Philéas Lebesgue

Philéas Lebesgue
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Philéas Lebesgue est un écrivain français. À la fois poète, romancier, essayiste, traducteur et critique littéraire, il est né le 26 novembre 1869 à La Neuville-Vault (Oise) près de Beauvais et mort le 11 octobre 1958 dans le même village.

Sommaire

Introduction

Philéas Lebesgue (1869-1958), écrivain français, rédacteur au Mercure de France, est né et mort à La Neuville-Vault où ses parents étaient cultivateurs. Il leur succède après leur disparition. Il mène alors de front le métier d'agriculteur dans son village et une carrière littéraire originale et riche qui le fera voyager notamment au Portugal, en Grèce et en Yougoslavie, les trois pays dont il tenait la chronique littéraire au Mercure de France.

Source: François Beauvy, Le Paysage dans l'œuvre poétique de Philéas Lebesgue[1].

Biographie

Cultivateurs relativement aisés, ses parents le mettent en pension au collège de Beauvais à la rentrée de 1882. Il quitte cet établissement à 16 ans pour cause de maladie. Après le latin, l'anglais et le grec ancien, étudiés au collège, il apprend seul d'autres langues et écrit ses premiers poèmes. Agriculteur de métier, il se définit avant tout comme un homme de lettres. Dès 1896, il devient rédacteur au Mercure de France, prestigieuse revue internationale que dirige Alfred Vallette. Il est alors le chroniqueur des "Lettres portugaises" et le restera jusqu'en 1951. Il tient momentanément, en 1897, les "Lettres norvégiennes". À partir de 1899, il rédige les "Lettres néo-grecques" puis les "Lettres yougoslaves" à partir de 1917. Il est l'un des rares critiques à découvrir et apprécier le grand poète portugais Pessoa, en 1913.

Philéas Lebesgue comprenait au minimum 16 langues étrangères. Il ne les parlait pas couramment mais réussissait à les lire et, pour certaines, à les écrire. Ce sont l'allemand, l'anglais, le danois, l'espagnol, le galicien, le gallois, le grec, l'italien, le norvégien, le polonais, le portugais, le roumain, le russe, le serbo-croate, le slovène et le tchèque. On peut le rapprocher en cela d'Armand Robin. Il faut ajouter le sanscrit, l'ancien français, et trois langues régionales de France: le breton, le provençal et le picard parlé dans son village. Il a collaboré à des revues de langues étrangères, notamment L'Arte (Coïmbre, 1895-1896), Atlantida (Lisbonne, 1917), O Mundo (Lisbonne, 1915), Les Panathénées (Athènes, 1910), Periodikon nios (Le Pirée, 1900), La Vos (Madrid, 1923). En relation de 1920 à 1950 avec la femme de lettres galicienne Francisca Herrera y Garrido, il a publié des poèmes dans la revue galléguiste Nós.

Philéas Lebesgue s'est constitué un important réseau d'amis écrivains, artistes et hommes politiques par l'intermédiaire du Mercure de France et des ambassades. Dans les vingt-cinq mille lettres reçues de ses correspondants français et étrangers apparaissent les noms des Français Claude Aveline, Georges Duhamel, Édouard Dujardin, Émile Guillaumin, Pierre Jean Jouve, qui prendra ses distances, Louis Pergaud, Henri Pourrat, René Maran (Martiniquais, prix Goncourt 1921), Émile Verhaeren, le Russe Constantin Balmont, l'Italien F. T. Marinetti, le Lituanien Oscar V. de L.-Milosz, le Grec Ángelos Sikelianós, le Serbe Milan Voukassovitch, les Portugais Theophilo Braga, Bernardino Machado et Manuel Teixeira Gomes qui furent tous trois présidents de la République du Portugal.

À partir de 1926, Philéas Lebesgue préside l'Académie des dix de province et la Société des écrivains de province, avec lesquelles il tente de regrouper les écrivains régionaux, coloniaux et étrangers francophones.

Poète symboliste à ses débuts, Philéas Lebesgue écrit en vers traditionnels mais aussi en vers libres. Il « écrivait une poésie à la versification traditionnelle ou libérée, évoquant souvent les paysages de son pays de Bray[2]. » Il a également écrit des poèmes sur l'aviation, la ville moderne et le machinisme agricole.

Il est romancier, auteur de chansons, dramaturge, critique littéraire, éditorialiste, traducteur, et maire de La Neuville-Vault de 1908 à 1947. Dans ses œuvres, il s'est inspiré de la nature, de l'histoire, de la vie rurale, de ses voyages et de l'ésotérisme. À l'invitation de confrères, il s'est rendu trois fois au Portugal. Il est allé en Grèce, en Yougoslavie, au Pays de Galles, en Belgique, en Italie, en Espagne, etc. En France, il a principalement séjourné en Bretagne, dans le Midi et en Alsace.

