Jojo's bizarre adventures

Jojo's bizarre adventures

JoJo's Bizarre Adventure (manga)

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JoJo's Bizarre Adventure
ジョジョの奇妙な冒険
(Jojo no kimyō na bōken)
Type Shōnen
Genre action, aventure, fantasy
Manga
Auteur Hirohiko Araki
Éditeur Japon Shueisha
Prépublication Japon Weekly Shonen Jump (1987-2004)

Ultra Jump (2005-)

Sortie initiale 4 août 1987en cours
Volumes 97 (en cours)
OAV
Réalisateur(s) Hideki Futamura
Hiroyuki Kitakubo
Kazufumi Nomura
Noboru Furuse
Studio d'animation Studio A.P.P.P.
Licence Drapeau de la France Déclic Images
Sortie 19 novembre 1993
Épisodes 6
OAV : Prequel
Réalisateur(s) Hideki Futamura
Hiroyuki Kitakubo
Kazufumi Nomura
Noboru Furuse
Studio d'animation Studio A.P.P.P
Licence Drapeau de la France Déclic Images
Sortie 2001
Épisodes 7
Film anime : Phantom Blood
Sortie 17 février 2007

JoJo's Bizarre Adventure (ジョジョの奇妙な冒険, Jojo no Kimyō na Bōken?) est un manga shōnen de Hirohiko Araki, paru en France aux éditions J'ai Lu, en 46 tomes dont la publication fut abandonnée en 2006. Tonkam a repris l'édition au tome 47 avec la cinquième partie : Golden Wind.

Jojo's Bizarre Adventure est aussi un anime produit par Studio A.P.P.P. et édité en France par Déclic Images.

Sommaire

Introduction

JoJo, le nom

Le surnom JoJo est donné aux différents héros de la série. Cette saga est en effet composée de différentes parties, avec différents héros. Dans chacune, le héros se retrouve ainsi surnommé, car c'est la succession des 2 syllabes de ses nom et prénom.

  • Jonathan Joestar
  • Joseph Joestar
  • tarô Kû
  • suke Higashikata (Jôsuke s'écrit : « 仗助 », si le premier kanji se prononce « Jô », le second peut être prononcé soit « Suke » soit « Jo », d'où son surnom de JoJo)
  • Giorno Giovana (le son « Jo » ou « Gio » s'écrivent de la même manière en katakana : ジョ)
  • Jolyne Kû
  • Johnny Joestar

Singularité de l'œuvre

Œuvre déconcertante, ciblant un certain public, elle désarçonne le lecteur habitué aux banals « shônen », frappé d'abord par son graphisme (tordu, peu facile d'accès, sombre et fouillé), qui n'est pas apprécié de tous et demande un certain temps avant d'être décodé :

  • Musculature impressionnante pour les personnages masculins, surtout dans les premières parties très réminescentes de Hokuto no Ken.
  • Découpage des planches en diagonale, perspectives insolites, accoutrements extravagants avec de nombreux bijoux et colifichets nombreux affichant de nombreux symboles originaux et poses atypiques et impossible anatomiquement parlant. Araki a une carrière de styliste à la base, ce qui explique certains points du graphisme.


Œuvre extravagante, par une violence exacerbée et même magnifiée, ponctuant le côté grotesque : La patte graphique de Araki est unique et peu habituelle des productions japonaises. L'influence « comics » et même « pulp » se fait fortement sentir dans les premiers volumes.

Passionné, curieux, différent, artiste hors-normes (un peu fou, brouillon, aux inspirations diverses mais aussi généreux), passionné de culture occidentale et de voyages, Araki aime à dépayser son lectorat de base.
Quand le premier chapitre a dû paraître dans les pages du célèbre Shōnen Jump en 1987, le lecteur moyen a dû se retrouver bien surpris par cette histoire d'un lord anglais tourmenté par son frère adoptif. Quel sacrilège pour l'époque, mais aussi quel détournement des poncifs du « shônen » !
Après l'étrange prologue du sacrifice humain aztèque, on se retrouve en pleine Angleterre victorienne !
Le héros, ce pauvre Jonathan, s'avèrant solitaire et étranger, en dehors des règles tacites en vigueur à l'époque (et un peu toujours aujourd'hui), se retrouve tourmenté par un frère adoptif jaloux et arriviste.
Voici quelque chose de plus proche des brimades subies par Candy, que l'aventure fantastique d'un jeune Son Gokû.
Araki, avec des éléments déroutants, la violence exacerbée et une tendance à l'exotisme, n'oublie pas les nombreuses références à la culture pop occidentale et surtout musicale ...

