- Icône de la Miséricorde divine
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L'icône de la Miséricorde Divine est, pour quelques catholiques, l'icône dont Jésus-Christ aurait demandé la réalisation lorsqu'il serait apparu à la religieuse mystique sœur Faustine Kowalska 1931 à 1938 en Pologne. Cette image est destinée à devenir le symbole de la Miséricorde Divine, cachée même aux saints car signe de derniers temps, alpha et oméga : « Dieu inconcevable, mon cœur se liquéfie dans la joie à la pensée que Tu m’as laissée pénétrer dans le mystère de Ta miséricorde ! Tout commence par Ta miséricorde et se termine par Ta miséricorde » (Petit Journal de Sainte Faustine). Selon les promesses faites à sainte Faustine par cette apparition et comme pour l'image du Sacré-Cœur, Jésus accordera une protection spéciale et merci à n'importe quelle ville qui vénérera cette l'image et à toute maison[1].
Sommaire
Iconographie
Le rayon rouge est le symbole de la force et le blanc de la pureté. Ce sont la représentation iconographique du sang et de l'eau sortis du côté de Jésus transpercé par le javelot d'un soldat romain, durant sa Passion (Évangile selon saint Jean, 19)
« Or, comme c'était la Préparation, de peur que les corps ne restassent sur la croix pendant le sabbat, car le jour de ce sabbat était très solennel, les Juifs demandèrent à Pilate qu'on rompît les jambes aux crucifiés et qu'on les détachât. Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes du premier, puis de l'autre qui avait été crucifié avec lui. Mais quand ils vinrent à Jésus, le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes. Mais un des soldats lui transperça le côté avec sa lance, et aussitôt il en sortit du sang et de l'eau. Et celui qui l'a vu en rend témoignage, et son témoignage est vrai; et il sait qu'il dit vrai, afin que vous aussi vous croyiez. Car ces choses sont arrivées afin que l'Écriture fut accomplie: « Aucun de ses os ne sera rompu. » Et il est encore écrit ailleurs: « Ils regarderont celui qu'ils ont transpercé » . »
— Jean 19,31-37
On peut en voir les trois exemplaires : en France, dans le sanctuaire des Pères pallottins à Osny, en Lituanie à Vilnius à l'église de la Trinité et en Pologne au Sanctuaire de Lagiewniki.
Une vision
Le Petit Journal de sainte Faustine Kowalska est le seul témoignage que nous ayons de ces apparitions du « Christ Miséricordieux » avec l'œuvre de l'Abbé Michel Sopocko, son confesseur.
Le 22 février 1931, au monastère de Plock (Pologne), Faustine Kowalska (canonisée en 2000 par Jean-Paul II) eut une vision du Christ Miséricordieux, qu'elle raconte dans son Petit Journal : Pendant cette vision, le Christ lui aurait commandé de peindre une image avec une inscription en bas : Jésus, j'ai confiance en Toi (Jezu, ufam Tobie) : « Un soir, dans ma cellule » - écrit Sœur Faustine dans son Petit Journal - « je vis Jésus vêtu d'une tunique blanche, une main levée pour bénir, la seconde touchant son vêtement sur la poitrine. De la tunique entrouverte sortaient deux grands rayons, l'un rouge, l'autre pâle. (...) Après un moment Jésus me dit : « Peins un tableau selon l'image que tu vois, avec l'inscription : Jésus, j'ai confiance en Toi. Je désire qu'on honore cette image, d'abord dans votre chapelle, puis, dans le monde entier. »(47).
À cette image seraient accordées de grandes promesses. Aussi Jésus aurait-il prescrit à Faustine Kowalska de la rendre accessible à tous.
Paroles du Seigneur Jésus à Sœur Faustine :
« Je donne aux hommes un vase, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la Miséricorde. Ce vase, c'est cette image avec l'inscription : Jésus, j'ai confiance en Toi. »
— (327)
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« Ces deux rayons indiquent le sang et l’eau: le rayon pâle signifie l’eau, qui justifie les âmes ; le rayon rouge signifie le sang, qui est la vie des âmes. Ces deux rayons jaillirent des entrailles de ma miséricorde, alors que mon Coeur, agonisant sur la Croix, fut ouvert par la lance. (…) Heureux celui qui vivra dans leur ombre. »
— (299)
.
