Sweet Children

Sweet Children

Green Day

Green Day
Billie Joe Armstrong at mic in Cardiff.png

Pays d’origine Drapeau des États-Unis Berkeley, États-Unis
Genre(s) Punk
Années actives Depuis 1986
Label(s) Lookout! Records
Reprise Records
Site Web www.greenday.com

Membres Billie Joe Armstrong
Mike Dirnt
Tré Cool
Anciens membres Al Sobrante (1986-1991)

Green Day est un trio de Punk Rock, originaire de Berkeley en Californie, formé en 1986 et composé du guitariste et chanteur Billie Joe Armstrong, du bassiste Mike Dirnt et du batteur Tré Cool. À l'origine, le groupe faisait partie de la scène punk à Berkeley en Californie et leur deuxième album Kerplunk attire l'attention, et c'est ainsi qu'ils signent avec le label majeur Reprise Records en 1993. C'est ensuite qu'ils créent l'album Dookie en 1994 qui remporte un immense succès. C'est l'album punk le plus vendu de l'histoire de la musique. Le groupe poursuit avec les albums Insomniac, Nimrod et Warning entre 1995 et 2000. Ces albums n'atteignent pas le succès commercial de Dookie, mais se vendent tout de même relativement bien. En 2004, le groupe sort l'album American Idiot, qui devient un succès commercial et critique, popularisant le groupe à une nouvelle génération[1].

Dookie, leur album révélation s'est vendu à plus de 15 millions d'exemplaires dans le monde dont 10 aux Etats-Unis. Ils ont aussi récolté de nombreux prix, dont trois Grammy Awards pour Dookie, American Idiot et la chanson Boulevard Of Broken Dreams. Green day est reconnu comme le groupe Punk ayant vendu le plus de disques de l'histoire de la musique.

Sommaire

Histoire

Les débuts modestes

À l’âge de 12 ans, Tré Cool devient membre du groupe The Lookouts. Leur album attire rapidement l’attention et le jeune Tré commence à se produire au club punk de Berkeley en Californie, 924 Gilman Street. De leur côté, Armstrong (14 ans) et Dirnt (14 ans) forment le groupe Sweet Children en 1986, avec Armstrong au chant et à la guitare et Dirnt à la basse et aux chœurs[2]. Ils commencent à jouer en 1986 au Rod’s Hickory Pit à Rodeo en Californie. En 1989, les « Sweet Children » se renomment « Green Day » (« journée verte ») après une journée passée à fumer du canabis [3]. Ils ajoutent rapidement Al Sobrante (né John Kiffmeyer, batterie) au groupe et recherchent un contrat pour un enregistrement[2].

Grâce à leurs premières tournées aux États-Unis en 1988 et 1989, le groupe signe un contrat cette même année avec Lookout! Records, le label punk tenu par le meneur du groupe The Lookouts, Lawrence Livermore. Ils sortent par la même occasion leurs premiers maxis ; 1,000 hours, Slappy et 39/Smooth en 1990, avec des chansons traitant principalement d'amour[4]. Lawrence Livemore décrit l'un de leurs concerts comme « digne d'un concert des Beatles jouant au Shea Stadium »[5],[6]. L’année suivante (1991), ils produisent l’album 1,039 Smoothed Out Slappy Hours, une compilation de leurs trois maxis. Al Sobrante quitte alors soudainement le groupe pour partir à l'université, et Tré Cool est engagé comme remplaçant temporaire. Quand Armstrong et Dirnt s'aperçoivent que Al Sobrante ne souhaite pas rester membre du groupe, ils le remplacent définitivement par Tré Cool[4].

Green Day retourne ensuite en studio pour produire son deuxième album, Kerplunk, en 1992, qui se vend à hauteur de 50 000 copies aux États-Unis, ce qui est considéré comme important pour un album punk indépendant de l'époque[7]. Ceci attire l'attention de Reprise Records, et une série de tournées à domicile et en Europe plus tard, le groupe signe avec Reprise en avril 1993, quittant Lookout! amicalement[8].

