- Supporters du Football Club de Nantes
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Cet article présente les aspects liés aux supporters du Football Club de Nantes.
Sommaire
Affluences et abonnements
La faiblesse des affluences est très longtemps la preuve que les Canaris peinent à passionner le public local : les records d'affluence du stade de Malakoff sont généralement battus à l'occasion d'autres événements, comme des rencontres de coupe de France, en tant que terrain neutre (Sedan-Saint-Étienne le 8 avril 1956, 14 352 spectateurs[1]) ; des matches de l'équipe de France (15 080 spectateurs contre l'Islande le 2 juin 1957, 8-0[2]) ; ou le match des champions entre Reims et Monaco (6-2), le 1er juin 1960 (15 289 spectateurs[2]). Les exceptions sont les record établis lors du match de la montée en première division, le 1er juin 1963 (16 959 spectateurs[2]), et l'année suivante pour le premier titre, le 30 mai 1965 (20 092 spectateurs[3]).
De fait, la moyenne saisonnière de spectateurs en championnat ne dépasse les 10 000 par match qu'après l'accession en première division, pendant la saison 1963-1964, et ne dépasse les 15 000 qu'à sept reprises avant le déménagement à la Beaujoire en 1984, malgré une capacité de 30 000 places[4]. En comparant aux autres stades français, il faut cependant remarquer que le FCN est alors presque chaque année dans le trio de tête des fréquentations du championnat, derrière Marseille et alternativement derrière ou devant Saint-Étienne[5],[4].
Malgré l'arrivée au stade de la Beaujoire, d'une capacité initiale de plus de 50 000 places, les affluences moyennes restent très basses et avoisinent même de nouveau les 10 000 par match au début des années 1990[4]. Elles remontent à la faveur de meilleurs résultats, et en raison de l'augmentation constante de la fréquentation des stades en France à partir de la fin des années 1990[6]. Depuis 2000 l'affluence moyenne dépasse ainsi les 30 000 spectateurs par match[4], hormis en 2007-2008 en raison de la relégation. La moyenne demeure à 22 771 spectateurs par match en Ligue 2, soit le double de la deuxième affluence (Le Havre)[7], ce qui aurait constitué la huitième affluence de Ligue 1[8]. Ce chiffre constitue la troisième affluence saisonnière de l'histoire de la deuxième division française, derrière Saint-Étienne en 1998-1999 et Lens en 2008-2009[9],[10]. En revanche, l'affluence moyenne tombe à 24 137 spectateurs pour la saison 2008-2009, contre 30 159 en 2006-2007, indiquant une désaffection profonde du public à l'occasion d'une deuxième relégation en deux ans.
Le chiffre des abonnés a augmenté proportionnellement à l'affluence moyenne, parti de quatre à cinq mille au début des années 1990[11], et s'établissant ces dernières années à environ 18 000 par saison[12], après un pic de 22 000 après le dernier titre, en 2001-2002[13]. Le chiffre s'est maintenu à 10 900 en Ligue 2, en 2007-2008[14].
Ambiance
Le public nantais, au stade Marcel-Saupin comme au stade de la Beaujoire, est réputé pour son caractère parfois difficile envers ses propres joueurs, mais aussi pour sa chaude ambiance, comme on pouvait le constater dans les années 1970 alors que le FC Nantes connaissait l'une de ses plus belles périodes de domination sportive : « le public de Nantes [...] laisse rarement déborder son enthousiasme[15]. »
Le public nantais se fait cependant régulièrement remarquer pour ses sifflets envers ses propres joueurs, et ce même dans les saisons de succès : le public ne pardonne à son équipe aucune faiblesse ni facilité[16]. Cette attitude touche notamment certains boucs émissaires, souvent injustement visés : Jean-Claude Suaudeau à la fin de sa carrière, en tant que capitaine, et jugé vieillissant ; Henri Michel en ses débuts, au talent évident mais auquel on reproche son « apparente facilité[17]. » Omar Sahnoun est quant à lui longtemps conspué pour des raisons comparables, un talent vu comme trop facile, mais aussi par pur racisme envers ce fils de harki[18] ; son apport à l'équipe, notamment pour le titre de 1977, finit par retourner le public en sa faveur. Plus récemment, les joueurs victimes de tels comportements sont notamment Hassan Ahamada, auquel il a été reproché d'être le gendre de l'entraîneur de l'époque Loïc Amisse[19], comme Wilfried Dalmat, en tant que frère de l'ex-marseillais et parisien Stéphane Dalmat, ou comme les recrues Christian Wilhelmsson, Fabien Barthez ou Ivan Klasnic très vite pris à partie pour leurs résultats jugés trop faibles.
