- La Mine de l'Allemand perdu
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La Mine de l'Allemand perdu 11e album de la série Blueberry Scénario Jean-Michel Charlier Dessin Jean Giraud Genre(s) franco-belge
aventurePersonnages principaux Mike S. Blueberry
Jim MacClure
« Prosit » Luckner
Wally Blount
Cole TimbleyÉditeur Dargaud Première publication 1972 ISBN 978-2-205-04339-6 Nb. de pages 48 Albums de la série Blueberry Général “Tête Jaune” Le Spectre aux balles d'or La Mine de l'Allemand perdu est le onzième album de la série de bande dessinée Blueberry de Jean-Michel Charlier (scénario) et Jean Giraud (dessin). Publié la première fois en 1972, c'est le premier du cycle de l'or de la Sierra (deux tomes)[1]. Cet album et le suivant, Le Spectre aux balles d'or, ont également été publiés dans le diptyque Les Monts de la Superstition. Il serait inspiré par le western L'Or de MacKenna sorti en 1969, ainsi que par la légende américaine de la mine d'or du Hollandais perdu et du roman de James Oliver Curwood Les Chasseurs d'or.
Sommaire
Résumés
Court
En 1868, Blueberry occupe le poste de shérif d'une ville à la frontière du Mexique et des États-Unis. La vie de Palomito est perturbée par l'arrivée d'un soi-disant géologue, le baron Werner Amadeus Von Luckner, qui tente d'entraîner des naïfs à la recherche d'une mine d'or. Accusé d'être un escroc et un meurtrier, il est soustrait à la colère populaire par Blueberry, qui le place en prison. De surcroît arrivent en ville deux chasseurs de primes à la recherche de Luckner. Ce dernier convainc MacClure, compagnon et adjoint de Blueberry, de l'aider à fuir la ville contre la promesse d'un égale répartition de l'or. Blueberry se lance à leur poursuite, talonné par les chasseurs de primes. Tous se dirigent vers les monts de la Superstition gardés par des bandes apaches prêtes à tout pour éloigner les blancs.
Détaillé
Le général Allister[note 1] a eu recours à ses relations pour forcer Blueberry à occuper le poste de shérif à Palomito, « une petite ville frontière balayée par le vent brülant du désert » et située à la frontière du Mexique. MacClure lui tient compagnie. Alors que les deux jouent au poker, quelques balles de revolver sifflent à leurs oreilles[2]. Revenus de leurs émotions, ils se dirigent vers le saloon, car « [c'est] la seule distraction dans ce bled pourri ». Blueberry y découvre deux hommes qui se tiraillent à bout portant, l'un derrière le comptoir du bar, l'autre derrière une table[3].
Une fois qu'il y a ramené le calme, Blueberry fait connaissance avec le « baron Werner Amadeus von Luckner » que son opposant, Barnett, appelle « « Prosit » Luckner ». Le baron prétend avoir découvert une « montagne d'or »[4]. Lorsqu'il désigne l'endroit où elle se trouve, les « monts de la Superstition », plusieurs hommes rient de bon coeur : « Pourquoi pas la Lune ? » MacClure informe Blueberry que cet endroit est un lieu sacré pour les Apaches et « un dédale infernal de pierres et de sable »[5].
Pour calmer les esprits, Blueberry amène à la prison Luckner, qui lui fait une proposition : en échange de sa liberté et d'un cheval, il est prêt à donner une pépite d'or. Blueberry la lui arrache et montre que « c'est un morceau de plomb enrobé d'une mince couche d'or ». Furieux, Luckner exige à boire en hurlant, Blueberry réplique avec vigueur : il lui lance un plein seau d'eau à la figure[6].
Au saloon, Barnett fouille les affaires de Luckner. Il y découvre un pistolet ayant appartenu à un homme retrouvé mort dans le désert, « [avec] une balle dans la nuque ». Quelques hommes décident de se faire justice : « Branchons-le ! » Cependant, le propriétaire du saloon fait remarquer que Blueberry est très habile au pistolet. Les hommes montent un piège pour l'attirer hors du bureau du shérif. Laissant seul MacClure, Blueberry se précipite vers une grange où des Mexicains seraient en maraude[7].
Blueberry parti, une dizaine d'hommes s'approchent de la prison et somment MacClure de leur remettre Luckner. Barricadé, il réplique « que le premier qui franchit cette porte prend du plomb dans les tripes ! » À la grange, Blueberry est assommé par un homme masqué. Il est aussitôt attaché et traîné à l'intérieur. Un des hommes présents lui affirme que Luckner sera jugé correctement[8].