Dookie et le succès international

Mike Dirnt

La signature pour Reprise' fait circuler de nombreuses critiques parmi les fans de punk qui accusent le groupe de trahison envers leur ancienne scène de punk indépendante. Armstrong déclarera plus tard qu'« il ne pouvait pas revenir a la scène punk, qu'il devienne le plus grand échec ou le plus grand succès »[8],[9]. Il est aussi considéré que ce difficile et brutal rejet influencera la carrière du groupe dans les années post-Dookie.

C'est donc en février 1994 qu'ils sortent leur premier album chez Reprise, enregistré en seulement trois semaines : Dookie. Durant l'année 1994, les nombreux passages sur MTV des vidéos des singles Longview et Basket Case font de l’album et du groupe un succès, et cela relance le punk rock aux États-Unis avec l'aide des albums Smash de The Offspring, ...And Out Come The Wolves de Rancid, Stranger Than Fiction de Bad Religion et Punk in Drublic de NOFX. Dookie a une telle popularité que cela propulse les ventes de leur précédent album Kerplunk, qui passe disque de platine aux États-Unis. Dookie traite de sujets comme l'anxiété (Basket Case), l'ennui (Longview), l'amour et la jalousie (Pulling Teeth, Chump), la bisexualité (Coming Clean) ou encore le passé du groupe (Welcome To Paradise).

Pendant l'été 1994, Green Day rejoint la liste des groupes sur les festivals de Lollapalooza et de Woodstock en 1994. Pendant le concert de Green Day à Woodstock se déroule une grande bataille de boue entre les membres du groupe et le public, ce qui fait exploser la notoriété du groupe, et dynamise les ventes de l'album. Pour l'anecdote, le bassiste Mike Dirnt perd des dents et se casse un bras dans la mêlée, se faisant plaquer par un garde de sécurité qui l'avait confondu avec une personne du public[10]. Le dernier single When I Come Around aide l'album à se vendre à 12 millions d'exemplaires (disque de diamant) aux États-Unis et plus de 17 millions dans le monde[11]. Trois des cinq singles tirés de Dookie atteignent la première place dans les charts (Longview, Basket Case, When I Come Around) alors que Welcome To Paradise atteint la 7e place et She atteint la 5e[12]. L'album en lui-même atteint la 2e place, mais reste à ce jour l'album de punk rock le plus vendu de l'histoire. Dookie obtiendra aussi un Grammy Award (Best Alternative Music Performance)[13] et collectionnera les bonnes critiques. Le magazine Rolling Stone classe l'album à la 193e place dans sa liste des 500 meilleurs albums de l'histoire[14] et Allmusic décrit Dookie comme « une pièce stellaire de punk moderne que beaucoup ont imité mais que personne n'a dépassé ». De plus, beaucoup de groupes déclareront avoir été influencés par l'album, dont Sum 41, Blink-182, New Found Glory, Good Charlotte, Simple Plan, Yellowcard et Something Corporate et les puffies [15].

Insomniac et le punk des années 1990

En 1995, ils enregistrent un single appelé J.A.R. (tiré de la bande son du film Angus) qui atteint directement la première place sur les charts aux US. Ils enchaînent avec l’album Insomniac qui apparait à l'automne de 1995. D'après le groupe, l'album reflète la fatigue et l'anxiété qui règne au sein du groupe à cause de leurs concerts trop nombreux, et ce serait pour cela que Insomniac montre un son plus sombre que son prédécesseur[16]. Ils traitent de sujets comme la drogue (Geek Stink Breath, Brain Stew), l'anxiété (Panic Song), l'aliénation (Westbound Sign), ainsi qu'une attaque destinée à leur ancienne scène punk qui les avait rejetés suite au « commercial » Dookie, dans la chanson 86[17]. L'album se vend à 2 millions d’exemplaires aux États-Unis et a 5 millions d'exemplaire a travers le monde et il atteint la 2e place dans les charts grâce aux singles Geek Stink Breath, Walking Contradiction, Stuck With Me et surtout Brain Stew/Jaded[12]. Pour la pochette d'Insomniac, ils utilisent une œuvre d'art intitulée God Told Me to Skin You Alive de Winston Smith et intitulent l'album d'après une déclaration de ce même Smith.

