Mohammed Reza Pahlavi

Mohammed Reza Pahlavi

Mohammad Reza Pahlavi

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Mohammad Reza Shah
محمد رضا
Empereur (chah) d'Iran
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Mohammad Reza, chah d'Iran

Règne
16 septembre 1941 - 16 janvier 1979
Couronnement 26 octobre 1967
Dynastie Pahlavi
Prédécesseur Reza Khan
Successeur Abolhassan Bani Sadr
(président de la République islamique d'Iran)
Héritier Reza, prince impérial

Autres fonctions
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Biographie
Nom de naissance Mohammad Reza Pahlavi
Naissance 26 octobre 1919
Flag of Iran.svg Téhéran (Iran)
Décès 27 juillet 1980
Flag of Egypt.svg Le Caire (Égypte)
Père Reza Chah
Mère Tadj ol-Moluk
Consort(s) Fawzia bint Fuad (1938-1948)
Sorayah Esfandiari Bakhtiari (1951-1958)
Farah Diba (1959)
Descendance Avec Fawzia bint Fuad
Princesse Shahnaz Pahlavi

Avec Farah Diba
Prince Reza Pahlavi
Princesse Farahnaz Pahlavi
Prince Ali Reza Pahlavi
Princesse Leila Pahlavi

Monarques d'Iran

Mohammad Reza Shah Pahlavi (en persan : محمد رضا شاه پهلوی), Alaa-Hazrat Homayoun, Shahanshah Aryamehr, Shahanshah-e Iran (qui peut être traduit par Sa Majesté impériale, Sa Grandeur, Roi des Rois, Lumière des Aryens, l'Empereur d'Iran)[1] né le 26 octobre 1919 à Téhéran et mort en exil le 27 juillet 1980 au Caire, est le dernier chah d'Iran du 16 septembre 1941 au 16 janvier 1979 (transmission du pouvoir au Conseil du Roi et départ effectif du territoire iranien) ou 1er avril de la même année (abolition de la monarchie et proclamation de la république islamique). Renversé durant la vacance du trône, le 11 février 1979 (22 Bahman 1357), Mohammad Reza Shah Pahlavi n'a jamais abdiqué officiellement [2].

Sommaire

Biographie

Jeunesse

Enfance

Mohammad Reza Pahlavi jeune

Mohammad Reza Pahlavi naît le 26 octobre 1919 à l'hôpital Ahmadiyeh, dans les quartiers sud de Téhéran. Il est le fils aîné de Reza Khan, fondateur de la dynastie Pahlavi sous le nom de règne de Reza Shah, et de Nimtaj Khanum, future reine mère Tadj ol-Moluk (1896-1982)[3]. Troisième enfant d'une fratrie composée de sept garçons et quatre filles, il est le frère cadet de la princesse Shams (1917-1996) et le demi-frère de la princesse Fatemah, dite Hamdan Saltaneh (1912-1992), née d'une précédente union. La princesse Ashraf (née en 1919) et le prince Ali-Reza (1922-1954) sont respectivement sa soeur jumelle et son seul frère de mère non qadjar (Tadj ol-Moluk). Ses demi-frères et demi-soeur d'ascendance qadjar sont les princes Gholam Reza (né en 1923), Abdul Reza (1924-2004), Ahmad Reza (1925-1981), Mahmud Reza (1926-2001), la princesse Fatemeh (1928-1987) et l'ex-prince Hamid Reza (1932-1992), déchu par son frère et devenu Hamid Islami sous la République islamique[4].

Éducation et formation

En 1925, bénéficiant d'une éducation stricte à la fois militaire et occidentale, Mohammad Reza Pahlavi gagne le prytanée Nezam, deux jours après qu'une loi lui a conféré le titre de prince héritier.

Une fois son certificat d'étude obtenu, à la fin de l'été 1931, Mohammad Reza Pahlavi quitte l'Iran afin de poursuivre son instruction en Suisse, dans le canton de Vaud. En 1936, au terme des cinq années passées au collège du RoseyRolle, le jeune prince revient au pays et achève son apprentissage à l'Ecole des Officiers de Danechkadéyé-Afsari. Il reçoit le diplôme des mains de son père le 28 septembre 1938, avec le grade de sous-lieutenant.

