- Tiburge d'Orange
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Pour les autres membres de la famille, voir : Première maison des comtes d’Orange-Nice.
Thiburge ou Tiburge d'Orange, comtesse d'Orange est née avant le départ de son père à la croisade en 1096 et elle teste en 1150[2].
Rambaud II d'Orange meurt en Terre-Sainte et laisse pour unique héritière, Thiburge, sa fille, déjà comtesse d'Orange, en 1115, qui le devient définitivement en 1126. Thiburge épouse vers 1103 Géraud Adhémar de Montélimar[3], puis Guilhem d'Aumelas. Ce seigneur d’Aumelas est le second fils de Guilhem V de Montpellier. Il combat aux Baléares, puis fait un voyage à la Terre-Sainte avec Guillaume VI de Montpellier, son frère, et est de retour en 1129. C’est probablement cette année là, ou en 1130, qu'il épouse Thiburge[4]. Guilhem d'Aumelas devient le premier Guillaume d'Orange. Il se fait enterrer à l’abbaye de Gellone, comme Guillaume de Gellone, comte d’Orange, tige de la famille de sa femme, selon certains historiens. Cette princesse contribue beaucoup à l'agrandissement et à l'embellissement de la ville d'Orange. Elle en fait rebâtir les murs. Thiburge fait aussi construire trois grands faubourgs, un au quartier de Saint-Florent, un autre à la Tour de l'arc de triomphe, et le troisième aux environs de l'église de Saint-Pierre. Mais ces trois faubourgs seront presque entièrement détruits dans la guerre que le comte Guillaume III Roger de Beaufort, où plutôt Raimond de Turenne, son fils, portera, l'an 1390, dans la Provence. Thiburge finit ses jours en 1150. Guillaume, son époux, la suit au tombeau, l'an 1156, laissant d'elle deux fils, Guillaume et Raimbaut d'Orange et deux filles, Thiburge II d'Orange et Tiburgette. La première épouse, Gaufred de Mornas, puis Bertrand des Baux, et la seconde est mariée avec Adémar de Murviel[5].
Sommaire
Biographie
Sa famille
Thiburge est une descendante des comtes de la première maison des comtes d’Orange-Nice[6]. Même Dante (1265 -14 septembre 1321) écrit dans La Divine Comédie La divine comédie, Par Dante Alighieri, Henri Dauphin, Publié par T. Jeunet, 1886, p.375. :
L'ancienne maison d'Orange remontait à Guillaume au court-nez, qui vivait au temps de Charlemagne. Bertrand de Baux épouse Tiburge, leur dernière descendante.
Cette Thiburge est l’une des deux filles de Thiburge.
Descendance de Pons de Mevouillon (le blason des princes d'Orange est un repère, les blasons n'existent pas encore au IXe siècle) :
Pons de Mevouillon x Blismodis │ ├── Humbert évêque de Vaison, jusqu’en 1005 │ ├── Garnier, évêque d’Avignon (976-991) │ ├── Ison │ └── Pons II de Mevouillon (ca 920-986) x Richilde, originaire de l’Uzège │ ├── Féraud de Nice évêque de Gap │ ├── Pierre de Mirabel évêque de Vaison │ ├── Pons III de Mevouillon │ └──┄┈ Descendance Mevouillon... │ ├── Arnoul de Theys │ └──┄┈ Descendance Theys... │ ├── Gérard │ ├── Rambaud │ ├── Raoul │ └── Laugier de Nice (ca 1050-1032) x Odile de Provence (976-1032), fille de Guillaume Ier de Provence │ ├── Rostan de Gréolières │ └──┄┈ Descendance Gréolières... │ ├── Pierre de Nice, évêque de Sisteron (1043-1059) │ ├── Jauccara de Nice │ x Amic de Vence-Avignon │ ├── Gerberge de Nice │ x Bérenger d’Avignon. │ └── Rambaud de Nice (1006-1073) x 1032 Accelena d’Apt │ ├── Laugier d’Apt │ x Amancia de Lacoste-Castellane │ ├── Odila de Nice │ x Boniface de Reillanne │ ├── Gisla de Nice │ x Rostang d'Agoult │ │ │ └── Laugier d'Agout, évêque d'Apt, croisé │ ├── Pierre II de Nice évêque de Sisteron, puis évêque de Vaison │ ├── Rostan de Fréjus │ x Accelena de Marignane │ ├── Rambaud de Nice, seigneur de Gréolières (+ jeune) │ x Bélieldis de Marseille │ ├── Amic │ ├── Guillaume │ x avant 1045 Azalaïs de Reillanne, veuve de Guilhem d'Agoult │ └── Bertrand-Rambaud d’Orange x 1068 Adélaïde de Cavenez, veuve de Guillaume V Bertrand de Provence │ ├── Léger ou Laugerus, évêque d’Avignon(1124 ou 1126-1142) │ ├── Jausserand Laugier, seigneur de Gréolières │ x 1064 Gerberge, fille de Foulques Bertrand de Provence │ ├── Pierre │ └── Rambaud II d'Orange │ └── Thiburge d'Orange x 1104 Giraud Adhémar de Monteil │ x 1129 Guilhem d'Aumelas │ ├── Raimbaut d'Orange │ └── Thiburge II d'Orange x 1171 Bertrand des Baux │ └── Guillaume des Baux (en) x Ermengarde de Mévouillon │ └── Guillaume II des Baux (en)
Son père, Rambaud II d'Orange, ou III, selon d'autres historiens, né du premier mariage de son père Bertrand-Rambaud d’Orange[7], est le premier comte d'Orange de la première maison des comtes d’Orange-Nice clairement identifiée et le dernier. Il est aussi est appelé Rambaud de Nice parce qu'il exerce la vicomté de Nice[8]. Le plus ancien cartulaire de la cathédrale de Nice renferme un acte de l'année 1108, où nous retrouvons parmi les quatre personnages cités Rambaud II d'Orange. Évidemment, ce croisé est dit comte d’Orange et connu généralement avec ce nom de terre et ce titre que lui donne Guillaume de Tyr. Si Guillaume de Tyr donne à Rambaud II d'Orange le titre de comte, c'est, non pas à cause de son père, Bertrand-Rambaud d’Orange, qui n'est que seigneur d'Orange, ni à cause de lui-même qui probablement ne l'est jamais, mais à cause de sa belle-mère qui, elle, est bien comtesse et l’a en partie élevé[9]. Rambaud d'Orange se croise en 1096[10], avec son parent avec Guillaume, évêque d'Orange, légat pontifical de la première croisade[11]. Le nom de Rambaud II d'Orange est lié à ceux du prédécesseur comme légat de Guillaume d'Orange, Adhémar de Monteil, évêque du Puy et légat pontifical de la première croisade et aussi à Robert II de Flandre, dit Robert le Hiérosolymitain. Il commande un corps de croisés au siège d'Antioche et lors du siège de Jérusalem (1099) il entre l'un des premiers par la brèche dans la ville avec Godefroy de Bouillon. Il est cité, par les chroniqueurs du temps, comme l'un de ceux qui acquièrent le plus de gloire dans cette expédition[12]. Rambaud II est l’un des héros de La Jérusalem délivrée du Tasse. Il a son nom et les futures armes de sa famille, qui figurent dans la cinquième des salles des croisades du château de Versailles, celle des chefs des différentes croisades. Une statue de lui, haute de plus de deux mètres, est installé dans l’escalier 97 du château de Versailles[13]. Une autre statue de Rambaud, comte d'Orange, en marbre est érigée sur la place principale d'Orange en 1846.Nous ne connaissons pas l'identité de sa mère, qui se prénomme peut-être Aircéléne.
