Études de médecine en France

Études de médecine en France

En France, les études de médecine sont les plus longues des études supérieures. Elles constituent une formation théorique et pratique, plus théorique au début, de plus en plus pratique à mesure de la progression. À la fin du cursus, le futur médecin est habilité à faire de plus en plus dactes, et reçoit finalement le diplôme d'État de docteur en médecine, à lissue de la soutenance dun travail appelé thèse d'exercice. Il est également titulaire dun diplôme d'études spécialisées (DES) portant la mention de sa spécialité, et dans certains cas, dun diplôme d'études spécialisées complémentaire (DESC).

Familièrement, létudiant en médecine est appelé « carabin ».

Sommaire

Historique

XVIIIe siècle

La Faculté de Médecine de Montpellier, la plus ancienne en activité du monde
  • Sous lAncien Régime, la médecine était lune des quatre facultés mais on ny accédait généralement quaprès un passage par la faculté des arts (voir Faculté des Arts de Paris). Lenseignement était essentiellement théorique et reposait sur la lecture et le commentaire des autorités.
  • Cependant, à partir de 1750 environ, mais très timidement, une partie pratique intervient, à travers la botanique mais aussi la clinique. Jusquà la Révolution, les chirurgiens nétaient pas des médecins mais étaient considérés comme de simples exécutants (barbiers-chirurgiens).
  • Le système universitaire est supprimé en 1793 et les facultés de médecine sont remplacées, lannée suivante, par quatre écoles de médecine, installées à Paris, Montpellier, Bordeaux et Strasbourg. Avec la création de lUniversité impériale, les écoles de médecine reprennent la dénomination de facultés et leur nombre augmente.

XIXe siècle

Au XIXe siècle, en réaction à lévolution technique très rapide de la médecine et à la médiocrité de lenseignement théorique universitaire, sont instaurés lexternat et linternat, formations pratiques hospitalières accessibles sur concours, linternat étant accessible uniquement aux anciens externes. Les étudiants en médecine commencent alors à négliger les examens de la faculté pour se consacrer à la préparation de ces concours, synonymes délite et de qualité de la formation. Létudiant pouvait arriver au terme de ses études de médecine sans même avoir vu un seul patient, sil avait raté ou ne sétait pas présenté au concours de lexternat.

XXe siècle

  • Suite aux évènements de mai 68, le concours de lexternat fut supprimé, et tous les étudiants en médecine suivirent la formation pratique de qualité quest lexternat, devenu obligatoire (le terme « externe » disparut alors des textes, remplacé par le terme « étudiant hospitalier »). Cela correspond à lidéal hospitalo-universitaire (création des CHU en 1958: la pratique (lexternat) et la théorie (les cours à luniversité) sont réconciliées dans un seul et même cursus pour tous. Avec la loi Faure, Les facultés de médecine deviennent des UER (puis UFR à partir de 1984) intégrées dans une université.
  • Cette réforme, corrélée à laugmentation générale de la population étudiante, engendra un afflux massif détudiants dans les services des CHU. En réaction, il fut alors instauré en 1971 un concours de fin de première année de médecine, avec un système de numerus clausus[1].
  • Jusque dans les années 1990, tout médecin pouvait devenir spécialiste, soit en passant la voie sélective et hospitalière de linternat, soit par la voie non-sélective et universitaire des certificats détudes spécialisées (CES) de moindre qualité, laissant ainsi se développer une médecine spécialisée à deux vitesses entre « anciens internes des hôpitaux » et « anciens chefs de clinique des hôpitaux » dune part, et titulaires de CES dautre part. Une réforme supprima donc les CES médicaux et rendit linternat obligatoire pour la « qualification ordinale » de spécialistes, à travers les Diplômes détudes spécialisées (DES), compléments du diplôme de docteur en médecine.
  • Les internes furent contraints de faire un stage en « hôpital périphérique », cest-à-dire non universitaire, faisant partie dun Centre hospitalier régional ou CHR.

