Sainte-jamme-sur-sarthe

Sainte-jamme-sur-sarthe

Sainte-Jamme-sur-Sarthe

Sainte-Jamme-sur-Sarthe
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Le Mans
Canton Ballon
Code Insee abr. 72289
Code postal 72380
Maire
Mandat en cours
Bernard Pleuvry
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes des Rives de Sarthe
Démographie
Population 1 973 hab. (2006 [1])
Densité 234 hab./km²
Gentilé Saint-Jammois, Saint-Jammoise
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 37″ Nord
       0° 10′ 10″ Est
/ 48.1436111111, 0.169444444444
Altitudes mini. 49 m — maxi. 101 m
Superficie 8,43 km²

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Sainte-Jamme-sur-Sarthe est une commune française, située dans le département de la Sarthe et la région des Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Saint-Jammois, Saint-Jammoises ou Saint-Jammiens, Saint-Jammiennes.

Sommaire

Géographie

La commune de Sainte-Jamme-sur-Sarthe se situe à proximité de la route nationale 138, à 15 kilomètres au nord du Mans. Elle fait partie du canton de Ballon. La rivière la Sarthe sépare Sainte-Jamme-sur-Sarthe de Montbizot. Sainte-Jamme-sur-Sarthe est en plein développement du fait de sa proximité avec la ville du Mans.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont :

Histoire

Administration

Liste des maires successifs
Dates Identité Qualité
Les données antérieures à 1861 ne sont pas encore connues.
1861-1900 Armand Chappée Maire
1901-1926 Louis Chappée Maire
Les données de 1926 à 1929 ne sont pas encore connues.
1929-1933 Louis Chappée Maire
1933-1971 André Guérin Maire
1971-1989 Roger Percheron Maire
1989-2008 André Beury Maire
2008- 20?? Bernard Pleuvry Maire

Démographie

Évolution démographique (d'après les recensements INSEE)
1968 1975 1982 1990 1999 2006
Population totale n. c. n. c. n. c. 1 648 1 689 1 990
Population municipale n. c. n. c. n. c. 1 640 1 669 1 973
Population sans doubles comptes 1 792 1 769 1 700 1 640 1 669 1 973
Nombre retenu à partir de 1968 : Population sans doubles comptes

Patrimoine religieux

Eglise de la commune


Personnages célèbres

Armand Chappée et son frère Louis (fondeurs au Mans puis propriétaires des Fonderies Chappée à Antoigné).


Il faut lire Armand CHAPPEE et son Fils Louis qui lui succéda. Louis eut un frère en effet premier né nommé Armand né au Mans le 11 juin 1860 où il est décédé le 13 mai 1861 (Guy de LAVEAUCOUPET; Archives de famille)

Monuments et lieux touristiques

Sur la commune de Sainte-Jamme subsiste de nombreux témoignages du prestigieux passé des fonderies d'Antoigné et un lieu retrace le passé prestigieux de cette commune : l'ancienne cantine des fondeurs d'Antoigné visitable sur demande.

Petit rappel historique

Des origines de la métallurgie du fer en Pays du Mans Vers le VIIème siècle avant J.C., moment de l’apparition de la sidérurgie européenne, le Maine connaît une activité sidérurgique importante basée sur la technique de la réduction directe du métal. Les fouilles effectuées lors des travaux de la construction de l’autoroute A 28, ont permis de mettre à jour de nombreux bas fourneaux sur la commune voisine de La Bazoge (environ 178 répartis sur 9 sites)

Vers le haut fourneau et la naissance de la grosse forge d’Antoigné L’obtention du fer au haut fourneau par la méthode directe fournissait un fer de qualité généralement bonne par contre le rendement quantitatif était très faible. Mais la maîtrise de l’énergie hydraulique va apporter une véritable révolution dans la sidérurgie (voir encyclopédie Diderot images en attente de réception jeudi Les forgerons vont capter des cours d’eau des rivières, des étangs…)

Cette eau va être amenée sur des roues à aubes, véritables moteurs hydrauliques, permettant d’actionner :

  • de gros soufflets excitant la combustion à l’intérieur du haut fourneau

Cette nouvelle donnée technologique permet d’augmenter la température du métal et ainsi d’obtenir la fusion du métal.

