- Orgueil et Préjugés (télésuite, 1980)
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Orgueil et Préjugés Pemberley (Renishaw Hall) et les escaliers menant vers le parc. Titre original Jane Austen's Pride and Prejudice (or First Impressions) Genre Mini-série Créateur(s) Cyril Coke (Réalisation)
Fay Weldon (scénario)Production Jonathan Powell Acteurs principaux Elizabeth Garvie
David Rintoul
Judy Parfitt
Irene Richard
Peter Settelen
Barbara ShelleyMusique Wilfred Josephs Pays d’origine Royaume-Uni Chaîne d’origine BBC Two Nombre d’épisodes 5 Durée 226 minutes Diffusion d’origine 13 janvier 1980 – 10 février 1980 modifier Orgueil et Préjugés (Pride and Prejudice, sous-titré Or First Impressions) est une mini-série de 226 min en 5 épisodes, diffusée sur BBC-2 du 13 janvier au 10 février 1980. Mise en scène par Cyril Coke, produite par Jonathan Powell, sur un scénario de Fay Weldon, c'est une adaptation soignée qui se veut fidèle à l'intrigue et à l'esprit du roman Pride and Prejudice de Jane Austen[1], la dernière produite essentiellement en vidéo avant la version de 1995, qui est filmée. Cette adaptation met en valeur deux éléments présents dans le roman : l'attachement à sa famille d'Elizabeth Bennet et l'importance du thème du mariage.
Sommaire
Éléments de présentation
Le générique de chaque épisode présente une succession de vignettes aquarellées à la limite des caricatures dans le style de James Gillray ou de Thomas Rowlandson pour souligner la nature satirique de l'œuvre originale[2]. Grâce à sa longueur, cette série s'attache beaucoup mieux à respecter le roman que les adaptations précédentes, quoiqu'elle s'en détache parfois de façon surprenante. Elle reprend la plupart des dialogues, même si les réflexions d'un personnage sont parfois attribuées à un autre ou prononcées dans des occasions différentes, la succession des scènes ou la chronologie des événements un peu bousculée par rapport au roman[2], et le rôle de certains personnages augmenté (Mary Bennet, Charlotte Lucas) ou diminué (Jane Bennet, Sir William).
Scénario
Centré sur la famille Bennet, il met en valeur certains aspects du roman, l'attachement mutuel des sœurs et l'importance du thème du mariage. Il souligne aussi la cohésion de la famille. Il conserve la majorité des personnages et des péripéties, privilégie les dialogues, fait expliciter par les personnages certaines règles de conduite de l'époque, ce qui lui confère un aspect un peu compassé. C'est Elizabeth le personnage central et elle qui prononce la maxime qui ouvre le roman, devenant ainsi le relais de la narratrice[2], au cours d'une discussion avec Charlotte Lucas au sujet des raisons de se marier. Cette discussion suit de peu la première scène où l'on voit Mary se précipiter au devant d'un fourgon transportant des bagages et en revenir avec la nouvelle de l'arrivée de Bingley.
Lorsqu'elle apprend l'enlèvement de Lydia, alors qu'elle est seule à l'auberge, Elizabeth se précipite en courant à Pemberley[3]. Pensant que son oncle et sa tante sont dans le parc, en train de pêcher (en effet, leur voiture stationne devant l'entrée), elle vient les chercher. Elle avoue en pleurant tout à Darcy quand il insiste pour qu'elle lui « fasse confiance ».
La deuxième demande en mariage s'amorce autrement que dans le roman : Elizabeth, assise dans sa chambre, reçoit un mot, sourit, et se précipite dehors, rejoignant Darcy qui l'attend dans une allée du parc. Pour cette scène sont utilisés des dialogues issus des chapitre 16[4] et 18[5]du livre III, et les personnages se promènent sous d'immenses arbres verdoyants.
La conclusion s'attache à la réaction du couple Bennet, revenant à la thématique principale du roman : trouver un partenaire financièrement intéressant pour leurs filles. On voit Mrs Bennet se réjouir du mariage d'Elizabeth, s'adressant à son mari : « Good gracious! Lord bless me! only think! dear me! Mr. Darcy! Who would have thought it? What pin-money, what jewels, what carriages she will have! I am so pleased -- so happy. Three daughters married! Ten thousand a year! Oh, Lord! What will become of me? I shall go distracted. » et l'air satisfait de son mari qui la congédie en disant « If any young men come for Mary or Kitty, send them in, for I am quite at leisure ».