La première princesse d'Orange
Au retour de Terre-Sainte, Rambaud II d'Orange s'établit à Nice, où nous l'avons vu plus haut exercer encore en 1108 l'autorité vicomtale, et délaisser le comté d'Orange à sa fille unique Thiburge et a son gendre Géraud Adhémar de Montélimar. Celui-ci, en effet, prend une part active aux affaires, notamment dans la question de l'union du diocèse à celui de Saint-Paul-Trois-Châteaux. L'acte d'élection au siège d'Orange de l'évêque Bérenger par les prélats réunis autour du légat du pape au Pont-de-Sorgues, est autorisé par lui assensiente Giraldo Ademaro Aurasice Principe. Cette pièce est le plus ancien monument du titre princier d'Orange.
En 1113, Adélaïde-Alix, la deuxième femme de son grand-père maternel, prend ses dernières dispositions en faveur de la petite-fille de son mari Thiburge d'Orange, mariée avec Giraud Adémar de Montélimar, qui devient ainsi prince d'Orange ; mais elle ne peut évidemment lui transmettre le comté d'Orange qu'elle n'a pas[14].
En 1115, les petits-fils de Rambaud de Nice et de Rostaing, son frère, ainsi que Pierre II de Nice évêque de Vaison, et d’autres seigneurs de la descendance d’Odile de Provence, comtesse de Nice, font de nombreuses donations au monastère de Saint-Pons et renouvèlent entre autres celle de Sainte-Marie de Cimiez[15].
Thiburge fait en 1126 une restitution à l'église d'Orange[16].
L'entourage de Rambaud II va accueillir les templiers, même si cet intérêt ne va pas durer aux générations suivantes[17].
Par son testament nous savons qu'elle aussi possessionnée à Nice[18].
Cette princesse contribue beaucoup à l'agrandissement et à l'embellissement de la ville d'Orange. Elle en fait rebâtir les murs. Thiburge fait aussi construire trois grands faubourgs, un au quartier de Saint-Florent, un autre à la Tour de l'arc de triomphe, et le troisième aux environs de l'église de Saint-Pierre. Mais ces trois faubourgs seront presque entièrement détruits dans la guerre que le comte Guillaume III Roger de Beaufort, où plutôt Raimond de Turenne, son fils, portera, l'an 1390, dans la Provence.
Thiburge teste en 1150.
Mariage et descendance
Thiburge d'Orange pendant l'absence de son père, est nommée comtesse d'Orange dès 1115. Thiburge crée la principauté d'Orange, vassale du Saint Empire romain germanique, comprenant Orange, Jonquières et Courthézon.
Quand elle meurt en 1150, ses fils sont encore très jeunes et elle les confie à son beau-fils Bertrand des Baux[19].
Elle se marie vers 1103 ou 1105 à Giraud Adhémar de Monteil, ou de Montélimar[20], ce qui signifie Monteil-Adhémar[21]. Selon le Nobiliaire universel de France, Giraud Adhémar de Monteil est le frère du fameux Adhémar de Monteil, évêque du Puy, légat du Saint-Siège, en Orient[22]. Giraud Adhémar possède le comté, depuis principauté d'Orange ; toutes les terres, entre le Rhône et la Mer, appelées Terres de l'Empire ; enfin, plus de trente villages ou villes, entre, lesquelles celle de Monteil, en Dauphiné, depuis appelée Monteil[23]. Son nom est d'ailleurs Giraud ou Géraud Adhémar d'Orange, mais s'il est réellement prince d'Orange très peu de temps et un membre de la Maison d'Adhémar, son lien de parenté avec Adhémar de Monteil n'est pas vraiment connu, selon d'autres historiens et généalogistes.
Ils ont peut-être quatre enfants :
- Pierre
- Gérard
- Étienne, chevalier du Temple
- Guillaume, prince d'Orange[24]
Puis, veuve, elle se remarie à Guillaume d'Aumelas. Guilhem d'Aumelas, minor de Guilhem V de Montpellier hérite de la seigneurie d'Aumelas tout près d'Aniane[25]. Guilhem d'Aumelas participe avec son père à la prise de Majorque sur les Maures en 1114 aux côtés du comte Raimond-Bérenger III de Barcelone a va en Terre Sainte. Il épouse en 1129/1130 Thiburge d'Orange[26]. Il est le premier Guillaume d'Orange et fait son testament au mois de mars de l'an 1156[27].
