- Dire Straits
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Dire Straits Pays d’origine Royaume-Uni Genre musical Rock Années d'activité 1977 - 1995 Labels Phonogram
Vertigo
Atlantic Records
Warner MusicMembres Mark Knopfler
John Illsley
Alan Clark
Guy FletcherAnciens membres David Knopfler
Pick Withers
Hal Lindes
Terry Williams
Jack Sonni
Omar Hakim
Chris White
Paul FranklinEntourage Talking Heads, Bob Dylan Dire Straits est un groupe de rock britannique créé durant l'été 1977 par Mark Knopfler (guitare et chant), David Knopfler (guitare), John Illsley (guitare basse) et Pick Withers (batterie). Considéré par certains comme l'un des plus grands groupes de rock des 30 dernières années, Dire Straits a vendu plus de 120 millions d'albums depuis ses débuts[1].
Sultans Of Swing, Romeo and Juliet, Tunnel of Love, Brothers in Arms, Money for Nothing, Your Latest Trick, Private Investigation, Walk Of Life, Telegraph Road, Calling Elvis, So far Away, Lady Writer, Twisting By The Pool, Going Home sont quelques grands succès de Dire Straits.
Le groupe s'est séparé en 1993 bien que le contrat ait pris officiellement fin en 1995.
Sommaire
Biographie
Origine du groupe
Mark Knopfler est un journaliste âgé de 27 ans quand son frère David lui présente le bassiste John Illsley. Tous deux décident alors de s'installer dans un studio et de tenter de vivre de leur musique. Les débuts sont difficiles, et le groupe vit avec des moyens très limités.
C'est cette situation qui influence le groupe, initialement appelé The Cafe Racers[2], pour le choix de son nom : to be in dire straits peut en effet se traduire par « être dans la dèche ».
Dans leur petit studio, Mark Knopfler va composer en 1977 le titre qui restera comme l'hymne du groupe : Sultans of Swing, un hommage à tous les musiciens de bar et cabaret. Charlie Gillett diffuse alors la bande sans prévenir les membres du groupe lors de son émission Honky Tonk. Plusieurs producteurs le contactent dans les instants qui suivent. C'est finalement Phonogram qui les engage pour cinq albums.
Le triomphe du rock « à l'ancienne »
Dire Straits accompagne en tournée pour la première partie du groupe américain de David Byrne les Talking Heads[3].
Le premier album, Dire Straits, enregistré à Londres en février 1978 pour seulement 12 500 livres sterling, remporte rapidement un énorme succès dans toute l'Europe - à l'exception notable du Royaume-Uni, qui ne viendra au groupe que plus tard. Outre Sultans of swing, qui ouvre la face B, l'album contient un autre succès, Down to the waterline.
Mark Knopfler, qui signe tous les titres, s'impose comme l'unique compositeur du groupe. Il se fait également remarquer par son jeu de guitare, virtuose, mais à contre-courant du « gros son » rock de la fin des années 1970. Influencé par le blues et la country, notamment par J.J. Cale et Chet Atkins, Hank Marvin des Shadows. Knopfler ne joue qu'en son clair, ou légèrement saturé (crunch) exclusivement aux doigts et sans jamais utiliser de médiator, avec la technique appelée chicken-picking (à ne pas confondre avec le fingerpicking, également une technique de jeu aux doigts, caractérisée par l'alternance des basses au pouce, popularisée notamment par Chet Atkins). Son instrument de prédilection, une Fender Stratocaster, devient l'emblème du groupe sur les pochettes des deux premiers albums.
Le succès ne se dément pas avec le second album du groupe, Communiqué, enregistré dans la foulée du premier, en décembre 1978, à Nassau, Bahamas. Il réussit le tour de force d'occuper la première place des charts allemands alors que Dire Straits est toujours à la 3e. Comme dans le cas de son prédécesseur, l'influence blues et country reste dominante, la production peu travaillée, les thèmes abordés et l'ambiance musicale sont noirs. Cette absence manifeste de démarche commerciale se retrouvera d'ailleurs moins par la suite. C'est avec l'émission télévisée Chorus (émission) présentée par Antoine De Caunes et Jacky sur Antenne 2 que Dire Straits fait sa première apparition sur scène en France[4].