Les hommes partis, Blueberry parvient à couper la corde qui lui liait les mains. Un peu plus tard, il s'enfuit sur le cheval d'un passant, qui lui tire dessus en le traitant de voleur. À la prison, Luckner, paniqué, promet la moitié de sa mine d'or à MacClure. Au moment où les hommes enfoncent la porte, MacClure tire sur eux et en blesse un. Les autres s'enfuient et enflamment des poignées d'herbes sèches, qu'ils lancent à l'intérieur[9].
Dans la prison, les deux hommes substituent leurs vêtements et MacClure laisse son revolver à Luckner. Alors que la prison est en grande partie enfumée, MacClure crie qu'il capitule et demande à sortir. Il crie que Luckner s'est évanoui et est enfermé dans sa cellule. Barnett, trompé par les vêtements de MacClure, laisse sortir Luckner[10]. En se dirigeant vers la prison, Blueberry rencontre Luckner, qui le menace d'un revolver. Alors que Blueberry tente de prendre un fusil dans les fontes de la selle, Luckner appuie sur la gachette : le revolver de MacClure n'est pas chargé. Blueberry enferme alors Luckner dans le chariot du croque-mort[11].
Dans la prison, les hommes menés par Barnett parviennent, après plusieurs minutes, à ouvrir la cellule dans laquelle se trouve MacClure portant les vêtements de Luckner. Lorsque Barnett découvre la supercherie, il menace de se venger sur MacClure, mais Blueberry entre dans la prison et menace de son fusil tous les hommes présents. Quelques minutes plus tard, ils sont désarmés et emprisonnés, y compris Luckner. Blueberry ordonne à MacClure de « galoper jusqu'au fort et [de] ramener une patrouille ». Par ailleurs, il lui demande d'envoyer un télégramme pour en savoir plus sur Luckner[12].
Deux jours plus tard, une patrouille militaire reconduit « Barnett et ses acolytes » hors de Palomito, à la limite de l'État. Le lendemain, deux chasseurs de primes, Wally Blount et Cole « Crazy » Timbley, se présentent à Blueberry pour amener Luckner. Blueberry s'y oppose, car leur mandat est invalide à Palomito. Devant l'opposition de Blueberry, les deux décident d'aller faire valider leur mandat par le juge de la ville. Par contre, Blueberry doute qu'ils menaceront le juge afin d'obtenir son autorisation, ce qui l'incite à aller voir ce qui se passe à son bureau[13].
À la prison, Luckner tente de convaincre MacClure de partir à la recherche de la mine d'or, ce qui rend confus ce dernier. De leur côté, les deux chasseurs de primes intimident le juge. Quelques instants plus tard, Blueberry demande au juge s'il valide le mandat d'amener. Cole lui affirme que c'est fait, le qualifiant de « pied-plat » en sus. Blueberry lui donne le conseil de ne plus l'appeler ainsi. Alors que les trois hommes se dirigent vers la prison, Cole le traite à nouveau de pied-plat : Blueberry lui assène en pleine figure un coup de poing. Il se tourne alors vers Wally en dégainant : « Recommande à ton "élève" de ne pas avoir la distraction de me tirer dans le dos ! Devant témoins... ça ne pardonne pas ». Les trois découvrent quelques instants plus tard que MacClure et Luckner ne sont plus à la prison[14].
Blueberry doute que MacClure ait volontairement libéré Luckner, mais quelques vérifications confirment ses soupçons. Pendant ce temps, les chasseurs de primes questionnent les gens du village, mais n'obtiennent pas de réponse qui les satisfait. Blueberry achète un cheval et commence lui aussi à rechercher MacClure et Luckner[15].
Dans le désert, MacClure et Luckner discutent de leur astuce : ils se trouvent en effet cachés dans le chariot du croque-mort. Les ayant libérés, il demande son dû, Luckner lui affirme qu'il sera mort bientôt. MacClure s'oppose : « Si tu tires, je tire aussi ! » Luckner laisse partir le croque-mort. Au village, Blueberry questionne un Mexicain sur les allées et venues qu'il a remarquées. Lorsqu'il mentionne que le croque-mort avait deux nouveaux chevaux, Blueberry croit tenir une piste. Il se met en selle et découvre plus tard le croque-mort assis au bord d'un sentier, déshydraté[16].
Pour gagner du temps, MacClure propose à Luckner d'emprunter une galerie de mine qui traverse une montagne. Creusée du temps de l'exploitation d'une mine d'argent, ses boisages sont secs et fragiles. À la suite des deux hommes, Blueberry s'engage dans le tunnel. Les deux sortis de la galerie, Luckner se propose d'effectuer « un petit travail »[17].