Sept parties

Le découpage en parties est l'une des forces de la série, car il permet au lecteur de rencontrer de nouveaux personnages régulièrement, de voir mûrir les anciens, s'attacher à eux et suivre leurs aventures dans un laps de temps assez long, pour que le tout se développe convenablement, mais assez court pour éviter de le lasser. Cela permet également, puisque se développant sur plusieurs générations, de constamment renouveler la pléthore de personnages, tout en ayant la joie d'en retrouver d'anciens au fil des parties (Joseph, Jotaro et Polnareff sont ainsi des personnages assez récurrents).

(certaines parties se chevauchent dans certains volumes, ce qui explique que par exemple, le tome 12 marque la fin de la seconde partie, puis on enchaine directement avec la troisième, le tout dans le même tome)

Les titres officiels [1] ont été donnés lors de la publication de la série au format « bunko » (petit format et pagination plus élevée pour édition de librairie). Les noms originaux furent attribués lors de la prépublication dans le Weekly Shōnen Jump ou lors de l'édition ultérieure en volumes. La 6e partie n'a pas de nom original car elle a été immédiatement nommée « Stone Ocean » suite à sa nouvelle numérotation. La correspondance en volume est bien évidemment celle de l'édition classique diffusée en France.

Les combats, la force de la série

Les combats de JoJo (qui, il faut le dire, constitue la majeure partie du manga), s'avèrent toujours plus proches de la résolution d'une énigme que d'un simple combat « type shônen » . Les personnages, doivent faire preuve d'ingéniosité et d'intelligence, pour deviner ce qui se cache derrière le Stand adverse (les rebondissements sont légions). Il n'est pas question d'avoir recours à la vieille ficelle éculée du héros, qui se relève à bout de forces grâce au souvenir de son maître, sa petite amie, ses amis, etc. Dans JoJo, l'imprudent est sérieusement puni et même les héros ne sont pas à l'abri de la mort définitive. Ainsi, dans chaque partie, un lot de personnages principaux sont tués. Le suspense, à couper le souffle, qui ponctue ainsi chaque combat, est ce qui fait la marque et l'intérêt du manga.

À cause de cela, certains affrontement sont devenus des légendes du manga comme ceux contre Vanilla Ice, les frères D'Arby, Dio Brando ou encore contre Kira Yoshikage.

Les héros s'en sortent avec leurs pouvoirs, uniquement : ils ne peuvent pas compter sur une aide providentielle ou une chance insolente. Leur victoire n'est jamais sûre et le prix à payer s'avère parfois bien lourd. Dans JoJo's, le combat loyal n'existe quasiment jamais, les héros n'hésitent jamais à s'y mettre à plusieurs contre un, toutes les tricheries et les coups bas sont autorisés, alors qu'ils sont régulièrement absents des Shonen classique où le héros justicier lutte jusque au bout contre un ennemi retors.

Plus qu'à une lutte de pouvoir, comme dans les autres mangas de combats (ou généralement, c'est à celui qui aura la plus forte volonté, ou la meilleure « technique de la mort qui tue »), le lecteur a droit à un affrontement d'esprit. Le vainqueur s'affirme par sa domination intellectuelle, son sens de l'anticipation, son ingéniosité.

Les Stands, révolution apportée par la série

Les Stands sont LA révolution et le trait de fabrique des différents combats de JoJo. C'est avec cette idée que Araki va pouvoir démontrer son imagination. Concrètement, les Stands représentent la psyché de la personne, son esprit combatif et en fonction de ladite personne, le pouvoir changera. Araki est parti de l'idée que l'on ne savait jamais comment fonctionnait les pouvoirs d'un Superman ou autre héros de Comics. Avec les Stands, cela pallie le problème.

Voir l'article plus détaillé :ici

Humanité des personnages créés par Araki

Si le sacrifice, l'amitié virile sont deux thèmes incontournables du « shônen manga », Araki se démarque de la plupart de ses confrères par la sublimation des moments poignants, empreints d'humanité. Elevé dans la religion chrétienne, il indique que le sacrifice du Christ a remis en cause sa conception du héros.