Évolutions récentes

  • Jusquen 2004, les futurs généralistes ne passaient pas le concours de linternat. Le deuxième cycle était suivi dune période appelée « résidanat », et qui durait deux ans et demi (trois ans pour les nouvelles promotions de résidents à partir de 2001).
  • Depuis la rentrée 2004, tous les étudiants en médecine doivent désormais passer l'examen national classant (renommé « épreuves classantes nationales » par la suite) et faire un internat. Lancien résidanat devient alors linternat de médecine générale, dans le cadre du processus de revalorisation de cette profession désertée de façon inquiétante.
  • Depuis la rentrée 2010, la première année du premier cycle d'études médicales (déjà commune avec odontologie et sage-femme) devient « première année des études de santé » (commune avec pharmacie), le diplôme de formation générale en sciences médicales apparaît lannée suivante.

Organisation

Les études se déroulent en trois cycles au sein dune université ayant une unité de formation et de recherche de médecine (parfois mixte entre la médecine et la pharmacie), associée à lun des 29 centres hospitaliers universitaires. Leur durée totale varie de neuf ans (médecine générale) à douze ans (autre spécialité et une sous-spécialisation).

Diplôme de formation générale en sciences médicales

les études de médecine sont les plus longues des études supérieures

Le diplôme de formation générale en sciences médicales sanctionne la première partie des études en vue du diplôme d'État de docteur en médecine ; il comprend six semestres de formation validés par l'obtention de 180 crédits européens, correspondant au niveau licence[2].

Cette formation a pour objectifs :

  • l'acquisition des connaissances scientifiques de base, indispensables à la maîtrise ultérieure des savoirs et des savoir-faire nécessaires à l'exercice des métiers médicaux. Cette base scientifique est large, elle englobe la biologie, certains aspects des sciences exactes et plusieurs disciplines des sciences humaines et sociales ;
  • l'approche fondamentale de l'homme sain et de l'homme malade, incluant tous les aspects de la séméiologie.

Quatre principes régissent l'acquisition de ces connaissances :

  • le rejet de l'exhaustivité : l'enjeu est d'acquérir des concepts qui permettront à l'étudiant, au cours de ses études ultérieures et de sa vie professionnelle, de disposer des outils pour faire évoluer ses savoirs et ses savoir-faire. La progression très rapide des connaissances impose des choix et conduit à rejeter toute idée d'exhaustivité. Elle rend aussi nécessaire une initiation à la recherche dans le champ de la santé ;
  • la participation active de l'étudiant : afin de favoriser l'efficience de la formation, il convient de privilégier, chaque fois que cela est possible, l'acquisition des connaissances à travers la participation active de l'étudiant sous forme de travaux dirigés, d'exposés, de résolution de cas, de stages pour lesquels un contrôle des connaissances adapté est mis en place ;
  • la pluridisciplinarité : les métiers de la santé, au service de l'Homme, s'appuient sur de nombreuses disciplines, et l'apprentissage de la pluridisciplinarité est nécessaire. Cet apprentissage se fait par la mise en place d'unités d'enseignement faisant appel à des spécialistes de disciplines différentes autour de l'étude d'un organe, d'une grande fonction, d'une problématique de santé publique ;
  • l'ouverture : les métiers de la santé sont nombreux et variés, de même que les pratiques professionnelles. Il convient de préparer, dès le niveau licence, les différentes orientations professionnelles. Dans ce but, la formation comprend, outre un tronc commun, des unités d'enseignement librement choisies ou libres. Elles peuvent permettre un approfondissement des connaissances acquises dans le cadre du tronc commun. Elles peuvent également correspondre à une initiation à la recherche à travers des parcours de masters. Elles peuvent enfin concerner des disciplines non strictement médicales. Elles permettent ainsi aux étudiants d'acquérir des spécificités et de s'engager éventuellement dans des doubles cursus qu'ils pourront développer au cours de leur formation de niveau master[2].

Il ny a pas de programme national mais une liste ditems constituant la « trame destinée à faciliter la réflexion des enseignants ainsi qu'une certaine harmonisation des programmes entre les universités »[2].

Les titulaires de certains diplômes, les élèves et anciens élèves des écoles normales supérieures et certains enseignants-chercheurs peuvent demander une entrée directe en DCEM[3].

Première année

La première année commune des études de santé (PACES) est commune aux études médicales, odontologiques, pharmaceutiques et de sage-femme[4] (parfois de kinésithérapie et d'ergothérapie). Elle se divise en deux semestres.

Pour être admis à sinscrire en première année des études de santé, les candidats doivent justifier :

  • soit du baccalauréat ;
  • soit du diplôme d'accès aux études universitaires ;
  • soit dun diplôme français ou étranger admis en dispense ou équivalence du baccalauréat en application de la réglementation nationale ;
  • soit dune qualification ou dune expérience jugées suffisantes[5].