Luckner veut en effet provoquer l'effondrement de la galerie. Les deux en viennent à se battre, et Luckner assomme MacClure. Revenu à lui, MacClure menace de tuer Luckner, mais Luckner tire sur une corde et la galerie commence à s'effondrer. Blueberry, après une course folle de son cheval et alors que des tonnes de pierre tombent autour de lui, trouve refuge sous un wagonnet abandonné. MacClure comprend que Luckner est un bandit sans scrupule et exige son arme : « Par tous les putois, je commence à voir clair dans ton jeu, Prosit ! »[18]
Quelques heures après, dans la galerie effondrée, Blueberry avance lentement dans un boyau serré. Après, probablement, une ou deux heures de reptation, il en sort et se retrouve face aux deux chasseurs de primes : « Tiens ! Tiens ! Le valeureux shériff de Palomito sort de son trou croulant ! » Blueberry tente de boire de leur café, mais Cole le menace de son revolver. Blueberry tente d'obtenir leur collaboration, mais les deux refusent, invoquant l'urgence de retrouver Luckner. À l'aube, ils laissent Blueberry sur place. Ce dernier peut retourner à Palomito, à trois jours de marche ou continuer jusqu'à Pocoma, également à trois jours de marche : il décide de se diriger vers Pocoma, espérant trouver un point d'eau en cours de route. Pendant ce temps, MacClure fait le plein de provisions à Pocoma et apprend que des Apaches font des razzias dans la région[19].
Tous les cinq s'enfoncent dans le désert sous un soleil torride, les hommes à cheval sachant que des Apaches veulent tuer tous les hommes blancs qui passent à proximité des monts de la Superstition. MacClure et Luckner découvrent des blancs scalpés : « Ces malheureux devaient être des prospecteurs ! » Blueberry, après une marche de plus de 20 kilomètres sous le Soleil du désert, s'effondre. Il est découvert et sauvé par Guffie Palmer, la « directrice d'une minable troupe théâtrale ambulante »[note 2], et ses collègues. Blueberry parvient à obtenir que le conducteur de la troupe l'accompagne à cheval jusqu'à Pocoma[20].
Même s'ils s'attendent à être attaqués à tout moment par les Apaches, MacClure et Luckner s'abreuvent à un point d'eau : « Petite-Lune doit savoir que ceux qui veulent traverser le désert doivent se ravitailler ici ! » À peine les deux ont-ils rempli leur gourde que des Apaches les attaquent depuis les hauteurs du canyon dans laquelle ils se trouvent. Fuyant à toute allure sur leurs chevaux, ils se doutent qu'ils se dirigent vers un cul-de-sac, car les Apaches ne « se donnent même pas la peine de tirer ! » MacClure ordonne à Luckner d'allumer un cigare et de prendre quelques bâtons dans la réserve d'explosifs. Arrivés près d'un passage étroit, ils allument les mèches et laissent tomber derrière eux les explosifs. Soufflés par les explosions, plusieurs poursuivants tombent de cheval[21].
MacClure et Luckner poussent leurs bêtes et débouchent dans un cirque rocheux. Se sachant coincés, MacClure découvre une « coulée d'avalanche ». Luckner refuse de le suivre, car la pente est trop forte, mais MacClure lui réplique que « [c'est] ton droit de préférer les caresses des Apaches ! » Après plusieurs minutes d'efforts, les deux parviennent en haut de la coulée. MacClure place quelques bâtons de dynamite sous une grosse pierre. Lorsque des Apaches parviennent en haut, l'explosion les renverse : « Il n'y a que quelques museaux rouges à peu près indemnes, mais pas un de leurs poneys ne s'en est tiré ! »[22]
Les cinq se rapprochent davantage des monts de la Superstition. La nuit venue, voyant Luckner bâfrer sa nourriture, MacClure en vient à douter qu'il est d'origine noble. De son côté, Luckner réfléchit au moyen d'allumer un bâton de dynamite qu'il a pris en cachette[23].
Le lendemain, les deux reprennent leur trajet en direction des monts. Ils tombent sur un bidon d'eau vide. Poussé par la curiosité, MacClure découvre un squelette sous le surplomb d'un rocher. Écrit sur la pierre, il voit des lettres : « un L... un U... un C... un K... » Pendant qu'il est occupé à décoder le texte, Luckner allume le bâton de dynamite à l'aide de son monocle. Lorsque MacClure se retourne, conscient du danger qui le guette, le bâton lui explose en pleine figure. Luckner l'assomme et s'éloigne avec les chevaux et le matériel de prospection : « Encore un pauvre idiot qui s'imaginait que j'allais partager ma mine avec lui ! » Le bruit de l'explosion a cependant alerté les Apaches aux aguets, tout comme les chasseurs de primes[24].
