- Baie blanche
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Bahía Blanca
Bahía Blanca est une ville de la province de Buenos Aires, en Argentine. Elle est située près de l'océan Atlantique, à environ 650 km au sud-ouest de Buenos Aires, la capitale fédérale.
Sommaire
Introduction
La ville, où il y avait 274 509 habitants en 2001, a un important port de mer, dont la profondeur de 40 pieds est constante sur presque toute la longueur de la baie - qui est en réalité un estuaire - où coule le courant du Naposta, tel un fleuve. Son nom signifie la "baie blanche", et est dû à la couleur du sel couvrant les sols qui entourent la côte. La ville est le chef-lieu du partido homonyme, le partido de Bahía Blanca.
Histoire
Bahía Blanca fut fondée comme place forte le 11 avril 1828 par le colonel Ramón Bernabé Estomba sous les ordres du Brigadier Général et puis Gouverneur de Buenos Aires (province), Juan Manuel de Rosas. La ville fut nommée Fortaleza Protectora Argentina (La place forte protectrice argentine) dont la principale consigne était protéger des habitants et leur bétail des vols des indigènes et également protéger la côte parce que la marine du Brésil avait débarqué dans la région l'année précédente. La place forte fut plusieurs fois attaquée par les malones (tribus d'indigènes nomades montés à cheval), surtout en 1859 par 3 000 guerriers du chef mapuche Calfucurá.
La ville a commencé gagner son importance commerciale après la construction d'un chemin de fer par les Anglais en 1885, qui la reliait à Buenos Aires, tout en favorisant le commerce du grain provenant des Pampas. La croissance rapide de l'économie locale, les lois très libérales de l'Argentine envers l'immigration européenne et l'abondance des ressources naturelles du pays ont beaucoup attiré d'immigrants, surtout d'Espagne et d'Italie et un certain nombre des français qui se sont installés à Pigüé, à environ 125 kilomètres vers le nord. En 1984 ils ont reçu la visite du Président François Mitterrand accompagné du Président argentin, Raúl Alfonsín.
Une autre colonie étrangère importante est celle d'immigrants néerlandais, à Tres Arroyos, à environ 250 kilomètres vers le nord-est. Ils ont récemment reçu la visite de la reine Béatrix des Pays-Bas, du prince-héritier, Willem-Alexander, et de son épouse, la princesse Máxima, née Máxima Zorreguieta à Buenos Aires, où elle a habité et étudié. Un nombre important des immigrés allemands et aussi juifs d'Europe de l'Est se sont installés aussi en ville et en la région qui l'entoure, au début du siècle et aussi pendant et après la Seconde Guerre mondiale.Puerto Belgrano, situé 29 kilomètres au sud-est, est la plus grande base navale de l'Argentine dont la construction a été commandé par un décret secret signé par le Président José Evaristo Uriburu. C'était l'ingénieur Luigi Luiggi, né à Gênes, Italie, qui a conçu les plans et a dirigé la construction à la fin du XIXe siècle (dès le 12 décembre 1898 jusqu'au 8 mars 1902). L'ouvrage a été responsabilité d'une entreprise des Pays-Bas appelée Dirks, Dates & Van Hattem[1].
Climat
La ville se trouve sur la limite entre la Pampa humide, où le climat est influencé par l'Océan Atlantique, et la Patagonie plus sèche. L'été est très chaud et l'hiver tempéré. L'humidité est celle d'au milieu entre Pampa et Patagonie. Les précipitations se trouvent dans la tranche de 500 à 600 mm annuelle et sont plus fréquentes l’été. Les températures sont moyennes comprises entre 10°C et 25°C. Il ne neige pas en l'hiver.
Aujourd'hui
Bahía Blanca est un centre commercial d’importance, où on fait le commerce d'exportation des grains et des laines du secteur méridional de la province de Buenos Aires, le pétrole de la province de Neuquén, et le fruit de la vallée de Río Negro. Son groupe de ports de mer est l'un des plus importants dans le pays, principalement parce qu'ils sont les uniques qui comptent naturellement de 10 mètres (33 pieds) de profondeur, bien qu'elle soit maintenue à 12,9 mètres (40 pieds) par l'entretien régulier.
Sur le long du rivage du nord-est de la baie, ces ports sont Puerto Ingeniero White pour les grains, et Puerto Galván, plus petit, qui se spécialise en huile de tournesol et de soja, et produits chimiques tels que l'urée dont un des producteurs industriels le plus grands du monde, Profertil, est situé là. Entre ces deux ports principaux, plusieurs usines industrielles et chimiques actionnent leurs propres piliers.