Comme pour toute formation du système LMD, lannée est découpée en deux semestres et en « unités denseignement » (UE) qui se voient attribuer un certain nombre de crédits ECTS.

Au premier semestre, les enseignements sont communs à toutes les filières[6]. Des épreuves sont organisées à la fin de celui-ci; les étudiants mal classés peuvent être réorientés dans dautres filières de luniversité[7].

Au second semestre, les étudiants choisissent une ou des UE spécifique(s) à une filière, en plus de la formation commune. Les étudiants passent un concours à la fin de lannée débouchant sur quatre classements[8].

Le redoublement de cette première année n'est autorisé qu'une et une seule fois. À la suite de deux échecs à ce concours, il est alors définitivement impossible de se représenter sauf dérogation exceptionnelle.

Deuxième et troisième années

Ces années permettent de compléter la formation des étudiants pour qu'ils obtiennent le diplôme de formation générale en sciences médicales. Les étudiants doivent suivre un stage d'initiation aux soins effectué sous la conduite de cadres infirmiers d'une durée de quatre semaines, à temps complet et de manière continue, dans un même établissement hospitalier[2].

Deuxième cycle des études médicales

Université Paris-V : bâtiment des UFR biomédicale et UFR de mathématiques et informatique

En trois ans, létudiant reçoit une formation théorique et pratique sur les différentes pathologies segmentées en modules : modules transversaux (plus ou moins interdisciplinaires) ou modules dorgane. Ces modules sont le programme officiel de lexamen classant national (voir plus bas), et comprennent une liste ditems numérotés qui correspondent soit à des pathologies, soit à des situations cliniques ou thérapeutiques.

Lexternat

Les trois années constituent l’« externat ». Ce terme dusage courant (qui est une survivance de lancien concours de lexternat supprimé suite aux manifestations de 1968) nexiste officiellement pas. Les textes officiels[9] et les textes internes des CHU et des universités parlent d’« étudiants hospitaliers », car les étudiants sont rémunérés par le groupe hospitalier auquel luniversité est rattachée. Ils sont salariés sous contrat à durée déterminée, rattachés à une caisse de sécurité sociale non étudiante.

Létudiant, sous la responsabilité dun interne (non officiel) ou dun senior (chef de clinique ou praticien hospitalier), apprend à reconnaître les différents signes dune maladie. Il na pas à ce stade de responsabilité thérapeutique, ni le droit de prescrire. Létudiant est cependant responsable de ses actes (responsabilité civile, qui nécessite la souscription dune assurance idoine).

Lexternat consiste le plus souvent en quatre stages par an de trois mois chacun dans des services de spécialités, choisis par grilles en début de chaque année ou trimestre, soit par classement au mérite, soit par classement alphabétique. Les stages consistent en cinq matinées par semaines dans les services. Certains stages sont obligatoires de par les textes réglementaires (pédiatrie, gynécologie obstétrique chirurgie, medecine interne et urgences.), et peuvent alors intégrer lenseignement théorique (lexterne est alors présent à lhôpital toute la journée). Inversement, certains services nont pas dexternes, cela dépend des accords passés avec l'université.

Certaines universités ont remplacé le mi-temps (matinées) permanent par un temps plein par alternance : les externes sont alors présents toute la journée mais seulement 6 semaines sur 3 mois dans certains cas ou 2 mois sur 4 dans d'autres cas[10]. Le temps restant est consacré aux enseignements, aux examens, à la préparation des ECN.

Pendant lexternat, lenseignement magistral, de plus en plus remplacé par des travaux dirigés, se fait en alternance avec des stages hospitaliers : cet enseignement est un véritable compagnonnage, lexterne aborde par « cas cliniques » de véritables situations vécues dans les services.

Lexterne doit, au cours de ses trois années dexternat, effectuer 36 gardes de 12, 18 ou 24 heures (selon le service et le jour de la semaine), soit environ une garde par mois, rémunérée 26 euros bruts.

La rémunération des stages est quant à elle « symbolique » (rémunération brute : 122 euros par mois en quatrième année, 237 euros en cinquième année, 265 euros en sixième année[11]), mais létudiant externe a le statut de salarié et cotise au régime salarié de la sécurité sociale, et à la caisse de retraite. La caisse de retraite complémentaire des externes est lIRCANTEC, comme cest le cas pour les internes et les praticiens hospitaliers. Les externes, comme tout salarié, ont cinq semaines de congés payés.