Un comportement qui répond également à une exigence : « Le public nantais entend montrer qu'il n'est pas idiot. Le spectacle qui lui est présenté lui déplaît, il le fait savoir véhémentement. [...] La réaction est plutôt saine. [...] Leur attitude [aux supporters] force les joueurs à soigner la manière et tient donc un rôle dans la sauvegarde du style nantais. Ils sont moins bêtes et chauvins que dans de nombreux autres stades[17]. » Une attitude qui a pour contrepartie le manque de soutien regretté lorsque l'équipe en a besoin.
Les matches à haut enjeu sont cependant souvent d'une très forte intensité, comme lors des matches décisifs pour les titres (envahissements de pelouse après le coup de sifflet final en 1965, 1973, 1995, 2001) ou contre la relégation (déplacement de 2 000 supporters au Havre en 2000, envahissement de pelouse après coup de sifflet en 2005), ou les rencontres de coupe d'Europe (contre Arsenal en 1999, ou Manchester United en 2002). À l'inverse le championnat de 1980, par exemple, est remporté dans une ambiance mitigée après le match du titre, le 27 mai (Nantes-Laval, 4-1)[20].
Tensions et désaffection du fait des mauvais résultats
Depuis que le club connaît des heures difficiles, l'ambiance est devenue parfois tendue au stade, avec des chants et des banderoles insultants pour les dirigeants du club, et des actes de violence et de dégradation. Ces tensions se manifestent plus particulièrement lorsque le FC Nantes flirte avec la descente en 2005[21], puis à l'occasion de la relégation de 2007[22], et à l'occasion de la seconde relégation en 2009[23]. Les supporters manifestent leur colère régulièrement au centre d'entraînement, où des débordements sont notés[24],[25]. En 2009, lors de la dernière rencontre, face à Auxerre (2-1), ces problèmes se révèlent particulièrement avec une grève d'un quart d'heure de la Brigade Loire[26], des jets de tracts et de cartes d'abonnements[27] et des actes de saccage, pour un bilan de sept interpellations[23].
Surtout, le stade connaît une chute d'affluence. Alors que l'on notait déjà des affluences plus faibles pour certains matches depuis plusieurs années, le nombre de spectateurs descendant par exemple à 25 087 pour celle de Strasbourg en 2005 ou 24 741 pour la venue de Valenciennes en 2007, l'affluence moyenne tombe à 24 137 spectateurs pour la saison 2008-2009, contre 30 159 en 2006-2007. Afin de montrer sa désaffection, la Brigade Loire entame au printemps 2009 une campagne de désabonnement, affirmant « Puisqu'une discussion constructive est impossible, frappons là où ça fait mal... au portefeuille [28]!. »
Groupes de supporters
Historique
Comme beaucoup de clubs de football professionnel, le FC Nantes dispose de groupes de supporters, la plupart organisés sous forme associative. En 1946 est fondé « Allez Nantes », qui demeure longtemps le seul club de supporters, proche de la direction[29]. « Les Canaris » est fondé en 1972 et se structure par sections parrainées par les joueurs, dans les quartiers de la ville et dans les localités voisines[29]. Les deux clubs fusionnent en 1976 sous le nom « Allez Nantes Canaris »[30]. Cette structure, qui supporte l'équipe depuis le virage Erdre, demeure proche de la direction du FCN et fournit notamment ses stadiers[31]. ANC revendique 600 adhérents[32], et côtoie les « Canaris Sud 44 » (120 adhérents)[33] et « Allez Nantes Nord 44 » (150 adhérents)[34].