« Par cette image j'accorderai beaucoup de grâces aux âmes, que chaque âme ait donc accès à elle. »
— (570)
— (48)
Ces apparitions sont très proches de celles du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie Alacoque, mais ici, l'accent est mis sur la Miséricorde de Dieu comme signe des « Derniers Temps », éclairant un décalage infini entre l'Église contemporaine et celle des temps passés.
Les images sont objet de vénération, mais non d'adoration qui seule est due à Dieu qui peut être adoré à travers son Eucharistie. Les images, selon le Père de l'Église saint Jean Chrysostome, représentent une certaine présence de Dieu et nous rappellent qu'il s'est fait chair. Elles sont aussi faites pour rappeler à la mémoire le sujet représenté : « le souvenir de ce qu'on doit adorer »[2].
Le tableau
Les textes du Petit Journal indiquent que Jésus demanda à sainte Faustine de le peindre de la façon dont elle le vit dans sa cellule de Płock. La Mère Supérieure lui donna un pinceau et demanda la même chose. Elle essaya donc de peindre puis renonça faute de compétences nécessaires.
Il y a eu ensuite trois principaux tableaux[3] de la Divine Miséricorde du vivant de sœur Faustine, mais il est dit aussi qu'elle a peint aussi des images représentant cette vision. Comme sœur Faustine aurait remarqué que le tableau de la Divine Miséricorde ne serait pas aussi beau que son original, Jésus lui aurait répondu que la vertu du tableau ne se trouve pas dans l'art du peintre, « mais dans sa grâce ».
Le premier tableau
IL fut peint par Eugène Kazimirowsky selon les indications de sœur Faustine. Lors de son voyage en Lituanie, le 5 septembre 1993, le Pape Jean Paul II a prié devant ce tableau du Christ Miséricordieux. En parlant aux fidèles, il a appelé ce tableau la Sainte Effigie
La première peinture a été peinte par Eugeniusz Kazimirowski, peintre de Vilnius trouvé par l'Abbé Sopocko, sous la surveillance des sœurs de la Miséricorde et son confesseur, Michał Sopoċko, à Vilnius en 1934. Le Père Sopocko posait lui-même comme Jésus pour l'image, et visita régulièrment l'atelier du peintre. La peinture finale n'a pas pu satisfaire Sopocko, ni Faustine. Mais dans son journal, elle a écrit que Jésus lui dit qu'il n'est pas important que l'image soit belle ou non. La véritable beauté serait la bénédiction que Jésus donnerait aux fidèles et au monde entier par le biais de cette peinture, qui évoque le sacrement de réconciliation appelé autrefois confession donné aux Apôtres, et « dans sa grâce ». L'abbé Sopoċko était particulièrement déçu que l'image Kazimirowski ait un fond sombre, ne donnant aucune indication que l'événement se déroulerait dans le cénacle à la fin de l'Évangile de saint Jean, avant l'épisode de l'Ascension. D'autres personnes ont critiqué le Jésus de Kazimirowski pour sa ressemblance avec Sopocko lui-même. La façon dont les pieds de Jésus sont debout sur le terrain et la façon dont Jésus donne la bénédiction seraient clairement celles du Père Sopoċko !
Le second tableau
Le second tableau, peint par Lucja Balzukiewicz, n'existe plus depuis la Seconde Guerre mondiale.
