntis quitte alors son poste de président pour reprendre celui de trésorier. M. Lonné lui succède, mais est toujours conseillé par son prédécesseur.

La saison 1954-55 voit un combat acharné pour la première place entre Toulouse et le Stade de Reims. Le jeudi 3 février 1955, 30.000 spectateurs envahissent les tribunes du Stadium, deux heures avant le coup d'envoi du choc T.F.C.-Reims. Même les patrons toulousains accordent à leurs employés une permission exceptionnelle! L'ailier Valorizek ouvre la marque pour Toulouse. Le T.F.C. se dirige alors tout droit vers une victoire importante, quand l'arbitre accorde un penalty aux Rémois. Raymond Kopa le transforme et les deux équipes se séparent sur ce score nul de 1-1. Finalement, les Rémois sont sacrés champions de France, les Toulousains ratant le titre et une place en Coupe des Champions, nouvellement créée, pour quatre points...

Septième en 1956, puis 8e en 1957, le T.F.C. a bien du mal à suivre les grosses cylindrées pour le vingtième anniversaire du T.F.C. professionnel. Pour fêter dignement cet événement, les Toulousains accèdent en finale de la Coupe de France! Le parcours ne fut pourtant pas aisé : dès les 32es de finale, les Toulousains souffrent pour battre la modeste équipe de Blanzy-Montceau (2-1). En 16es, menés 2-1 par Lens, les Toulousains arrachent le match nul grâce au but de l'Argentin Di Loreto. Aucun suspense pour le match d'appui, le T.F.C. s'imposant 3-0.

Au tour suivant, les Rouge et Blanc peinent pour éliminer Grenoble (D2). Là aussi, le match d'appui est nécessaire pour atteindre les quarts (0-0 ; 2-0). Se présente alors Sedan, vainqueur de l'édition précédente. Di Loretto, encore lui, arrache le résultat nul dans les ultimes secondes de jeu d'un but de la tête. Sous le coup de l'émotion, Jules Bigot s'évanouit et est transporté dans les vestiaires sur une civière! Lors de la prolongation, les Toulousains, survoltés, inscrivent deux nouveaux buts, et, malgré le retour des Sedanais, obtiennent leur qualification pour les demi-finales.

30.000 spectateurs à Colombes accueillent le T.F.C. et l'OGC Nice, grand favori de l'épreuve. Après 54 minutes de jeu, les Toulousains mènent déjà 2-0. Mais en neuf minutes, les Niçois reviennent au score. Dans les ultimes instants de la partie, Bocchi décoche un tir des trente mètres qui fait mouche. Toulouse se qualifie pour la première fois en finale de la Coupe Charles Simon!

Les hommes de Bigot affrontent le SCO Angers à Colombes. La partie est arbitrée, fait unique, par un Anglais, M. Clough. Il assiste à un match agréable où neuf buts sont inscrits! Le T.F.C. mène rapidement au score 3-0 grâce à un doublé de l'international René Dereuddre et un but de Bouchouk. Grâce à son système de jeu moderne en 4-4-2, le T.F.C. garde une confortable avance. Bocchi, Di Loreto et Brahami alourdissent même la marque, et Toulouse remporte la Coupe 6-3.

Les vainqueurs de la coupe de France 1957:
Guy Roussel, Richard Boucher, René Pleimelding, Guy Nungesser, Robert Bocchi, Pierre Cahuzac, Saïd Brahimi, René Dereuddre, Eduardo Di Loreto, Aulis Rytkönen, Abdelhamid Bouchouk (entraîneur Jules Bigot)

Quatre jours plus tard, le T.F.C. se mesure au vainqueur de la Cup anglaise, Aston Villa. À la surprise générale, les Toulousains s'imposent 2-1.

