- Publication assistée par ordinateur
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La publication assistée par ordinateur, communément abrégée PAO (en anglais DTP pour Desktop Publishing), est l'ensemble des procédés informatiques (micro-ordinateur, logiciels, périphériques d’acquisition, d’écriture...) permettant de fabriquer des documents destinés à l'impression. Elle se nomma quelque temps Intégration textes et graphiques, l'importance des polices typographiques étant sous-évaluée par les informaticiens jusqu'en 1983.
C'est l'évolution logique et historique de la typographie puis de la photocomposition.
L'expression PAO semble avoir été utilisée pour la première fois par un spécialiste nommé Maurice Girod vers 1975, dans une conversation avec le designer Adrian Frutiger (concepteur de la police Univers), par analogie avec la CAO (conception assistée par ordinateur). Le terme fut controversé quelque temps, car il ne s’agit plus dans ce cas seulement d'assistance, mais bien de la production elle-même. Le sigle PPO (production de publication par ordinateur) ne bénéficiait toutefois pas de l'aura technologique qui entourait le sigle CAO, et PAO fut donc préféré pour des raisons commerciales.
Sommaire
Historique
La typographie classique devenant onéreuse, et la photocomposition d'usage complexe, l'avènement de l'informatique a permis de créer, dès la fin des années 1960, des systèmes dévolus à la composition électronique des textes. Ces systèmes étaient encombrants et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux professionnels. De plus, l'usage de la codification de la photocomposition continuait à demander une formation, même si l’ordinateur se chargeait d’une partie du travail.
Le texte marqué
Dans le monde des mainframes (gros ordinateurs, pour l’époque), la tendance était au texte marqué : Charles Golfarb avait inventé le generalized markup language (en) (GML) permettant de décrire la nature d’un passage (titre, citation, exemple, intitulé de chapitre ou de section, etc.) sans faire d’hypothèse à ce stade sur sa présentation, la traduction de cette indication en ordres de composition en fonction du contexte étant du ressort d’un fichier annexe, modifiable à volonté, qui se nommait le profile (prologue file).
Grâce à ce procédé :
- un même arsenal pouvait rédiger une documentation unique pour les armées de terre, de mer et de l'air (qui avaient des normes de présentation différentes), cette documentation se traduisant par les bonnes présentation pour chaque arme au moyen de trois fichiers profile réalisés une fois pour toutes,
- si la norme était modifiée, une simple correction correspondante du fichier profile permettait d’imprimer immédiatement un exemplaire de la documentation à la nouvelle norme, ce qui se traduisait par des millions d’économie,
- Airbus industries pouvait récupérer pour sa documentation de maintenance celle des turboréacteurs de la Snecma, par exemple, équipant ses avions, le fichier profile d’Airbus (qui n’était pas celui de la Snecma) garantissant la présentation de ce fichier aux normes Airbus.
Goldfarb, ayant quitté IBM, formalisa ensuite son GML en SGML, qui eut deux retombées directes :
- Le HTML utilisé pour le Web (mais qui s’écartait un peu du principe des marques purement descriptives)
- Le XML utilisé aujourd’hui dans les communications intermachines, mais aussi pour la rédaction de documentations internationales
L’INRIA fut l’un des premiers organismes à mettre sur le marché un éditeur SGML, nommé GRIF et d’ergonomie très similaire à Word 2 pour Windows. La suite LibreOffice sauvegarde ses documents préférentiellement dans un format XML (OpenDocument).
L’éditeur O’Reilly édite aujourd’hui tous ses ouvrages à partir de sources en texte marqué.
Le Wysiwyg
Dans les années 1980 les ordinateurs personnels se répandirent, dont le Macintosh, et mirent à la portée d'un plus large public la puissance des gros systèmes informatiques jusqu'alors réservés aux laboratoires et aux programmeurs. Les interfaces graphiques comme Mac OS sur Macintosh, GEM et plus tard Windows sur PC, facilitèrent la prise en main de ces ordinateurs de nouvelle génération qui, en s'affranchissant du mode texte des terminaux, s'ouvrirent à la création avec des méthodes de travail plus naturelles : bureau virtuel, icônes, manipulations des graphismes à la souris. Cela permit aux artistes et aux maquettistes de passer plus facilement à l'informatique.
