Direction du Racing Club de Strasbourg

Direction du Racing Club de Strasbourg
La direction du club est assurée en 1930 par un comité central. Joseph Heintz (assis, deuxième de la droite), devient le premier président de la section professionnelle en 1933.

La direction du Racing Club de Strasbourg est l'entité qui est responsable de la direction opérationnelle et du fonctionnement du club de football français du Racing Club de Strasbourg. La direction du club évolue en fonction de la structure juridique du club et de son propriétaire ou de son actionnariat.

Créé comme équipe scolaire en 1906, le RC Strasbourg, alors dénommée FC Neudorf, se transforme en club libre en 1909. Cette même année, le club de football devient un club omnisports et un premier président est nommé. Le RC Strasbourg omnisports et sa section football sont dirigés par Charles Belling de 1919 à 1933. En 1933, le club de football prend le statut professionnel. Le premier président de la section professionnelle est Joseph Heintz, qui occupe le poste de 1933 à 1952 puis de 1962 à 1968. La municipalité de Strasbourg, engagé financièrement dans le club jusque dans les années 1990, fait évoluer le club du statut d'association à celui de société anonyme d'économie mixte locale sportive (SAEMLS) en 1990, puis à celui de société anonyme à objet sportif (SAOS) en 1996 afin de le privatiser un an plus tard. Cette même année 1997, l'association Racing Club de Strasbourg de football est créée pour devenir l'association support de la SAOS en lieu et place de l'association Racing Club de Strasbourg omnisport. Au début des années 2000, le club devient une société anonyme sportive professionnelle (SASP), qui est liquidé en 2011. Le club, redevenu amateur, relève depuis de l'association Racing Club de Strasbourg de football.

Sommaire

Propriété et structure juridique

Équipe scolaire puis associative (1906-1933)

L'équipe du club, alors dénommé FC Neudorf, est créée en 1906 avec le statut d'équipe scolaire. Le club opte trois ans plus tard pour le statut associatif, ce qui lui permet d'obtenir son affiliation à la ligue de football d'Allemagne du Sud cette même année[1],[2]. En 1909, le club de football devient un club omnisports avec la création, en plus de l'équipe de football, d'une section d'athlétisme[3]. Après la Première Guerre mondiale et alors que l'omnisports se diversifie avec l'ajout d'une section de basket-ball[4] et de tir[5], la section football rejoint la Fédération française de football (FFF) et les compétitions françaises en 1919 tout en gardant son statut amateur et associatif[6].

Passage au statut professionnel puis au statut de société anonyme (1933-1997)

Comme bon nombre de clubs de la moitié nord de la France, le RC Strasbourg refuse le professionnalisme à son introduction en 1932 au moment de la création du championnat de France de football[7]. Un an plus tard, le club se prononce à une large majorité pour le passage au statut professionnel[8]. Malgré ce changement de statut, la section football reste au sein du club associatif de l'omnisports. Du passage au professionnalisme jusqu'aux années 1990, l'équipe de football professionnelle du Racing est ainsi gérée par l'association du Racing Club de Strasbourg omnisports. L'omnisports est l'association support de l'équipe professionnelle et possède à ce titre l'agrément de la fédération.

Fusion avec les Pierrots de Strasbourg (1970-1976)

Après quelques saisons sans gloire et pour « regrouper toutes les forces vives du football strasbourgeois »[9], le Racing fusionne en 1970 avec les Pierrots de Strasbourg, double champions de France amateurs, au terme de deux assemblées générales extraordinaires. Le 3 juin de cette année, le RCS devient ainsi le Racing Pierrots Strasbourg-Meinau (RPSM)[9]. Des anciens membres des Pierrots, insatisfaits par la fusion, recréent un club amateur[9], alors que le RPSM vit deux descentes en Division 2 en 1971 et 1976. Le club retrouve finalement son nom de Racing Club de Strasbourg au cours d'une assemblée générale extraordinaire le 15 octobre 1976[10].

