30e bataillon de chasseurs à pied

30e bataillon de chasseurs à pied
30e bataillon de chasseurs à pied
Insigne du 30e BCP.jpg

Insigne du 30e BCP

Période 18711998
Pays Drapeau de France France
Branche Armée de terre
Rôle Infanterie
Ancienne dénomination 30e bataillon de chasseurs alpins
Devise En pointe toujours
Inscriptions sur l’emblème Voir étendard unique des chasseurs
Anniversaire Sidi-Brahim
Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie
Fourragères à la couleur du ruban de la Légion d'honneur

qui lui a été remise le 27 novembre 1918,

Décorations Croix de guerre 1914-1918 avec 6 palmes,1 étoile vermeil,1 étoile bronze
6 citations à l’ordre de l’Armée
1 citations à l’ordre du corps d’Armée
1 citation à l’ordre de la Brigade

Le 30e bataillon de chasseurs à pied (30e BCP) est une unité militaire française dissoute de l'infanterie alpine (chasseurs alpins) dont les casernements en 1914 étaient à Grenoble dans l'Isère.

Sommaire

Création et différentes dénominations

  • 1871 : création du 30e bataillon de chasseurs à pied,
  • 1889 : devient le 30e bataillon alpin de chasseurs à pied (BACP)[1],
  • 1916 : devient le 30e bataillon de chasseurs alpins,
  • 1924 : 30e bataillon alpin de chasseurs à pied,
  • 1927 : 30e bataillon de chasseurs alpins,
  • 1929 : 30e bataillon de chasseurs à pied en garnison à Metz,
  • 1940 : dissolution,
  • 1940 : nouvelle création du bataillon (armée d'armistice),
  • 1942 : dissolution,
  • 1945 : 30e bataillon de chasseurs portés,
  • 1968 : 30e groupe de chasseurs motorisés,
  • 1977 : 30e groupe de chasseurs,
  • 1990 : 30e bataillon de chasseurs à pied,
  • 1998 : dissolution.

Historique des garnisons, campagnes et batailles

Garnisons

  • 1871 : Rochefort sur mer
  • 1872 - 1875 : Paris
  • 1875 - 1876 : Embrun
  • 1876 - 1881 : Clermont-Ferrand
  • 1881 : Tunisie
  • 1882 - 1885 : Clermont-Ferrand
  • 1885 - 1888 : Batna
  • 1888 - 1889 : Embrun
  • 1889 - 1893 : Grenoble
  • 1893 - 1895 : Embrun
  • 1895 - 1901 : Grenoble
  • 1901 - 1903 : Embrun
  • 1903 - 1909 : Grenoble
  • 1909 - 1911 : Embrun
  • 1911 - 1914 : Grenoble
  • 1919 - 1922 : Landau - Deux Ponts
  • 1922 - 1924 : Oberstein - Birkenfeld
  • 1924 - 1929 : Rur - Euskirchen - Düren
  • 1929 - 1931 : Metz
  • 1931 - 1936 : Sarreguemines
  • 1936 - 1939 : Saint Nicolas de Port
  • 1940 - 1942 : Saint Laurent de Céris
  • 1942 - 1945 : Clandestinité (Charente - Moselle)
  • 1945 - 1946 : Metz - Paris - Lorrez le Bocage
    Saint Benoît sur Loire - Baumholder - Cochem
  • 1946 - 1951 : Limoges
  • 1951 - 1956 : Saarburg
  • 1956 - 1958 : Maroc
  • 1958 - 1964 : Algérie
  • 30 juin 1964 : dissolution à Donaueschingen
  • 1er août 1968 : renaissance à Lunéville
  • 30 juin 1990 : dissolution à Lunéville

De 1871 à 1914

  • 11 août 1871 : au lendemain même des revers de 1870 un décret en date du 30 janvier 1871 crée le 30e bataillon de chasseurs à pied.
  • 1881 : il prend une part brillante à l'expédition de Tunisie. (combat de Mateur)
  • 1885 : Algérie.(Les Aurès) il quitte définitivement la terre d'Afrique pour tenir garnison à Grenoble.
  • Il est l'un des douze bataillons de Chasseurs à pied spécialisés « alpin » par la loi du 24 décembre 1888. (6e-7e - 11e - 12e - 13e - 14e - 22e - 23e - 24e - 27e et 28e). En garnison à Grenoble (Isère).