Dans un premier temps, les logiciels de traitement de texte évoluèrent, comme Microsoft Word qui en 1983 tournait sous DOS en mode texte puis en 1984 passa en version graphique sur Macintosh. De même, MacWrite fut à la sortie du Macintosh en 1984 le premier traitement de texte grand public à utiliser le principe WYSIWYG. Ensuite, se spécialisant dans la mise en pages[1], de nouveaux logiciels de publication assistée par ordinateur entrèrent dans les ateliers de photocomposition : Aldus PageMaker[2] en 1985, d'abord sur Macintosh puis aussi sur PC ; QuarkXPress en 1987 sur Macintosh, puis sur station NeXT et enfin sous Windows. D'autres logiciels, comme Ventura Publisher lancé en 1986, apportèrent leur pierre à l'édifice et transposèrent sur l'ordinateur les techniques traditionnelles d'édition : gestion de la typographie, arrangement des textes par bloc, détourage des images…
Grâce à un prix largement inférieur à celui des Macintosh et des compatibles PC, l'Atari ST (sorti en 1985) et l'Amiga (sorti en 1987) offrirent au grand public des micro-ordinateurs équipés eux aussi d'une interface graphique. Plusieurs logiciels de PAO firent une timide apparition sur ces plates-formes. Sur Amiga, Professional Page et PageStream essayèrent de se faire une place. Pourtant, même si Amiga News (l'un des derniers magazines français dédiés à cette machine) fut jusqu'à sa disparition mis en pages avec Professional Page 3.0 et si de son côté PageStream existe encore pour Mac et Windows, ces logiciels ne parvinrent pas à percer chez les professionnels. Sur Atari ST, Calamus Publisher s'en sortit beaucoup mieux car il offrait des fonctions avancées capables de rivaliser avec ses concurrents professionnels des mondes Macintosh et Windows (ce logiciel existe toujours mais reste limité au marché allemand ; il s'appelle Calamus SL d'Invers Software).
À partir des années 1990, XPress s'imposa comme le standard chez les professionnels et il fut utilisé pour la plupart des journaux, des catalogues et des magazines mis en pages sur ordinateur.
En 1999, Adobe marqua un grand coup dans le monde de la PAO en sortant InDesign, inspiré à la fois par PageMaker et XPress. Ce logiciel rencontra un rapide succès chez les graphistes et les maquettistes indépendants, avant de concurrencer XPress sur le terrain des grosses sociétés de presse. Cela poussa Quark, qui n'avait pas fait évoluer son logiciel de façon significative depuis des années, à se rapprocher de ses clients et relancer de nouvelles versions.
En parallèle, les logiciels spécialisés dans le traitement de texte et dans la mise en pages furent complétés par ceux dédiés au graphisme. En 1984, MacPaint pour le dessin bitmap (intervenant sur les pixels) et MacDraw pour le dessin vectoriel (courbes mathématiques dites « de Bézier ») ouvrirent la voie grâce à l'interface graphique du Macintosh et à la résolution de son écran adaptée aux imprimantes. En 1990, avec son logiciel de retouche et de manipulation d'images photographiques Adobe Photoshop, Adobe devint avec Apple et Quark l'un des noms les plus importants de l'histoire de la PAO. En dessin vectoriel, c'est Adobe Illustrator qui s'imposa comme l'outil incontournable des graphistes. D’autres logiciels vectoriels, tels FreeHand toujours de la société Adobe, ou CorelDraw, populaire car bon marché mais peu apprécié des professionnels, contribuèrent chacun à leur niveau à développer la création graphique sur ordinateur.
Depuis les années 1980, le temps fit son œuvre et certains logiciels disparurent, d’autres furent rachetés par de grosses sociétés (Adobe a racheté PageMaker, Macromedia a récupéré FreeHand avant d'être acheté par Adobe, Ventura Publisher a été rebaptisé Corel Ventura lorsque Corel le racheta à Xerox…), d'autres encore firent leur apparition, mais les ténors du départ sont aujourd'hui les logiciels les plus répandus dans la profession, avec le trio de tête : Quark XPress, Adobe InDesign, Adobe PageMaker ; et pour le graphisme, le couple Adobe Photoshop et Adobe Illustrator.