Deux centres commerciaux sont situés à la périphérie de la ville et beaucoup de magasins au centre-ville même sont tout à fait en activité en offrant une variété de marchandises et produits de première ligne. Il y a également une variété des supermarchés, certains desquels ont été fondés d'après des initiatives locales et régionalement développés et aussi des branches des compagnies internationales. La plupart des magasins et shoppings sont ouverts pendent toute la semaine, si bien qu'il soit maintenant à l'étude parce que les syndicats locaux souhaitent que les entreprises et les magasins soient fermés le dimanche[2]. Le Maire de ville semble également favoriser cette initiative.
Bahía Blanca posséde un aéroport (Comandante Espora, code AITA : BHI).
Éducation et culture
La ville s’est développée aussi dans des aspects culturels et éducatif bien sûrement par l'influence européenne de ses habitants. Il y en avait cinq théâtres au début du vingtième siècle et assez des cinémas. Maintenant il y a un orchestre symphonique permanent, un groupe de Ballet Classique (Ballet del Sur), un Institut d'Enseignement Supérieur qui va devenir une université dans peu de temps (Instituto Juan XXIII, la future université Don Bosco), un Institut Tertiaire des Sciences Humaines (Instituto Avanza) et deux universités nationales : Universidad Tecnologica Nacional (Université Technologique Nationale), consacré principalement aux sciences exactes pour les étudiants qui travaillent, avec des activités formelles en soirée, et une Université Nationale importante nommée l'Université Nationale du Sud (Universidad Nacional del Sur), fondé en janvier 1956, avec les instituts internationalement reconnus associés de la recherche en sciences biologiques et biochimiques et sciences technologiques dont un des directeurs, Dr Francisco Barrantes, réputé et bien connu dans le monde scientifique d'après ses recherches sur des protéines, a été choisi comme membre du Conseil Exécutif de l'Académie des Sciences d'Amérique Latine dès 2006 jusqu'en 2012. Ils sont l'INIBIB et l'Instituto de Oceanografía, parmi d'autres. Les deux universités nationales sont gratuites pour tous les étudiants. On accorde l'éducation libre par l'État bien qu'il y ait des écoles privées.
Le Prix Nobel César Milstein est né et a été élevé à Bahía Blanca jusqu'au moment de commencer ses études universitaires. Alors il est allé à Buenos Aires où il a accompli son éducation et degré à l'Université de Buenos Aires, commençant sa recherche en biochimie chez Instituto Malbran, après quoi il est allé au Royaume-Uni, devenant professeur à l'Université de Cambridge, où il a été attribué le prix Nobel pour la découverte et le développement des anticorps monoclonaux pour lesquels il n'a enregistré aucun brevet, qui a pu autrement l'avoir rendu très riche. Il a pensé que sa découverte était propriété intellectuelle de l'humanité et en conséquence d'intérêt seulement scientifique et pas du tout économique pour lui-même.
Le système d'éducation a été transformé par la province de Buenos Aires Buenos Aires (province) il-y-a dix ans, à-peu-près[réf. nécessaire]. Ce qui était un système avec l'éducation primaire (obligatoire) et secondaire (non-obligatoire) avant de poursuivre des études d'université ("le modèle français") est devenue éducation générale basique (obligatoire) et éducation polymodale (le modèle "espagnol catalan") bien que maintenant le système soit en train d'être revue et probablement encore modifié.
Il y a plusieurs musées dans la ville qui incluent le Musée du Port, le Musée d'Histoire Naturelle, le Musée des Beaux-Arts et le Musée d'Arts Contemporains, ce dernier-ci dirigé par Betiana Gerardi. Il vaut la peine visiter le musée de l'Armée, organisé par le Comando de V Cuerpo de Ejército, où on peut admirer une recréation miniaturisée de la Place Forte originale, faite par César Puliafito, et des objets d'intérêt historique.
Celui-là a aussi une bibliothèque avec des documents d'importante valeur historique similaire au celle des Salésiens de Don Bosco. Il convenable de se souvenir que la civilisation de la Patagonie a été achevée principalement par les militaires et par les prêtres Salésiens, d'où que tous les deux aient des magnifiques collections de documents.
La ville compte avec deux zoos: le municipal, le plus ancien, avec une variété d'espèces soignées par des vétérinaires permanents et personnel qui s'en occupent et d'autre privé, dans la périphérie de la ville. Autres centres d'intérêt incluent la banlieue Inglés ('quartier anglais ') où ont habité les employés et les techniciens britanniques qui ont construit les chemins de fer et les ports. Le quartier de Harding Green est une banlieue où les directeurs de chemin de fer et de port ont habité.