Première Guerre mondiale

Rattachements successifs

1914

  • Août : parti de Jausiers, son secteur des Alpes, s'embarque à Chorges le 10 août 1914. L'effectif du bataillon est alors de 25 officiers, 102 sous-officiers et 1 633 hommes de troupes répartis en 1 état major, 1 section hors rang et 6 compagnies. Il comprend d'autre part 46 chevaux et 106 mulets[2]..
  • fin août, Opération d’Alsace[3] Bois de Ménampré, Bois Chenu
  • Septembre - décembre, Lorraine : Lesseux, La Tête de Voilu
  • décembre : Vosges, Chapelle Saint-Antoine[4], Hartmannswillerkopf, Tête de Faux[5]

1915

  • Vosges : Tête de Faux,
  • Alsace juin à août : opération du Linge (juin-octobre 1915)[6] : Reichackerkopf, le Linge. Le bataillon est presque anéanti durant cette opération.

1916

  • Alsace
  • Bataille de la Somme : Curlu, La pestilence, Cléry, Sud de Maurepas, Bois de Hem, Bois du Ravin, Calvaire de Maurepas, Mont-Saint-Quentin[7].
  • Vosges

1917

1918

  • Italie : col de la Russo
  • Contre offensive Marne et Ourcq (juillet)
  • Somme : tunnel du Tronquoy, Nord de Saint-Quentin, Bois des Taupes, Courjumelles, Guise[8]

Entre-deux-guerres

  • 1929 : en garnison à Metz, dissolution puis nouvelle création à partir du modifier] Seconde Guerre mondiale
    • 1939 : Sarre Kleinblitterstroff.
    • 1940 - 1942 : recréé dans l'Armée d'Armistice.

    De 1945 à nos jours

    • 1958 : Algérie :( Geryville, Corneille, Oran, Aïn-Temouchent).
    • 1964  : dissolution
    • 1968  : re-création à Luneville
    • 1990 : dissolution et recréé en tant qu'unité de réserve à partir du 31e BCP. Transfert de la compagnie antichar au 35e régiment d'infanterie de Belfort (cette compagnie est elle-même dissoute en 2001 dans le cadre d'une réorganisation des unités d'infanterie).
    • 1998 : dissolution.

    Traditions

    Insigne

    Devise

    En pointe toujours

    Drapeau

    Comme tous les autres bataillons de chasseurs ou groupes de chasseurs, il ne dispose pas de son propre drapeau, mais il assure la garde alternée du drapeau des chasseurs, commun à toutes les unités de chasseurs.

    Le bataillon porte la fourragère a la couleur du ruban de la Légion d'honneur, qui lui a été remise le 27 novembre 1919, après avoir reçu la Croix de guerre 1914-1918 avec six citations au cours de la Première Guerre mondiale.

    Fanion du 30e groupe de chasseurs

    Décorations

    FÉLICITATIONS ET CITATIONS OBTENUES PAR LE 30e BATAILLON

    20 AOUT 1914

    "Le général commandant le détachement s'empresse d'adresser toutes ses félicitations au lieutenant-colonel GOYBET, commandant le 30e bataillon de Chasseurs et à ses si braves troupes pour leur succès d'hier contre un ennemi très supérieur en nombre".

    ORDRE GÉNÉRAL N° 14

    6 OCTOBRE 1914

    "Le général commandant le groupement des Vosges adresse ses félicitations.. "Il témoigne spécialement sa satisfaction aux détachements des. 30e bataillon de Chasseurs alpins… qui ont rivalisé d'entrain dans l'attaque des retranchements ennemis".

    ORDRE DE GROUPE DES BATAILLONS DE CHASSEURS DE LA 66e D.I.

    Après avoir délogé l'ennemi de toute la vallée de la Fecht, aux combats du Hohneck, de Gaschney, du Sattel (14 et 15 août), de Günsbach (19 août), de Turckheim (21 août), a vigoureusement pris part au combat d'Ingersheim (22 août) en détruisant l'aile gauche ennemie à Logelbach. Ramené en toute hâte dans la région du col du Bonhomme, col des Bagenelles, violemment bombardée pendant plusieurs jours, y a maintenu l'ennemi par de vigoureuses contre-attaques. Prenant part aux opérations du col des Journaux, a poussé vers Mandrey des reconnaissances offensives et, de concert avec le 13e bataillon de Chasseurs alpins, a capturé le convoi d'une division bavaroise. En septembre 1914, s'est emparé de haute lutte du bois du Chena et du Mont et a coopéré à l'enlèvement des hauteurs de Lesseux. Par une série d'audacieux coups de main (octobre 1914), s'est emparé de la région frontière comprise entre le Rossberg et le col de Valdhaus, et a puissamment contribué à l'enlèvement du sommet du Violu par le 28e bataillon de Chasseurs alpins ainsi qu'à l'arrêt de fortes contre-attaques ennemies.