Quelques mois plus tôt, le 26 mai 1938, le palais impérial annonce qu'une délégation conduite par le Premier ministre Mahmoud Djam va se rendre au Caire pour convenir du mariage entre le prince héritier et Fawzia Bint Fuad, fille du roi Fouad Ier et soeur du jeune Farouk Ier, intrônisé deux ans auparavant. Les fiancés ne se sont jamais vus et il importe surtout à Reza Shah que la toute jeune dynastie Pahlavi gagne en légitimité aux yeux du monde. Le choix d'une princesse Qadjar étant hors de question, le vieux souverain accueille par contre très favorablement une union avec la couronne égyptienne. Moins d'un an plus tard, Le 16 mars 1939, Mohammad Reza Pahlavi épouse la princesse Fawzia au Palais royal d'Abidin, au Caire, selon le rite chiite. Une seconde cérémonie, de rite sunnite, se déroule à Téhéran, au Palais impérial du Golestan, le 25 avril 1939.

Si d'un point de vue politique ce mariage apporte le prestige et la reconnaissance à la dynastie Pahlavi, il ne tarde pas à révéler ses failles. Eloignée des salons chics d'Alexandrie et du Caire, Fawzia, devenue reine d'Iran (malika Fawzia Pahlavi) à l'avènement de Mohammad Reza, ne s'adapte pas à la cour de Téhéran. Hormis la naissance d'une fille, la princesse Chahnaz, le 27 octobre 1940, l'union est vécue comme un échec relationnel. Rentrée dans son pays, la reine Fawzia se voit accorder le divorce par le gouvernement égyptien dès 1945. Ce n'est que trois ans plus tard que les autorités iraniennes confirment cette décision. Le divorce officiel est donc accordé le 17 novembre 1948, à la condition que la princesse Chahnaz reste sous la responsabilité de son père.

De 1941 à 1953, premières années de règne

Accession au trône

L'occupation anglo-soviétique

Attentat de l'Université de Téhéran

Nationalisation du pétrole

Relations avec Mossadegh

Exil et restauration

Aidé par la CIA et le MI6 britannique au cours de l'Opération Ajax, le chah remonte rapidement sur le trône. L'ancien Premier ministre Mossadegh est condamné à mort. Il fut cependant gracié par le chah et sa peine sera commuée en un exil intérieur qui durera jusqu'à sa mort.

De 1953 à 1971, apogée du règne

Renforcement du pouvoir personnel

Le chah d'Iran devient un des dirigeants les plus importants du Moyen-Orient, car il gouverne un pays riche en gisement pétrolier et militairement puissant, tout en profitant de la bienveillance des États-Unis (Opération Ajax). Il abolit le système multipartite qui lui est hostile et instaure un régime autoritaire avec l'aide de la police politique iranienne, la SAVAK, et l'aide militaire des États-Unis.

Avec sa « Révolution blanche », le chah modernise progressivement l'Iran pour en faire un pays occidentalisé. Son père Reza Chah avait lancé la construction d'un Iran laïc et à l'image de ce que Mustafa Kemal Atatürk a fait pour la Turquie : une révolution industrielle et culturelle.

La révolution blanche concerne une série de mesures destinées à moderniser le pays, comme une réforme agraire, la constitution du corps de Sepah-e Danech (l'armée du savoir) pour alphabétiser les populations, la relève du suffrage universel, y compris pour les femmes, la mise en place d'un examen professionnel pour les aspirants théologiens islamiques (les mollahs) et ce en rupture avec les vieilles traditions religieuses.

Couronnement

Fêtes de Persépolis

La chute

Sa politique aboutit à une croissance économique très forte durant les années 1960 et 1970. Cependant, en 1978, devant la brutalité des méthodes de la SAVAK, le faste ostentatoire des plus riches et de la famille impériale et une sclérose démocratique, le président américain Jimmy Carter demande au shah de libéraliser son pays.