La communauté des logiciels libres entra à son tour dans la danse avec Scribus, qui se fait peu à peu sa place, au début dans le domaine non professionnel. Il fonctionnait initialement sous Linux, mais se décline aujourd'hui également en versions pour Windows et Mac OS X. Scribus a une allure de PageMaker et vise pour le moment le créneau de Microsoft Publisher. Il n'offre pas encore toutes les fonctions avancées des logiciels professionnels, mais est tout à fait viable pour les particuliers et les associations. Son développement permanent et son succès laissent présager à terme sa place auprès des "grands" concurrents libres aux logiciels payants cités plus haut. On notera principalement :
- Gimp comme alternative à Adobe Photoshop pour le bitmap
- Inkscape comme alternative à Adobe Illustrator pour le vectoriel
- Scribus comme alternative à Adobe InDesign et Xpress pour la mise en page
- LibreOffice comme alternative à Microsoft Office
Pour l'imposition, il existe plusieurs solutions déjà fort répandues : entre autres, le logiciel Preps édité par Kodak, le plug-in INposition Pro et le logiciel DynaStrip, édité par Dynagram. La société canadienne Ultimate Technographics offre la suite de solutions Impostrip.
- L’inconvénient de ces logiciels est qu’à l'origine ils marquaient en quelque sorte une régression par rapport au principe du texte marqué. En particulier, les mises à jour automatiques ne se faisaient plus : tout redevenait manuel, bien qu’assisté par des commandes puissantes comme Rechercher/Remplacer. Cet inconvénient est à relativiser avec l'apparition des feuilles de style puis des langages de programmation de scripts et enfin des applications dédiées pour la presse.
- En contrepartie, confort considérable, ces logiciels étaient WYSIWYG (« what you see is what you get », parfois traduit comme « tel écran, tel écrit »), ce qui permettait d’affecter à leur usage du personnel n’ayant pas besoin de faire un aussi grand effort d’abstraction (et donc moins coûteux pour l’entreprise), et surtout simplifiait la visualisation du travail (le maquettiste se concentrant sur sa maquette sans se préoccuper de la technique informatique).
- Les deux systèmes coexistèrent tant bien que mal dans les entreprises, la part du texte marqué se rétrécissant de plus en plus aux documentations lourdes, où un autre logiciel combinant les avantages du wysiwyg et du texte marqué commença à le grignoter un peu plus : Framemaker. Aujourd'hui, on peut faire la distinction entre les logiciels de PAO adaptés à de très longs textes, comme par exemple un roman ou une revue technique qui comporte peu d'illustrations mais de nombreux chapitres et notes de bas de pages (Framemaker y excelle) et les logiciels traditionnels qui permettent une mise en pages plus artistique adaptée aux journaux, aux magazines et aux publicités (XPress, InDesign, PageMaker).
L'ingénierie éditoriale
Les récentes problématiques de mutualisation de contenus (par exemple, entre un site web et une publication imprimée), et l'ancrage de la culture web ont poussé les éditeurs à proposer des solutions dépassant le cadre strict de la PAO.
Ces solutions, comme les plates-formes d'édition, rationalisent le métier d'édition en incluant les aspects de suivi de projet et de mutualisation des données dans un outil de production web.
L'émergence du langage XML au sein même de ces plateformes permet de manipuler le contenu éditorial en vue d'une publication multi-canal et nécessite un intervenant nouveau dans ce domaine : le Publicateur. Cet expert, rompu au dernières technologies numériques, a pour mission de préparer la diffusion de ces contenus afin de les transmettre aux divers intervenants de la publication (imprimeurs, intégrateurs multimédia, développeurs Web…).
Ainsi, le mot PAO prend tout son sens dans le terme de "Publication" assistée par ordinateur et ne s'attache plus à un seul média (anciennement l'impression papier) mais à une multitude de médias tels que le Web, les CD-Rom, les organiseurs de poche, les téléphones portables, les "pocket companion", les bornes interactives… bref, tous les nouveaux supports de diffusion numérique existants ou à venir.
