- Opération Blumenpflücken
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L'Opération Blumenpflücken (littéralement l'oppération Cueillette de fleur) est une opération de contre-résistance dans les territoires occupés de Norvège, planifié et exécuté par la Gestapo/Sicherheitspolizei en 1944 et début 1945.
Elle fut planifié par Ernst Weiner et fut une partie du Gegenterror, organisé pour affaiblir les troupes norvégiennes. Le but n'était pas de terroriser ou d’assassiné les chefs de la résistance centrale, mais plutôt de capturer et de tuer d'autres Norvégiens connus et masquer le but réel. Selon Arnfinn Moland, les meurtres ont eut pour but de ressembler à des actions de la résistance norvégienne, en particulier les actions communistes[1].
Beaucoup croyaient en la supercherie dans les années 1990. Egil Ulateig du livre Med rett til å drepe, avec l'aide de Hans Fredrik Dahl, a révélé une affirmation au sujet de deux des victimes de l'Opération Blumenpflücken[2]. Pendant la guerre, même certains allemand ont pensé que l'initiative était venue de Siegfried Fehmer ou du Commissariat du Reich de Norvège. Arnfinn Moland a également affirmé que le nazi norvégien de la police Statspolitiet n'ont pas été informés.[3] l'historien Tore Pryser a déclaré que Statspolitiet étaient effectivement impliqués.
Selon Moland, Weimer a participé et, entre le douze juin et le premier juillet 1944, il tua trois de ses onze victimes, Einar Hærland, Sigurd Roll et Gunnar Spangen[4]. Selon Berit Nøkleby dans Norsk krigsleksikon 1940-45, une femme du nom de Sigrid Hammerø fut également tué[5] et fit d'elle la seule victime féminine de l’opération. Les sept autres meurtres ont eut lieu en novembre et décembre 1944. Le premier fut réalisée par deux norvégiens et un assistant allemand, Erwin Morio. Les trois suivants par des allemand; Heinz Vierke fut légalement acquitté pour un meurtre. Les deux suivants fut commit par deux norvégiens. Les trois derniers fut pris en charge par Nickerl ou Heinz Vierke avec des assistants norvégiens. La dernière victime, Georg Henrik Resch, tué le six janvier 1945[4], était la mauvaise personne[6]. Deux essaies ratés, une fois le 4 septembre et l'autre le 30 octobre précédent[7]. Tous les meurtres sauf trois ont eu lieu à Oslo ou Åker[4]. Sur les onze meurtres qui sont allées jusqu'au procès après la guerre, il y avait des condamnations dans chaque cas, sauf celui de Heinz Vierke. Ernst Weiner a été parmi les arrêtés, mais qui s'est tué lui-même et un autre détenu en prison[8]. L'historien Tore Pryser a soulever quelque doutes sur la version officiel du suicide[9].
Références
- (no) Livre Oven grensen? de Arnfinn Moland, publié en 1999
- Moland, 1999: pp. 283, 286
- (no) Livre Okkupasjonshistoriske sideblikk. En artikkelsamling de Tore Pryser paru en 2000
- Moland, 1999: p. 285
- Encyclopédie Norsk krigsleksikon 1940-45 de Berit Nøkleby publié en 1995
- Moland, 1999: p. 287
- Moland, 1999: p. 284
- Moland, 1999: pp. 284–285
- Pryser, 2000: pp. 65–66
Annexe
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Operation Blumenpflücken » (voir la liste des auteurs)
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