Montgaillard (tarn-et-garonne)

Montgaillard (tarn-et-garonne)

Montgaillard (Tarn-et-Garonne)

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Montgaillard.
Montgaillard
Blason ville fr Montgaillard (Tarn-et-Garonne).svg
Pays
drapeau de la France
     France
Région Midi-Pyrénées
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Canton Lavit
Code Insee 82129
Code postal 82120
Maire
Mandat en cours
Séverin Baudonnet
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne tarn-et-garonnaise
Coordonnées
géographiques
43° 56′ 01″ Nord
       0° 52′ 37″ Est
/ 43.9336111111, 0.876944444444
43° 56′ 01″ N 0° 52′ 37″ E / 43.9336111111, 0.876944444444
Altitudes moyenne : 250 m
minimale : 139 m
maximale : 256 m
Superficie 9,5 km² (950 ha)
Population sans
doubles comptes
69 hab.
(1999)
Densité 7 hab./km²
Carte de localisation de Montgaillard

Montgaillard est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne et la région Midi-Pyrénées. C'est aussi une commune de l'Occitanie et fait partie de la province de Gascogne.

Ses habitants sont appelés les Montgaillardéens.

Sommaire

Géographie

Montgaillard est un ancien village potier, situé aux marches du Gers, entre Saint-Clar (Gers) et Lavit de Lomagne (Tarn-et-Garonne) Village fleuri et typique, il est au coeur de cinq chemins de randonnée, qui sillonnent cet adorable coin du Sud-ouest.

Histoire

Montgaillard est aussi une commune de l'ancien duché d'Aquitaine qui s'appela aussi duché de Guyenne. Montgaillard fut aussi à partir de 1561 une commune de l'ancienne province de Guyenne comprenant la Gascogne, la Saintonge, le Limousin, qui fut érigée en gouvernement de Guyenne avec pour siège Bordeaux.

Montgaillard est une commune du Pays de Lomagne inclus dans la Gascogne orientale dite Gascogne toulousaine. Montgaillard fit partie pendant une partie du Moyen Âge de l' ancienne Guyenne anglaise.

Le duché de Guyenne : Le nom de duché de Guyenne fut attribué au duché d'Aquitaine lorsqu'il fut amputé par les conquêtes des rois de France. Pour la première fois ce nom apparaît dans le texte du traité de Paris (1229) conclu le 12 avril 1229 entre saint Louis et Raymond VII de Toulouse comte de Toulouse, qui cédait la plus grande partie du Languedoc à la France et mettait fin à la croisade des Albigeois. Faisant partie des possessions des rois d'Angleterre de 1188 à 1453, la Guyenne est réunie au domaine du roi de France après la bataille de Castillon, qui mit fin à la guerre de Cent Ans.

Montgaillard a été un gros village potier  : du 16° au début du 20° siècle, sa production était vendue dans tout le Sud-ouest, mais aussi en Espagne et au Canada.

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
mars 2001 2014 Séverin Baudonnet
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[1])
1962 1968 1975 1982 1990 1999
102 129 103 99 86 69
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes

Lieux et monuments

  • Dans la petite église du village, une statue de Sainte Rufine ( ou Ruffine ?? ) ( la patronne des villages potiers ) a été remise en place le 5 août  2007. Il s'agit d'une copie, l'original ayant été dérobé il y a une vingtaine d'années.
  • Le petit Musée sur la place du village, le four des Miquelles, ainsi que deux chemins de randonnée (entre autres ...) : le chemin des potiers, le chemin des fontaines.
  • La plaque commémorative inaugurée le 2 juin 2002 en présence du maire, Séverin Beaudonnet, du Conseiller général, Francis Garrigues, d'André Dupuy, historien, et de membres de la famille de Percin. Cette plaque commémorative se trouve scellée sur ce qui reste de l'ancien mur d'enceinte du château-fort de Montgaillard, qui appartenait à la famille de Percin lorsqu'il fut démantelé en 1638 sur ordre du cardinal de Richelieu.