Le troisième tableau
Il fut réalisé par Adolf Hyla en 1943 à Cracovie. Adolf Hyla (rescapé d’une rafle dans les rues de Cracovie pendant la guerre) reçoit un jour la commande de deux Icônes pour la France. Celle qu'il avait peinte pour la chapelle des sœurs de Cracovie, était un ex-voto, pour remercier Dieu d’avoir échappé miraculeusement à cette rafle et pour la survie de sa famille. Sur la route du retour, le Père qui ramenait ces deux icônes en France laissa, à la demande d’une des communautés allemandes où il faisait halte, une des deux icônes et ne rentra en France à Osny fin août 1955 qu'avec une seule des deux icônes de Jésus Miséricordieux, qui fut l'unique icône bénie par le Pape avant le Concile Vatican II, en France[4]. Sopoċko avait bien envoyé la copie de l'image originale à Hyła, avec les annotations et les descriptions, mais Hyła les a ignorées, ce qui irrita Sopoċko : Hyła représenta Jésus comme un divin médecin, les deux pieds sur la terre et venant pour la guérison des personnes et des âmes. Sa main droite est montrée très élevée et il est à la recherche dans des yeux du spectateur. L'origine de cette peinture de Hyła de Jésus comportait un paysage du pays qui a été plus tard enlevée parce qu'il était « non-liturgique ». Le format Hyła est également appelé l' « Image de Cracovie de la Divine Miséricorde » car il est conservé dans le sanctuaire de Cracovie-Łagiewniki. Le Pape Jean-Paul II appelait la « Divine effigie », et il fut placée en l'Église du Sacré Cœur à laquelle était rattachée la maison des sœurs de la Miséricorde.
Le quatrième tableau
Un quatrième tableau peint dans les années 1970 par l'artiste américain Robert Skemp[5] dépeint Jésus comme debout devant une porte arquée, avec un halo plus prononcé autour de sa tête. Cette image, avec le format Hyła, est la version commune aux Philippines, où la dévotion à la miséricorde divine est très populaire[6].
D'autres tableaux
L'Abbé Michel Sopocko rechercha encore d'autres peintres : il fit appel à Sophia Baudouin de Courtenay, Antoni Michalaka, Fadeevski, Ludomir Sleńdziński et Adam Styka, vivant à New York, en 1957. L'abbé Sopocko fit un concours en vue de représenter cette image la plus belle possible et la compétition fut remportée par le peintre polonais Ludomir Sleńdziński.
Dans le milieu des années 1950, Sleńdziński en a peint plusieurs autres représentés sur des timbres et une image de 1954 fut placée dans l'église des prêtres jésuites de Kalisz. En 1954 son tableau fut le seul autorisé par l'épiscopat polonais. En 1955, Sleńdziński en peint un autre conservé dans l'église franciscaine de Cracovie[7].
Diffusion
L'essentiel du message résidait dans la diffusion de cette icône, non du sens artistique : l'abbé Sopocko s'y employa jusque à la fin de ses jours malgré de nombreuses difficultés.
Culte des images
Dans le Code de droit canonique[8] le culte des Images est associé au culte des reliques et celui des saints, mais, en l'occurrence, le sujet du tableau, le Verbe Incarné et la Miséricorde, dépasse totalement le culte des saints : sainte Faustine affirme avoir compris ce que les plus grands saints n'avaient pas vu, la Miséricorde de Dieu plus forte que sa Justice, que toute l'éternité ne suffirait pas à sonder.
- Les textes de l'Église :
« Nous définissons - déclarèrent les Pères de ces assises conciliaires - avec la plus grande rigueur et le plus grand soin que, à l'image de la représentation de la Croix précieuse et vivifiante, les images saintes et vénérées, qu'elles soient peintes, représentées sur mosaïque, ou sur tout autre matériau adéquat, doivent être exposées dans les saintes églises de Dieu, sur les objets sacrés, sur les ornements sacerdotaux, sur les murs et sur les tables, dans les maisons et dans les rues, qu'il s'agisse de l'image de Notre Seigneur Dieu et de Notre Sauveur Jésus-Christ, de celle de Notre Dame Immaculée la Sainte Mère de Dieu; des saints anges, ou encore de tous les saints et justes. » (2 ° Concile de Nicée, DS 600) « En effet, plus ces images sont contemplées fréquemment, plus ceux qui les contemplent sont portés au souvenir et au désir des modèles d'origine et à leur rendre, en les embrassant, respect et vénération. » »
— 2 ° Concile de Nicée, DS 601.