- Raimbaut d'Orange, troubadour, hérite le territoire de Aumelas et Orange.
- Tiburgette mariée à Adhémar de Murviel
- Thiburge II d'Orange, Na Tibors de Sarenom, troubadour comme son frère, petite-fille du comte Rambaud II d'Orange, épouse Bertrand Ier des Baux.
Notes et références
- La grande encyclopédie : inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. Tome 14 / par une société de savants et de gens de lettres ; sous la dir. de MM. Berthelot,... Hartwig, Derenbourg,... F.-Camille Dreyfus,... A. Giry,..., Éditeur : H. Lamirault (Paris), Société anonyme de "La Grande encyclopédie" (Paris), 1885-1902, Contributeur : Dreyfus, Camille (1851-1905). Éditeur scientifique, p.1191.
- La mutation féodale: Xe-XIIe siècle, Par Jean-Pierre Poly, Éric Bournazel, Édition: 3, Publié par Presses universitaires de France, 2004, p.370.
- Xe-début XIVe siècle, p.647. Les Niçois dans l'histoire, Par Henri Costamagna, Michel Derlange, Publié par Privat, 1988, p.151 et : Florian Mazel: La noblesse et l'Église en Provence, fin
- Prémices de l'Europe, Par Robert Lafont, Publié par Sulliver, 2007, p.117.
- Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Agricole Joseph François Xavier Pierre Esprit Simon Paul Antoine Fortia d'Urban, Charles Clémencet, Maur François Dantine, Ursin Durand, François Clément, Publié par Moreau, imprimeur, 1818, v.15, p.434. Vaissète, cité par L'art de vérifier les dates..., Par David Bailie Warden, Nicolas Viton de Saint-Allais,
- Louis Moréri tome VIII, p.85 et Encyclopédie méthodique- ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de... , Encyclopédie méthodique, Plomteux, 1832, p.469 ou bien encore [010 Les origines de la famille Mévouillon]. A ce sujet voir entre autres : Histoire des villes de France, avec une introduction générale pour chaque province: (1-3. tom.), Par Aristide Guilbert, Aristide Matthieu Guilbert, Publié par Furne, 1845, v. 4 p.102 et La science des personnes de cour, d'épée et de robe, Par De Chevigni, Henri-Philippe de Limiers, Pierre Massuet, Publié par Z. Chatelain, 1752, Vol. 9, p.59 et Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par Francois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Édition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1776, v.11, p.90 et
- Affaires d'argent et affaires de famille en haute Provence au XIVe siècle: le dossier du procès de Sybille de Cabris contre Matteo Villani et la compagnie des Buonaccorsi, Par Noël Coulet, Publié par École Française de Rome, 1992, p.4.
- La Cathédrale Sainte-Réparate, Par Georges Castellana, Publié par Chanoine Berg, place Rossetti, 1970, p.6.
- La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et de géographie politique (1908), Manteyer, Georges de, Paris, Picard, et sur Raimbaud d'Orange, fils de la comtesse Alix, les actes suivants, Vers 1075 : « Raiambaldus Bertranni filius » (Saint-Pons, n°xii). — 1108 : « potestates Nicie civitatis... Raimbaldus Aurasicensis... » (Nice, n° 48).
- Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme, Par Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Valence, 1961, v.75-77, p.267.
- Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Par Jules Courtet, Publié par Bonnet, 1857, p.24.
- Galeries historiques du palais de Versailles. Tome 6 / [par C. Gavard], Auteur : Gavard, Charles (1794-1871), Éditeur : Impr. royale (Paris), Date d'édition : 1839-1848, p.202.