Personnalités liées à la commune

Rubens de Montgaillard qui vivait dans la seconde moitié du XIIe siècle et est le premier seigneur dont le nom est parvenu jusqu’à nous fit plusieurs donations à l’abbaye de Grandselve ; Ses successeurs, autres seigneurs de Montgaillard, imitèrent son exemple. La famille Rubens de Montgaillard devait tenir un certain rang dans la noblesse de la contrée car nous voyons Rubens assister en 1164 à une donation faite par Raymond V, comte de Toulouse.

Par Lettres patentes du 28 mars 1671 le roi Louis XIV érigea en marquisat la seigneurie de Montgaillard, avec incorporation des terres d'Esparsac, de la Grue, de Maumusson et de la moitié de la seigneurie de Lavit. Cette faveur fut accordée en récompense de la bravoure de Charles de Percin de Montgaillard, colonel du régiment de Champagne,qui, alors qu'il était lieutenant et commandant en second de la deuxième Compagnie des Mousquetaires du roi, avait eu un comportement héroïque notamment en juin 1658 à la célèbre bataille des Dunes et à la prise de la ville de Dunkerque. Ce nouveau marquisat appartenait en fait au frère aîné de Charles, à savoir Claude de Percin de Montgaillard, qui fut reçu par le roi à Saint-Germain-en-Laye le 16 juin 1671 sous le titre de Marquis de Percin. Début septembre 1675 les deux frères se trouvèrent mêlés en Bretagne à la révolte des "Bonnets rouges", connue sous le nom de "Révolte du papier timbré". En effet, Charles de Percin, marquis de Montgaillard, avait épousé dans le Finistère Renée-Mauricette de Ploeuc, marquise du Tymeur, et en août 1675 il se trouvait au château du Tymeur, où son frère, Claude, vint le rejoindre. C'est ce dernier qui dans le nuit du 2 septembre 1675 réussit à tuer d'un coup d'épée à travers la gorge Sébastien Le Balp, le chef des révoltés, lesquels, au nombre de 1200, campaient autour du château du Tymeur, qu'ils avaient commencé à piller. La mort de Sébastien Le Balp provoqua le désarroi chez les insurgés présents au Tymeur et mit fin à la révolte en Bretagne. Charles de Percin, marquis de Montgaillard, n'était pourtant pas hostile aux revendications des révoltés qui contestaient des impôts nouveaux, notamment une nouvelle taxe sur les papiers timbrés, et Sébastien Le Balp, leur chef, avait été le notaire de Renée-Mauricette de Ploeuc. Sébastien Le Balp espérait du reste convaincre le marquis de Montgaillard, homme de guerre, de prendre la tête des insurgés pour s'opposer aux troupes du duc de Chaulnes, qui venaient d'être envoyées en Bretagne pour mater la rebellion.

Charles de Percin était le fils de Pierre Paul de Percin, baron de Montgaillard, et de Françoise de Murviel qui s'étaient mariés en 1623 et lui même se maria en 1663 avec Renée Mauricette de Ploeuc. De cette union naquit un fils : Joseph Jean Marie qui décéda en 1703. Renée Mauricette de Ploeuc qui était la fille de Sébastien de Ploeuc, marquis de Tymeur (+ 1644) et de Marie de Rieux (+ 1628) s'était mariée en premières noces avec Donatien de Maillé, marquis de Caraman (+ 1652) dont elle eut un fils, Henri, décédé en 1715.

La famille de Percin avait acquis le château-fort de Montgaillard en 1566, mais elle possédait déjà depuis le XVe siècle les terres de Montgaillard. On a retrouvé des archives sur Bernard de Percin de Montgaillard dit "Le Petit Feuillant" qui était né en Gascogne en 1563 et se rendit célèbre par ses prédications et par le rôle important qu'il joua dans les affaires de la Ligue.