Sources : Dictionnaire de biographie française, rubrique de François Beauvy[3] ; François Beauvy, Philéas Lebesgue et ses correspondants en France et dans le monde de 1890 à 1958[4] ; Pierre Garnier, Philéas Lebesgue Poète de Picardie[5].

Philéas Lebesgue et l'ésotérisme

L'ésotérisme de Philéas Lebesgue est uniquement poétique comme celui de son ami Oscar Milosz. Dès 1911, il adhère à la Ligue celtique française, créée par le poète Robert Pelletier, pour réfuter le « mensonge » du caractère latin de la France. En outre, Il est le « Grand Druide des Gaules », l'autorité spirituelle du Collège bardique des Gaules fondé en 1933 par le poète et éditeur de musique, Jacques Heugel, association qui cesse définitivement ses activités en 1939. Il collabore de 1928 à mars 1942 à la revue Atlantis de Paul Le Cour. Ses amis poètes et druides bretons Yves Berthou et François Jaffrennou-Taldir le proclament druide à part entière du Gorsedd des bardes de Bretagne en 1928. Il est cité à de nombreuses reprises dans L'Ésotérisme, Qu'est-ce que l'ésotérisme ? Anthologie de l'ésotérisme occidental de Pierre A. Riffard.

La Société des Amis de Philéas Lebesgue

Elle est fondée en 1930, du vivant de Philéas Lebesgue, par Camille Belliard et Alphonse-Marius Gossez, enseignants. Le but de l'association est alors de faire connaître la vie et l'œuvre de l'écrivain. Depuis 1985, il est aussi de sauvegarder sa maison et son patrimoine littéraire. L'association a un président d'honneur à sa fondation, l'académicien Henri de Régnier, puis l'académicien Georges Duhamel après 1936. La Seconde Guerre mondiale interdit toute activité. En 1949, André Matrat, jeune instituteur, fait la connaissance de Philéas Lebesgue à La Neuville-Vault. Il contribue, après C. Belliard et A.-M. Gossez, à faire connaître Philéas Lebesgue dans le monde scolaire. Il fait rééditer un choix de huit cents des mille six cents poèmes de Philéas Lebesgue, sous le titre Œuvres poétiques (Méru, Ed. du Thelle, 1950-1952, 1500 p. en 3 tomes). Dans les années 1960-1970, Marcel Caloin dirige l'association. De 1985 à 1996, André Matrat reprend la présidence. François Beauvy, entré dans l'association à l'âge de 21 ans en 1965, est élu président en 1997. André Matrat fonde, en 1986, le Bulletin de la Société des Amis de Philéas Lebesgue. François Beauvy, à partir de 1997, reprend cette publication avec le titre Bulletin des Amis de Philéas Lebesgue. Il publie un numéro annuel de 44 p. En outre, par son mémoire de DEA (1994), puis sa thèse de doctorat (2003) traitant de l'œuvre, puis des correspondants de Philéas Lebesgue, et par ses conférences, il continue d'apporter sa contribution à la connaissance de cet écrivain.

Récompenses et décorations

  • En 1929, il reçoit le prix Moréas pour son recueil de poèmes Présages.
  • En 1939, le "Legs Geffroy-Longchamp" lui est attribué par l'Académie Goncourt.
  • Trois prix de l'Académie française lui sont décernés : en 1920, le prix Jules Janin lui est attribué ainsi qu'à son confrère André Castagnou pour une traduction du grec moderne faite en collaboration. En 1950, il obtient le prix Georges Dupau qui récompense un "écrivain ayant bien servi les lettres". En 1956, il reçoit un "prix d'académie" pour Mes Semailles.
  • Nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1925, promu officier en 1953.

Bibliographie

37 recueils de poèmes de 12 à 205 pages, 18 romans, contes et drames, 13 essais ou ouvrages de philologie et d'histoire, 21 traductions (seul ou en collaboration, principalement avec Manoël Gahisto, pseudonyme de Paul Coolen), dont 3 de l'ancien français, 2 du breton, 3 de l'espagnol, 3 du néo-grec, 7 du portugais et 3 du serbo-croate.

