Guillaume de Sainte-Maure

Guillaume de Sainte-Maure
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Blason des seigneurs de Sainte-Maure

Guillaume de Sainte-Maure est né vers 1140 et est mort vers 1204, très certainement dans son château de Sainte-Maure et inhumé dans l’église de l'abbaye Notre-Dame de Noyers, comme tous les membres de sa famille.

Guillaume de Sainte-Maure, d’une maison de haut baronnage et d'ancienne chevalerie, de Touraine, qui compte jusqu’à cent arrière-fiefs et châteaux accompagne Henri Ier de Champagne, comte de Champagne et de Brie, à la croisade en 1179. Il reste dans les États latins d'Orient, au moins jusqu’en 1191, date à laquelle les trois derniers membres de la Maison de Sainte-Maure sont cités dans la Charte d’Acre[1]. Le sire de Sainte-Maure a ses armes qui figurent dans la deuxième première des salles des croisades du château de Versailles. Avoie, dame de Sainte-Maure, fille unique de Guillaume de Sainte-Maure, épouse, avant l'an 1190, Guillaume, seigneur de Pressigny, en Touraine, à qui elle porte le riche héritage de sa maison et qui relève le nom et les armes de la première Maison de Sainte-Maure[2].

Sommaire

Biographie

Sa famille

Ruines du château de Sainte-Maure.

Le château de Sainte-Maure est édifié vers 990, sur les ruines d'une citadelle gallo-romaine, par le comte d'Anjou Foulque III d'Anjou afin de contrôler l'accès à Tours par le sud. La maison de Sainte-Maure a pris son nom. Son premier seigneur connu, est Gosselin de Sainte-Maure, surnommé Pictavinus, mentionné dans une charte de Foulques Nerra, comte d'Anjou, de l'an 1007[3]. Gosselin se marie avec la fille du seigneur de Chinon. Si Sainte-Maure est dans le sud Touraine, ses barons soutiennent ou affrontent les comtes d’Aquitaines, ou les comtes de Blois ou d’Anjou, qui malgré leurs liens familiaux se disputent plusieurs territoires à la frontière de leurs possessions, dont le Chinonais.

Les premiers seigneurs de Sainte-Maure pendant cinq générations se marient avec des héritières de fiefs et châteaux tourangelles ou angevines, comme les Montreuil-Bellay. Ils participent aussi à de nombreuses guerres, font des donations à des monastères et deviennent ecclésiastiques encore plus souvent que les autres familles seigneuriales[4].

On ne sait si Hugues de Sainte-Maure prend part à la première croisade comme il en manifeste le désir en 1096[5].

Son père

Ruines du château des seigneurs de Montgauger, la famille de sa mère.

Son père, Hugues II de Sainte-Maure, est chevalier dès 1116. Il succède à son grand-père cette année-là, qui est mort à la bataille de Sées, en 1115. Hugues est attesté en 1136 et 1149 et nommé parmi les barons, dans un titre de l'abbaye de la Trinité de Vendôme, de l'an 1159. Selon ce document, Henri II d'Angleterre, comte d'Anjou et du Maine, duc de Normandie, roi d'Angleterre (11541189), étant à Tours en 1159, termine un différend entre ladite abbaye et celle de Saint-Julien de Tours.

À Saint-Épain des conflits nourris par les prétentions des barons de Sainte-Maure, à régenter ce territoire, châtellenie et prévôté dès le IXe siècle placée sous la protection du château de Chinon et donc du roi existent et sont même nombreux. Hugues II de Sainte-Maure a donc un démêlé avec le chapitre de Saint-Martin de Tours, au sujet des exactions et des mauvais traitement qu'il a exercés envers les habitants de Saint-Épain, sujets de cette église. En effet, Hugues II de Sainte-Maure, vers 1150, veut percevoir des tailles sur les habitants et les astreindre à des corvées. Au cours des XIIe et XIIIe siècles les chanoines de Saint-Épain ont à défendre leurs droits, donc aussi du temps de Guillaume de Sainte-Maure. Ils usent d'une méthode autorisée par l'Église en cessant de célébrer le service divin, en déposant le christ et les reliques sur le sol, et en amassant des épines aux portes de l'église. Chaque jour, les prêtres prononcent des sentences d'excommunication contre le seigneur de Sainte-Maure, qui, ne semblant d'abord en avoir cure, finit par se soumettre. Il en fait même satisfaction, en 1155 en présence de l'archevêque de Tours Engebault de Preuilly (1146-1157) et du consentement de ses deux fils Guillaume et Gosselin. Les lettres portent que, par l'ordre de l'archevêque, ayant l'habit de pénitent, il va, accompagné de Bouchard de l'Île, nu-pieds depuis l'archevêché jusqu'au tombeau de saint-Martin, tenant en main une poignée de verges, dont il se donne plusieurs fois la discipline. Ces sortes de pénitences publiques sont alors assez en usage à l'égard des grands, et s'exécutent avec beaucoup de sévérité, par le soin des évêques qui, sous prétexte de religion, veulent s'acquérir une sorte de suprématie sur les grands seigneurs[6] et limiter un peu leurs pouvoirs locaux.