Depuis 2004, le deuxième cycle des études médicales est sanctionné par un diplôme (reconnu dans lUnion européenne[12]). Le module 11 du deuxième cycle est lancien certificat de synthèse clinique et thérapeutique, autrefois indispensable pour remplacer un médecin généraliste (désormais sans utilité spécifique, la validation complète du deuxième cycle étant indispensable pour devenir interne et pour obtenir une licence de replacement).

Troisième cycle des études médicales

Peuvent accéder au troisième cycle des études médicales (TCEM:

  • les étudiants ayant validé le deuxième cycle des études médicales en France ;
  • les étudiants ressortissants des États membres de la Communauté européenne, de la Confédération suisse, de la Principauté dAndorre ou des états parties à laccord sur lEspace économique européen, autres que la France, titulaires dun diplôme de fin de deuxième cycle des études médicales ou dun titre équivalent délivré par lun de ces états[13].

Épreuves classantes nationales

Article détaillé : Épreuves classantes nationales.

Des épreuves sont organisés pour les candidats cités ci-dessus.

Suivant son classement, létudiant choisit son centre hospitalier universitaire (et donc sa ville) daffectation, ainsi que sa filière. Ce choix seffectue d'abord par internet (phase de pré-choix et simulations), le choix définitif ayant lieu au cours d'un « amphithéâtre de garnison » qui réunit tous les étudiants par tranches de classement. Cette procédure permet à létudiant de choisir son poste en ayant pleinement connaissance des places disponibles.

Les 11 filières existantes en 2008 sont, avec le nombre de places disponibles, sur 5704 postes au total :

En 2005, un millier de postes nont pas été pourvus, certains étudiants préférant redoubler plutôt que de choisir une spécialité par défaut.

Internat

Soutenance dune thèse d'exercice.
Thésards prêtant le serment médical [14] devant les membres du Jury, Paris, 2008.

Bien quil ait le statut détudiant et quil soit sous la responsabilité d'un « senior », linterne est déjà un professionnel autonome, puisquil peut prescrire. Il sagit plus dune expérience professionnelle initiale que de réelles études (dautant plus que la France est un des rares pays à considérer les internes comme des étudiants). L'enseignement lors de l'internat est essentiellement pratique.

Linternat dure au moins trois ans (pour la médecine générale). L'interne doit valider l'ensemble des stages de six mois requis pour son diplôme d'études spécialisées. Ces stages peuvent être hospitaliers, en structures de soins extra-hospitalières ou effectués auprès de médecins généralistes.

Il soutient un mémoire portant sur un sujet de sa spécialité qui peut être confondu avec sa thèse d'exercice lorsque celle-ci est soutenue lors de la dernière année d'internat. Cette dernière lui confère, après soutenance avec succès, le diplôme d'État de docteur en médecine[15].

L'interne peut effectuer des remplacements dans des cabinets libéraux, sous réserve quil ait validé un certain nombre de semestres, et qu'il ait obtenu une « licence de remplacement » auprès du conseil départemental de lOrdre des médecins).

Clinicat et assistanat

Pour certaines spécialités et notamment la chirurgie, il est nécessaire de réaliser des études complémentaires. Il sagit dun clinicat universitaire (de deux à quatre ans) ou dun assistanat de spécialité (dau moins 1 an). La durée de formation totale pour ces spécialités est donc de 12 à 15 ans.

Statistiques

En 2009, il y avait 201 078 étudiants en formation de santé, ce qui représentent 27,4 % des étudiants en formation scientifique. À titre de comparaison, en 2009/2010, il y avait 2 316 103 étudiants dans lensemble des formations dont 1 444 583 dans les universités[16].

Évolution des effectifs d'étudiants dans les formations de santé(France métropolitaine + DOM)
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 Évolution 2002/2009
Médecine, odontologie 120 930 130 356 138 532 146 589 154 076 158 995 161 933 170 228 40,8 %
Pharmacie 25 349 26 281 27 788 29 624 31 296 31 871 31 221 30 850 21,7 %

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Ces sites comportent des documents sur les études de médecine en France, avec des forums fréquentés par les étudiants.

Bibliographie


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Études de médecine en France de Wikipédia en français (auteurs)

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