Religion
La ville posséde une cathédrale néoclassique, le voir de l'archidiocèse de Bahía Blanca (Archidioecese Sinus Albi), qui comprend une région assez vaste. L'archevêque est, depuis avril 2003, SER Monseigneur Guillermo José Garlatti (Archiepiscopus Sinus Albinensis) dont le Pallium a été imposé par le Pape Jean-Paul II lors d'une messe formelle de l'imposition à la place Saint-Pierre le 28 juin 2003, le jour de saint Pierre et saint Paul.
La plupart des habitants de la ville sont catholiques quoiqu’il y ait des églises protestantes et une synagogue. Il n'y a aucune mosquée à Bahía Blanca bien qu'il y ait des musulmans. Il y a de la tolérance religieuse sans discrimination par croyance, une caractéristique généralement trouvée partout en Argentine.
Architecture
L'architecture de Bahia Blanca fait se souvenir celle de l’Europe. Les bâtiments publics tels que Banco de la Nación, la Chambre de Commerce de Bahía Blanca (la bourse des valeurs), la Poste principale, la Bibliothèque Bernardino Rivadavia, l'ancien bâtiment du journal local La Nueva Provincia , l'hôtel de ville, le Rectorat et des Départements (Facultés ou Écoles) universitaires de l'Universidad del Sur, de sa "Maison de la Culture" et de Teatro municipal (le théâtre principale de la ville), parmi des autres, sont magnifiques, la plupart très bien préservés. Certains montrent clairement de l'influence néoclassique française (L'École de beaux-arts, Paris). Nombreux gratte-ciels se trouvent partout, principalement près du centre ville. Les appartements qu'on y peut trouver, dont les prix sont extrêmement variés, sont acceptés par des gens comme alternative pour habiter près de presque tout en ville, sans devoir beaucoup voyager parcourant des longues distances.
Loisirs
À la côte, près de la ville, il y a des endroits de récréation tels que "Balneario Maldonado" et "Colón" bien que les caractéristiques de l'estuaire, protégé par loi comme réserve naturelle, ne sont pas idéales comme plages, de manière que, pour en trouver, les habitants de Bahía Blanca doivent se déplacer vers la limite sud-est de l'estuaire même, à peut-près 100 kilomètres du centre ville par autoroute, où Pehuén-Có et Monte Hermoso se situent. Toutes les deux sont des plages populaires avec de l'eau chaude et du sable presque blanc avec une organisation touristique très bonne.
Ceux qui préfèrent la montagne peuvent la trouver à environ 100 km vers le nord, où se trouve un massif de collines dont les points culminants sont Sierra de la Ventana (1 100 mètres) et Cerro Tres Picos (1 230 mètres), aussi une région où le tourisme est développé.
Sports
Depuis les années 50, Bahía a été considéré la ville capitale du basket-ball de l'Argentine. Emanuel Ginóbili (NBA, San Antonio Spurs, Texas) et Juan Ignacio Sánchez, tous les deux jouant actuellement, sont bien connus aux niveaux national et internationale et ont été membres de l'Estudiantes de Bahía Blanca. Alberto Cabrera, décédé, et Atilio Fruet, retiré, sont, parmi des autres, aussi des figures connues aux niveaux local et national.
Les équipes plus importants du football de la ville sont Olimpo, qui jouait dans la première division de l'Argentine jusqu’à la relégation en 2006, et Villa Mitre. L'entraîneur national Alfio Basile d'équipe du football de l'Argentine est également un bahiense. On peut aussi jouer du golf et du tennis dont assez des gens sont fiers.
On y pratique également le rugby, une équipe s'est même rendu en France en 2007 (lycée pau-montardon 64) pour y disputer le tournoi international de rugby catégorie junior dans lequel ils ont terminés 4èmes. Durant la coupe du monde de rugby 2007 qui se déroulait également en France , l'Argentine à terminée 3ième , un exploit sachant qu'ils n'étaient jamais arrivés à ce niveau de la compétition (victoire petite finale)BRAVO !!
Santé, Publications et Bibliothèques
Le taux d'analphabétisme de la ville, comme le taux de mortalité néonatal, se trouvent parmi le plus bas dans le pays.