Le groupe annulera ensuite soudainement une tournée de concerts en Europe pour cause de fatigue excessive, préférant se consacrer a l'écriture d'un nouvel album[18].

Nimrod et l'expérimentation

En 1997, leur troisième album majeur, Nimrod, sort. L'album se différencie des autres par un important souci d'expérimentation. On y trouve en effet des éléments de ska, une chanson de surf music, un instrumental et une ballade ; ainsi que d'autres chansons plus traditionnelles. Nimrod atteindra la 10e place dans les charts avec Hitchin' a Ride, Redundant, Nice Guys Finish Last ainsi que la ballade Good Riddance (Time of Your Life). Cette chanson illustre le dernier épisode de la série populaire Seinfeld vue par des dizaines de millions de personnes, et reste encore aujourd'hui l'une des chansons de Green Day les plus connues du grand public. Mais, malgré le succès de Good Riddance (Time of Your Life), l'album n'atteint pas le succès escompté avec seulement 2 millions de disques vendus aux États-Unis et à 5 millions travers le monde[12]. Le groupe fait ensuite une pause pour passer du temps avec leurs nouvelles familles.

Warning, le déclin et autres projets

Tré Cool

C'est donc en 2000 que sort Warning. Le son de cet album dévie encore davantage de celui de Nimrod, présentant un son plutôt positif et montrant un développement dans la maturité musicale du groupe. Ceci est accueilli avec une réaction mixte des fans qui étaient habitués au son pop punk de Dookie, Insomniac et Nimrod. De même, l'album est moyennement accueilli par les critiques, recevant des 3/5 étoiles de la part de Rolling Stone[19], mais tout de même 4,5/5 étoiles de la part de Allmusic[20]. Le plus gros hit de Warning (album) est la chanson Minority (les autres singles étant Warning (chanson), Waiting et Macy's Day Parade) mais, bien qu'innovant, l'album n'atteint pas le statut de disque de platine aux États-Unis pour la première fois dans la carrière du groupe, et Warning est déclaré un fiasco commercial. Ce fossé au niveau des ventes conduit beaucoup de personnes a questionner le futur de Green Day, et un déclin en popularité s'en suit.

En 2001, Reprise sort les best-of International Superhits! et International Supervideos! regroupant les singles (International Superhits!) et les vidéos (International Supervideos!) du groupe depuis Dookie. On interprète souvent ces sorties comme une tentative de Reprise pour ressusciter les ventes de Green Day et compenser l'échec commercial de Warning. Cette même année, Green Day rafle 8 Californian Music Awards pour Warning. En 2002 sort Shenanigans, un CD reprenant les faces B des singles. Durant cette période sans « vrai album », le groupe participe à des tournées dont notamment le Pop Disaster Tour avec Blink-182 qui permet de relancer un peu la popularité du groupe et obtenir des bonnes critiques de concert, un domaine où le groupe excelle.

En 2003, un groupe New Wave apparait sous le nom de The Network et enregistre l'album Money Money 2020. Ce groupe semble être Green Day, les ressemblances vocales et physiques laissent peu de doutes quant au lien Green Day/The Network.