Selon François-Alexandre de La Chenaye-Aubert[7] :

Hugues II de Sainte-Maure, a part à un des grands évènements de la Monarchie Angloife, occafionnés par la révolte des enfans du roi Henri II d'Angleterre, d'intelligence avec Aliéner de Guyenne, leur mère, en 1173. Tous les Hiftoriens difent que Hugues II de Sainte-Maure, prit parti pour la Reine Aliénor, avec Raoul de Faye, en qualité de proche.

Nous ne savons pas quelle est son lien de parenté ou autre avec Benoît de Sainte-Maure, né à Sainte-Maure-de-Touraine, selon presque tous les historiens et qui n’a de Normand que le fait qu’il va très jeune à la cour anglo-normande[8]. Le Roman de Troie (1160-1170) est dédié à cette reine et probablement commandité par elle. En tous les cas, Hugues II de Sainte-Maure combat à leurs côtés avec plusieurs membres de sa famille et remet son château de Sainte-Maure entre les mains des fils du roi d’Angleterre révoltés[9].

Hugues II de Sainte-Maure, est-il mort octogénaire vers 1180 ? De fait, il est encore cité en 1173 et est mort à l'époque de la troisième croisade, Si l'on s’en rapporte à la date de 1180 assignée par D. Fonteneau à une charte locale[10].

La mère de Guillaume de Sainte-Maure, Aois est héritière du château et du fief de Montgauger. Elle est très certainement fille d’un seigneur prénommé Philippe.

Hugues II de Sainte-Maure meurt âgé. Il ne laisse que deux fils :

Cûmque de loco sepulturœ tractaretur, placuit Guillelmo et Goscelino filiis ejus...

Croisé (1179-1191)

Guillaume de Sainte-Maure, fils aîné de Hugues II et d'Aois, sa femme, chevalier banneret de Touraine, succède à son père dans la seigneurie de Sainte-Maure :

Âbbas Henricus, cùm assensu totius capituli dedit defuncto Hugoni ex integro beneficium... Quod beneficium Guillelmus ad cujus dominium terra illius jure hoereditario pertinebat, devotè ssucipiens dedit...

Deux de ses frères sont tués lors des guerres que font les Anglais en France[11].

Guillaume, premier du nom, est présent, en 1155, à la satisfaction faite par son père à l'église de Saint-Martin. On ne sait pas le nom de sa femme, dont il n'eut qu'une fille nommée Avoye[9].

Guillaume de Sainte-Maure, d'une des nobles familles du Poitou ou de Touraine, selon les auteurs, part à la Terre sainte en 1179. Son père n’est semble t’il pas encore mort. Sa fille unique n’est pas encore mariée. Il va à Jérusalem par voie maritime avec Henri Ier de Champagne, comte de Champagne et de Brie, Pierre Ier de Courtenay (le frère du Louis VII de France), Philippe de Dreux, évêque de Beauvais, le comte Henri de Grand-Pré, Geoffroy de Grand-Pré, son frère, et un groupe de chevaliers. Guillaume de Sainte-Maure souscrit toujours en 1179, à une donation faite dans la ville de Jérusalem, par Henri Ier de Champagne. Au bas de cette charte, qui se trouve rapportée dans les Mémoires de l'abbé de Villeloin[12], il est dit que Guillaume de Sainte-Maure porte : d'argent, à la fafce de gueules, a pour cri : Sainte-Maure ![13].

En Orient, Saladin attaque les positions franques[14]. Il cherche à isoler les Latins. il conclut pour cela des alliances avec les Seldjoukides en 1179, avec l'Empire byzantin et Chypre en 1180. En effet, l'Empire byzantin est menacé en Europe par les Hongrois, les Serbes et le Normands de Sicile et n'a plus les capacités de soutenir ses anciens alliés. Une trêve avec les Latins est cependant conclue en 1180. Henri Ier de Champagne retourne vers l'Europe par la voie terrestre à travers l'Asie Mineure, et est capturé et détenu en otage par Kilij Arslan II, sultan seldjoukide de Rum. La rançon est payée par l'empereur byzantin et Henry est libéré, mais il est mort peu après en 1181.