Il a deux hôpitaux d'importance dans la ville. L'un est provincial-régional. C'est l'"Hospital Interzonal Dr Jose Penna". L'autre, municipal, est "Hospital Municipal Dr Leonidas Lucero". Tous les deux sont des centres de complexité tertiaire où des malades de toute la région sont envoyés. Le système public de santé est gratuit pour n'importe quel résidant juridique de la nation, et la responsabilité de la Province de Buenos Aires et de la Mairie. Il y a une chaîne des cabinets de consultation publique et gratuite distribuée dans toute la ville et la région qui travaillent dirigés et coordonnés entre le Ministère même à travers d'un délégué à Bahia Blanca (Zona Sanitaria I), et l'administration de ville sous la surveillance du Secrétaire de la santé nommé directement par le Maire de Ville. Il y a également les établissements privés de santé à Bahia Blanca, où on peut compter sur un médecin parmi 266 habitants.
Il y a un journal local régional, La Nueva Provincia dont l'ancien siège est déjà cité, journaux scientifiques classés publiés régulièrement tels que Revista de la Asociación Médica De Bahía Blanca et les travaux de recherche économique du CREEBA (Centro Regional de Estudios Económicos Bahía Blanca-Argentina), qui sont aussi des publications locales dont la qualité et réputation sont bien connues et consultés par ceux qui s'occupent des affaires économiques et financières[3]. Pour faciliter l'édition des travaux scientifiques et matériaux d'étude aux chercheurs, professeurs et étudiants, l'Universidad del Sur a organisé un centre des publications local, EDIUNS, dont les éditions, tout en offrant des livres bon-marchés, sont mises à disposition des étudiants et du public.
Il y a aussi des bibliothèques publiques dont la plus connue et ancienne, appelée Bibliothèque Rivadavia, a une collection d'à peu près 160 000 livres qui sont offerts aux lecteurs de la même manière que des autres collections des journaux -uniques dans la région-, qu'on y peut trouver.
Jumelage
Bahía Blanca est jumelée avec :
(classement alphabétique d'après la ville)
- Ashdod, Israël
- Cienfuegos, Cuba
- Chio, Grèce
- Christchurch, Nouvelle-Zélande
- Dalian, République populaire de Chine
- Fermo, Italie
- Jacksonville, États-Unis
- Piura, Pérou
- Reus, Espagne
- Talcahuano, Chili
Consulats étrangers
La ville est la siège de plusieurs consulats étrangers tels que l'Espagnol, l'Italien et le Chilien. Il y a également les Consuls Honorifiques de la France et des Pays-Bas. Il y a des écoles locales de langue étrangère comme l'Asociacion Bahiense de Cultura Inglesa (anglais), l’Alliance Française (français), la Société Dante Alighieri (italien) et Goethe-Institut (allemand), tous privés bien qu'avec un groupe nombreux d'étudiants.
Liens externes
- (es) La Nueva Provincia
- (es) Université du Sud
- (es) Academia Nacional de Historia: Nueva Historia de la Nación Argentina, Planeta, Buenos Aires, 2001
- (es) Comando del V Cuerpo de Ejército: El Fortinero
- (es) Rosati H, Palma D, Matte M, Rodríguez A: La Expansión Europea, Siglos XIV y XV [4]
- (en) Construction de Puerto Belgrano
- (en) Le Port de Bahía Blanca
- (es) Desciption de la Patagonie par Thomas Faulkner, 1835, traduite au Spagnol
- (es) Ferrocarril Transandino del Sur
- (es) Profertil, producteur d'urée
- (en) Aerolíneas Argentinas
- (es) Aéroports d'Argentine
- (es) Facultad Regional Bahía Blanca, UTN
- (es) Consulat d'Espagne à Bahía Blanca
- (es) (it) Consulat Général d'Italie à Bahía Blanca
- (es) (fr) Consulat Honoraire de la France à Bahía Blanca
- (es) Consulat du Chile à Bahía Blanca
- (es) (en) La Mairie de Bahía Blanca
- (es) Loi d'Education de la Province de Buenos Aires
- (es) Journal Scientifique de l'Asociation des Médecins de Bahía Blanca
- (es) Club de Golf Palihue
- (en) Dr Francisco Barrantes, UNESCO Chef de Biofisique, Neurobiologie Molleculaire et Neurobiologie, Institute de Recherche Biochemique, Universidad Nacional del Sur CONICET Argentine
- (es) Bibliothèque Publique Bernardino Rivadavia
- (es) Comando del V Cuerpo de Ejército
- (es) Instituto Nacional de Estadísticas y Censos
- (en) "Bahía Blanca." Encyclopædia Britannica. 2006. Encyclopædia Britannica Premium Service.[5].
- (es) Reserve naturel Bahía Blanca
- (es) Centro Regional de Estudios Económicos de Bahía Blanca-Argentina
- Alliance française de Bahía Blanca
- Brève histoire des partidos
- Province de B.A.
- Carte détaillée de la province de Buenos Aires
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