- Notice du Musée Impérial de Versailles, Par Eudoxe Soulié, Edition: 2, Publié par Charles de Mourgues frères, 1860, Notes sur l'article: t. 2, p.74 et 75.
- La Provence du premier au douzième siècle, études d'histoire et de géographie politique (1908), Manteyer, Georges de, Paris, Picard, Voir, sur Raimbaud d'Orange, fils de la comtesse Alix, les actes suivants. [Vers 1075] : « Raiambaldus Bertranni filius » (Saint-Pons, n°xii). — 1108: « potestates Nicie civitatis... Raimbaldus Aurasicensis... » (Nice, n° 48).
- Ch. de St. Pons, ch. n° 12, p. 19.
- Histoire générale de Languedoc: avec des notes et les pièces justificatives, composée ..., Par Claude de Vic, Joseph Vaissete, Alexandre Louis Charles André Du Mège, Alexandre Du Mège, Publié par J.B. Paya, 1841, v.3, p.377.
- L'Ordre du Temple dans la basse vallée du Rhône: ordres militaires, croisades et sociétés méridionales, Par Damien Carraz, Alain Demurger, Collaborateur Alain Demurger, Publié par Presses universitaires de Lyon, 2006, p.71, 78 et 119.
- Cartulaire de la Commanderie de Richerenches de l'Ordre du Temple (1136-1214). T. 2 / publié et annoté par le marquis de Ripert-Monclar,..., Ordre du Temple. Commanderie (Richerenches, Vaucluse), F. Seguin (Avignon) et H. Champion (Paris), 1907, p.28.
- cf son testament - J de Font-Reaulx, Le testament de Thiburge d'Orange et la cristallisation de la principauté, in Mélanges Raoul Busquet, Marseille 1957, p 41) - ES III 762: Raimbald 1096 comte d'Orange, 1108 potestas Niciae (vicomte de Nice), 1096 Führer des 1. Kreuzzuges, um 1075/1108, + (1121) , Ancestry: AHP, Provence-Orange: P: Bertrand Raimbaud, Poly: M: Azalais (cf. file Tiburge).
- LDP-M-7-5.
- Territoires, seigneuries, communes les limites des territoires en Provence actes: les limites des territoires en Provence, Par France Journées d'histoire de l'espace provençal 3èmes Mouans-Sartoux, Centre d'Activités Culturelles Occitanes, Centre d'Activités Culturelles Occitanes, Publié par Centre régional de documentation Occitane., 1987, p.20.
- Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, de Saint-Pons, 1816, v.7, p.484. Monuments de la Monarchie française, par le P. Montfaucon, Histoire des Croisades, et plusieurs autres auteurs, cités par Nobiliaire universel de France: ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Par Saint-Allais (Nicolas Viton), Ange Jacques Marie Poisson de La Chabeaussière,
- Adhémar, et par corruption Montélimar, était une souveraineté, au rapport de Nostradamus, Histoire de Provence, page 162, art. 7, pag.777, et de plusieurs autres auteurs.
- Florian Mazel in La noblesse et l'Eglise en Provence fin X° - début XIV° siècle, p. 651 - Adhémar, Edition du CTHS, 2002
- Cahiers de civilisation médiévale, Par Université de Poitiers Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, Publié par Université de Poitiers, Centre d'ét́udes supérieures de civilisation médiévale, 1999, p.151. et d'importants domaines dans les diocèses de Montpellier et de Maguelonne Anthologie des troubadours 10-18 (Paris): édition bilingue, Par Pierre Bec, Gérard Gonfroy, Gérard Le Vot, Publié par Union générale d'éditions, 1979, p.147.
- Annales des Alpes: Recueil périodique des Archives des Hautes-Alpes, Par Archives départementales des Hautes-Alpes, Publié par Archives départementales, 1901, Notes sur l'article: v.5-6, p.122
- Genèse des lignages méridionaux, Par Claudie Duhamel-Amado, Publié par CNRS-Université de Toulouse-Le Miraeil, 2001, v.1, p.343.
Articles connexes
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