L'arrivée à la Beaujoire en 1984, dans un stade souvent à moitié vide, est difficile sur le plan de l'ambiance. La tribune Loire devient la tribune des plus fervents supporters à partir de 1985, quand est fondé la « Loire Side »[35]. Celle-ci est dissoute en 1990 pour violences[36] alors que les chiffres d'affluence baissent considérablement. Dans les années 1990, la tribune Loire est animée par les « Young Boys », mais aussi des groupes plus violents comme les « Yellow Power » et surtout les « Urban Service » qui se réclament du mouvement hooligan[37],[38]. Ces mouvements disparaissent après quelques années.
La « Brigade Loire » apparaît en tribune Loire en 1998-1999[35], avec pour référence le mouvement ultra[39]. Il anime depuis la tribune Loire et revendique 300 adhérents[40], et est épaulé par le groupe « Yellow Flight » en tribunes Loire et Océane (185 membres revendiqués)[41]. Le groupe « L'Esprit canari », créé par des supporters de région parisienne en 2002, et installé en tribune Loire, est surtout actif pour les déplacements et revendique 80 adhérents[42],[43].
Enfin, la tribune Erdre accueille également les « Magic Canaris » depuis 2005 afin de mieux animer ce virage dans l'esprit ultra[44], et qui revendiquent 40 adhérents[45].
Groupes actuels
On compte aujourd'hui une vingtaine de groupes de supporters, selon le FC Nantes[46] :
- Allez Nantes Canaris (600 membres revendiqués)
- Brigade Loire (320) et autant de sympathisants
- Yellow Flight 49 (185, dont 65 abonnés)
- Allez Nantes Nord 44 (150)
- Canaris Sud 44 (120)
- Siranac Club 44 (99)
- Foot Clean (90)
- Esprit Canari (80)
- Corsaires Vendéens (52)
- Old Boys (50)
- Les Rolling Stars (42)
- Force Jaune (41)
- Magic Canaris (40)
- Passion Nantes Sup'Erdre (30)
- Canaris Port Fréjus (20)
- Foot Passion (?)
- Canarissonais (?)
Hymnes et chants
Le FCN se dote en 1977 d'un hymne officiel : « Allez les Canaris ! »[47], resté très populaire et repris depuis la saison 2008-2009[48].
Deux autres hymnes à l'accompagnement celtique ont été adoptés depuis. L'« Hymne à la Beaujoire » (ou « Allez Nantais »), chanté avant les rencontres à domicile, ainsi qu'un hymne présenté au début de la saison 2000-2001, « Au cœur du stade »[49]. Ce dernier, plus lent et solennel, est calqué sur les hymnes britanniques. Il est prévu pour supplanter le précédent, ce qui n'est finalement pas le cas en raison des réclamations du public.
Le groupe nantais Elmer Food Beat compose également une chanson pour le FCNA, jouée avant les matches au début des années 1990, « Du rififi dans la surface »[50].
Les chants de supporters nantais sont en dehors de cela relativement classiques, voire répétitifs : « Allez les jaunes » sur l'air des lampions, « Qui ne saute pas... », etc.
Rivalités
Les principales rivalités ressenties par le public nantais sont historiquement liées, soit à une rivalité régionale, soit à une rivalité sportive.
Les « derbies » les plus marquants ont ainsi opposé le FCN au SCO Angers[51], notamment pendant les années communes en deuxième division (avant la montée du SCO Angers en 1956) puis en première division (montée de Nantes en 1963, relégation d'Angers en 1968) ; et aux Girondins de Bordeaux (« derby de l'Atlantique »), qui comptait de nombreux supporters à Nantes même. Le « derby » avec le Stade rennais est quant à lui un enjeu bien plus récent, notamment en raison d'un enjeu sportif souvent assez faible pour les Canaris. On peut d'ailleurs noter que les supporters des deux clubs sont très proches dans les années 1960-1970, entendant représenter l'Ouest dans le football français. Les Rennais brandissent notamment une banderole « Rennes la coupe, Nantes le championnat » en 1965, les deux clubs se partageant les deux principaux titres nationaux[52].