American Idiot, Opéra-Punk et la popularité retrouvée

Billie Joe Armstrong

Après le « fiasco » de Warning, la sortie du nouvel album est très attendu, le doute régnant sur la direction musicale que prendrait le groupe. Donc, en 2004, le groupe sort l'album American Idiot. Cet album est quasi-unanimement considéré comme leur plus ambitieux, puisqu'il s'agit d'un Opéra-Punk (l'album raconte une histoire, celle du Jesus of Suburbia), qui comporte deux chansons atteignant les 9 minutes (Jesus of Suburbia, Homecoming). À travers le personnage de J.O.S. (Jesus Of Suburbia), l'album veut refléter la situation dans laquelle vivent les américains, selon le groupe, et les sujets de l'album sont donc variés (rébellion, dépression, drogue, amour, joie, rage…). L'album raconte l'histoire de Jesus Of Suburbia (Jésus de Banlieue), qui ne supporte plus la société dans laquelle il vit. Il part de chez lui, arrive sur le boulevard des rêves brisés (the Boulevard of broken Dreams), rencontre St Jimmy, son double schizophrène, qui l'initiera à la drogue, et à une vie folle. Puis Jesus rencontrera la belle Whatsername qui le larguera dans Letterbomb. Enfin, Jimmy mourra dans Homecoming, et Jesus rentrera chez lui. Il est aussi intéressant de noter que le groupe laisse un peu tomber ses racines punk niveau musique et s'oriente plus dans la musique pop-rock avec quelques chansons plus lentes comme Are We Waiting, ou Wake Me Up When September Ends. American Idiot rencontre un vaste succès commercial (l'album vend plus de 250 000 copies dans sa première semaine) comme un album politiquement engagé contre le président des États-Unis George W. Bush, « l'Américain idiot ». Cet engagement politique est particulièrement clair dans le premier single American Idiot, qui atteint a la 1e place des charts. Ce succès est suivi, encore mieux, par Boulevard of Broken Dreams qui reste un record de 16 semaines a la 1e place du hit-parade[réf. nécessaire]; les derniers singles sont Holiday et Wake Me Up When September Ends qui atteignent respectivement la 1e et la 2e place.[12] L'album reçoit de très bonnes critiques et atteint la 1e place des charts en une semaine, ce qui permet à Green Day de redevenir un groupe de rock parmi les plus populaires et reconnus. En 2005, c'est la consécration pour le groupe qui rafle grand nombre de prix lors des cérémonies. Il gagnent 7 MTV Video Music Awards pour les chansons American Idiot et Boulevard of Broken Dreams et un Grammy Award pour le « meilleur album rock » de l'année. L'album se vendra finalement à 5 millions d'exemplaires aux États-Unis et plus de 15 millions dans le monde.[réf. nécessaire]

Dans cet album, Green Day fait preuve d'une grande maturité. Les textes ne parlent plus des journées des membres du groupe dans leur adolescence (Longview), mais de choses plus importantes, notamment de politique. Notons que le groupe participera au projet "Rock The Vote". C'est vraiment à American Idiot qu'est sublimé le parcours commencé en 1997 avec Nimrod , ne serait-ce que dans les textes, qui deviennent revendicatifs.

Période post-American Idiot

Leur premier CD/DVD live, Bullet in a Bible, sort en novembre 2005 et contient une partie du concert donné au Milton Keynes en Angleterre en juin de la même année, auquel Green Day jouera devant plus de 130 000 personnes en deux jours. Le DVD contient également des interviews et des scènes en backstage. En 2006, le groupe est de retour en studio mais ils continuent de gagner des prix dont notamment un 3e Grammy Award (meilleure chanson pour Boulevard of Broken Dreams).

Fin 2006, Green Day collabore avec U2 pour reprendre le titre The Saints Are Coming du groupe de punk rock écossais The Skids. Le fruit des ventes va directement à Music Rising dont le but est d'aider à la reconstruction de la région sinistrée par l'ouragan Katrina.

Par ailleurs, Green Day s'associe avec la NRDC (National Resources Defense Council), une organisation américaine de défense de l'environnement, pour la mise en ligne d'un site internet, www.greendaynrdc.com, destiné à promouvoir la protection de la planète. Green Day interprète ensuite la chanson Working Class Hero (une reprise de la chanson de John Lennon) pour se mobiliser contre la guerre au Darfour; et aussi le générique du premier film des Simpson, dans lequel le groupe apparait.