« Dans ses trois livres Antirretikoi (Réfutations), Théodore établit une comparaison entre les relations éternelles intratrinitaires, où l'existence de chaque Personne divine ne détruit pas l'unité, et les relations entre les deux natures en Christ, qui ne compromettent pas, en lui, l'unique Personne du Logos. Et il argumente: abolir la vénération de l'icône du Christ signifierait effacer son œuvre rédemptrice elle-même, du moment que, assumant la nature humaine, l'invisible Parole éternelle est apparue dans la chair visible humaine et de cette manière a sanctifié tout le cosmos visible. Les icônes, sanctifiées par la bénédiction liturgique et par les prières des fidèles, nous unissent avec la Personne du Christ, avec ses saints et, par leur intermédiaire, avec le Père céleste et témoignent de l'entrée dans la réalité divine de notre cosmos visible et matériel. »
— Audience au Vatican sur Théodore le Studite, mai 2009.
Exposition publique de cette icône
Le premier tableau se trouvait dans le couvent des sœurs bernardines, près de l'église Saint-Michel de Wilno (Vilnius aujourd'hui), dont le Père Michel Sopocko était recteur. Comme Jésus aurait demandé au cours de ces apparitions : « Je désire que cette image soit honorée publiquement » (PJ 41), L'icône est exposée publiquement à la fenêtre de la Porte de l'Aurore de cette même ville en 1935. Elle est cachée pendant la dernière guerre, se trouve à Grodno et divers endroits jusqu'à être exposée pendant plusieurs décennies à la paroisse polonaise du Saint-Esprit à Vilnius. Depuis le 28 septembre 2008, elle se trouve à l'église de la Trinité.
En France, l'image est exposée dans le Sanctuaire d'Osny et vénérée le Dimanche de la divine Miséricorde[9],[10]. Les Pères pallottins organisent chaque année des pèlerinages sur les lieux où sœur Faustine vécut.
Dans ses apparitions, le Christ émet le désir que cette image soit répandue dans le monde entier.
Béatification de sainte Faustine
Sainte Faustine Kowalska est canonisée le 30 avril 2000 par le Pape Jean-Paul II, polonais qui en 2001 explique longuement le sens des deux rayons de l'icône qui selon Faustine, étaient étroitement liés mais ne se confondaient pas :
« A travers le mystère de ce cœur blessé, le flux restaurateur de l'amour miséricordieux de Dieu ne cesse de se répandre également sur les hommes et sur les femmes de notre temps. Ce n'est que là que celui qui aspire au bonheur authentique et durable peut en trouver le secret. « Jésus, j'ai confiance en Toi » Cette prière, chère à tant de fidèles, exprime bien l'attitude avec laquelle nous voulons nous aussi nous abandonner avec confiance entre tes mains, ô Seigneur, notre unique Sauveur.... Un simple acte de confiance suffit à briser la barrière de l'obscurité et de la tristesse, du doute et du désespoir. Les rayons de ta miséricorde divine redonnent l'espérance de façon particulière à celui qui se sent écrasé par le poids du péché. »
Comparaison
Le sang et l'eau jaillissant du côté droit de Jésus sont représentés dans les tableaux et icônes de la Crucifixion aussi bien chez les catholiques que chez les chrétiens orientaux. Aucun tableau figurant la Résurrection ne les représentait jusqu'alors.