Vers la privatisation (1990-1997)

Actionnariat du club en juillet 1990
Ville de
Strasbourg (49 %)
 
Omnisports
RCS (6 %)
 
Investisseurs
privés (45 %)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
SAEMLS
 
 
 
 

En 1990, le club gérant l'équipe professionnelle accuse un déficit de 92 millions de francs[11], dont 30 millions pour l'année 1989[12]. La ville de Strasbourg prend en charge le déficit pour ne pas voir disparaître le club. Elle transforme en juillet 1990 le club en une société anonyme d'économie mixte locale sportive (SAEMLS)[12]. La municipalité de Strasbourg est alors le principal actionnaire du club à hauteur de 49 %, devant le Racing Club de Strasbourg omnisports pour 6 % et des investisseurs privés pour 45 %[12]. Le capital du club s'élève à 5 millions de francs[13] et malgré un excédent d'actifs de 20 millions de francs sur la saison 1993-1994[12], la mairie continue à financer le club à hauteur de 140 millions de francs entre 1990 et 1996[13].

En 1996, la ville de Strasbourg décide de modifier le statut du club en société anonyme à objet sportif (SAOS) afin de le privatiser. Ce changement de statut a comme buts le désengagement de la commune et la mise en conformité avec la loi Pasqua[note 1] qui prévoit la disparition progressive des aides publiques aux clubs professionnels d’ici l’an 2000. Le 20 février 1997, le maire Catherine Trautmann annonce la vente des parts de la ville de Strasbourg au groupe IMG McCormack pour cinq millions de francs[14].

Le club, une entreprise privée (1990-2011)

Sous la coupe d'IMG (1997-2003)

La mairie de Strasbourg, ici représentée par son hôtel de ville, vend ses parts au groupe IMG McCormack.

En 1997, la loi oblige l'association support d'une société anonyme à objet sportif à posséder au moins 33,34 % de cette société[13]. Le nouveau président du RCS Patrick Proisy veut réduire l'influence du Racing Club de Strasbourg omnisports, qui est alors l'association support de l'équipe professionnelle, et crée dans ce but une nouvelle association, Racing Club de Strasbourg Football, pour gérer toutes les équipes amateurs du club. Une convention de cinq ans est alors conclue entre le club de football et l'omnisports, qui transmet l'agrément de la fédération à cette nouvelle association en échange du versement annuel de 2 millions de francs[note 2] pour l'utilisation du nom Racing Club de Strasbourg par le club de football[15].

Au début des années 2000, le club devient une société anonyme sportive professionnelle (SASP)[14]. Le 1er juillet 2002, le président Patrick Proisy refuse de renouveler la convention liant le club à l'omnisports[16] et conclut une autre convention avec l'association Racing Club de Strasbourg Football pour l'utilisation de la dénomination Racing Club. Le préfet du Bas-Rhin refuse d'homologuer cette convention au motif que la dénomination est propriété de l'omnisports et non du club de football amateur[17]. Le Racing Club de Strasbourg omnisports refusant que le club professionnel continue de s'appeler « Racing Club »[18], le litige est porté devant les tribunaux. L'omnisports obtient satisfaction : le club professionnel n'a plus le droit de s'appeler officiellement « Racing Club de Strasbourg »[19] et le numéro d'affiliation du club est restitué à l'omnisports[20].

Revente du club (2003-2009)

En 2003, IMG McCormack revend la SASP possédant le club pour un euro symbolique à la holding Sportinvest d'un groupe d'actionnaires conduit par Egon Gindorf et Marc Keller[21],[22]. Après ce rachat, le nouveau président du club Egon Gindorf trouve un accord avec l'omnisports pour l'utilisation du nom « Racing Club » jusqu'en 2004[note 3]. Les deux parties s'entendent finalement sur la vente définitive de la marque et du nom à la société anonyme gérant l'équipe de football[16] pour 1,8 million d'euros[note 4],[23], le club omnisports étant autorisé à garder le nom de « Racing Club de Strasbourg omnisports »[16].

En 2005, le groupe d'actionneurs aux commandes revend ses parts pour 2,2 millions d'euros à l'investisseur immobilier Philippe Ginestet[22], qui renomme la holding Sportinvest en EuroRacing[24]. En juillet 2007, l'industriel Robert Lohr acquiert via la société RLS 79 20 % de la SASP pour la somme de 2 millions d'euros[21]. Au début de la saison 2009-2010, le capital social de la SASP est détenu à 78 % par la société EuroRacing (dont les actionnaires sont Philippe Ginestet à 70 % via sa holding Racing Investissements, Egon Gindorf à 16,31 %, Dominique Pignatelli à 12 %, Thierry Wendling à 1,06 % et Pierre Schmidt à 0,31 %), 20 % par la société RLS 79 (dont les actionnaires sont Robert Lohr et Léonard Specht), 1,33 % par l'association support Racing Club de Strasbourg Football et 0,67 % par des actionnaires minoritaires[21],[25].

