Lac De Paladru

Lac De Paladru

Lac de Paladru

Lac de Paladru
Lac de Paladru 3.JPG
Administration
Pays France France
Province Rhône-Alpes
Isère
Géographie
Latitude
Longitude
45° 27′ 18″ Nord
       5° 32′ 06″ Est
/ 45.455, 5.535
 
Type naturel
Origine 12000
Superficie 3,9 km²
Longueur 5,3 km
Largeur 950 m
Altitude 492 m
Profondeur
 · Maximale
 · Moyenne
 
36 m
25 m
Volume 97 millions de m³
Hydrographie
Bassin versant 10 km²
Alimentation le Courbon du côté de Montferrat
le Chantabot (ou Surand) du côté de Le Pin
Émissaire(s) la Fure
Divers
Peuplement piscicole brochets, carpes, perches, tanches, ombres chevaliers, truites lacustres, corégones, gardons, ablettes, écrevisses
Peuplement avifaune hérons cendrés, grèbes, locustelles, rousserolles, bruants des roseaux, cincles plongeurs, becassines des marais, martins-pêcheurs, canards, sarcelles, macreuses, foulques, cygnes
Commentaire plages aux deux extrémités
  Géolocalisation sur la carte : France
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Lac de Paladru

Le lac de Paladru est un lac naturel (glaciaire) des pré-Alpes. Aujourd'hui, sixième lac naturel de France, il était, avant l'annexion de la Savoie en 1860, le plus grand lac naturel de France. Il est souvent désigné sous le terme de Lac Bleu par ses riverains.

Sommaire

Géographie

Le lac de Paladru est situé dans le département de l'Isère et plus précisément dans la région des collines miocènes du bas-Dauphinée, appelées Terres Froides, approximativement entre les villes de Voiron et La Tour-du-Pin. Il s'étend selon une orientation Nord Est-Sud Ouest sur 5 300 m, pour une largeur de 950 m. Il a une profondeur moyenne de 25 m, avec un maxima de 36 m. Le volume d'eau qu'il contient est de 97 millions de m3. Il est situé à 492 m d'altitude. Cinq communes se partagent le littoral. Ce sont, dans le sens des aiguilles d'une montre: Charavines (à la pointe Sud), Le Pin, Paladru (qui lui a donné son nom pour en avoir la plus grande part, à la pointe Nord), Montferrat et Bilieu. Les plages se situent aux deux extrémités; les rives latérales ont une forte déclivité. Le bassin du lac est un facteur d'unité et donne une image d'authentique "pays" au sens géographique du terme.

Le lac est le produit du surcreusement par le glacier du Rhône sur un dépôt Miocène à dominance calcaire du Bas-Dauphiné. Lors du retrait au moment du réchauffement würmien, il y a 12 000 ans, le barrage morainique du Guillermet a formé le lac. Cette origine est perceptible par la présence, au sommet des collines environnantes, de blocs erratiques, arrachés aux sommets des Alpes et abandonnés à des altitudes de 800 m lors du retrait du glacier. Un témoin impressionnant appelé Pierre Beau Soleil ou Pierre de Libre Soleil (6 m de long sur 4,50 m de large et haut de 2 m) est visible au-dessus de Bilieu[1]. Il faut noter la forme d'auge caractéristique des deux vallées contiguës au lac de Paladru, la vallée de la Bourbre et la vallée d'Ainan qui démontre l'origine commune des Trois-Vals. Les langues glaciaires du Rhône y rencontraient celles du glacier de l'Isère au débouché de la cluse de Voreppe et ont conduit à la constitution de bourellets morainiques et de plusieurs seuils dont celui de Charavines (au lieu-dit Le Guillermet).

Son alimentation se fait par deux ruisseaux : le Courbon du côté de Montferrat et le Chantabot (ou Surand) du côté de Le Pin, émissaire de l'étang du Vivier. Un apport par des sources sous-lacustres est attesté par l'importante différence entre la somme des débits entrants et le débit sortant. Il donne naissance à la Fure dont le nom évoque la violence du torrent primitif. La Fure se jette après un parcours d'une vingtaine de kilomètres dans l'Isère à Tullins, après avoir traversé Rives, ville renommée au Moyen Âge pour la qualité de ses épées. Le vallon de la Fure a connu du XVIIIe au début du XXe un destin industriel prospère (aciéries, papeteries). Une prise en surface et un éclusage furent aménagés en 1869 pour réguler le cours de la Fure en saison sèche et permettre l'exploitation de toutes ces usines.