Le chah fait appel à ses opposants les plus libéraux, comme Chapour Baktiar, pour tenter de sauver le régime impérial perçu comme trop autoritaire et trop occidentalisé en particulier par les conservateurs religieux. Le nouveau premier ministre, pour pouvoir rétablir la situation, demande au chah de quitter l'Iran pour une durée indéterminée (le shah lui-même voulait absolument quitter le pays). Par mesure de sécurité, l'armée a bouclé tous les accès au quartier nord, la banlieue cossue où se situe la résidence des souverains. Le Chah et l'impératrice Farah quittent en hélicoptère le Palais de Niavaran pour l'aéroport de Mehrabad. Le 16 janvier 1979 l'avion transportant le couple impérial et quelques collaborateurs décolle, c'est le début de l'exil du Shah.

L'exil

Deux semaines plus tard, l'Ayatollah Khomeini retourne en Iran. Après la déclaration de la neutralité de l'armée, Chapour Bakthiar est contraint à la fuite : le dernier gouvernement du chah s'effondre. Le régime islamique s'impose et va organiser une purge (la plupart des anciens ministres et officiers de l'ancien régime, encore présents en Iran, sont jugés et exécutés). Des menaces sont proférées contre les pays qui accepteraient d'accueillir le chah, dont le retour est exigé : les chefs religieux veulent le juger.

Accueillis dans un premier temps par le président Sadate, devenu au fil des années un allié et un ami fidèle, le Chah et l'impératrice Farah séjournent à Assouan durant une semaine. Persuadé que la résistance serait mieux organisée à partir du territoire égyptien, le Raïs insiste pour que le couple impérial reste sur place. Le Chah ne veut pas l'encombrer et sur l'invitation du Roi Hassan II, un autre allié de longue date, il reprend l'avion à destination de Marrakech le 22 janvier 1979. Deux jours plus tôt, durant une conférence de presse, le président Jimmy Carter avait fait savoir que sa présence n'était plus souhaitée aux États-Unis : divisée au sein même de son administration et après avoir tenu des discours contradictoires des mois durant, la Maison Blanche décide clairement d'abandonner son allié de naguère. Contrairement à ce qui avait été annoncé par les médias au début du mois de janvier, la famille impériale ne va donc pas s'installer à Palm Springs, en Californie, sur l'initiative de Nelson et David Rockefeller.

C'est durant son séjour au Maroc que le souverain empêché apprend la nouvelle du retour d'exil de Khomeiny et la fin du gouvernement de Shapour Bakhtiar, renversé par les révolutionnaires et privé du soutien de l'armée qui s'est déclarée neutre. Malgré les conseils et l'assurance du soutien du Roi Hassan II, l'exil marocain n'excède pas trois semaines: arrivé en urgence de Paris, Alexandre de Marenches tire la sonnette d'alarme. Reçu en audience au palais de Rabat, le chef des services secrets français informe que les religieux iraniens ont l'intention d'enlever ou d'attenter à la vie des membres de la famille royale marocaine si celle-ci s'obstine à soutenir le Chah. Hassan II refuse de céder au chantage, mais Mohammad Reza Pahlavi préfère éviter ce scénario : il décide donc de quitter le sol marocain. Roberto Armao, le responsable des relations publiques de la famille Rockefeller, est dépêché pour trouver une autre terre d'accueil. Devant faire face au refus ou aux tergiversations des alliés d'autrefois, l'émissaire reçoit finalement une réponse favorable de l'archipel des Bahamas. La solution demeure néanmoins provisoire puisque les souverains déchus n'obtiennent qu'un visa de trois mois et sont confinés dans une petite maison en bord de mer.

Installés depuis le 30 mars 1979 à Paradise Island, aux Bahamas, les souverains iraniens sont cette fois acceptés par le Mexique, sur l'insistance conjointe de Roberto Armao et d'Henry Kissinger. La Villa de las Rosas, située dans une impasse de Cuernavaca, devient le nouveau havre de paix. Alors que tout laisse présager que le Mexique sera le point final de l'exil, la maladie dont souffre le Chah depuis 1974 se rappelle à son souvenir : les ganglions du cou sont fortement enflés. Le professeur Flandrin, l'assistant du professeur Jean Bernard, est appelé de Paris en consultation. Pour la première fois le mot cancer est évoqué en présence du Chah. Atteint de la maladie de Waldenström [5], Mohammad Reza Pahlavi doit subir une intervention chirurgicale dans les plus brefs délais : la chimiothérapie, à base de Chlorambucil, prescrite par les hématologues français, a atteint ses limites et il devient impératif de procéder à une ablation de la rate (splénectomie). Sceptique, l'administration Carter envoie ses propres médecins pour l'informer de l'état de santé du Chah.