Principaux recueils de poèmes
  • Le Buisson ardent, Seiches-sur-le-Loir, Ed. Henry Cormeau, 1910, réédité en 1988, 161 p.
  • Les Servitudes, Paris, Ed. du Mercure de France, 1913, 169 p.
  • La Grande pitié, Paris, Ed. Edward Sansot, 1920, 116 p.
  • La Bûche dans l'âtre, Paris, Ed. Chiberre, 1923, 143 p.
  • Les Chansons de MargotAmiens, Ed. Edgar Malfère, 1926, réédité en 1991, 205 p.
  • Présages, Paris, Ed. André Delpeuch, 1928, 104 p. (Prix Jean Moréas en 1929).
  • Triptolème ébloui, Paris, Ed; de la Revue des Poètes, Lib. acad. Perrin, 1930, 171 p.
  • Arc-en-ciel, poèmes in mémoriam, La Chapelle-aux-Pots, calligraphe R. Biet, 1938, 88 p.
  • Sur les pas du soleil, Paris, Ed. Jean-Renard, 1944, 93 p.

Une anthologie regroupant 800 poèmes sur 1600, choisis par André Matrat, a été publiée sous le titre Œuvres poétiques en 3 volumes de 450 p. chacun. Méru, Ed. du Thelle, 1950-1952.

Principaux romans et nouvelles
  • Le Sang de l'autre, Paris, Sté d'éd. littéraires, 1901, réédité en 1949, en 1967, et en 2010 par les éditions le Trotteur ailé, 313 p.
  • Destin, journal d'une femme, 1ère édition sous le titre Les Feuilles de rose- Journal d'une femme en 1903, Paris, Ed. Charles, rééditions en 1904, 1934, 1990, 220 p.
  • La Nuit rouge, Paris, Ed. Sansot, 1905, 2e édition traduite en espagnol par César A. Comet: La Noche roja, Madrid, Editorial-America, 1925, réédité en français en 1946 et 1987.
  • Outre-Terre, aventures dans l'invisible, Paris, Ed. de la Phalange, 80 p., 2e édition en espagnol par César A. Comet, publiée avec La Noche roja en 1925.
  • Kalochori, roman crétois, Paris, Ed. Eugène Figuières, 1928, réédité en 1969, 252 p.
  • Terre picarde, trois nouvelles, Grandvilliers, Ed. du Bonhomme picard, 1950. 2e édition: Cuise-la-Motte, Ed. du trotteur ailé, 2008, 95 p.
Quelques tragédies et drames
  • La Tragédie du Grand Ferré, trilogie dramatique en vers, Paris, Ed. des Libraires associés, 1892, 204 p.
  • Thomas Becket, tragédie en vers, 1942, inédit
  • Philippe de Dreux, tragédie en vers, 1943, inédit
  • Le Rachat de Prométhée, poème dramatique, Vieux-Condé (Nord), Ed. Le Sol clair, 1947, 32 p.
Principaux essais
  • Les Lois de la parole, essai de synthèse phonétique, Beauvais, Imp. du Moniteur de l'Oise, 1899, 16 p.
  • L'Au-delà des grammaires, essai de prosodie générale, Paris, Ed. Sansot, 1904, 314 p.
  • Aux fenêtres de France, "Essai sur la formation du goût français", Paris, Ed. Sansot, 1906, 93 p., réédité en 1934.
  • La Grèce littéraire d'aujourd'hui, Paris, Ed; Sansot, 1906, 84 p.
  • Le Pèlerinage à Babel, voyage d'un indigène de Counani à la recherche de la langue parfaite, Paris, Ed. Sansot, 1912, 167 p.
  • La République portugaise "Le sentiment national - Les ouvriers de l'ère moderne - La République vivante", Paris, Ed. Sansot, 1914, 387 p.
  • La Pensée de Rabindranath Tagore, Bruxelles, Ed. de La Nervie, 1927, 35 p., réédité en 2003 dans le Bulletin des Amis de Philéas Lebesgue no 37.
  • L'Héritage intellectuel de Virgile au Portugal et en France, Coïmbre, Ed. Institut français au Portugal, 1932, 30 p.
  • La Musique primitive dans ses rapports avec la poésie lyrique, article dans la revue L'Âge nouveau, oct. 1938.

Publications d'articles dans des revues et journaux. Contributions dans plus de 200 publications, la principale étant le Mercure de France