Nouvel actionnariat et liquidiation de la société (2009-2011)

Actionnariat du club en janvier 2010
FC Football Capital
Limited
(85 %)
 
Carousel
Finance
 (15 %)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Racing Investis-
sements
(70 %)
 
Autres (30 %)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
EuroRacing (78 %)
 
RLS 79 (20 %)
 
Autres (2 %)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
SASP
 
 
 
 

En décembre 2009, Philippe Ginestet cède pour 1,6 million d'euros la société Racing Investissements, qui possède 54,6 % des parts du club, à la société anglaise FC Football Capital Limited du financier Alain Fontenla[26], qui en revend 15 % à la société Carousel Finance pour 1,5 million d'euros un mois plus tard[27],[28]. Des tensions apparaissent très vite entre les actionnaires minoritaires et le nouvel actionnaire majoritaire. Face à une certaine défiance de l'environnement du club, Alain Fontenla, une personnalité liée à l'actionnaire majoritaire, se défend début mars 2010 dans les journaux locaux et nationaux pour expliquer sa volonté temporaire de revendre le club : « À Strasbourg, on est un peu dans une zone de non-droit. »[29].

Un groupe de repreneurs alsaciens propose de racheter les parts de Fontenla et Hilali. Ceux-ci retirent leur offre ce même mois de mars 2010[30]. Alain Fontenla compare les pressions dont il fait l'objet pour quitter le club à des « méthodes de mafieux »[31], provoquant l'indignation des collectivités locales strasbourgeoises, des autres actionnaires et de la Ligue de football professionnel[29]. Un actionnaire minoritaire, Dominique Pignatelli, qualifie les nouveaux dirigeants de « voyous » après la descente du club en National en mai 2010. Ceux-ci l'attaquent en justice pour diffamation et injures publiques mais sont déboutés en première instance par le tribunal de grande instance de Paris qui estime que « le défendeur (Pignatelli) bénéficie de l'excuse de la provocation » des propos précédents de Fontenla[32].

Le Racing Club de Strasbourg est dirigé en 2009-2010 par un conseil d'administration dont le président est Jean-Claude Plessis. Parmi les administrateurs du conseil d'administration se trouvent les anciens joueurs professionnels du club Léonard Specht, Éric Vogel et Thierry Wendling, fils de l'ancien international Jean Wendling[33].

En septembre 2010, le mode d'administration du club est modifié. Le conseil d'administration de neuf personnes est dissous et remplacé par un conseil de surveillance et un directoire élu par le conseil de surveillance. Ce dernier est composé de onze membres, et est présidé par l'actionnaire Alain Fontenla et vice-présidé par l'ancien président Jacky Kientz. Le pouvoir décisionnaire est au mains du directoire, présidé par le président salarié du club Jean-Claude Plessis. Les deux autres membres du directoire sont Jafar Hilali, actionnaire majoritaire via sa société financière Carousel Finance, et Christophe Cornelie, le directeur général du club[34],[35],[36]. À partir de mars 2011, la société Carousel Finance SA détient toutes les parts de la limited company FC Football Capital, holding de contrôle de la SASP[37].

En raison de difficultés financières rencontrées par le club, le tribunal de grande instance de Strasbourg prononce la liquidation de la SASP le 22 août 2011[38].

Redémarrage sous forme d'association (2011)

Jusqu'à la liquidation de la SASP en août 2011, la société RC Strasbourg est liée par convention à l'association loi de 1901 Racing Club de Strasbourg Football, qui gère le centre de formation et les équipes amateurs du club[note 5], est titulaire du numéro d'affiliation de la Fédération française de football et possède 1,33 % du capital de la société[25]. Après la liquidation de la société, c'est cette association qui reprend le club redevenu entre temps amateur[39].