« Le véritable héros est quelqu'un qui ne se fait pas remarquer, qui agit dans l'ombre et pour la justice. Le véritable héros ne cherche pas les félicitations et meurt dans l'anonymat, sachant qu'il a agi justement. Je pense que Jésus est un héros pur... »

L'aspect christique est travaillé particulièrement dans la cinquième partie. Le personnage de Giorno, sa relation avec Buccelati et leur ennemi commun sont très largement d'inspiration biblique, même s'il vient s'y glisser l'excentricité de JoJo.

JoJo malgré son excentricité, son côté délirant et souvent hilarant, reste un manga parfois sombre et dramatique, dans lequel les personnages principaux n'hésitent pas à se sacrifier noblement, même au prix d'une mort atroce.

« Un esprit humain ! » est la dernière phrase que crie Caesar Zeppeli avant de succomber face à son adversaire, au terme d'une lutte acharnée. Mais sa mort ne sera pas vaine car son ultime présent atteindra bien la main de Joseph, son ami.

Araki déclare vouloir exalter l'humanité à travers ses personnages et ce, aussi bien par leurs valeurs les plus nobles que par le côté le plus abject des ennemis divers. Ils ont leurs raisons propres pour agir ainsi et un caractère très marqué. Les plus forts s'avèrent toujours très impressionnants ou attachants, que ce soit le noble et respectable Wham, le manipulateur et charismatique Dio, le mystérieux Diavolo ou le grandiose Yoshikage Kira montrant bien l'intérêt de l'auteur pour les serial killers, dont il a lu les biographies jusqu'à l’écœurement.

Ces personnages toujours très travaillés forment une véritable galerie, variée, qui reprend quasiment tous les archétypes du manga, réussissant à rendre les ennemis si réalistes que le lecteur se plaît à les détester ou à les aimer, parce que représentant la face la plus obscure en chaque homme ou sa volonté de puissance. Le troublant Kira s'avère même presque touchant par son obstination à vivre normalement.

Quant aux petites frappes que croisent les héros, plus proches de la méchanceté quotidienne que l'on connaît, sont des êtres sans envergure, souvent méprisables et mesquins, s'en prenant aux plus faibles, et cherchant à briser les autres par simple jalousie.

La variété des personnages est obtenue aussi parce qu'ils sont en provenance du monde entier : anglais, japonais, égyptien, italien, français. On se croirait dans une pub Benetton mettant en valeur toute la diversité de l'espèce humaine.

Quant aux héros, ils ont tous un caractère bien défini :

  • Jonathan, noble et courageux.
  • Joseph, frimeur et un peu tricheur.
  • Jôtarô qui, sous sa froideur, cache un cœur d'or.

Evoluant, chacun suit sa voie pour mûrir, devenir plus fort et meilleur, comme :

  • Polnareff, solitaire et sûr de lui, qui grâce au sacrifice de ses amis retrouve la confiance en autrui.
  • Kakyôin qui, surmontant sa peur, trouvera la force de se battre pour les autres grâce à la chaleur de l'amitié de ceux qui l'ont réellement compris.
  • Koîchi qui, s'affirmant, réussira à protéger ceux qu'il aime.
  • Rohan qui redécouvrira son amour pour sa sœur.
  • Jolyne qui retrouvera un père qu'elle n'avait jamais connu.

Message de l'œuvre

« Je dessine JoJo sur le thème de « l'hymne à la vie », « la grandeur de l'être humain ». Je tiens à ce que mon héros aussi vienne à bout des dangers sans recourir à des machines ou la technologie, mais au moyen de son propre corps. C'est parce que je suis de l'avis que les sciences ne font pas forcément toujours le bonheur de l'homme. »

Le propos de l'auteur, Araki, s'avère humaniste, en voulant montrer la prodigieuse capacité de l'homme à se réinventer, à évoluer et créer. On voit son amour du genre humain dans toutes ses différences et la diversité des caractères qu'il présente mais aussi dans son intérêt pour les créateurs et personnages les plus étranges que l'humanité ait connus.