La principale rivalité sportive nantaise est celle contre les Verts de Saint-Étienne : les deux clubs se partagent quinze des vingt championnats joués entre 1963-1964 et 1982-1983. La rencontre entre les deux clubs, parfois surnommée « derby de la Loire » (entre la source et l'estuaire) est souvent le sommet de la saison, qui passionne particulièrement le public notamment dans les années 1970[53]. En 1973, Didier Couécou, double buteur en demi-finale de coupe de France, regagne les vestiaires à genoux sous une haie d'honneur des supporters[54], et les exemples sont nombreux. Les rivalités sportives des années 1980 raniment le « derby de l'Atlantique », mais créent certaines tensions envers Marseille ou le PSG. La retombée sportive du FCN, atténuant les enjeux, a éteint ce type de rivalités.
Les supporters nantais savent aussi mettre leurs rivalités de côté pour faire place à des actes de soutiens et de solidarité envers d'autres clubs de supporters comme lors de la marche silencieuse en l'honneur de Julien Quemener, tué par les forces de l'ordre à la suite du match PSG – Hapoël Tel-Aviv.
Violences
Le public nantais n'est pas réputé pour de nombreuses actes violents. On peut toutefois mentionner que le 6 octobre 1957, une pierre jetée vers l'arbitre de Nantes-Bordeaux (1-0), M. Mondon, entraîne la pose de grillages autour de la pelouse du stade Marcel-Saupin[55]. Ceux-ci ne disparaissent pas et ce n'est qu'en 1998 qu'ils sont retirés à l'occasion de la coupe du monde. Le rétablissement des grillages est empêché par la mairie, ce que le club finit par accepter[56].
Les actes violents recensés sont pour la plupart le fait de mouvements marginaux, comme des rixes et vols de banderoles impliquant les « Urban Service » dans les années 1990. Ces derniers se réclament de mouvements hooligans, participent des mouvances skinhead[57], et sont les auteurs de nombreuses violences[35]. Les efforts du FCNA à l'encontre de ces agissements ont été nombreux : dissolution des groupuscules violents, mais aussi isolement en tribunes séparées[36], constitution comme partie civile lors de jugements[58] ou pression pour un durcissement de la politique française envers ces comportements[59].
Prenant le prétexte des mauvais résultats sportifs une résurgence d'actes criminels a été constatée ces dernières années : vandalismes et stadiers blessés (dont une femme perd un œil) en 2005 à Sochaux[60], ou encore dégradations à la Jonelière et actes de violence divers (contre des supporters adverses ou des forces de l'ordre) à l'occasion de réceptions (Saint-Étienne, Toulouse) et de déplacements (Le Havre) en 2008[61].
Supporters célèbres
Parmi les supporters les plus connus, on peut retenir la voix anonyme (en fait, un certain Michel Birgand) qui s'élève des populaires et résonne dans tout le stade Saupin dans les années 1960, pour réclamer à Philippe Gondet : « Gondet, ton but ! »[62],[15]. Ou encore « la Bouillotte », brocanteur et assidu des rencontres[63]. Ou bien Paul Brohant, directeur d'école à la retraite devenu ami des joueurs dans les années 1960-1970, qui pose sur certaines photos de l'équipe[64], et dont la longue barbe blanche est caressée par les joueurs comme porte-bonheur avant les matches[65].