Les trente membres fondateurs de l'association décident fin septembre 2011 de transmettre leurs droits de vote à un collège de douze membres, dont huit personnes sont ensuite nommées au conseil d'administration : le repreneur du club Frédéric Sitterlé, Henri Ancel, l'ancien directeur de la Ligue d'Alsace de football Erny Jacky, et les cinq ex-administrateurs de l'ancienne SASP André Bohn, Gérard Lehr, Richard Kleitz, Léonard Specht et Patrick Spielmann. Parallèlement, le financement de l'association est assuré par une société par actions simplifiée (SAS) nouvellement créée par Sitterlé, l'association restant quant à elle le « seul organe de gouvernance du RCS »[40].

Présidents du club

Historique

Ce sont vingt-sept présidents qui se succèdent à la tête du club depuis la nomination du premier président en 1909.

Charles Belling, ici lors de la saison de football 1922-1923, est président de 1919 à 1933.

De 1909 à 1933, le club est amateur et le président dirige toutes les sections sportives dont le football. Charles Belling, président de la section amateur de football jusqu'en 1933, reste à la direction du club omnisports jusqu'en 1959[41]. Joseph Heintz est le premier président de la section professionnelle de football en 1933[42].

Deux présidents occupent la fonction à deux reprises sur deux périodes distinctes, Joseph Heintz des années 1930 aux années 1960 et Philippe Ginestet dans les années 2000. Joseph Heintz est aussi celui qui est le plus longtemps à la présidence du club à savoir pendant 25 ans. À l'autre extrémité, sept présidents se succèdent à la direction du club en l'espace de deux ans entre 2009 et 2010.

Suite au désengagement de la municipalité de Strasbourg et la privatisation du club en 1997, le nouveau président est Patrick Proisy, directeur de la filiale française du nouveau propriétaire IMG McCormack. Après le retrait du groupe de management sportif américain, l'entrepreneur Philippe Ginestet devient actionnaire majoritaire et président en 2005 avant de revendre ses parts au financier Jafar Hilali, qui est président lors de la saison 2010-2011.

Après la démission de Jafar Hilali du poste de président en juillet 2011, Sébastien Graeff, possible repreneur du club, est nommé à cette fonction lors d'une assemblée générale de la SASP « sans réelle valeur juridique »[43]. Ce dernier renonce quelques jours plus tard à devenir propriétaire du club, et après l'engagement d'une procédure de redressement judiciaire, un administrateur judiciaire est nommé[44]. La SASP est finalement liquidé en août 2011 et Patrick Spielmann, le président de l'association support RCS, devient de fait à cette date le président du club[39].

Liste des présidents

Le tableau suivant liste les différents présidents du club de football du Racing Club de Strasbourg. Sauf indication contraire, les périodes indiquées dans le tableau commencent et se terminent respectivement en début et fin de saison, c'est-à-dire généralement en juin.