La mise en pages SGBD
Il arrive que l'information à publier soit intégralement ou presque contenue dans des bases de données (annuaires, spectacles dans une grande ville, petites annonces, tarifs, catalogues, etc.). À partir de logiciels de mise en pages et de plugs-in appropriés, il est facile de lier la maquette d'une publication au contenu d'une base de données. Cette technique évite tout risque d'erreur de ressaisie, tout "copier-coller" malencontreux, et permet surtout l'édition des contenus en temps réel. Il existe deux façons de procéder :
- Le logiciel de mise en pages édite ou imprime directement un document en utilisant un fichier plat extrait de la base de données. Cette méthode fut bien maîtrisée depuis le milieu des années 80 avec le logiciel DCF, Document Composition Facility (qui avait introduit le langage de marquage GML, ancêtre direct du SGML).
- Le logiciel de mise en pages interroge en temps réel la base de données à chaque affichage, voire à terme effectuera des mises à jour en temps réel de l'affichage. C'est le concept de document vivant créé par Interleaf et repris depuis par Adobe Acrobat
L'une comme l'autre de ces techniques permet de réaliser par exemple un catalogue en quelques heures au lieu de quelques semaines comme auparavant avec les techniques plus anciennes de PAO. Une gestion rigoureuse de la base de donnée est nécessaire et l'opérateur PAO peut parfois devoir gérer cette base technique en fonction des supports de diffusion (notion de profil).
Les industriels de la grande distribution et les voyagistes les utilisent couramment : les mises à jour de descriptifs ou de visuels sont ainsi rendus bien plus fluides, concurrence oblige.
La PAO-SGBD se prête bien à une utilisation avec le langage de marquage XML et à la publication Cross-média. L'intégration avec des techniques de Web 2.0 comme l'architecture de participation. Le support papier, à mesure que les débits des réseaux s’accélèrent, la résolution comme la taille des écrans et la vitesse des processeurs augmente, pourrait devenir à terme une simple option.
Les principaux logiciels de PAO
La composition et la mise en pages des textes et images se font principalement à l'aide de logiciels professionnels tournant indifféremment sur PC ou sur Macintosh :
Mise en pages
Logiciels propriétaires
- QuarkXPress[1], en version 8.5 (Mac OS/Windows).
- InDesign[2], en version CS5 (Mac OS/Windows).
- Adobe PageMaker, en version 7 (Mac OS/Windows).
- Pages[3], en version 09 (Mac OS).
- Adobe FrameMaker[4] (documents techniques) (Mac OS/Windows/Solaris).
- Microsoft Publisher[5], en version 2003 (Windows).
- PagePlus X4, le studio de création graphique (Windows).
Logiciels libres
- Scribus [6], en version 1.3.x, (Linux, MacOSX, Windows).
- TeX (Système de composition de documents) (Linux, Windows).
- LaTeX (couche de macros qui utilise TeX) (Linux, MacOSX, Windows).
- LyX [7] (surcouche graphique wysiwyg de LaTeX) (Linux).
- OpenOffice.org Writer et LibreOffice Writer, (Linux, Windows, MacOS).
- OpenOffice.org Draw et LibreOffice Draw, (Linux, Windows, MacOS).
- Passepartout, un logiciel complet de pre-presse. (X11)
Dessin vectoriel
Le dessin vectoriel est assuré principalement par trois ténors du marché :
- Adobe Illustrator, en version CS5 (Mac/Win).
- CorelDraw (Win).
- Macromedia FreeHand (Mac/Win).
Des alternatives libres existent :
- Sketch (Linux).
- Karbon14 (Linux/Mac). S'est successivement appelé Killustrator puis Kontour avant de devenir Karbon14.
- Kivio (Linux/Mac).
- Module de dessin vectoriel d'OpenOffice.org (Linux/Mac/Win).
- Xfig (Linux/Mac).
- Sodipodi (travaille en SVG, mais permet l’exportation et l’inclusion de bitmap).
- Inkscape est un fork de Sodipodi (Linux/Mac/Win).
- Dia plus orienté vers la création de schémas (Linux/Mac/Win).