Notes sur la famille de Percin de Montgaillard

Armes: D'azur au cygne d'argent nageant sur des ondes du même, surmonté de trois molettes d'or rangées en chef

Cette Maison est originaire de Normandie et passa au XIIIe siècle en Guyenne (Autre nom de la province d'Aquitaine, qui lui fut donné notamment quand elle fut possession anglaise, de 1259 à 1453. Devenue, en 1469, apanage de Charles, frère de Louis XI, le duché de Guyenne revint définitivement à la Couronne en 1472). La Maison de Percin possédait depuis le milieu du XVe siècle en Gascogne (duché français qui s'étendait entre Pyrénées-Atlantiques et Garonne, en aval de Toulouse), de mâle en mâle, et sans interruption, la Seigneurie de Montgaillard et autres terres.

On prétend que cette maison est la même ou que c'est une branche de la Maison de Percy (l'une des maisons la plus illustre et la plus ancienne d'Angleterre).

Elle tire son origine de :

- Arnaud de Percin, puissamment établi, dès 1272 dans le Fezensac (dans le département du Gers), pays de Gascogne. Né vers 1261. Adoubé chevalier en 1282, il assiste le 9 avril 1295 à la signature des privilèges accordés par le comte d'Armagnac à la noblesse du Fezensaguet.

- Thomas de Percin, dit Northumberland. Né en 1310, co-seigneur de Céran (32), chevalier-banneret, suit le Prince Noir au siège de Toulouse en 1355. En 1356, à la bataille de Poitiers, il participe à la capture du roi Jean le Bon. Gouverneur de la Rochelle en 1369.

- Arnaud II de Percin, chevalier, co-seigneur de Céran "se tourna français" à la prise de Poitiers par Du Guesclin en 1372. Il confirme en 1395, les coutumes accordées aux habitants de Céran en présence de Bernard VII, Comte d'Armagnac, futur connétable de France en 1415.

- Honoré-Guicharnaud de Percin de Montgaillard, chevalier, co-seigneur de Céran, homme de guerre tué au combat en 1424. Acquiert le 24 mai 1400, les seigneuries de la Grue et de Maumusson dans la seigneurie de Montgaillard.

Celui dont on trouve la filiation, constamment prouvée est :

- Guicharnaud de Percin de Montgaillard, chevalier, co-seigneur de Céran et d'Esparsac. Il teste le 23/02/1472 en faveur de noble Jean de Percin, le fils qu'il avait eu de sa seconde épouse Anne de Grossoles, laquelle hérita de la seigneurie de Montgaillard, sans le château fort). De sa première épouse, Guillemette de Fitte, il avait eu six enfants, dont descendance représentée par les branches de Fleurance et de Sommières, aujourd'hui éteintes.

- Noble Jean de Percin de Montgaillard, co-seigneur de Céran et d'Esparsac(82) puis de la seigneurie de Montgaillard (82) pour laquelle il rend hommage au roi en 1478. Il se marie par contrat le 20 juin 1489 avec Marie de Thomassi. Il fait son testament le 30/04/1504.

- Jean II de Percin de Montgaillard, co-seigneur de Céran, d'Esparsac et de Montgaillard, seigneur de La Grue et de Maumusson. Marchand de Lectoure (32), du fait de son activité, il déroge et perd sa noblesse. Par contre il acquiert de nombreux biens à Lavit (82), Boloys, La Rocque et Bésodis. Il conseille alors à ses trois fils d'acheter des charges au parlement de Toulouse. Il fait son testament le 20/01/1552.

- Jean III de Percin de Montgaillard, seigneur de Boloys, conseiller-secrétaire du Roi au parlement de Toulouse, époux de Marguerite de La Viguerie, dont il eut trois filles.

- Marie de Percin de Montgaillard, fille aînée de Jean III de Percin de Montgaillard, épouse en 1560 Bernard de Lautrec, seigneur de Lauret.

- Bertrand de Percin, baron de Montgaillard en 1566, frère de Jean III. La branche issue de Bertrand de Percin de Montgaillard s'éteignit en 1897 en la personne de Charlotte-Bernardine de Percin de Montgaillard de La Valette, épouse du marquis de Juigné.