Léonard Specht, président en 2009.
Jean-Claude Plessis, ici en 2007, est président en 2010.
Liste des présidents du RC Strasbourg
Rang Nom Période Durée
1 Drapeau : Pays inconnu Zuhlke 1909
2 Drapeau : Pays inconnu R. Berger 1909
3 Drapeau : Pays inconnu Louis Becker 1910–déc. 1918 8 ans et 6 mois
4 Drapeau : France Charles Belling[fiche 1] janv. 1919–1933 14 ans et 6 mois
5 Drapeau : France Joseph Heintz[fiche 2] 1933–1952 19 ans
6 Drapeau : France Willy Scheuer[fiche 3] 1952–mars 1960 7 ans et 10 mois
7 Drapeau : France Jean-Nicolas Muller[fiche 4] avr. 1960–1962 2 ans et 2 mois
8 Drapeau : France Joseph Heintz[fiche 2] (2) 1962–nov. 1968 6 ans et 5 mois
9 Drapeau : France Alfred Wenger[fiche 5] nov. 1968–déc. 1972 4 ans et 1 mois
10 Drapeau : France Philippe Fass[fiche 6] déc. 1972–mai 1976 3 ans et 6 mois
11 Drapeau : France Alain Léopold[fiche 7] mai 1976–1979 3 ans et 2 mois
12 Drapeau : France André Bord[fiche 8] 1979–nov. 1985 6 ans et 5 mois
13 Drapeau : France Jean Willaume[fiche 9] nov. 1985–sep. 1986 10 mois
14 Drapeau : France Daniel Hechter[fiche 10] sep. 1986–jan. 1990 3 ans et 4 mois
15 Drapeau : France Jacky Kientz[fiche 11] jan. 1990–sep. 1992 2 ans et 9 mois
16 Drapeau : France Jean Wendling[fiche 12] sep. 1992–1994 1 an et 8 mois
17 Drapeau : France Roland Weller[fiche 13] 1994–1997 3 ans
18 Drapeau : France Patrick Proisy[fiche 14] 1997–2003 6 ans
19 Drapeau : Allemagne Egon Gindorf[fiche 15] 2003–déc. 2005 2 ans et 6 mois
20 Drapeau : France Philippe Ginestet[fiche 16] déc. 2005–2009 3 ans et 6 mois
21 Drapeau : France Léonard Specht[fiche 17] 2009–août 2009 3 mois
22 Drapeau : France Philippe Ginestet[fiche 16] (2) août–déc. 2009 3 mois
23[26] Drapeau : France Julien Fournier[fiche 18] déc. 2009–fév. 2010 2 mois
24[45] Drapeau : France Luc Dayan[fiche 19] fév.–mars 2010 1 mois
25[46] Drapeau : France Jean-Claude Plessis[fiche 20] mars–nov. 2010 8 mois
26[47] Drapeau : France Jafar Hilali[fiche 21] nov. 2010–juil. 2011 8 mois
-[44] Administrateur judiciaire juil.–août 2011 1 mois
27[39] Drapeau de la France Patrick Spielmann[fiche 22] août–oct. 2011 2 mois
28[48] Drapeau de la France Frédéric Sitterlé[fiche 23] depuis oct. 2011

Notes et références

Notes

  1. La loi Pasqua du 8 août 1994 et son décret d'application du 26 janvier 1996 sera partiellement remise en cause par la loi Buffet du 28 décembre 1999.
  2. Avant 1997, le club de football professionnel verse annuellement 1,7 million de francs au Racing omnisports pour pouvoir utiliser le nom du Racing Club de Strasbourg.
  3. L'accord prévoit que le club professionnel verse 240 000 euros à l'omnisports pour les saisons 2002-2003 et 2003-2004.
  4. Le club de football professionnel verse 300 000 euros par an à l'omnisports jusqu’en 2011.
  5. L'association Racing Club de Strasbourg Football comprend en 2009 des équipes jouant en CFA et dans les championnats National 18 ans, National 16 ans, Fédéral 14 ans, 18 ans DH, 13 ans DH, 13 ans Excellence, 11 ans et 9 ans. Résultats de toutes les équipes de l'Association Racing Club de Strasbourg Football sur rcstrasbourg.fr. Consulté le 18 mars 2009