Climat

Le tour du lac présente un climat tempéré frais à tendance continentale. L'orientation Nord-Sud et l'altitude relativement élevée font que la moyenne thermique annuelle se situe autour de 10°C avec une amplitude d'une vingtaine de degré. La pluviométrie est irrégulière avec des maximums en juin et octobre à la faveur des remontées des masses d'air humide de la Méditerranée. Le mois de janvier est le plus froid, avec des gels fréquents[2]. En revanche le début de l'automne est particulièrement doux.

Histoire

Le site, peu favorisé par son climat et la pauvreté des sols, fut temporairement occupé au néolithique (site des baigneurs - voir infra), puis pendant la période gallo-romaine, mais sans que l'on y ait découvert des restes de villa à proximité immédiate du lac. Il fait partie du comté carolingien de Sermorens créé tardivement au IXe siècle qui est rattaché à la Francie médiane, puis au royaume de Provence.

C'est au cours du XIe siècle qu'un essor démographique et économique entraîna une colonisation durable des rives du lac (site des chevaliers-paysans - voir infra). Au XIIe siècle, le lac de Paladru est dans la zone frontière des principautés de Savoie et du Dauphiné que ni l'une, ni l'autre ne domine complètement. Cette situation trouble favorise l'émergence de baronnies telle que la Maison des Clermont. En 1340, ces derniers prêteront hommage au Dauphin pour les châteaux de Virieu, Paladru, Montferrat, Saint-Geoire-en-Valdaine, tous à proximité du lac. Dès lors le site suivra le sort du Dauphiné et sera intégré au royaume de France.

Un site archéologique

Le lac dispose de sites archéologiques remarquables[3].

le site néolithique

Les rives du lac ont été colonisées par des villages néolithiques vers 2600 à 2500 avant JC. Le site des baigneurs a été identifié dès le début du XXe siècle à l'occasion d'une baisse du niveau des eaux. Contrairement aux premières hypothèses, il ne s'agissait pas d'habitations palafittes, mais de villages riverains, mode d'implantation semi-permanente. A cette époque, les habitants se déplaçaient tous les 20/25 ans sur de nouvelles parcelles livrées à l'essartage pendant que la nature régénérait les anciennes. Le niveau variable des eaux explique également ces migrations répétées.

Le site des Baigneurs, près de Charavines a fait l'objet d'une fouille systématique de 1972 à 1986. Le site a été occupé à deux reprises. Il a été rapidement submergé peu après son abandon, ce qui a permis une bonne conservation des vestiges. L'exploitation a permis d'enrichir nos connaissances sur la colonisation agricole et la vie quotidienne au Néolithique. Une exposition permanente est présente à la Maison de Pays de Charavines.

les chevaliers-paysans de l'an Mil

Le site archéologique de Colletière[4] est aussi célèbre pour ses chevaliers paysans.

Il existe en réalité trois sites contemporains: Pré d'Ars, les Grands Roseaux et Colletière[5].

C'est le site de Colletière[6] qui a fait l'objet de fouilles systématiques. Sa fondation est datée de 1003 par dendrochronologie. Les trois sites seront abandonnés simultanément vers 1035, à cause d'une montée des eaux[7] L'émergence du pouvoir civil et des châtelleries environnantes (Paladru, Clermont, Virieu) à la même époque peut évoquer un passage direct d'un mode d'exploitation à l'autre.

Les constructions ont été faites à même le sol sur une plage de craie et non sur pilotis. Les sites subaquatiques permettent une conservation des restes organiques, et donc une documentation extrêmement riche. Colletière présente aussi l'intérêt de n'avoir connu ni réoccupation postérieure à l'an mil, ni modification de conditions du gisement.

Les fouilles ont été faites, après carrotages sédimentaires, par carroyage général et prélèvement manuel.

La légende d'Ars

En 1116, les chartreux créent le monastère de la Sylve Bénite (commune de Le Pin) à quelques kilomètres du lac. Un fils naturel de Frédéric Ire Barberousse étant convert au monastère, ce dernier bénéficie d'importante donation, et entre en conflit avec le village d'Ars (Arsa signifiant "brulé"), peut-être un reste de la précédente colonisation littorale. Le village est détruit mais on ignore quand et par qui[8].

En 1177, le pape Alexandre III confirme les privilèges au chartreux et la possession d'Ars. C'est ce texte qui nous révèle la destruction antérieure du village car le texte interdit la reconstruction de la chapelle incendiée.

Plus tard l'abandon définitif du village fut la conséquence d'une simple montée progressive du niveau du lac.

C'est à partir de ces faits avérés que vont se bâtir différentes légendes. De traditions orales, elles seront transcrites par Louise Drevet dans ses Nouvelles et Légendes Dauphinoises. Les légendes du lac de Paladru (1895).