Personnages
- Elizabeth
Elizabeth est le personnage central, dont le point de vue est privilégié : comme elle (et comme dans le roman) le spectateur a la surprise de voir Darcy à Pemberley et découvre son rôle dans le mariage de Lydia seulement par la lettre de Mrs Gardiner[3]. Elizabeth Garvie incarne une Elizabeth intelligente et têtue, voire butée, et relativement sédentaire, avec des robes sages, souvent à manches longues et hauts cols de dentelle[6]. Elle marche posément (sauf la fois où elle court de Lambton à Pemberley) et porte une ombrelle les rares fois où elle se promène. Elle a un rôle de grande sœur protectrice et responsable, s'expliquant patiemment mais fermement avec sa mère. Elle aime profondément Longbourn (it's home) et sa famille. Elle joue du piano et chante (à Lucas Lodge et à Rosings). Elle est en général pleine de retenue, mais aussi d'assurance et elle exprime avec vigueur ses opinions[7]. Son aversion pour Darcy et son attirance pour Wickham sont marquées. Lorsque le premier la regarde un peu trop fixement ou s'approche pour l'inviter, à Netherfield, elle lui tourne d'abord le dos ; elle prend très mal sa première réplique (she is tolerable) et va la raconter à sa mère ; elle rapporte avec colère à Jane alitée les conversations dans le salon de Netherfield et le fait que Darcy ne lui a pas dit dix mots de toute la journée le dernier samedi. Lorsqu'elle apprend que le second ne viendra pas au bal, à cause de Darcy, puis qu'il est fiancé à Mary King, elle accuse le coup. Ses sœurs compatissent beaucoup.
- Darcy
Comme dans le roman, Darcy reste un personnage en retrait, indéchiffrable. Le physique et la raideur de David Rintoul accentuent son air hautain, taciturne et figé[8]. Dans le premier épisode, il apparaît très snob, méprisant et dédaigneux, les dialogues soulignant le mépris des Netherfield pour la population locale et la vie à la campagne. Le metteur en scène a choisi de ne pas faire apparaître dans le jeu de l'acteur l'évolution psychologique du personnage (son portrait à Pemberley n'est pas souriant non plus). Toutefois son regard sur Elizabeth n'est pas toujours indéchiffrable. Dans une brève scène à Rosings Park, il lui lance un regard avec une ombre de sourire complice, suite à une remarque ridicule de Lady Catherine, mais Elizabeth, qui souriait aussi, refuse le contact et détourne la tête ; son attitude apparaît ouverte et son visage aimable à Pemberley lorsqu'il rejoint les Gardiner et Elizabeth, mais ce n'est que tout à la fin, quand il est assuré de la réponse favorable d'Elizabeth, que son ton devient chaleureux, que ses traits se détendent et s'animent vraiment.
- Mr Collins et Charlotte Lucas
Malcolm Rennie, qui est un acteur massif et de grande taille joue un Mr Collins très lourd, très vulgaire, ridicule et pataud. Il parle fort et ses phrases d'excuse stéréotypées reviennent comme un leitmotiv. Il porte bas, culotte et habit noirs à petit collet, avec l'écharpe blanche à grand rabat qui indique sa qualité d'homme d'Église, ce qui lui donne une vague allure d'échassier[9]. La scénariste a introduit deux scènes inédites : celle de sa déclaration à Charlotte (qui reprend des éléments de celle à Elizabeth) et une scène bizarre où ils vont planter des joncs[3]. Charlotte, que joue Irene Richard, a un rôle assez important, presque plus important que celui de Jane Bennet. Ses conversations avec Elizabeth sur la nécessité sociale du mariage ou sur le comportement de Darcy, ponctuent régulièrement les trois premiers épisodes.