Malgré l'arrivée de Jean Wendling, les années 1958 et 1959 sont assez ternes pour le T.F.C. (10e et 14e, présence de l'international Lucien Muller). En revanche, 1960 voit le retour des Toulousains en haut de tableau. Emmenés par René Pleimelding, entraîneur depuis 1958, le gardien Guy Roussel, les internationaux Richard Boucher, Pierre Cahuzac et Léon Deladerrière, le Suédois Yngve Brodd et le Finlandais Aulis Rytkönen propulsent le T.F.C. en 5e place. Cet embellie ne dure pas et les trois années suivantes les Toulousains retrouvent le ventre mou du classement.

La présidence de Doumeng (1961-1967)

Jean-Baptiste Doumeng (1983)
Jean-Baptiste Doumeng (1983)

Au seuil de la saison 1961-62, Jean-Baptiste Doumeng, le « milliardaire rouge » ami de M. Puntis, devient président. Sous son impulsion, les Toulousains se hissent à nouveau à la 5e place en 1964.

Le 16 juin 1964, Kader Firoud, joueur durant la guerre, devient entraîneur. Après une saison d'adaptation (11e), où Firoud met en place un système de jeu hyper défensif, le T.F.C. accroche une brillante 4e place qui lui ouvre les portes de la Coupe d'Europe des Villes de Foires. En Coupe de France, après avoir successivement éliminé Angoulême, FC Gueugnon, l'Olympique lyonnais et le FC Sochaux, les Rouge et Blanc affrontent le RC Strasbourg en demi-finales. Sous la pression de Baraffe, Dorsini et Jacky Bernard, Toulouse ouvre la marque dès la 11e minute par Soukhane. Suite à l'expulsion du gardien toulousain Devis, Soukhane prend sa place dans les buts. Les Strasbourgeois en profitent et arrachent la prolongation dans les ultimes secondes de jeu. Strasbourg enlève tous les espoirs de finale aux Toulousains avec deux nouveaux buts.

En 1966, le T.F.C. découvre enfin les joutes européennes. Opposés aux Roumains du Dinamo Pitesti, les Toulousains s'imposent 3-0 devant une petite chambrée (5.000 spectateurs). Tout semble bien engagé pour passer ce tour, mais en Roumanie, en l'espace de neuf minutes, Pitesti revient au score. Mené 4-1, le T.F.C. reste qualifié. Mais, dans les dernières minutes, le Roumain Mihail Turcan brise les rêves toulousains en inscrivant un cinquième et dernier but.

Cette saison est également la dernière pour le Toulouse Football Club. Le président Doumeng est à la recherche d'argent et frappe à toutes les portes, y compris à la mairie, pour renflouer les caisses du club. En vain... Le club, avec joueurs et staff technique, déménage alors à Saint-Ouen et offre la possibilité au Red Star, qui se morfond en D2, de rejoindre l'élite! Toulouse est dépossédée de son cher T.F.C. ; le foot professionnel est mort dans la ville rose. Malgré le scandale qu'engendra cet authentique vol de club, il faudra encore attendre plusieurs années avant que la Fédération ne limite à quelques kilomètres les possibilités de fusion entre deux clubs (années 1980)[6].

Joueurs

Internationaux pendant leur passage à Toulouse

Autres joueurs

Issu du centre de formation

Annexes

Articles liés

  • Red Star : le club avec lequel le Toulouse FC a fusionné.
  • Toulouse FC : le nouveau club, fondé en 1970.

Bibliographie

Notes et références

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Défaite à la pièce jetée
  3. Toulouse remporta la zone sud du championnat 1943.
  4. Pas de finale entre Nancy, premier du groupe nord et Toulouse, premier du groupe sud.
  5. Toulouse FC sur pari-et-gagne.com
  6. L'article 39, alinéa 2 des règlements généraux de la FFF impose un maximum de quinze kilomètres.
  7. Vinko Golob deviendra Bosniaque à la chute de la Yougoslavie.

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Toulouse Football Club (1937) de Wikipédia en français (auteurs)

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