Green Day a participé à My Night At The Grammy's qui a été diffusé sur CBS le 30 novembre 2007. Vingt-cinq autres artistes y étaient. Green Day est arrivé premier avec American Idiot.

Un groupe venant de nulle part fait son apparition en décembre 2007 ; Foxboro Hot Tubs. Tout comme The Network, ce groupe était sans doute composé des membres de Green Day, même si la musique se rapprochait plutôt du garage rock des années 1960. Après quelques mois de doutes, Green Day a enfin avoué être Foxboro Hot Tubs. Billie Joe Armstrong a ainsi déclaré ; « Nous pensons que la seule similarité (entre les Hot Tubs et Green Day) est que nous sommes le même groupe. C'est essentiellement la seule similarité. Nous sommes Jason White, Jason Freese, Michael Pritchard (Mike Dirnt), Frank Edwin Wright the Third (Tré Cool) et Révérend Strychnine Twitch (Billie Joe Armstrong). Nous sommes des gars qui aimons jouer de la musique, être spontanés et après quelques improvisations tard la nuit et quelques bouteilles de vin, nous avons été inspirés par l'idée d'enregistrer quelques pièces rock sur huit pistes » . Les membres de Green Day confirment qu'ils sont derrière la formation Foxboro Hot Tubs .

Enfin, l'album Stop Drop and Roll!!! composé de 12 titres sort le 22 mai 2008 aux États-Unis, le groupe fera une tournée dans les petites salles de Californie et des États voisins.

21st Century Breakdown

Le trio californien commence à travailler sur cet album début 2006, il a finalement été annoncé en 2008 pour une sortie mondiale le vendredi 15 mai 2009. Ce nouvel album a été produit par Butch Vig, producteur de Nirvana pour Nevermind, de Garbage ou encore de The Smashing Pumpkins pour Siamese Dream et Gish. Billie Joe avait déclaré à la sortie de American Idiot que l'album avait un style que l'on pouvait qualifier d'opéra-punk. Cette fois-ci, Billie Joe l'a décrit comme un style Power-Pop. On y trouve, entre autres, les titres Know Your Enemy, 21 Guns, East Jesus Nowhere, Before the Lobotomy, Horseshoes and Handgrenades ou encore American Eulogy. Le single Know Your Enemy est diffusé sur les radios et est sorti en clip fin avril 2009. Le deuxième single est 21 Guns dont le clip est sorti fin juin 2009. Actuellement en tournée de promotion pour 21st Century Breakdown, Green Day s'est produit dans plusieurs show des États-Unis (Late Show With David Letterman, Good Morning America, Saturday Night Live…) La tournée mondiale a débuté le 4 juillet 2009 à Seattle et continue à travers les États-Unis et le Canada durant tout l'été, pour se poursuivre en Europe fin septembre. Deux dates sont programmées en France : le vendredi 2 octobre 2009 au Zénith de Toulouse et le dimanche 4 octobre 2009 à Paris-Bercy. En Suisse, le groupe se produira le 8 novembre 2009 à Zurich. Le troisième single sera 21st Century Breakdown. Green Day est également nommé dans la catégorie du Meilleur Groupe, à l'occasion des MTV Europe Music Awards 2009.[21]

21st Century Breakdown se serait vendu, à ce jour, à environ 2 200 000 exemplaires dans le monde.

Influences

Le son de Green Day trouve ses origines principalement chez The Ramones, et on cite souvent le groupe comme étant la source d'inspiration principale de Green Day, en complément de The Clash, de Stiff Little Fingers et des Dead Kennedys. Les membres de Green Day ont d'ailleurs souvent rendu hommage à leurs ainés, notamment en 2001 où ils ont participé à la compilation We're a Happy Family, un album de reprise des chansons les plus célèbres de The Ramones (où figurent également The Offspring, U2, Rancid…). Dans l'album Shenanigans, on peut aussi trouver la chanson Outsider, écrite par The Ramones en 1983. Les Californiens sont également, comme la plupart des groupes punk, de grands admirateurs de The Clash et des Sex Pistols. En 2004, Green Day a enregistré une reprise de I Fought The Law, un morceau rendu célèbre par The Clash en 1978 (à l'origine écrite par Sonny Curtis dans les années 1950). Green Day a également participé à un album d'Iggy Pop.