- Lady Catherine de Bourg
Judy Parfitt interprète une Lady Catherine encore jeune et très élégante, mais raide, pincée et aussi bavarde et intrusive en son genre que Mrs Bennet. Elle se vante de son excellent appétit et reproche à Darcy de ne pas assez manger, pose des questions dont elle n'écoute pas les réponses, interroge Elizabeth sur ses sœurs, et fait part à Charlotte de ses vertes critiques de leur éducation, pendant qu'Elizabeth est au piano[10]. Ses interférences dans le ménage Collins sont amplifiées et triviales. Fay Weldon a rédigé la plupart de ses critiques et de ses conseils. On voit Collins les approuver et Charlotte en mettre en pratique. Miss de Bourg, lorsqu'Elizabeth prend congé, comme dans le roman, se lève pour lui serrer les mains, avec une émotion muette qu'Elizabeth hésite à partager. Sa confrontation avec Elizabeth à Longbourn a lieu dans le salon où l'introduit Mrs Bennet, mais finalement Elizabeth la congédie sèchement[10].
- Mr et Mrs Bennet
Priscilla Morgan joue une Mrs Bennet moins caricaturale que dans le roman. Elle est cependant très sotte et écervelée, vite énervée, toujours en mouvements et bavardant sans arrêt d'une voix haut perchée. Inquiète de caser ses filles et affectueuse, envers Lydia surtout, elle se montre une redoutable marieuse, conseillant à Elizabeth de sourire et de tenir sa langue en présence des messieurs. « C'est comme ça que j'ai attrapé votre père », ajoute-t-elle[11]. Elle ne paraît pas la seule responsable de l'échec de leur mariage[3], car Moray Watson joue un Mr Bennet froid, méprisant et sec, qui se contente de fulminer contre sa femme et ses plus jeunes filles. Il se désintéresse de son environnement familial, étudie en solitaire des parties d'échec, joue parfois au tric-trac avec Elizabeth, la seule de ses filles qu'il semble apprécier. Il sollicite ses conseils, qu'il n'écoute pas, mais leurs relations sont plutôt affectueuses.
- La fratrie Bennet
Le lien fraternel entre les sœurs est souligné : on les voit discuter, chuchoter toutes ensemble ou en petits groupes, guetter dans l'escalier ou à la fenêtre. Le couple des aînés discute sérieusement, fréquemment et longuement, même si le rôle de Jane est un peu diminué au profit de celui de Charlotte Lucas. Le couple des deux plus jeunes montre une complicité plus superficielle. Mary ne se met pas physiquement à l'écart, mais elle a toujours le nez plongé dans un livre, au grand dam de sa mère. Elle est un peu traitée avec condescendance par les autres. Les lunettes de myope et la frange que porte Tessa Peake-Jones lui donnent un un air naïf et enfantin[12]. Elle joue du piano et chante de façon très scolaire. Chez les Lucas, elle prend assez vivement la succession d'Elizabeth au piano, chante faux, sous l'œil horrifié de Darcy qui s'était approché pour mieux écouter Elizabeth, et continue à chanter, essayant de couvrir les sons d'un violon qui accompagne les danseurs. Elle n'est pas vraiment laide, elle a seulement des cheveux raides, des tenues très strictes et des lunettes, mais Fay Weldon a choisi de souligner son hypocrisie : son goût de la lecture est une pose et elle s'intéresse autant aux commérages que ses plus jeunes sœurs[13]. Son intérêt pour Mr Collins est très visible. Lydia est superficielle et écervelée. Elle souligne sa précocité, refuse la pudique dentelle dans son décolleté, fait de l'œil à Wickham. Natalie Ogle est petite, mais donne à Lydia une présence physique assez forte. Les remarques de Mrs Bennet montrent qu'elle est assez fière de la précocité physique de sa fille (elle remarque qu'elle a plus de poitrine que la plate Charlotte et est plus attirante que Mary)[12].
- George Wickham
Peter Settelen joue un Wickham sympathique et chaleureux, très proche d'Elizabeth, qui lui confie sa déception de voir Jane abandonnée[14]. Il admire sa façon chaleureuse de défendre ceux qu'elle aime, ajoutant qu'il est heureux que ce ne soit pas elle qui s'en aille à Londres. La scène où Mrs Gardiner met Elizabeth en garde contre une attirance imprudente envers un jeune homme sans fortune est conservée dans cette version.