Le royaume de Jérusalem menacée, ne peut compter sur aucun secours extérieur. Mais, Guillaume de Sainte-Maure choisit de rester et de combattre les ennemis de sa foi. La noblesse de France aux croisades précise qu’il n’est pas le seul de sa Maison à vouloir défendre les États latins d'Orient. Herbert de Sainte-Maure et Hugues sont à ses côtés. Ils sont cités dans la charte d'Acre de 1191, comme Guillaume[1]. Hugues de Sainte-Maure, moine-chevalier tourangeau, est mort à la croisade[15]. Un manuscrit de la Bibliothèque Royale signale aussi la présence de Guillaume, sire de Sainte-Maure en Touraine, aux croisades[16].

Un titre de croisade appartient à la maison d'Orglandes, qui le produira en 1843, pour l'admission du nom et des armes de Foulques d'Orglandes aux salles des croisades du musée du château de Versailles. La maison de Sainte-Marie d'Agneaux, qui avait négligé de faire valoir ses droits en celle circonstance, satisfaisait à toutes les conditions exigées pour figurer à la galerie des Croisades. Elle avait fait ses preuves de cour, et la marquise de Sainte-Marie avait été présentée le 6 décembre 1778. (Gazette de France et Mercure de 1778.) Son nom ne se trouvant pas dans le registre des honneurs de la cour conservé aux archives de l'Empire, avait aussi été omis dans la liste des présentations qui a été publiée par l'Annuaire de 1849-1850. Cette charte est scellée d'un sceau en cire blanche pendant à des lacs de parchemin et représentant une fasce, armes de la première maison de Sainte-Maure, éteinte en la personne de Guillaume de Sainte-Maure, le chevalier croisé qui a donné les présentes lettres de garantie. Ce seigneur ne laissa qu'une fille, Avoie, dame de Sainte-Maure, mariée à Guillaume de Pressigny, qui a relevé le nom et les armes de la famille de sa femme[17] :

Ego Willeliuus de Sancta Maura, miles, universis présentes litteras inspecturis, notum facio quod garrandiam, quant pie memorie H, pater meus, se laturiun promiserat de mutuo centum marcharum argenti per Jacobum de Jota et ejus socios, Piseos cives, karissimis meis amicis, Willelmo de Bossaio, Hugoni Sonini, Guberto Guberti et Radulplio de Ponte traditarum et per ipsos ad instans Pascha reddenda- rurn, assumpsi sicut meam et loco predicti patris inei in hoc casu me substitut, obligans me et bona inea ad solveudam dictam summam, si predicti amici non solverent termine snpradicto. Quod ut vatum sit présentes litteras sigillo meo sigillavi. Actum in castris juxta Accon, anno Domini millésime centesimo nonagesimo primo.

L'église de Saint-Épain et son porche.

Guillaume de Sainte-Maure n’est pas mort aux croisades. Il revient après 1191. Sa fille est peut-être mariée. Du fait du décès de son père, il devient baron de Sainte-Maure, une importante, à laquelle s’ajoute entre autres, la seigneurie et le château de Montgauger, les fiefs et seigneuries de la Provostière (aujourd'hui nommée la Proulière), de Savonneau et de Bois Durant (désigné dans Cassini sous la dénomination de Bois de Saint-Maurice du rang). Cette dernière seigneurie est située dans la paroisse de Sainte-Catherine-de-Fierbois. Il est seigneur en partie de Saint-Épain et d’une partie de la Manse et de Nouâtre du fait de son grand-oncle. Parmi les autres arrières-fiefs on trouve aussi La Jugeraie, La Mérandière et Vauvert.

Guillaume de Sainte-Maure vit dans son château de Sainte-Maure. Il fait des dons à l’abbaye Notre-Dame de la Merci-Dieu à La Roche-Posay. Il est mort avant 1205. On lui attribue, mais sans preuve suffisante, la fondation du chapitre du Grand Pressigny, vers l'an 1190[18]. Il est vrai que selon Jean Louis Chalmel, il est aussi appelé Guillaume de Sainte-Maure et Pressigny, car la Maison de Sainte-Maure et celle de Pressigny se confondent depuis le XIe siècle[19].