  • Philéas Lebesgue écrit quelque 500 chroniques dans le Mercure de France, de 1896 à 1951 où il tient "Les Lettres portugaises", momentanément "Les Lettres norvégiennes", puis "Les Lettres néo-grecques" et "les Lettres yougoslaves", ce qui l'oblige à de fréquents déplacements à Paris.
  • Éditoriaux dans La République de l'Oise : 330, de mai 1910 à mai 1941, puis 93 dans L'Oise libérée de septembre 1944 à juillet 1950.
Quelques traductions avec commentaires critiques
  • Le Songe d'enfer suivi de La Voie de Paradis de Raoul de Houdenc, Poème du XIIIe siècle, traduction et commentaire critique, Paris, Ed. Sansot, 1908, 235 p.
  • Les Perses de l'Occident de Sotíris Skípis, drame en 3 actes, traduit du néo-grec par l'auteur et Philéas Lebesgue, préface de Paul Fort, Paris, Ed.Eugène Figuière, 1917.
  • Le Roman d'Amadis de Gaule. Reconstitution du roman portugais du XIIIe siècle par Affonso Lopes-Vieira, traduit en français par Philéas Lebesgue. Paris, Ed. Claude Aveline, 1924, 222 p.
Littérature picarde
  • Ein acoutant l'cloque de l'Toussaint, Rédriyes picardes, Grandvilliers, Imp. de l'Hebdomadaire picard, 1939, 46 p.
  • Poèmes et contes brayons, contes dispersés dans des revues de 1892 à 1949 ou inédits, rassemblés, commentés avec traduction par François Beauvy, publication posthume, Beauvais, Centre départemental de documentation pédagogique, coll. Eklitra, 1986, 85 p.
  • Grammaire picard-brayonne, présentée par René Debrie et François Beauvy, publication posthume, Amiens, Centre d'études picardes, 1984, 63 p.

Sources : L'ensemble de cette bio-bibliographie a pour références les travaux de François Beauvy et notamment sa thèse de doctorat Philéas Lebesgue et ses correspondants en France et dans le monde de 1890 à 1958, 2003, Université de Paris X - Nanterre, 724 p. au jour de sa soutenance.

Études consacrées à Philéas Lebesgue, par ordre chronologique

  • Gahisto (P.-M.), Au cœur des provinces - Philéas Lebesgue, Roubaix, Ed. du Beffroi, 1908, 80 p.
  • Gossez (A.-M.), Les Célébrités d'aujourd'hui - Philéas Lebesgue, Paris, Ed. Sansot, 1924, 32 p.
  • Striegler (Helmut), "Inaugural-Dissertation" : Philéas Lebesgue, ein Dichter der Pikardie, Université de Leipzig, 1934 (Étude publiée en 1935 en Allemagne).
  • Roger Berrou, Philéas Lebesgue le Paysan de l'Univers, dans le tome 1 des Œuvres poétiques, 1950, 131 p., réédité par la Société des Amis de Philéas Lebesgue, 1996.
  • Pierre Garnier, Philéas Lebesgue, poète de Picardie, Grandvilliers et Amiens, imp. Sinet, coll. Eklitra, 1967, 43 p.
  • Gisèle Le Crocq, Philéas Lebesgue et la Grèce, mémoire de Diplôme, Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix-en-Provence, 1967-1968, 163 p. dactylographiées. Réédité dans le Bulletin des Amis de Philéas Lebesgue (no 38 de 2004 au no 42 de 2008).
  • André Camus, Jean Dubillet et Pierre Garnier, Le centenaire de Philéas Lebesgue, Eklitra, Amiens, 1969, 35 p.
  • François Beauvy, Le Paysage dans l'œuvre poétique de Philéas Lebesgue, mémoire de DEA, Université de Picardie -Jules Verne, 1994, publié en 1995 par la Société des Amis de Philéas Lebesgue, 150 pages.
  • Anton Figueroa, Lecturas alleas - Sobre das relacions con outras literaturas, Santiago de Compostele, Ed. Gotelo blanco, 1996, 155 p. (Publié en Espagne, traite de la correspondance de Philéas Lebesgue avec les écrivains de langue galicienne).
  • Claudio Veiga, Um Brasilianista francês - Philéas Lebesgue, Rio de Janeiro, Ed. Topbooks, 1998, 185 p. (Publié au Brésil).
  • François Beauvy, rubrique sur Philéas Lebesgue, dans le Dictionnaire de biographie française, Paris, Ed. Letouzey et Ané, tome XX, fascicule 115, 2003.
  • François Beauvy, Philéas Lebesgue et ses correspondants en France et dans le monde, thèse de doctorat, Université de Paris X - Nanterre, 2003, publiée en 2004, Beauvais, Ed. Awen, 674 p. et 16 p. hors-texte de Philéas Lebesgue et ses confrères.

Notes et références

  1. Mémoire de DEA, Faculté des Lettres d'Amiens, 1994, Ed. Société des Amis de Philéas Lebesgue, 1995, 150 p.
  2. Jacques Charpentreau et Georges Jean, Dictionnaire des poètes et de la poésie, coll. « folio junior en poésie », Gallimard, 1983.
  3. Paris, Ed. Letouzey et Ané, tome XX, fascicule 115, 2003.
  4. Thèse de doctorat, Ed. Awen, 2004, 674 p.
  5. Eklitra, 1967, 43 p.

Liens externes


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