- Jehan de Percin, deuxième frère de Jean III. Seigneur de La Rocque et de Bésodis, auteur des branches de Lauret et de Seilh (31) docteur en droit, conseiller-secrétaire du Roi au parlement de Toulouse le 20/03/1553, devint parlementaire en juillet suivant jusqu'en 1582, charge reprise par son fils Valentin. Il se marie en 1550 avec Marie de Gleyzes, descendante des Castelbajac. Il fait son testament le 24/05/1591.

- Jean-Antoine de Percin, seigneur de Seilh, fils de Jehan de Percin, marié avec Marguerite de Buisson de Beauteville. Achète la seigneurie de Seilh avec le château de Las Tricheries en 1597 à son beau-père Martin de Buisson, baron de Beauteville. Contrôleur à la chancellerie de Toulouse le 28 août 1611, lettres patentes de Louis XIII et de Marie de Médicis. Il s'occupe des intérêts de son neveu François de Percin, qui devint seigneur de Lauret. Il fait son testament le 13/02/1614 en même temps que son épouse.

- Jean de Percin, seigneur de Seilh, fils de Jean-Antoine de Percin, né le 17/04/1601, greffier criminel en chef au parlement de Toulouse. Mariage le 21/11/1626 avec Louise de Chastenet, née vers 1601, il eut 10 enfants, il fait son testament le 04/06/1656 et décède vers 1668.

- Louise de Percin, fille de Jean de Percin, seigneur de Seilh, naquit le 25/04/1642, elle épouse le 26/08/1673 Claude-François de Veye, né le 09/09/1639, décès le 24/09/1683, Baron de Termes. A son décès Louise épousera en secondes noces Guillaume de Quintin, avant de décéder en 1685.

- Valentin de Percin, fils aîné de Jehan de Percin de Montgaillard et frère de Jean-Antoine. Il remplace son père au parlement de Toulouse le 02/07/1582. Il hérite du château des Queffes, il se marie le 14/07/1583 avec Jacquette de Belly. Conseiller aux requêtes, il avance 5000 livres à la ville de Toulouse pour la construction du Pont Neuf. Il fait son testament le 03/08/1608 et meurt le 26/03/1609

-Anne de Percin,fille de Valentin de Percin, elle épouse en 1610 Jean d'Ouvrier, docteur-régent de l'université de Toulouse.

- François de Percin, écuyer, frère jumeau d'Anne de Percin. Il est baptisé le 29/03/1594. Il est protégé par son oncle Jean-Antoine, après s'être fâché avec son tuteur, Jean de Percin, baron de Montgaillard. Il se marie le 05/11/1617 avec Louise de Lautrec qui fait son testament le 22/08/1670. Seigneur de Queffes, il reçoit la seigneurie de Lauret en dot. Il acquiert la terre de Saint-Brès (82) en 1621 près de Lauret et rend hommage au roi Louis XIII en 1633. Il meurt en 1664.

- François II de Percin, écuyer, seigneur de Lauret et de Saint-Brès, capitaine de cavalerie en 1651, il se marie le 28/11/1657 avec Géraude du Cos de la Hitte qui fait son testament en 1680.

- François III de Percin, alias de Persin, chevalier, seigneur de Lauret, capitaine au régiment de Lorraine. Maintenu noble le 12/07/1698 avec les armoiries des Percin établies en 1290 par son ancêtre Arnaud, co-seigneur de Céran. Gentilhomme de la chambre du Roi, il se marie avec Marie-Christine de Cheverry, famille navarraise établie à Toulouse au XVIe siècle. Il fait son testament en 1742. Jusqu'en 1980 ses armes figuraient sur un châssis verré de l'un des bureaux de commerce que possède un de ses descendants, Francis Persin de Lauret, Rue Saint Lazare à Paris.

- François IV de Percin, chevalier, seigneur de Lauret dès 1701, il se marie par contrat le 01/03/1716 avec Jeanne de Lamezan Nouailhan et reçoit la moitié de la Seigneurie d'Engalin en dot. Capitaine au régiment de Salles, brevet de Marquis de Lauret en 1723 (non héréditaire). Il fait son testament en 1760, année de sa mort.