Références

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  2. (de) Offenburger FV 1907 e.V., Histoire du club Offenbourg FV 1907, 2007 [lire en ligne], p. 2 
  3. Bernard Delattre, « Deux médailles d'argent olympiques », dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace, 3 octobre 2006, p. sports [texte intégral (page consultée le 7 février 2009)] 
  4. Collectif 1991, p. 149
  5. Collectif 1991, p. 168
  6. Claire-Marie Denis et Cédric Douzant, « Le jardin où tout a commencé », dans Collectif 2006, p. 15
  7. Wahl 1989, p. 256
  8. Gauthey 1961, p. 235
  9. a, b et c Collectif 1991, p. 99
  10. Collectif 1991, p. 121
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  12. a, b, c et d Collectif 1995, p. 49
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  14. a et b Guillemette Echalier, « La Ville sort du terrain », dans Collectif 2006, p. 9
  15. Les Américains débarquent (2/2) sur racingstub.com, 11 octobre 2006. Consulté le 7 février 2009
  16. a, b et c « Un oui pour un nom ? », dans L'Alsace, 17 mars 2004, p. sports 
  17. A voix basse et en différé sur mcsinfo.u-strasbg.fr, 29 janvier 2003. Consulté le 7 février 2009
  18. Saga judiciaire sur mcsinfo.u-strasbg.fr, 24 octobre 2002. Consulté le 7 février 2009
  19. De 1997 à 2003 : les années Proisy sur racingstub.com. Consulté le 7 février 2009
  20. Le Racing en D2 ? sur cieletblanc.com, 2 mai 2003. Consulté le 7 février 2009
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  25. a et b DNCG, Rapport d’activité, Comptes des clubs, Saison 2007/2008, mars 2009 [lire en ligne], p. 44 
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  29. a et b S. G., « Entre Kerviel et Albert de Monaco », dans L'Alsace, 7 janvier 2011 [texte intégral (page consultée le 7 janvier 2010)] 
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  36. Barbara Schuster, « Le nouvel organigramme », dans Dernières Nouvelles d'Alsace, 23 septembre 2010 [texte intégral (page consultée le 23 septembre 2010)] 
  37. Propos recueillis par Fr. N., « Jafar Hilali: « Tout pour empêcher un dépôt de bilan » », dans Dernières Nouvelles d'Alsace, 2 mai 2011, p. sports [texte intégral (page consultée le 3 mai 2011)] 
  38. Stéphane Godin, « Retour vers le futur », dans L'Alsace, 23 août 2011, p. Sport [texte intégral (page consultée le 28 août 2011)] 
  39. a, b et c S.G., « Devant une page blanche », dans L'Alsace, 27 août 2011, p. Sport [texte intégral (page consultée le 27 août 2011)] 
  40. S.G., « Sitterlé monte son équipe », dans L'Alsace, 1er octobre 2011, p. Sport [texte intégral (page consultée le 18 octobre 2011)] 
  41. Nouveauté : historique des présidents sur racingstub.com. Consulté le 21 avril 2009
  42. Présidents du Racing sur racingstub.com. Consulté le 21 avril 2009
  43. Cette fois, c'est fini, lalsace.fr, Stéphane Godin, 12/07/2011
  44. a et b Olivier Arnal, « Weil entre dans le vif du sujet », Journal l'Alsace, 2011. Consulté le 22 juillet 2011
  45. Stéphane Godin, « Racing - Dayan au cœur des négos », dans L'Alsace, 18 février 2010 [texte intégral (page consultée le 24 février 2010)] 
  46. « Racing : Jean-Claude Plessis officiellement à la tête du club », dans L'Alsace, 24 mars 2010 [texte intégral (page consultée le 24 mars 2010)] 
  47. Stéphane Godin, « Racing - Bons comptes et bons amis », dans L'Alsace, 11 novembre 2010 [texte intégral (page consultée le 11 novembre 2010)] 
  48. Stéphane Godin, « Le mot de la fin », dans L'Alsace, 9 octobre 2011, p. Sport [texte intégral (page consultée le 11 octobre 2011)] 

Fiches de personnalité sur racingstub.com

  1. Charles Belling. Consulté le 6 avril 2011
  2. a et b Joseph Heintz. Consulté le 6 avril 2011
  3. Willy Scheuer. Consulté le 6 avril 2011
  4. Jean-Nicolas Muller. Consulté le 6 avril 2011
  5. Alfred Wenger. Consulté le 6 avril 2011
  6. Philippe Fass. Consulté le 6 avril 2011
  7. Alain Léopold. Consulté le 6 avril 2011
  8. André Bord. Consulté le 6 avril 2011
  9. Jean Willaume. Consulté le 6 avril 2011
  10. Daniel Hechter. Consulté le 6 avril 2011
  11. Jacky Kientz. Consulté le 6 avril 2011
  12. Jean Wendling. Consulté le 6 avril 2011
  13. Roland Weller. Consulté le 6 avril 2011
  14. Patrick Proisy. Consulté le 6 avril 2011
  15. Egon Gindorf. Consulté le 6 avril 2011
  16. a et b Philippe Ginestet. Consulté le 6 avril 2011
  17. Léonard Specht. Consulté le 6 avril 2011
  18. Julien Fournier. Consulté le 6 avril 2011
  19. Luc Dayan. Consulté le 6 avril 2011
  20. Jean-Claude Plessis. Consulté le 6 avril 2011
  21. Jafar Hilali. Consulté le 6 avril 2011
  22. Patrick Spielmann. Consulté le 27 août 2011
  23. Frédéric Sitterlé. Consulté le 11 octobre 2011

Annexes

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Bibliographie

Cette bibliographie présente quelques ouvrages de référence. Ceux utilisés pour la rédaction de cet article sont suivis du symbole Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

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