  • Les mécanismes actionnant les lourds marteaux de la forge
  • Les mécanismes de la fenderie (lieu ou on fend le fer), ancêtre des laminoirs, donnant au métal sa forme définitive avant sa vente.
  • Divers soufflets pour la forge et la fenderie

Cette maîtrise de la puissance hydraulique permet l’avènement de fourneaux de hautes dimensions, les forgerons passent du bas fourneau à la technologie du haut fourneau. Cette nouvelle sidérurgie va prendre différentes appellations :

  • La sidérurgie indirecte. (Fusion au haut fourneau puis affinage du métal aux fours d’affinage) –voir panneau premier-
  • La forge à deux temps.

Cette nouvelle technologie, née dans la région rhénane au XIV siècle arrive dans le Maine vers 1520-1540. D’artisanal, l’obtention du fer devient industrielle, mobilisant par conséquent des fonds monétaires importants. Nous avons vu l’importance de la métallurgie primitive sur la commune de La Bazoge, mais, la nouvelle technologie du haut fourneau ne peut se développée sur ce site manquant d’un élément essentiel, l’eau ou du moins d’une rivière au débit suffisant. Les bas fourneaux disparaissent…

Une grosse forge s’installe au XVII siècle à Antoigné , sur la rive de la rivière La Sarthe

Quels sont les éléments nécessaires à l’élaboration du fer dans cette forge ?

  • Une forêt abondante pour fournir le combustible, le charbon de bois.

Pour obtenir 1 kilo de fer, il faut 4 kilos de charbon de bois. (Notons toutefois la relative faiblesse de la forêt de Lavardin, des bois de La Milesse et de La Bazoge , soit au total seulement 850 hectares, affectés à la forge –bois appelé également bois d’affouage -.) Viendront s’y ajouter les bois et forêts d’Antoigné, Mézière, Neuville, Bonnétable, Tucé, Chérancé . En cas de besoin les forgerons achètent par adjudication du bois dans les forêts domaniales de Sillé le Guillaume, Perseigne.

  • Des minerais de fer en quantité et qualité suffisante issus des mines de La Bazoge, Sainte Sabine, La Chapelle St Aubin, Rouillon etc.… (Cartogeolo)
  • Un cours d’eau puissant, régulier, capable d’être capté pour être amené sur les roues à aubes.
  • Des carrières de calcaire, utilisées dans le haut fourneau pour agglomérer les déchets présents dans le four afin de les éliminer.

Propriétaires et Maîtres de Forges : des Beaumanoirs de Lavardin à Charles Douet : Grandeur, Difficultés et Renouveau…

Les Beaumanoirs de Lavardin, fondateurs des grosses forges d’Antoigné Exploitée avant 1618, les forges ne sont mentionnées par écrit qu’à cette date et sont exploitées par un nommé La Royrie (ou Raoul de la Royrie). Elles auraient été construites pour un très grand seigneur manceau, Jean II de Beaumanoir (1551-1614)maréchal de France sous Henri IV et marquis de Lavardin ou pour son fils et ce afin de mettre en valeur les forets de la terre de Lavardin. Elles resteront aux mains de la famille des Beaumanoirs (malgré une vente en 1705 à Réné III de Froullay*, comte de Tessé et cousin des Beaumanoirs) jusqu'à la mise sous séquestre en 1791.

En 1798, la forge fut adjugée pour 2 010 000 francs à Nicolas Jacques Augustin Hébert de Hauteclerc, ingénieur des Ponts et Chaussées, originaire d’Alençon. Toutefois, ces seigneurs ne dirigent pas eux-mêmes ces établissements, elles sont baillées à des maîtres de forges

Les gestionnaires des lieux : les maîtres de forge. De nombreux marchands ferronniers* manceaux ou normands, détenteur des capitaux et des réseaux commerciaux vont diriger les forges jusqu’à la fin du XVIII ème siècle. Ils louent la forge contre un loyer en argent et sont responsable de la gestion de l’établissement pour 6 à 9 ans ainsi que de la vente de la production. Ces maîtres de forge doivent donc avoir une solide assise financière pour supporter le prix du loyer et la constitution d’un stock de matières premières parfois plusieurs années avant le début du bail. Toutefois ; l’affaire semble rentable comme les Desportes, famille mancelle, qui fut à la tête de différents établissements du Maine dont Antoigné aux XVIIème et XVIIIème siècle mais également des forges de Cormorin à Champrond. Ce fut d’ailleurs cette famille qui introduit le moulage de la poterie (marmite, chaudrons, poêlons, crêpières) et de poêlerie (plaque de cheminée, contre cœurs, réchauds, poêles, fourneau à faire des confitures) vers 1748.