    ORDRE DE LA VIIe ARMEE N° 56, DU 4 SEPTEMBRE 1915

    Le 30e bataillon de Chasseurs, Sous les ordres du chef de bataillon BOUQUET : S'est affirmé une fois de plus comme une troupe d'élite, dans une région montagneuse très difficile : a enlevé sous le feu de l'infanterie et de l'artillerie ennemies d'une violence extrême et après plusieurs assauts, sous bois, une position organisée de longue date par l'ennemi ; s'y est maintenu malgré les attaques réitérées de troupes fraîches précédées par des bombardements d'artillerie lourde d'une intensité peu commune ; a infligé de lourdes pertes à l'ennemi.

    ORDRE DU 20e CORPS D ARMEE N° 252, DU 15 SEPTEMBRE 1916

    Le 30e bataillon de Chasseurs alpins : Après avoir, du 12 au 20 juillet 1916, organisé, sous le feu de l'artillerie, une base d'attaque modèle, s'est porté sous les ordres de son valeureux chef, le commandant LATRABE, et malgré un feu terrible de mitrailleuses, à l'assaut de quatre lignes de tranchées successives défendues par des forces supérieures, s'en est emparé aux prix de pertes sensibles, les a retournées et organisées, en quatre heures, en une nouvelle base d'attaque, qui a été encore perfectionnée malgré un violent feu d'artillerie, du 20 au 25 juillet. A pris neuf mitrailleuses, deux lance-bombes, des approvisionnements considérables en cartouches et matériel divers et a fait plus de 200 prisonniers. ORDRE DU G. Q. G. N° 5609 "D", DU 17 SEPTEMBRE 1917

    Le 30e bataillon de Chasseurs alpins : Bataillon d'élite déjà cité à l'ordre de l'armée. Sous les ordres du commandant LATRABE, a fait preuve, au cours des opérations de juillet, août, septembre et octobre 1916 sur la Somme, d'un esprit offensif qui ne s'est jamais démenti, marquant par une avance chacun de ses combats et capturant près de 600 prisonniers, 10 mitrailleuses et un important matériel. Signé : PETAIN

    ORDRE DE LA VIlème ARMEE N° 627 DU 4 SEPTEMBRE 1918

    Le 6e groupe de Chasseurs : 115e, 30e et 70e bataillons de Chasseurs : Sous l'impulsion énergique du lieutenant-colonel ZERBINI et le commandement des chefs de bataillon TOUCHON, LATRABE, MASSON, après avoir, les 8, 29 et 30 juin 1918, refoulé les lignes ennemies à plus d'un kilomètre, a pris part à la bataille dernière d'une façon particulièrement brillante, a lutté d'abord sans arrêt les 18, 19 et 20 juillet pour s'emparer de quatre bois et d'un village, a forcé l'adversaire à abandonner sur place de nombreuses mitrailleuses ainsi que d'importants dépôts de munitions : a repris le combat trois jours après et s'est emparé d'une grosse localité et de ses abords, défendus par des mitrailleuses et des canons qui sont restés entre nos mains.

    ORDRE DE LA 1re ARMEE N° 157, DU 30 SEPTEMBRE 1918

    Le 30e bataillon de Chasseurs alpins : Sous les ordres du commandant LATRABE, chef superbe de froide bravoure et de sage énergie, aimé et suivi de sa troupe qu'il a faite à son image, a pendant cinq jours de combats les plus rudes, conquis deux lignes de tranchées fortement occupées, progressant sur une profondeur de 5 kilomètres, faisant subir à l'ennemi des pertes importantes, lui capturant de haute lutte 145 prisonniers, 2 canons, 28 mitrailleuses et un matériel de toute nature dont 5 canons et 2 dépôts de munitions d'infanterie et d'artillerie. Signé : DEBENEY

    ORDRE DE LA 1re ARMEE N° 171, DU 15 NOVEMBRE 1918

    6e groupe de bataillons de Chasseurs alpins. Le 30e bataillon (commandant LATBABE). Le 70e bataillon (commandant MASSON). Le 115e bataillon (commandant TOUCHOÏN).