Mise en scène
Toutes les adaptations de romans austeniens tournées entre les années 1970 et 1980 privilégient les intérieurs, pour des raisons financières, car tourner en extérieur coûte cher, et techniques, le matériel étant lourd et peu maniable[15]. Mais dans cette version commence à apparaître une utilisation systématique de scènes en extérieur. Ces scènes ne s'inscrivent pas encore dans une esthétique picturale[N 1]. Les lieux sont encore assez peu différenciés spatialement et déterminés temporellement[18]. Le passage des saisons n'est pas très sensible, toutes les scènes en extérieur semblent estivales. Il y a cependant une métaphorisation de l'espace. Les extérieurs symbolisent une échappatoire et un semblant de liberté[16], d'où une importante utilisation des plans larges : le cheminement d'Elizabeth sous une pluie battante pour aller voir Jane à Netherfield, la voiture des Gardiner parcourant le Derbyshire, la lecture de la lettre de Darcy à Rosings Park. Le contenu de cette lettre est dit en voix off pendant sa lecture par Elizabeth. On voit Darcy s'éloigner de plus en plus, et le champ s'élargit progressivement, pour suivre sa silhouette s'évanouissant dans les lointains.
Quelques autres scènes importantes se déroulent en extérieur : le dialogue d'Elizabeth et Mrs Gardiner, où cette dernière la met en garde sur l'imprudence d'un mariage avec un homme sans le sou ; une discussion avec Wickham où, tout en jouant au croquet avec lui, elle évoque la souffrance de Jane et annonce le départ de celle-ci pour Londres, juge sévèrement Bingley et demande des précisions sur Miss Darcy. Il y a surtout les rencontres à Pemberley et la deuxième demande en mariage. Suivant fidèlement le roman, la première rencontre à Pemberley a lieu lorsque les Gardiner se préparent à aller visiter le parc. Darcy débouche, précédé par son chien, de derrière une haie et, après un long silence, échange quelques mots avec Elizabeth, montrant son trouble : « Vous n'êtes pas à Longbourn ? ... Je croyais que vous étiez à Longbourn... Comment vont vos parents ? », avant de disparaître. Ensuite, lorsqu'ils déambulent dans le parc, le long d'un plan d'eau, Darcy les rattrape, engage aimablement la conversation avec Mr Gardiner, demande à Elizabeth la permission de lui présenter Georgiana, et poursuit la promenade avec eux. La deuxième demande en mariage est faite dans une allée bordée de grands arbres, sous laquelle les deux personnages déambulent. Lorsqu'Elizabeth répond « My sentiments had undergone so material a change since that period, as to make me receive your present assurances with gratitude... and pleasure », Darcy lui donne le bras en souriant et la caméra, qui les filmait individuellement en plan rapproché, passe en plan américain, puis présente un large plan d'ensemble. Lorsque les deux silhouettes se rapprochent, la caméra procède à un panoramique vertical dans le feuillage de l'arbre qui les domine[16].
Beaucoup de scènes d'intérieur, tournées en studio, sont assez statiques, de longues prises alternant les plans (plans larges, plans rapprochés, gros plans), mais avec très peu de mouvements de caméras, caractéristique fréquente des œuvres tournées sur support vidéo, « sous-alimentées », pour reprendre l'expression de Sue Birtwistle[N 2], et très proches du théâtre filmé[19]. Darcy est souvent montré debout, immobile, un peu en retrait, fixant Elizabeth. Les scènes privilégient la parole plus que le mouvement. Ainsi, la scène du bal à Netherfield accorde plus d'importance au dialogue et aux expressions des visages de Darcy et Elizabeth qu'à leurs évolutions sur la piste de danse[1]. Quand Elizabeth est au piano, à Rosings, les jeunes gens l'encadrent. Les personnages conversent le plus souvent assis calmement.
La mise en scène s'efforce de reproduire des éléments difficiles à scénariser, la correspondance des personnages, les commentaires de la narratrice. Ainsi, on voit en alternance Jane écrire à Longbourn et Elizabeth lire sa lettre à Lambton, le contenu dit en voix off. Les nombreuses réflexions que se fait Elizabeth, dans le roman, sont exprimées à haute voix ou en voix off, la caméra s'attardant alors longuement sur son visage. Cela paraît souvent un peu lourd et didactique et inutilement redondant[3]. Quelques retours en arrière ponctuent la lecture de la lettre de Darcy, le visage de Wickham, une scène du bal de Netherfield, visualisant l'analyse de la lettre que fait Elizabeth.