  • "La légende du pèlerin" : un pèlerin se heurte à l'hostilité du village à l'exception d'une femme et sa fille qui lui offrent l'hospitalité. Par sa malédiction, un gouffre s'ouvre et engloutit le village dans le lac. Seules les deux femmes hospitalières sont épargnées.
  • "La légende de la Dame Blanche" : la belle comtesse d'Ars accompagnée de son jeune amant va plaider la cause de son village auprès de l'empereur Frédéric Barberousse. Ce dernier accepte d'épargner le village à condition que la comtesse épouse son neveu. Elle accepte contrainte. De retour, les deux amants empruntent une barque pour traverser le lac. Elle n'atteindra jamais l'autre rive.
  • "La légende du chevalier d'Ars" : le chevalier d'Ars est choisi par la belle Béatrice de la Buisse. Le seigneur de Maurienne, éconduit, vend son âme au diable et obtient par vengeance l'engloutissement du village.
  • "La légende de la cloche d'or" : plusieurs versions d'une cloche pêchée, retournant au lac du fait de maladresses, et conduisant au malheur du pêcheur.

La propriété du Lac

Il s'agit d'un lac privé, propriété de la Société civile du lac de Paladru fondée le 24 juin 1874. Ce statut est le résultat d'un imbroglio juridique et d'une série de procès s'étendant sur tout le XIXe siècle. Outre le fait que la Société Civile du Lac de Paladru soit propriétaire du terrain, dernièrement, un jugement rendu par la Cour d'Appel de Grenoble en date du 4 février 2008 a statué sur le fait que la Société Civile du Lac de Paladru était propriétaire de l'eau.

À l'origine, la propriété du lac était partagée par droit féodal entre le marquis de Pons-de Tourzel, héritier des Clermont, le marquis de Barral, qui fut maire de Grenoble, et les chartreux de la Sylve Bénite. Les habitants du hameau de Colletière bénéficiaient d'un droit de pêche consentit par le seigneur de Clermont[9].

À la révolution, les chartreux sont chassés et leurs biens immobiliers vendus, les Pons-de-Tourzel émigrent, les Barral renoncent à leurs droits féodaux[10]. Dès lors, les révendications des communes et des riverains se heurtent aux fermages renouvelés par les anciens propriétaires de retour d'émigration (les Tourzel en 1808) ou revenant sur le renoncement de leurs droits (cas des Barral). L'État intervient également dans les instances. En définitive, les tribunaux reconnaissent la validité des transactions (baux et ventes) passées par les premiers propriétaires et permettent la constitution de la Société civile.

Les projets

  • Projet sans suite du Conseil général - An II: assèchement du lac par abaissement du seuil de la Fure pour gagner des terres labourables.
  • Projet sans suite de l'Administration des mines - 1849: utilisation des eaux du lac pour arroser la plaine de la Bièvre pendant les quatre mois d'été. Le projet nécessitait de surélever le seuil de la Fure, et donc de noyer une partie des communes de Paladru et Charavines.
  • Projet réalisé : aménagement de la vallée de la Fure.

Littérature, musique et cinéma

Littérature

Les légendes du lac n'ont pas manqué d'inspirer les poètes. Voici quelques vers de Mlle A. Gardaz :

Un jour un choc brulant fit trembler les collines,
De sanglantes vapeurs noyèrent l'horizon
Les pierres et les eaux bouillaient dans les ravines
Des murs et d'ossements, ce fut un tourbillon!
La terre s'entr'ouvrit...Soudain un lac immense
Etendit son miroir et son morne silence.

Comment ne pas les rapprocher du Victor Hugo des Orientales

  • Une ville n'est plus et miroir du passé
  • Sur ses débris éteints s'étend un lac glacé.

Musique

Le lac a aussi inspiré le compositeur Witkowski, Directeur du Conservatoire de Lyon, mais qui fut aussi maire de Paladru. En 1921, il a composé un poème symphonique pour piano et orchestre intitulé Mon Lac. L'oeuvre comporte un prélude, un thème suivi de quatre variations :

  • Prélude: Brises du matin
  • Thème
  • Bois et Labours
  • Jeux aquatiques
  • Glas
  • Final

Cinéma

Camille, l'un des personnages du film On connaît la chanson, interprété par Agnès Jaoui, prépare une thèse sur Les chevaliers-paysans de l'An Mil au lac de Paladru. La complexité du titre et la précision du sujet tournent en dérision les travaux de recherche de certains étudiants, destinés à être présentés à des universitaires extrêmement spécialisés et pouvant sembler totalement abscons pour le grand public.