Révolution française et forges : le temps des incertitudes La passage de la Révolution voit un changement de propriétaire des forges mais pas du mode de gestion. L’usine connaît toutefois une crise inhérente à deux facteurs : la médiocrité du minerai de fer local et les difficultés liées à son transport mais plus encore la concurrence des fers du Berry ou du Nivernais mais également d’établissement utilisant à la manière anglaise la houille et produisant fonte et fer à moindre coût sans parler des fers étrangers (Suède et Espagne) sont autant de difficultés a surmonter. De nombreuses fois vendu et mise en gestion lors des années qui suivirent la Révolution Française, la forge fut louée en 1827 à un grand propriétaire-cultivateur et naturaliste manceau célèbre, Charles Drouet. Il diversifia la production en fonte d’architecture et d’ornement prisées à l’époque. Après cette période de redressement, les forges furent louées à Isidore Buon qui fit faillite en 1848. les Duboys d’Angers cessent d’affermer l’usine et louent une partie des bâtiments qui sont reconverti, quelque temps, pour la fabrication du chanvre…


La dynastie des Chappée : fondation et rayonnement (1854-1922) Le fondateur Victor Doré En 1854, Victor Doré et son associé Joseph Chevé, anciens ouvriers d’Antoigné qui possèdent déjà une usine de première fusion au Mans) louent l’usine à la descendante des Duboys d’Angers, Madame de Puisard. Dès leur arrivée, ils font construire un haut fourneau qui va être incendié en 1859. Cette date est une charnière technique car elle marque la fin du haut fourneau à Antoigné. Celui-ci est, en effet, remplacé par un cubilot pour la seconde fusion. En novembre1860, Victor Doré reste seul patron des usines du Mans et d’Antoigné. Trois ans plus tard, l’usine produit 24 tonnes de moulage par jour, obtenu à partir de fonte anglaise. La production va encore croissante car le nombre d’ouvrier passe de 166 en 1863 à 240 en 1865. Ayant fait progresser l’usine de manière remarquable, Victor Doré se retire en 1875 et partage ses usines entre ses deux filles. Antoigné va revenir à l’épouse de Armand Chappée, Victorine, lui-même comptable dans la société dès 1856.

Armand ou l’artisan de la construction du groupe Chappée.

En 1881/1882, Armand Chappée va profiter d’un vent de croissance apporté par le chemin de fer et le télégraphe qui a d’énorme besoin en matière première. Lorsqu’il obtient le Grand prix de fonderie à l’Exposition Universelle de 1889 après une première participation en 1878, sa production journalière est de 100 tonnes de moulage par jour. Apres une période faste de 10 années, les marchés s’essoufflent et notamment face à la concurrence des grandes forges de l’Est de la France aux dépens de celles de l’Ouest. Obligation est donc de trouver de nouveaux produits et de toujours innover pour faire face à cette concurrence. De nombreux produits sont donc élaborés pour permettre une meilleure compétitivité de l’entreprise. En 1895, Armand Chappée fonde avec son fils cadet Louis la société « Chappée et fils » et associe son fils aîné, julien, en 1896.A partir de 1897, la fabrication en série de radiateurs en fonte, dont les premiers modèles sont présenté avec une chaudière à l’exposition universelle de 1900, inaugure une nouvelle phase d’expansion pour le groupe. La Première Guerre Mondiale va permettre de continuer cette expansion car l’usine se transforme en pourvoyeur d’obus de tous calibre pour le front et se met ainsi au service de l’Artillerie et du génie français. L’usine est donc particulièrement dynamique en 1922, lors que meurt Armand Chappée, grand artisan de cette construction.