    Engagé du 30 septembre au 8 octobre 1918, dans un combat de rupture contre les positions puissamment organisées de la ligne Hindenburg, a mené sans arrêt ses attaques en progressant d'une façon continue, sans laisser un moment de répit à l'adversaire, malgré sa résistance acharnée. Grâce à la souplesse de ses manœuvres, à la bravoure de ses troupes et à leur esprit de sacrifice est venu à bout des résistances les plus opiniâtres et a pu enlever, de haute lutte, le 8 octobre? une ferme solidement organisée, rompant enfin la ligne ennemie. A fait, au cours de ses attaques, 833 prisonniers valides, dont 30 officiers, a pris 5 canons, 14 minenwerfer, 180 mitrailleuses et une quantité de matériel. Signé : DEBENEY

    ORDRE DE LA 1re ARMEE N° 201, DU 8 DECEMBRE 1918

    Le 30e bataillon de Chasseurs alpins : Sous les ordres du commandant LATRABE : Troupe remarquablement entraînée, connue par son audace et son endurance. Avec l'aide de chars d'assaut, a enlevé le 26 octobre 1918, la partie Sud du village de Pleine-Selve solidement défendu, y a fait des prisonniers et pris des mitrailleuses ; continuant son action le 27, a poursuivi l'ennemi pendant 9 kilomètres. Le soir, quand la division se trouvait arrêtée sur une nouvelle ligne, a profité de la chute du jour pour tenter, avec l'aide de deux sections de chars d'assaut, de prendre pied dans un point d'appui ennemi, a réussi cette opération, faisant 40 prisonniers qui ont permis d'identifier une nouvelle division. Le 4 novembre, a pris part, en tête, à la poursuite pendant 21 kilomètres, précédant toujours de plusieurs heures les éléments de la division voisine. Signé : DEBENEY.

    Par décision n° 138 "F", en date du 27 novembre 1918, de M. le Maréchal de France commandant en chef, le 30e bataillon de Chasseurs alpins a droit au port de la fourragère à la couleur du ruban de la LEGION D'HONNEUR. CITATIONS DES UNITES

    ORDRE DU 34e CORPS D'ARMEE DU 7 DECEMBRE 1914, N° 41'

    1re, 2e,6ème compagnies et section de mitrailleuses du 30e bataillon. Le 2 décembre 1914, sous le commandement du capitaine REGNAULT, ont chassé l'ennemi à la baïonnette de la Tête des Faux, après avoir escaladé sous le feu, des éboulis d'énormes rochers, et se sont maintenues ensuite sur ce sommet malgré toutes les contre-attaques.

    ORDRE GENERAL DE L'ARMEE DU 11 JANVIER 1915

    (Détachement des Vosges) La 6e compagnie du 30e bataillon de Chasseurs alpins. Placée depuis le 2 décembre 1914 à l'endroit le plus périlleux de la Tête des Faux, sous les ordres du capitaine TOUCHON, à quelques mètres des tranchées ennemies, dans lesquelles elle jetait constamment des grenades à main, a héroïquement résisté pendant la nuit du 24 au 25 décembre à une très violente attaque exécutée par des forces très supérieures, se maintenant sur ses positions après une mêlée à la baïonnette où elle a perdu le tiers de son effectif, chantant la Marseillaise aux instants les plus critiques, et infligeant à l'ennemi par son feu et par ses contre-attaques des- pertes très considérables.

    ORDRE DE LA 47e DIVISION N°96, DU 6 JANVIER 1918

    La 2e compagnie du 30e bataillon de Chasseurs alpins. Sous le commandement du capitaine TREFCON : Le 24 octobre 1917, après avoir préparé un coup de main par une série de reconnaissances méthodiques, a fait irruption dans les lignes ennemies avec un superbe entrain, y a mené avec des groupes ayant à leur tête les sous-lieutenants NEVEU et CURET, l'adjudant AUDET, les aspirants LAPLASSOTTE et AGEN, le sergent LECLERC, une série de vifs combats à la grenade qui l'ont conduite à ses objectifs ; a tué plusieurs Allemands, incendié des abris occupés, est ensuite rentrée au complet dans un ordre parfait.

    ORDRE N°19 DU 6e GROUPE DE CHASSEURS DU 2 JANVIER 1918

    La compagnie de mitrailleuses du 30e bataillon de Chasseurs, sous les ordres du capitaine DOLIGEZ, chef aussi remarquable par sa bravoure et son énergie que par son expérience professionnelle, a contribué au succès du 30 décembre 1917. A, le lendemain, abattu un premier avion ennemi et atteint un deuxième qui, après une chute en feuille morte de 200 mètres, a regagné péniblement ses lignes.