Membres

Membres permanents

Autres membres

  • Ronny Blake : trompette et chœurs depuis 2004

Ancien membre

Discographie

Année Titre Label Autres informations
1989 1,000 hours Lookout! Records Maxi (4 titres), sous le nom Sweet Children
1990 Slappy Lookout! Records Maxi (4 titres), sous le nom Sweet Children
1990 39/Smooth Lookout! Records Maxi (10 titres), sous le nom Sweet Children
1991 1,039 Smoothed Out Slappy Hours Lookout! Records Compilation de 1,000 hours, Slappy et 39/Smooth (19 titres)
1992 Kerplunk Lookout! Records Album (16 titres)
1994 Dookie Reprise Records Albums (14 titres, plus une chanson cachée : All By Myself)
1995 J.A.R. Reprise Records Single tiré de la bande son du film Angus
1995 Insomniac Reprise Records Album (14 titres)
1997 Nimrod Reprise Records Album (18 titres)
2000 Warning: Reprise Records Album (12 titres)
2001 Tune In, Tokyo... Wea International Album en concert, sorti uniquement au Japon (7 titres)
2001 International Superhits! Reprise Records Best Of des singles depuis Dookie, contenant en plus le single J.A.R. (1995) et les nouvelles chansons Poprocks And Coke et Maria
2001 International Supervideos! Reprise Records Best Of des clips vidéo associés aux singles depuis Dookie
2002 Shenanigans Reprise Records Faces-b des singles depuis Dookie, plus la chanson Ha Ha You're Dead (14 titres)
2004 American Idiot Reprise Records Album (13 titres)
2005 Bullet in a Bible Reprise Records CD/DVD Live (14 titres)
2006 The Saints Are Coming Az Single Produit avec U2
2007 Working Class Hero Az Single (Reprise d'une chanson de John Lennon) réalisé pour l'album Make Some Noise destiné à récolter des fonds pour Amnesty International
2008 Greatest Hits Reprise Records Double CD Digipack contenant 54 hits de Green Day (édition limitée à 500 exemplaires)
2009 21st Century Breakdown Reprise Records Album (18 titres)

On trouve aussi The Ballad Of Wilhelm Fink sur la compilation Short Music for Short People, ainsi que Favorite Son sur la compilation Rock Against Bush (Vol.2) et la participation à la BO du film Les Simpson, le film.

Année Album Charts
Drapeau de la France Drapeau de la Belgique Drapeau de la Suisse Norvège Australie Italie Drapeau de l'Espagne Portugal Danemark Finlande Drapeau des Pays-Bas Suède Autriche Drapeau du Mexique
1994 Dookie - 13 6 9 1 - - - - 5 5 3 4 -
1995 Insomniac - 17 8 27 5 - - - - 1 22 5 2 -
1997 Nimrod 43 - 33 - 3 - - - - 40 80 36 48 -
2000 Warning: 58 - 11 - 7 8 - - - - 84 25 14 -
2001 International Superhits! - - 61 - 11 17 - - - - - - 48 -
2004 American Idiot 4 6 1 1 1 5 22 15 4 2 4 1 1 63
2005 Bullet in a Bible 21 34 11 15 8 8 - 9 15 21 26 7 5 -
2009 21st Century Breakdown 1 3 1 1 2 1 1 2 1 3 4 1 1 3

Notes et références

Liens externes

  • Portail du punk Portail du punk
  • Portail du rock Portail du rock
  • Portail de la Californie Portail de la Californie

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