Tourisme

Le tourisme autour du lac associe l'intérêt culturel à la détente et aux loisirs, notamment en période estivale pendant laquelle de nombreuses manifestations sont organisées. Le site est très fréquenté par les grenoblois (Grenoble est à 30 minutes en voiture).

Le pays est labellisé par le Ministère de la culture comme Pays d'Art et d'Histoire des Trois Vals - Lac de Paladru.

L'hôtellerie renforce ses capacités pendant la saison (hôtels-restaurants, chambres d'hôtes, campings) notamment à Charavines et Paladru.

Sur le plan sportif, détente ou loisirs, l'éventail est vaste :

  • Les plages privées ou municipales sont à baignade surveillée (seule celle de Charavines est à accès gratuite)
  • La navigation sur le lac est contrôlée par la Société civile du lac (délivrance d'autorisation)
  • Ecoles de voiles, ski nautique, plongées
  • Nombreux circuits pédestres et VTT autour du lac et dans les environs
  • Centres équestres (commune de Le Pin)

La vallée de la Bourbre (Virieu) et le val d'Ainan (Chirens et Saint-Geoire-en-Valdaine) de chaque côté du lac de Paladru apportent un complément culturel au site.

Faune et Flore

De nombreuses espèces d'oiseaux nichent[11] dans les marais ou les roseaux du lac: hérons cendrés, grèbes, locustelles, rousserolles, bruants des roseaux, cincles plongeurs, becassines des marais, martins-pêcheurs, canards, sarcelles, macreuses, foulques, cygnes. Le marais de la Véronière (sur la commune de Montferrat) au nord du lac est classé zone naturelle protégée. Les roselières sont également protégées (150 ha), un arrêté préfectoral interdit toute pénétration et destruction des roseaux.

Le lac recèle une faune aquatique diversifiée: brochets, carpes, perches, tanches, ombres chevaliers, truites lacustres, corégones, gardons, ablettes, écrevisses.

Galerie de photos

Notes et références

  1. . Un autre bloc appelé Pierre-qui-danse situé au-dessus du village de Paladru est également témoin de cette origine
  2. Le lac a entièrement été gelé en 1956, l'épaisseur de glace permettant sa traversée à pied
  3. "Charavines est le plus bel exemple en France de fouilles médiévales dont puisse rêver l'historien" - citation Professeur Robert Fossier (Université Paris I-Sorbonne)
  4. L'ouvrage de référence est le document d'archéologie française cité à la rubrique bibliographie
  5. selon Colardelle et Verdel on peut retenir l'hypothèse selon laquelle cette colonisation relève d'un souci de la part de l'archevêque de Vienne d'affirmer sa possession face à l'évêque de Grenoble au plus fort du partage du comté de Sermolens dont le lac faisait partie
  6. C'est le projet de créer une plage dans les années 1970 qui amène les scientifiques Michel Colardière et Eric Verdel à commencer les fouilles sur ce site jusqu'en 2007, la synthèse de ses travaux devrait aboutir à la création d'un grans musée archéologique à Montferrat - Le Dauphiné libéré du 24 août 2007
  7. Raoul le Glabre, moine à Cluny décrit ces années comme catastrophiquement pluvieuses
  8. L'Abbé Millon évoque plusieurs hypothèses : destruction par Frédéric Barberousse ou par Humbert, comte de Savoie pour protéger les chartreux ; tremblement de terre ou affaissement du rivage.
  9. selon la tradition ce droit est un acte de reconnaissance en faveur d'un habitant de Colletière qui aurait sauvé un membre de la famille des Clermont de la noyade lors d'une croisade
  10. En application du décrêt 4 août 1789
  11. La FRAPNA (Fédération Rhône-Alpes de la Protection de la Nature y recense 21 espèces d'oiseaux nicheurs

Articles connexes

Bibliographie

  • Le lac de Paladru par l'Abbé Millon - 1930 Ed. Esperluette
  • Chevaliers-paysans de l'An Mil par Michel Colardelle et Eric Verdel - 1993 Ed. Errance
  • Les légendes du Lac de Paladru - 1996 Col. Maison du Pays d'Art et d'Histoire des Trois Vals - Lac de Paladru
  • Les habitats du lac de Paladru dans leur environnement - La formation d'un terroir au XIe siècle - sous la direction de Michel Colardelle et Eric Verdel - Coll. Documents d'archéologie française - Ed. Maison des Sciences de l'Homme - 1993.

Liens externes

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45° 27′ 18″ N 5° 32′ 06″ E / 45.455, 5.535

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