    ORDRE DU 6e GROUPE DE CHASSEURS N° 35, DU 7 AOUT 1918

    Les brancardiers du 30e bataillon : Depuis le début de la campagne, ont montré dans de nombreux et durs combats un dévouement et un mépris du danger admirables : dans les attaques du 18 au 24 juillet 1918, ont fait des prodiges pour assurer l'évacuation de nombreux blessés, ont réussi malgré de grandes difficultés et des dangers constants.

    AU COURS DE LA GUERRE 1914 - 1918, 41 Officiers, dont 2 chefs de corps, 73 Sous-Officiers, 986 Caporaux et Chasseurs du 30e bataillon de chasseurs alpins sont tombés héroïquement pour sauver le patrimoine sacré de notre pays.

    Chant

    Refrain

    « Il était un petit homme
    tout habillé de bleu, Sacrebleu ! »

    ou

    « Il était un petit homme
    tout habillé de bleu, nom de Dieu ! »

    Chefs de corps

    • 1871 - 1879 : chef de bataillon Lanes;
    • 1879 - 1885 : chef de bataillon Léger;
    • 1885 - 1889 : chef de bataillon Pourquery de Pechalves;
    • 1889 - 1896 : lieutenant-colonel du Pouget de Nadaillac;
    • 1897 - 1898 : lieutenant-colonel Massiet du Biest;
    • 1898 - 1926 : lieutenant-colonel Bertin;
    • 1907 - 1914 : lieutenant-colonel Goybet;
    • 1914 - 1915 : chef de bataillon Bouquet;
    • 1915 - 1915 : chef de bataillon Juillard;
    • 1915 - 1922 : chef de bataillon Latrabe;
    • 1922 - 1927 : chef de bataillon de Tessières;
    • 1927 - 1929 : chef de bataillon Azan;
    • 1929 - 1932 : chef de bataillon André;
    • 1932 - 1936 : chef de bataillon Devevey;
    • 1936 - 1938 : chef de bataillon Darw;
    • 1938 - 1940 : chef de bataillon Marlier;
    • 1940 - 1943 : chef de bataillon Joly;
    • 1943 - 1944 : capitaine Rogez;
    • 1944 - 1945 : chef de bataillon du Cheron du Pavillon;
    • 1945 - 1946 : chef de bataillon Dor;
    • 1946 - 1947 : lieutenant-colonel Beaurepère;
    • 1947 - 1948 : lieutenant-colonel Putz;
    • 1948 - 1950 : lieutenant-colonel Petit;
    • 1950 - 1951 : lieutenant-colonel Bourdarias;
    • 1951 - 1952 : lieutenant-colonel Dudognon;
    • 1952 - 1954 : lieutenant-colonel Charlet;
    • 1954 - 1956 : lieutenant-colonel Albert;
    • 1956 - 1959 : lieutenant-colonel Monnier;
    • 1959 - 1960 : lieutenant-colonel Labaume;
    • 1960 - 1961 : lieutenant-colonel Tassel;
    • 1961 - 1962 : chef de bataillon Biraud;
    • 1962 - 1963 : chef de bataillon Biré;
    • 1963 - 1964 : chef de bataillon de Dinechin;
    • 1968 - 1970 : colonel Leclaire;
    • 1970 - 1972 : colonel Guibert;
    • 1972 - 1974 : colonel de Suremain;
    • 1974 - 1976 : colonel Balmitgère;
    • 1976 - 1978 : colonel Duval;
    • 1978 - 1980 : colonel Thoumazou;
    • 1980 - 1982 : colonel de Percin-Northumberland;
    • 1982 - 1984 : colonel Lécuyer;
    • 1984 - 1986 : colonel Ottl;
    • 1986 - 1988 : colonel Funke;
    • 1988 - 1990 : colonel Lucas;

    Faits d'armes faisant particulièrement honneur au bataillon

    Personnalités ayant servi au sein du bataillon

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources et bibliographie

    Notes et références

    1. Par la loi du 24 décembre 1888, publiée au journal officiel le 22 décembre 1888, décret du 2 janvier 1889.
    2. JMO du 30e BCP sur le site Mémoires des hommes
    3. chtimiste.com — Alsace
    4. chtimiste.com — Vosges 1915
    5. chtimiste.com — Tête de Faux
    6. chtimiste.com — Opération du linge
    7. chtimiste.com — La Somme
    8. chtimiste.com — Guise



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