De la ruine des Chappées à la Société Générale de Fonderie (1922-1983)

La guerre des héritiers

Le décès d’Armand Chappée entraîne la dissolution de la Société Chappée et fils et inaugure la création de la Société Anonyme des établissements Chappée par ses fils Louis et Julien et par ses petits fils Pavin, Gervais et Benoît. Cette date de 1922 marque également le début de la guerre entre les héritiers. En effet, depuis 1892, Louis le fils cadet travaille avec son père dans l’usine alors que Julien, l’ainé, est plus porté sur la peinture et d’écriture. Toutefois, intéressé par les bénéfices du groupe et poussé par l’ambition de sa femme et de ses fils, il se trouve, à 60 ans, une âme de fondeur et entre en compétition avec son frère. Il impose également ses trois fils, qui n’ont aucune connaissance de la fonderie. Louis n’ayant pas d’héritier, Julien pense qu’il incarne l’avenir de la Maison Chappée. Après 4 ans de guerre intestines au sein du groupe, Louis qui a fait rentrer dans la société un des ses employés, Emmanuel Letourneaux, pour modérer son frère ne parvient pas à ses fins. Las de ces conflits, cède ses parts en 1926 à son frère et se retire de l’usine qu’il laisse en pleine prospérité et quitte également son mandat de maire de Sainte Jamme.

Vers la Société Générale de Fonderie

Il ne faudra que quelques mois pour que Julien et ses fils accumulent des résultats désastreux malgré les conseils de Letourneaux. Avant d’aller à la ruine, ils décident de céder l’industrie qui a vu se succéder 3 générations de Chappée. L’entreprise est donc revendue à Jean Raty, gérant de la Société des hauts fourneaux de Saulnes en Lorraine qui crée la Société Générale de Fonderie. Après la Seconde Guerre mondiale, l’usine d’Antoigné, intégrée à la Générale de Fonderie, va pleinement profiter de la reconstruction et de l’augmentation du niveau de vie. Avec la généralisation du chauffage central, la production des radiateurs devient une excellente affaire. L’entreprise atteint 1800 personnes dans les années 60. Après la mécanisation des années 1959 et 60, la production de radiateurs, principale production de l’usine, peut atteindre 400 000 éléments par an et l’usine est en pleine expansion. Toutefois, à cette période, l’entreprise achète des usines tout azimut mais ne prend pas en compte le développement du chauffage électrique et les conséquences du premier choc pétrolier. L’usine va progressivement péricliter jusqu'à sa fermeture en 1984



L’usine extension et agrandissement entre le XVIII et le XXeme siècle

Quelques bâtiments

La 23 : bâtiment qui a gardé la dénomination de son année de construction (1923), il est construit afin de répondre au besoin de chauffage central ; il sera la force et la faiblesse de l’usine. Force car il s’affirme comme un outil de production particulièrement performant pour la fabrication de radiateur mais faiblesse car la Générale de Fonderie va cantonner Antoigné dans une fabrication monoproduit qui va conduire à la fermeture de l’Usine.

Cayenne : Cayenne, à l’origine de l’usine était une fonderie de première fusion qui traitait le minerai extrait de la Bazoge, venant à dos de mulets. Ultérieurement, l’atelier a été reconverti en chantier de « tuyaux debout » qui fut surnommé ainsi à cette époque par les ouvriers qui devait couler des tuyaux debout dans des fosses de 4 à 5 mètres de profondeur correspondant à la hauteur des tuyaux. La chaleur lors notamment du portage des poches de 150 kg de fonte en fusion et la rudesse du travail dans cet atelier l’ont fait l’assimiler au bagne de Cayenne où on déportait les prisonniers français au XIXeme siècle.

Nouméa : À coté de Cayenne, Nouméa était également un chantier de tuyaux debout avec l’été une température qui avoisinait les 40 à 50° dans la fosse. Le fondeur devait descendre dans cette fosse 40 fois par jour au moyen d’une simple échelle appuyée sur la paroi

L’Élysée était un chantier beaucoup moins pénible. On y fabriquait des tuyaux de 60 ou de 40 plus facile à mouler. En général, les ouvriers affectés à cet atelier n’étaient pas des fortes têtes et étaient moins forts physiquement que les ouvriers de Cayenne ou Nouméa. Ces chantiers ont été fermés en 1944-1945.

Robinson : Ce chantier est monté pendant la Première Guerre mondiale afin de faire des obus. Il se situe sur la presqu’île de la Sarthe par laquelle on accédait par une simple passerelle. Le chantier, bien isolé au milieu des eaux paisibles de la Sarthe bénéficiait donc d’une protection naturelle.

Références

  1. http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/populations-legales/departement.asp?dep=72#dep_B Populations légales 2006 publiées par l’INSEE le 1er janvier 2009

Liens externes

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