Mariages et descendances

Guillaume, seigneur de Pressigny, du fait de sa mère, Athenaïs de Pressigny, épouse, comme nous l'avons dit, Avoie, dame de Sainte-Maure, fille unique de Guillaume de Sainte-Maure, avant l'an 1190. Elle porte à son mari le riche héritage de sa maison, selon la plupart des généalogistes[20], mais pas en 1190. Au niveau des actes nous le voyons disposer des biens de sa femme et son beau-père qu’en 1205. C’est le cas des dons à l’abbaye Notre-Dame de la Merci-Dieu à La Roche-Posay.

Le gendre de Guillaume de Sainte-Maure, Guillaume de Pressigny, est le fils de Foulques de Loudun. Sa Maison est aussi importante que celle des barons de Sainte-Maure, mais comme il a des frères, il relève son nom et porte ses armes. Il fonde, en 1190, un prieuré à Pressigny, en Touraine, à la prière de Renaud, abbé de Pontlevoy. Dans le titre de fondation et dans le livre des anniversaires de cette abbaye, il est qualifié de seigneur de Sainte-Maure et de Pressigny, ce qui prouve qu'il en a déjà épousé l'héritière. Il est un des principaux vassaux Jean sans Terre, roi d'Angleterre, qui souscrivirent au fameux traité d'alliance, conclu aux Andelys en Normandie, entre ce prince, et Baudouin VI de Hainaut, comte de Flandres et du Hainaut, puis empereur de Constantinople, en date du 18 août 1100. Quand les provinces que les Anglais possèdent alors en France sont été confisquées sur le roi Jean sans Terre, il redevient sujet de Philippe Auguste et est un des chevaliers-bannerets de Touraine qui se trouvèrent avec Geoffroi de Loudun, son frère à la bataille de Bouvines[21].

Notes et références

  1. a et b La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par Derache, 1845, p.215.
  2. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Edition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1778, 12, p.463 et Galeries historiques du palais de Versailles, Par Charles Gavard, Versailles palais, 1844, p.95.
  3. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Par Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Publié par Z. Mortreuil, 1892, 20, p.99.
  4. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Edition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1778, 12, p.463.
  5. Bulletin, Par Amis du vieux Chinon, v.5 no.1-2 1946-1947, p.135.
  6. Article WP sur Saint-Épain et Histoire de Touraine jusqu'à l'année 1790, Par Jean Louis Chalmel, 1828, VOL. 3, p.274.
  7. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Édition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1778, 12, p.463.
  8. Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, Par Société des antiquaires de Normandie, Publié par Société des antiquaires de Normandie, 1825, ser. 1:v.1, p.394. ? Lui-aussi est un proche d’Aliénor d’Aquitaine.
  9. a et b Histoire de Touraine jusqu'à l'année 1790, Par Jean Louis Chalmel, 1828, VOL. 3, p.275.
  10. Mémoires de la Société archéologique de Touraine‎ - Page cxxxv, de Société archéologique de Touraine, Société archéologique de Touraine - 1873 et Les Amis du Vieux Chinon. Il est inhumé dans l’abbaye Notre-Dame de Noyers Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Par Société archéologique de Touraine, 1855, v.5-6, p.62.
  11. Encyclopédie méthodique: ou par ordre de matières: par une société de gens de lettres, de savans et d'artistes ..., Publié par Panckoucke, 1788, t.3, p.603.
  12. Tome 11, p. 118
  13. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Édition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1778, 12, p.463 et Galeries historiques du palais de Versailles, Par Charles Gavard, Versailles palais, 1844, p.95.
  14. Cécile Morrisson, p. 42
  15. Templiers et hospitaliers en Touraine: sur les traces des moines chevaliers, 1193-2001, Par Alain Jacquet, Publié par A. Sutton, 2002, p.11, Voir aussi La Chesnaye des Bois et le Dictionnaire de la noblesse sur les Sainte-Maure.
  16. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par Derache, 1845, p.188.
  17. Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe, Par Borel d'Hauterive, Publié par Bureau de la publication, 1861, v.18, p.360.
  18. Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Par Société archéologique de Touraine, Publié par Société archéologique de Touraine., 1855, t.5, p.214.
  19. Histoire de Touraine jusqu'à l'année 1790, Par Jean Louis Chalmel, 1828, VOL. 3, p.224.
  20. Dictionnaire universel de la noblesse de France ..., Par Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Publié par Au Bureau général de la noblesse de France, 1821, p.149.
  21. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Par François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Edition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1778, 12, p.464 et Mémoires de la Société archéologique de Touraine, Par Société archéologique de Touraine, Publié par Société archéologique de Touraine., 1855, t.5, p.214.

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