L'admission du souverain dans un hôpital new-yorkais sera à l'origine de la prise d'otage de l'ambassade américaine de Téhéran[réf. nécessaire]. La situation devenant intenable, Mohamed Reza Pahlavi est à présent transféré sur une base militaire du Texas : sous la pression, le Mexique refuse le retour du Chah sur son sol. Panamá sera l'étape suivante de l'errance. Mais les mollahs tentent d'obtenir le retour du Chah. Le gouvernement panaméen, d'abord disposé à accueillir les souverains déchus, change de position : il ne verrait pas d'objection à négocier une extradition. Anouar el-Sadate, qui avait toujours demandé que les Pahlavi demeurent en Égypte, réitère son invitation. C'est donc le retour à la première destination d'exil, mais avant cela l'avion va être bloqué plusieurs heures dans l'archipel des Açores : des avocats, chargés par le régime islamique, tentent par ce moyen d'arrêter le Chah. L'avion décolle avant que les autorités locales ne reçoivent officiellement la demande.

Mohammad Reza Pahlavi, extrêmement diminué par la maladie, est installé au Palais Koubeh avec les membres de sa famille. Transféré d'urgence, il doit se faire à nouveau opérer : un abcès est survenu à la place de sa rate et l'intervention subie à New York témoigne de négligences et d'erreurs de jugement déconcertantes[réf. nécessaire]. La seconde opération est réussie mais il s'avère que le cancer est arrivé à un stade beaucoup trop avancé : le foie est atteint. Suivra alors une agonie de plusieurs mois qui prendra fin le 27 juillet 1980.

Le Chah a eu droit à des funérailles nationales organisées en Égypte mais, par crainte de représailles, la plupart des chefs d'État en fonction ne firent pas le déplacement. Présent lors de la cérémonie, l'ancien président Nixon dénonça la lâcheté de la Maison Blanche et des alliés occidentaux. Le Chah est inhumé dans la mosquée Al-Rifai, au Caire.

L’impératrice Farah Diba et l’héritier du trône, son fils Reza Pahlavi, sont très impliqués aujourd’hui dans les mouvements d’opposition au régime iranien au niveau international.

Annexes

Notes et références

Bibliographie

  • Iman Ansari et Patrick Germain : Mon père, mon frère, les Shahs d'Iran - Entretiens avec le prince Gholam Reza Pahlavi. Éditions Normant 2004. ISBN 2-915685-06-1
  • Bertrand de Catselbajac : L'Homme qui voulait être Cyrus. Éditions Albatros 1997. ISBN 2-7273-0157-X / ISBN 978-2-7273-0157-8
  • Jean-Pierre Digard, Bernard Hourcade et Yann Richard : L'Iran au XXe siècle - Entre nationalisme, islam et mondialisation. Éditions Fayard, 1996, nouvelle édition 2007. ISBN 978-2-213-63210-0
  • Princesse Soraya Esfandiari-Bakhtiari : Le Palais des solitudes. Éditions Hachette Littérature, 1998. ISBN 978-2-7382-0531-5
  • Ryszard Kapuscinski : Le Shah, Éditions 10-18, 1999 (dernière édition). ISBN 2-264-02086-5
  • Catherine & Jacques Legrand : Chroniques de l'histoire: Le Chah d'Iran. Jacques Legrand sa Éditions Chronique - Hachette Distribution, 1998. ISBN 2-905 969-93-8
  • Houshang Nahavandi : Carnets secrets : chute et mort du Shah. Éditions Osmondes, 2003. ISBN 2-00978-291503-602-2
  • Farah Pahlavi : Mémoires. XO Editions, 2003. ISBN 2-84563-065-4
  • Mohammad Reza Pahlavi : Réponse à l'histoire. Éditions Albin Michel, 1979 (rééd. 2000). ISBN 978-2-226-00877-0
  • Reza Pahlavi : Pour l'Iran - Entretiens avec Ahmad Ahrar, Éditions Flammarion, 2004. ISBN 2-08-068220-2
  • Yann Richard : L'Iran - Naissance d'une république islamique, Éditions de La Martinière, 2006. ISBN 2-84675-210-9

Articles connexes

Liens externes

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