Ces rayons forment la moitié inférieure d'un chrisme dont le Sacré-Cœur forme le centre, et les rayons le X. Cette comparaison est intéressante dans la mesure où les apparitions du Christ à sainte Faustine sont les plus importantes depuis celles du Sacré-Cœur, qui a été pendant des siècles le symbole de la miséricorde divine et du catholicisme. Or sainte Faustine mourut très peu de temps avant le début des recherches œcuméniques visant à retrouver le sens du christianisme primitif, et son unité blessée au cours des siècles, lequel n'utilisait pas le symbole du Sacré-Cœur mais le Chrisme, pour exprimer sa foi. Le chrisme signifiait la paix chrétienne, pax christiana. Dans cette image le cœur du Christ est au centre de deux rayons de lumière de forme chrismale : symbole du sang de Jésus sur la croix source de paix et de miséricorde. C'est aussi une icône, terme cher aux Chrétiens d'Orient.
De nombreux tableaux de la Crucifixion, depuis le Moyen Âge représentent le sang et l'eau jaillissant du côté de Jésus, de par la blessure faite par la lance de Longin : ils sont ici figurés par les deux rayons de lumière blancs et rouges dans un tableau symbolisant la Résurrection. Le rayon blanc symbolise la pureté et le rouge le courage. On peut aussi songer à saint Jean se penchant sur la poitrine de Jésus[12].
Cette représentation d'un Christ aux rayons est la première du genre, mais, en fait, on trouve dans une des Fioretti de Saint François d'Assise, ouvrage anonyme du XVe siècle, le récit d'une vision semblable à celle de Faustine ; lors de l'épisode de l'apparition à frère Jean de l'Alverne, natif des Marches, lequel se désolant de ne plus avoir de consolation dans la prière, errait dans les bois. Le Christ vient alors à sa rencontre : « lorsqu'il l'a rejoint, le Christ béni se retourne vers lui et le regarde avec un visage plein d'allégresse et de grâce ; et ouvrant ses bras très saints et miséricordieux, l'embrasse très doucement. Et lorsqu'il ouvrit les bras, frère Jean vit sortir de la poitrine très sainte du Sauveur de merveilleux rayons de lumière qui illuminèrent toute la forêt et lui aussi en son âme et en son corps. »[13]. Mais sainte Faustine religieuse de la Miséricorde, peu instruite, ne pouvait avoir lu de livre.
Compléments
Articles connexes
Liens externes
- Site de Plock
- L'icône de la Divine Miséricorde - Jésus Miséricordieux
- Site des sœurs de la Miséricorde : faustine-message.com
- Hommage Misericorde-divine : Sur l'icône
- La restauration du Tableau
Bibliographie
- Le Petit Journal de Sainte Faustine Kowalska. Éditions Apostolat de la Miséricorde Divine
- Maria WINOWSKA, L'icône de la Miséricorde, Éditions Saint-Paul, 1973
Notes et références
- L'image d'origine est actuellement sur l'affichage de l'autel du sanctuaire de la miséricorde divine à Vilnius, Lituanie
- [1] Concile de Trente
- [2] : Le premier tableau-Le second tableau-Comparaison des deux tableaux Lire, pour plus de détails, les trois pages web consacrées au Tableau de la Miséricorde Divine sur le site HOMMAGE A LA MISERICORDE DIVINE
- Historique de l'Apostolat de la Miséricorde Divine
- Image du quatrième tableau ici
- [3] et ici [4] Deux autres tableaux et informations complémetaires par Barbara Cichońskaici ici
- Différents modèles de cette d'icône
- 1917 Codex Juris canonicis, Livre II, de De rebus
- [5] Pèlerinage annuel
- [6]
- http://www.spiritualite-chretienne.com/s_coeur/chrono_g7.html] Extrait de l'homélie de Jean-Paul II, trad. française publiée par L'Osservatore Romano le 24 avril 2001[
- « Ayant ainsi parlé, Jésus fut troublé en son esprit, et il dit expressément : En vérité, en vérité, je vous le dis, l'un de vous me livrera. [22] Les disciples se regardaient les uns les autres, ne sachant de qui il parlait. [23] Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus. [24] Simon Pierre lui fit signe de demander qui était celui dont parlait Jésus. [25] Et ce disciple, s'étant penché sur la poitrine de Jésus, lui dit : Seigneur, qui est-ce? » ( Jean 12,25)
- Fioretti 49
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