- Open Source Xara Xtreme (Linux)
Dessin bitmap
Logiciels de retouche d'images bitmap couleurs :
- Corel Painter (plus orienté peinture) (Win)
- Corel PhotoPaint (Win/Linux)
- Photogenics (Amiga/Linux/Win)
Des alternatives libres existent :
- The GIMP (Mac/UNIX/Win)
- Cinepaint dérivé de GIMP, travaille jusqu'à 24 bits (float) par couleur, principalement développé et utilisé par l'industrie du film d'Hollywood pour retoucher des séquences d'images (Mac/Unix/Win).
- Krita (UNIX)
En dehors de ces principaux logiciels, il en existe beaucoup d'autres, de facture plus ou moins professionnelle.
Dessin bitmap et vectoriel
- Adobe Photoshop, en version CS3. (Mac/Win).
- Adobe Fireworks, en version CS3. (Mac/Win).
Les formats de fichiers
Il existe aujourd'hui une multitude de formats de fichiers, que ce soit pour le texte aussi bien que pour l'image. Le monde graphique en utilise certains, nous allons en détailler les principaux en tentant de mettre en avant leurs avantages et inconvénients.
Formats de description de pages
Les formats inter-plateformes
- HTML (HyperText Markup Language) plutôt orienté visualisation web.
- MathML (Mathematic Markup Language) un sous-format de XML orienté vers les mathématiques.
- OpenDocument format ouvert de données pour les applications bureautiques : traitements de texte, tableurs, présentations, diagrammes, dessins et base de données bureautique, également appelée ODF. Format natif de la suite bureautique LibreOffice.
- PostScript Format de description de pages créé par Adobe, devenu un standard de fait et utilisé par un grand nombre d’imprimantes.
- PCL Format d’HP inspiré de PostScript.
- PDF (Portable Document Format) Lui aussi développé par Adobe, c'est un format de description de documents à vocation universelle.
- Tiff/IT (fichier dit sécurisé) Format d'échange de données numériques en mode points.
- SVG (Scalable Vector Graphic), un sous format de XML, permettant aussi bien le dessin vectoriel que l’animation, ou les formulaires.
- TeX Un des plus anciens, et certainement toujours le plus précis, utilisé par la majorité des mathématiciens. Il y a des produits dérivés spécialisé dans différents domaines comme MusiTeX pour les partitions de solfège.
- XML (eXtensible Markup Language) et DocBook orientés PAO et échange de données purement textuelles.
Les formats propriétaires
- QXD (QuarkXPress) ;
- AI (Adobe Illustrator) ;
- PMn (Adobe PageMaker) ;
- INDD (Adobe InDesign).
- pages (Apple Pages)
- PUB (Microsoft Publisher)
- PSD (Adobe Photoshop) ;
Formats de description d’images
Vectoriel
- EPS (Encapsulated PostScript) ;
- EPSF (Encapsulated PostScript File) ;
- SVG (Scalable Vector Graphic) ;
- SWF (ShockWave Flash)
Bitmap
- TIFF (Tag Image File Format) ;
- PSD (Photoshop Document) ;
- EPS (Encapsulated PostScript) ;
- JPEG (Joint Photographic Expert Group) ;
- JPEG 2000 (JPEG 2)* ;
- XCF (The GIMP)* ;
- PNG (Portable Network Graphics)* ;
- GIF (Graphics Interchange Format)* ;
- CT (Scitex Continuous Tone)* ;
- XPM (X Window Pixmap)*.
* Formats déconseillés pour la PAO.
Normes
Liens internes
Bibliographie
- Cédric Breton-Schreiner - L'Essentiel de la PAO - (éd. Eyrolles, hors collection, 2009) - 206 p. - (ISBN 9782212125139)
- Gérard Mourier - Guide pratique de la PAO sous Windows - (éd. Marabout, coll. "Informatique", 1993) - 508 p. - (ISBN 2-501-01971-7)
- Virga - L'Indispensable pour la micro-édition - (éd. Marabout, coll. "Marabout Service", 1990-1991) - 300 p. - (ISBN 2-501-01076-0)
Notes et références
- Dans le milieu professionnel, la mise en pages est l'action de créer des documents de plusieurs pages (dans le cas d'une page unique, il s'agit d'une maquette ou d'un document mis en forme). Le mot page comporte donc obligatoirement un s.
- Aldus sera racheté plus tard par Adobe
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