Distribution
- Elizabeth Garvie : Elizabeth Bennet
- David Rintoul : Fitzwilliam Darcy
- Sabina Franklyn : Jane Bennet
- Natalie Ogle : Lydia Bennet
- Priscilla Morgan : Mrs Bennet
- Moray Watson : Mr Bennet
- Tessa Peake-Jones : Mary Bennet
- Clare Higgins : Kitty Bennet
- Malcolm Rennie : Mr Collins
- Osmund Bullock : Charles Bingley
- Judy Parfitt : Lady Catherine de Bourgh
- Irene Richard : Charlotte Lucas Collins
- Peter Settelen : George Wickham
- Emma Jacobs : Georgiana Darcy
- Marsha Fitzalan (en) : Caroline Bingley
- Jennifer Granville : Mrs Hurst
- Edward Arthur : Mr Hurst
- Desmond Adams : le colonel Fitzwilliam
- Shirley Cain (en) : Mrs Philips
- Janet Davies : Mrs. Hill
- Peter Howell (en) : Sir William Lucas
- Andrew Johns : le capitaine Denny
- Michael Lees : Mr Gardiner
- Barbara Shelley : Mrs Gardiner
- Elizabeth Stewart : Lady Lucas
- Doreen Mantle : Mrs Reynolds
- Moir Leslie : Anne de Bourgh
Fiche technique
- Réalisation: Cyril Coke
- Scénario: Fay Weldon
- Production: Jonathan Leslie Powell
- Directeur de la photographie : Paul Wheeler
- Montage: Chris Wimble
- Musique originale : Wilfred Josephs
- Costumes: Joan Ellacott
- Décors : Barbara Gosnold
Lieux de tournage
- Doddington Hall, Lincolnshire, Angleterre, Royaume uni
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- Déclaration de M. Collins à Charlotte, dans le jardin
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- Pemberley
- Thorpe Tilney Hall, Lincolnshire, Angleterre, Royaume uni
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- Longbourn
- Well Vale, Alford, Lincolnshire, Angleterre, Royaume uni
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- Netherfield
Bibliographie
- (en) Jane Austen, Pride and Prejudice, R. Bentley, 1853 (première édition en 1813)
- (en) Sue Parrill, Jane Austen on film and television: a critical study of the adaptations, McFarland, 2002, 221 p. (ISBN 9780786413492) édition illustrée.
- Lydia Martin, Les adaptations à l'écran des romans de Jane Austen: esthétique et idéologie, Editions L'Harmattan, 2007, 270 p. (ISBN 9782296039018)
Notes et références
Notes
- Sense and Sensibility projeté en 1985 et Northanger Abbey en 1986[16], puis triomphera dans les années 1995-96, avec les films Raison et Sentiments, Emma, l'entremetteuse, les téléfilms Orgueil et Préjugés et Emma[17]. Cela commencera à apparaître avec
- The Making of Pride and Prejudice, 1995 (ISBN 014025157X), p. v Undernourished, dans
Références
- Sue Parrill 2002, p. 79
- Lydia Martin 2007, p. 105
- Comparaison des versions 1980 & 1995
- Jane Austen 1853 (première édition en 1813), p. 319
- Jane Austen 1853 (première édition en 1813), p. 333
- Sue Parrill 2002, p. 63
- Sue Parrill 2002, p. 65
- Lydia Martin 2007, p. 107
- Sue Parrill 2002, p. 72
- Sue Parrill 2002, p. 73-74
- Sue Parrill 2002, p. 68
- Sue Parrill 2002, p. 70
- Sue Parrill 2002, p. 69
- Sue Parrill 2002, p. 71
- Lydia Martin 2007, p. 158
- Lydia Martin 2007, p. 159
- Lydia Martin 2007, p. 160
- Lydia Martin 2007, p. 111
- Lydia Martin 2007, p. 124
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Orgueil et Préjugés (télésuite, 1980) sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- (en) Lisa Warrington, « Comparing the two BBC P&Ps » sur Republic of Pemberley, 1996
Catégories :- Série télévisée créée en 1980
- Série télévisée britannique des années 1980
- Mini-série
- Téléfilm se déroulant au XIXe siècle
- Adaptation d'une œuvre de Jane Austen à la télévision
- Orgueil et Préjugés
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