Qu'est-ce qui fait de nous des humains ? Est-ce que la destinée existe ? Pouvons- nous la combattre ? Voici les questions posées par l’œuvre servie par une traduction de qualité et passionnée.

Par leur volonté inébranlable à s'opposer à l'innommable, à combattre jusqu'au bout de leur conviction, les héros de JoJo montrent que rien n'est jamais définitif, qu'il y aura toujours de l'espoir. Il y a une lueur dans la nuit, et courage et persévérance peuvent permettre de venir à bout de l'adversité. Rien n'est insurmontable tant que la formidable vitalité humaine palpite dans leurs veines, à lutter pour protéger ceux qu'ils aiment, se battre pour leurs rêves, se transcender et devenir meilleurs. Cet état d'esprit n'est pas seulement présente chez les héros, mais également chez leurs adversaires.

JoJo fut le joyau du Shōnen Jump et pourtant l'un de ses titres les moins reconnus, un brassage de la culture pop mondiale, une invitation au voyage et à la découverte d'autres cultures. Il transcende les défauts et fait briller les qualités de ce type de récit. Il en détourne les codes et se renouvelle perpétuellement. Empreint d'optimisme et de rêve, JoJo est la plus brillante œuvre du genre « shônen manga ».[réf. nécessaire]

JoJo et son influence dans la production des mangas

  • Les fameuses CLAMP, ayant découvert l’œuvre par l'intermédiaire du RPG Super Nintendo, s'avèrent être de très grandes fans. Leur source d'inspiration se révèle particulièrement évidente dans une œuvre comme X, la symbolique du tarot (rappelant étrangement un « Stand ») ayant été reprise par toute l'équipe ou selon la volonté de Nekoi. Elles ont d'ailleurs réalisé un fanzine avec en couverture les vaillants « Stardust Crusaders » et sont même allées jusqu'à noyer de courrier le magazine de mangas japonais « Puff » pour faire gagner Jôtarô lors de l'habituel sondage de popularité des personnages mensuels.
  • Shô-U Tajima (MPD Psycho) déclare lui aussi être un grand amateur de la série. (Il précise d'ailleurs dans un intérieur de couverture qu'il a failli arrêter de dessiner en lisant JoJo, tellement l'œuvre est parfaite et qu'il ne pourrait jamais faire mieux...)
  • « Scryed », un anime assez récent, a directement repris le système des « Stands » avec les « Alter ».
  • Parmi la jeune génération des auteurs du Jump, on sent une claire influence. L'influence des Stands sur Shaman King est plus qu'évidente.
  • Togashi, auteur de Yû yû hakusho et de Hunter × Hunter n'hésite pas à reprendre l'onde avec son « nen » ou à s'inspirer de Dio en créant Hisoka. Quant à la partie Sensui de Yû Yû elle s'inspire sans vergogne de la 3e partie de JoJo. Anamuna et Kaitô Yû rappellent étrangement les frères D'Arby. Itsuki a un pouvoir d'ombre comme Alessi. Le docteur Kamiya a un pouvoir à zone limité comme les Stands. Mitarai a un pouvoir rappelant étrangement celui de N'Duul, etc. Le déroulement de ses deux séries ou la façon dont les héros résolvent des épreuves sous forme d'énigmes est dans la pure tradition de son aîné.
  • Le créateur de Yu-Gi-Oh! est un fan reconnu de « JoJo », d'ailleurs on le voit dans la construction des premiers volumes ou le look du héros rappelant celui de Jôtarô. De plus, le système de combat des à partir du tome 32 rappellent immanquablement le système des Stands de Jojo.
  • Watsuki, connu pour Kenshin, n'hésite pas à reprendre les poses étranges de la série dans son Busō renkin, dont le héros est un grand fan d'un certain Rohan Kishibe.
  • Quelques passages des œuvres de Kishimoto et Oda ont un certain esprit « JoJoesque » comme l'examen de Naruto ou le pouvoir de Crocodile qui rappelle « The Fool ».
  • On peut remarquer une similitude frappante entre le poison qu'utilise Mayuri Kurotsuchi, le capitaine de la 12e division du Gotei 13 dans Bleach, pour se défaire du 8e Espada, Szayel-Aporro Grantz, et le pouvoir de Gold Experience lorsque celui-ci est employé sur des humains par Giorno Giovana (partie Golden Wind), tel qu'on le découvre lors de son combat contre Bucellati. Les effets du-dit poison sont exactement ce qu'a subit Bucellati lorsqu'il a été frappé par Gold Experience.
  • Le dessin des personnages inspirera bien des jeux de baston. On notera par exemple la troublante ressemblance entre :
  • Polnareff et Benimaru de « King of Fighters ». [2]
  • Lisa Lisa avec Rose de « Street Fighter Zero ».
  • Dans « World Heroes », on trouve Brocken, un officier nazi robotisé comme Rudolph von Stroheim et dans sa suite « World Heroes 2 », le dernier boss, en plus d'adopter le même look que Baoh, se prénomme Dio.
  • Il est à peine étonnant que Falcoon, character designer de « KOF 2003 » soit un grand fan de JoJo.
  • Le RPG « Blue Dragon », créé conjointement par Sakaguchi et Toriyama, voit d'ailleurs les jeunes héros combattre en utilisant des ombres prenant la forme de bêtes et représentant leur force intérieure.
  • La série de jeux « Persona » (spin-off de Megami Tensei), développée par Atlus qui a eu l'excellente initiative de reprendre l'idée des « Stands » dans un jeu de rôle.
  • On ne compte enfin plus les clins d'œil aux cris de guerre de Jotaro et Dio, repris à l'infini au détour d'une page.