- Jean-François (Jean) de Persin de Lauret, frère de François IV, fut en 1722 nommé à Mauvezin subdélégué d'intendance en l'élection d'Armagnac. Il fut le père de Louis-Armand, auteur de la branche protestante des Persin de Lauret.

De Bertrand de Percin, baron de Montgaillard, sont issus :

- Bernard de Percin de Montgaillard, un des plus grands prédicateurs de son siècle. Fameux ligueur, connu sous le nom de «Petit Feuillant», né en 1563 dans le Languedoc, au Château de Montgaillard. Il était fils de Bertrand de Percin de Montgaillard et d'Antoinette de Vaylet, tous deux de noble et ancienne maison. Il entra dans l’ordre de Cîteaux, devint prédicateur de l’archiduc d’Autriche Albert (décédé en Belgique), puis abbé de Nizelles (Belgique) et d’Orval (abbaye de Belgique, province de Luxembourg, fondée vers 1070 par les bénédictins et occupée au XIIe siècle par les cisterciens), où il mourut le 8 Juin 1628 à l'âge de 65 ans.

- Charles-Bernard-Joseph de Percin de Montgaillard, Marquis de Montgaillard et de La Valette, chevalier de Saint-Louis, marié à Madeleine-Antoinette-Charlotte de Gontaud-Biron de Saint Blancard. En 1788 il fut nommé commandant du régiment d'infanterie de Guyenne, et le 6 février 1792, en pleine Révolution, il fut promu Maréchal de camp par la Convention Nationale, mais il démissionna le 5 novembre 1792

- Jean-Jacques de Percin de Montgaillard, dominicain, né en 1653 et mort en 1711 à Toulouse.

- Pierre-Jean-François de Percin de Montgaillard, Prélat, né en 1633 à Toulouse et mort à Saint-Pons-de-Thomieres (34). Il embrassa la carrière ecclésiastique, fut «Docteur en Sorbonne» et évêque de Saint-Pons-de-Thomières en 1664 (Eglise fortifiée en partie du XIIe siècle, ancienne abbatiale, puis Cathédrale). Son père, Baron de Montgaillard avait été décapité sous Louis XIII, pour avoir rendu la Place de Brême dans le Milanais dont il était Gouverneur. Sa mémoire fut réhabilitée par le roi Louis XIV.

- Claude de Percin de Montgaillard, seigneur du marquisat de Montgaillard, seigneur de La Barthe près de Fleurance (d'où, dans cette ville du Gers, la "Rue du Marquis de Percin"). Il mourut en 1701. Il avait épousé en secondes noces Marguerite de Bassabat de Pordiac.

- Alexandre de Percin de Montgaillard, Marquis de Montgaillard et de La Valette, seigneur de la Barthe. Son nom fut substitué en 1708 aux noms et armes de Nogaret de La Valette par Gabrielle-Eléonore de Nogaret de La Valette, veuve de Gaspard de Fieubet, Premier Président du Parlement de Toulouse, laquelle lui laissa tous ses biens à la charge de perpétuer le nom historique de La Valette. Il hérita du château de Caumont, qui appartient de nos jours à la famille de Castelbajac.

Sources

  • Histoire de Montgaillard , Histoire de Bretagne.
  • Jean-Yves Carluer, professeur d'histoire à l'Université de Bretagne occidentale, et Erwan Chartier, journaliste à la revue bretonne ArMen.
  • Nobiliaires de Gascogne.

Voir aussi

Notes et références

Liens externes

  • Portail de Tarn-et-Garonne Portail de Tarn-et-Garonne
  • Portail de la région Midi-Pyrénées Portail de la région Midi-Pyrénées
Ce document provient de « Montgaillard (Tarn-et-Garonne) ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Montgaillard (tarn-et-garonne) de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужно сделать НИР?

Regardez d'autres dictionnaires:

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”