Un peu plus tard, MacClure se morfond sur son sort et « noie » sa peine. Quelques heures plus tard, à sa grande déception, les deux chasseurs de primes s'approchent de lui. Ils le questionnent sur les projets de Luckner, mais MacClure fait semblant de ne rien savoir. Lorsqu'ils se mettent à le frapper, il collabore de son mieux, mais les deux ne sont pas satisfaits. Ils l'attachent à des pieux sous le Soleil brûlant : après quelques heures, il sera mort. Après une heure et devant le silence de MacClure, Cole perd patience. Wally propose de couper les paupières de MacClure (un supplice apache « authentique » selon le scénariste). Lorsque ce dernier se met à crier, Cole l'assomme. Ses cris ont cependant permis à Blueberry de se diriger[25].
Pour augmenter ses chances face aux chasseurs de primes, Blueberry s'installe sur un monticule en mettant le Soleil dans son dos : « Plus un geste vous deux ! » Il ordonne à Cole de détacher MacClure, mais ce dernier refuse, lui disant de le faire lui-même. Par défi, Blueberry coupe les liens de MacClure à coups de revolver. Cole en profite pour dégainer et se retourner vers Blueberry. Les deux tirent, mais Blueberry a l'avantage et le tue. Wally tente à son tour de tirer, mais Blueberry le désarme d'une balle bien ajustée[26].
Blessé à la main, Wally accuse Blueberry d'« assassinat sur un agent de la loi ! » MacClure réplique que les deux étaient des tueurs à Calico. Blueberry donne à MacClure de la graisse de bison pour couvrir ses brûlures et ordonne à Wally d'enterrer Cole. Pour justifier son comportement, MacClure déclare : « j'ai été gueux toute ma vie, garçon ! ... Le mirage de l'or m'a tourné la tête ! » Par la suite, les trois hommes décident de se rapprocher des monts de la Superstition, car « derrière [eux], le puits est à sec ! »[27]
Album suivant de ce cycle : Le Spectre aux balles d'or.Personnages principaux
- Blueberry : lieutenant de cavalerie affecté au poste de shérif de Palomito[2].
- « Prosit » Luckner : « Fils dévoyé d'une grande famille de Prusse, ancien officier, un peu médecin, un peu géologue, mais surtout canaille à part entière »[28]. Il recherche activement une mine d'or cachée dans les monts de la Superstition en Arizona.
- Barnett : homme qui déteste Luckner au point de rassembler des hommes pour le pendre sommairement[29]
- MacClure : vieil homme alcoolique[30] et compagnon d'aventures de Blueberry. « Prosit » Luckner l'a convaincu de rechercher une mine d'or cachée dans les monts de la Superstition.
- Wally Blount : chasseur de primes[13].
- Cole « Crazy » Timbley : chasseur de primes[note 3],[13].
Éditions
- La Mine de l'Allemand perdu, 1972, Dargaud, 48 p.
- Réédition en 1998. ISBN 978-2-205-04339-6
Notes et références
- Notes
- La Piste des Sioux. Blueberry a vécu différents conflits avec lui : voir l'album Général “Tête Jaune”. Il apparaît à partir de la page 42 de l'album
- page 4 de l'album L'Homme au poing d'acier. Elle apparaît pour la première fois en
- Le mot « Crazy » désigne en anglais une personne folle, détraquée ou trop hardie.
- Références
- Aller à http://www.blueberry-lesite.com/ ;
- Cliquer sur « Dans la même fenêtre » ;
- Cliquer sur « Passer l'intro » ;
- En haut à la droite, cliquer sur « Simple visite » ;
- Sous la carte en vis-à-vis des « Cycles principaux », cliquer sur « Blueberry » ;
- Déplacer le pointeur de la souris au-dessus de « 11 » ;
- Le titre du cycle apparaît dans le bandeau en dessous. (Le personnel de rédaction de Dargaud a décidé de regrouper les séries Blueberry, La Jeunesse de Blueberry, etc., dans des cycles. Les albums appartiennent à des « Sous Cycle[s] ».)
Le nom du cycle est listé dans Blueberry // Le site officiel :
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 3
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 4
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 5
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 6
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 6-7
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 8-9
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 9-10
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 11-13
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 14
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 15-16
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 16-17
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 18-19
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 20-21
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 22-23
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 24-25
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 26-27
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 28-29
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 30-32
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 33-35
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 36-37
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 38-40
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 41
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 42-44
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 44-46
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 47
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 48
- Le Spectre aux balles d'or, p. 3
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 8 et 14
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 3, cases 3-4,
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 5, case 8,
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 14, case 9,
- La Mine de l'Allemand perdu, p. 22, case 9
Voir par exemple :
Annexes
Bibliographie
- Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, La Mine de l'Allemand perdu, Dargaud, 1998, 48 p. (ISBN 978-2-205-04339-6)
- Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, Le Spectre aux balles d'or, Dargaud, 1998, 48 p. (ISBN 978-2-205-04340-2)
Liens externes
- Page de couverture de l'album publié en 1972 (en cliquant sur les flèches à droite et à gauche de l'image, le site affiche des planches de l'album)
- Critique
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