JoJo, l’œuvre aux cent idées par volume, aura définitivement laissé son empreinte et fait effectivement école.

Les références dans JoJo

Il est possible de remarquer plusieurs références à des artistes, le plus souvent musicaux, tout au long de l'histoire. Ainsi, dans les trois premières parties, les personnages ont tous des noms renvoyant à un certains groupe musical ou un artiste (« famille Zeppeli »). Dans les parties suivantes, il s'agit des Stands qui ont des noms de chansons ou de groupes (« Crazy Diamond »). Dans la sixième partie, la mode fait son apparition et tous les personnages se retrouvent affublés de noms tirés de marques ou qui les croisent (« Hermès Costello »)

L'anime

L'anime est constitué de deux séries d'OAVs produites pas Studio A.P.P.P, respectivement sorties au Japon en 1993-1994 pour la première saison de 6 épisodes, et en 2000 pour la seconde saison de 7 épisodes.
Il a été édité en France par Déclic Images dans un coffret regroupant les 13 épisodes.
L'anime ne recouvre qu'une partie de la trame de la troisième partie Stardust Crusaders.

Titre original : Jojo no Kimyo na Bouken
Adapté du manga de Hirohiko Araki
Type : OAV
Genre : Action
Nombre d'épisodes : 13
Durée d'un épisode : 35 minutes
Année de prod. : 1993-2000
Produit par : Studio A.P.P.P.
Éditeur français : Declic Images

Fiche technique

  • Producteur exécutif : Nobuhiko Sakou, Michio Yamanaka, Kazufumi Nomura (1 à 7), Tomio Anzai (8 à 13)
  • Producteur : Tetsuo Daitoku, Kazufumi Nomura
  • Réalisation : Hideki Futamura, Noboru Furuse (1 à 7), Hiroyuki Kitakubo (8 à 13)
  • Scénario : Kenichi Takashima
  • Chara. design : Junichi Hayama
  • Directeur artistique : Satoru Kuwabara (1 à 7), Youichi Nango (8 à 13)
  • Dir. photographie : Hideo Okazaki
  • Musique : Marco d’Ambrosio

Doublage

Notes

  1. Dans un souci de cohérence, il a été choisi ici d'angliciser tous les titres officiels. Certains d'entre eux étant originellement en japonais comme celui de la seconde partie « Sentô Chôryû » sur l'édition bunko, et la Shueisha ayant choisi sa traduction anglaise « Battle Tendency » sur son site officiel consacré à JoJo, il a été fait de même pour la liste ci-dessus.
  2. Le site officiel [1] de la série le reconnaît lui-même !

Liens externes

  • (fr) Cyna.net : Site en français, avec un dossier "JoJo" plutôt axé sur l'anime et la troisième saison.
  • Portail de l’animation et de la bande dessinée asiatiques Portail de l’animation et de la bande dessinée asiatiques
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