On compte par ailleurs certaines célébrités parmi les supporters nantais, dont voici quelques-uns :
Notes
- Minier 2007, p. 56
- Minier 2007, p. 87
- Minier 2007, p. 82
- Stades et spectateurs
- Garnier, p. 252
- Le déferlement de violence finira par nuire à l'économie du football », lefigaro.fr, 15 octobre 2007 «
- Affluences L2 2007-2008 sur lfp.fr
- Affluences L1 2007-2008 sur lfp.fr
- 22 772 ! », fcna.fr, 14 mai 2008. «
- Affluences de Ligue 2 sur lfp.fr (RC Lens : 29 842
- Le stade de la Beaujoire en chiffres sur fcna.fr
- La campagne d'abonnement 2007-08 est lancée », Ouest-France du 29 mai 2007 «
- fcna.fr, 3 août 2001
- Objectif 20 000 abonnés - Loire Atlantique », Ouest-France, 4 juin 2008 «
- Chauvière, p. 106
- Par exemple contre Sochaux en 1965-1966, alors que le titre est déjà acquis. Miroir Sprint n°1041, 16 mai 1966, p. 11
- Verret 1981, p. 107-108
- Verret 1981, p. 135
- "Je me suis laissé aller", Football365.fr, 2006 «
- Minier 2007, p. 79
- Violences - 5 supporters nantais condamnés », lequipe.fr, 8 décembre 2006 «
- Pelouse envahie à Nantes », lequipe.fr, 19 mai 2007 «
- Les supporters crient leur colère », Presse-Océan, 31 mai 2009 Anne-Hélène Dorison (avec P.-M.H et J.-P.L), «
- Tags vengeurs à la Jonelière », lequipe.fr, 28 septembre 2008 «
- Les supporters manifestent », lequipe.fr, 9 mai 2009 «
- Bal tragi-comique », Presse Océan, 31 mai 2009 Étienne Kiss, «
- Foot/Nantes: incidents dans le stade », AFP/lefigaro.fr, 30 mai 2009 «
- Désabonnement massif à Nantes ? », sport24.com, 20 mai 2009 «
- Garnier, p. 255-256
- Historique d'Allez Nantes Canaris.
- Stadiers sur Allez Nantes Canaris
- Allez Nantes Canaris sur fcnantes.com
- Canaris Sud 44 sur fcnantes.com]
- Allez Nantes Nord 44 sur fcnantes.com]
- Tribune Loire History (photos et articles de presse : tifos, ambiances, violences...) — autre version
- coupure de presse, 1994
- Histoire de la Tribune Loire
- infra Voir
- historique et « esprit » BL :
- Brigade Loire sur fcnantes.com
- Yellow Flight sur fcnantes.com
- L'Esprit canari
- L'Esprit canari sur fcnantes.com
- Magic Canaris
- Magic Canaris sur fcnantes.com
- Groupes de supporters sur fcnantes.com
- Fiche sur bide-et-musique.com
- Abonnements 2008-2009 : le FCN cherche la bonne formule », Presse-Océan du 9 mai 2008 «
- Paroles et extraits sur fcnantes.com
- Paroles et renseignements sur abazada.com
- Minier 2007, p. 129
- "Avant le derby Nantes - Rennes" : un amateur regrette la belle époque - Rennes », Ouest-France, 18 avril 2007 «
- La rivalité FC Nantes / ASSE entre 1970 à 1984 » sur footnostalgie.com «
- Minier 2007, p. 60
- Minier 2007, p. 144
- Minier 2007, p. 116
- Les organisations bonehead »
- Un pseudo-supporter du FCNA interdit de stade pendant trois ans », Presse-Océan, 10 novembre 2000 «
- Supporters : le FCNA veut éviter les débordements », Presse-Océan, 2002 ? «
- Sochaux - Nantes : 1-0 et incidents » «
- Deux supporteurs nantais condamnés au Havre », Ouest-France du 2 décembre 2008 Thomas Heng, «
- Garnier, p. 192-193
- Viarme, la place des foires, des puces et brocantes », nantes.fr «
- En 1963-1964 notamment
- Garnier, p. 250
Références
Bibliographie
- Alain Garnier, F.C. Nantes : la passe de trois, Solar, 1973
- Jean-Claude Chauvière, "Allez les jaunes !..", Calmann-Lévy, 1977
- Bernard Verret, Les grandes heures du FC Nantes, PAC, 1981
- Pierre Minier, FCNA - Football Club Nantes Atlantique, Calmann-Lévy, « Un club, jour après jour », 2007
Liens externes
- Chiffres et statistiques sur lfp.fr
- Stades et spectateurs
- Tribune Loire History (photos et articles de presse : tifos, ambiances, violences...) autre version
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