À la fin des années 1970, à l'époque du punk, du funk et de la disco, le succès d'un groupe qui pratique un rock influencé par J.J. Cale et Dylan peut surprendre, mais il ne diminuera pas pour autant avec les prochains albums, Making Movies en 1980 et Love Over Gold en 1982.
Love Over Gold dispose d'une particularité, à l'origine il était prévu pour six morceaux, or il s'avère que dans l'album final, cinq sont disponibles. Le 6e morceau Private Dancer composé par Mark Knopfler a été offert à Tina Turner pour relancer sa carrière. Des membres de Dire Straits participèrent musicalement aux albums de Tina Turner dans les années 1980.
Ces disques, qui inaugurent des compositions et arrangements plus complexes, et plus conformes à l'air du temps, sont marqués par les tubes Romeo and Juliet et Private Investigations. C'est aussi la fin des premières années, avec le départ du guitariste David Knopfler et du batteur Pick Withers. Ils sont remplacés par Hal Lindes (guitare) et Terry Williams (batterie), et l'effectif est renforcé par Alan Clark aux claviers.
En 1983, le groupe, pas davantage influencé par les tendances discoïdes des années 80 que par le punk des seventies, sort ExtendedancEPlay, un mini-album de 4 titres qui contient le single Twisting By the Pool, qui sonne nettement Honky Tonk. Il sera suivi en 1984 par le double live Alchemy qui remporte un énorme succès.
Brothers in Arms : stades et disques laser
En 1985, le groupe sort Brothers in Arms, qui restera comme son plus grand succès. Cet album est celui des premières mondiales : première vidéo à passer sur MTV en Angleterre pour Money for Nothing, single exceptionnellement rock pour le groupe, et surtout l'un des premiers albums de rock à être diffusé sur un tout nouveau support discographique : le disque compact. Brothers in Arms est d'ailleurs le premier album de l'histoire à se vendre à plus d'un million d'exemplaires sur format CD. C'est aussi le premier album dont les claviers ont été séquencés et arrangés sur un ordinateur (Atari).
Le morceau Brothers in Arms sera utilisé dans le film Spygame de Tony Scott, dans la série À la Maison Blanche (The West Wing) lors du dernier épisode de la saison 2 et dans le film Panique à Hollywood, lorsque Bruce Willis, sur un plateau de cinéma, sort d'une caravane ainsi que dans Hooligans de Lexi Alexander.
La sortie du disque est suivie par une tournée monumentale, qui voit Dire Straits jouer dans des stades pleins à craquer : le groupe remplit la Wembley Arena (à ne pas confondre avec le stade du même nom) 13 soirs de suite, et l'Entertainment Centre à Sydney 21 fois ! Il joue également au Live Aid au stade de Wembley en compagnie de Sting (qui joue les choristes sur la version studio de Money for Nothing), et devient, grâce à cette tournée, le groupe le plus vendeur des années 80. Au niveau line-up, cette époque marque le départ de Hal Lindes, remplacé à Noël 1984 par Jack Sonni alors vendeur dans un magasin de guitares sur la 48e rue à New York (Rudy's Music Shop), et dont l'amitié avec Mark remonte au début des années 80. Guy Fletcher, initialement embauché par Mark pour ses projets en dehors de Dire Straits, intègre également le groupe en tant que second clavier.
La fin du groupe
Épuisés par le gigantisme de la tournée Brothers In Arms (248 concerts donnés dans 117 villes entre avril 1985 et avril 1986), les membres du groupe décident en 1986 de faire une pause, occasion pour Knopfler de travailler sur d'autres projets. Le groupe ne jouera qu'une fois, pour l'anniversaire de Nelson Mandela en 1988 (accompagné pour l'occasion d'Eric Clapton à la place de Jack Sonni, papa de deux jumeaux le soir-même et donc à la maternité), avant sa reformation l'année suivante.
Début 1990, Dire Straits, composé alors de Knopfler, John Illsley, et des claviers Alan Clark et Guy Fletcher, et accompagné par divers musiciens de session dont le batteur de Toto Jeff Porcaro, se lance dans l'enregistrement d'un nouvel album. On Every Street, sorti en septembre 1991, et qui, sans remporter le même succès que son prédécesseur, se vend tout de même à plus de 8 millions d'exemplaires dans le monde[5]. La tournée qui suit, dont on retrouve des extraits sur le live de 1993 On The Night, débute le 23 août 1991 à Dublin et se termine le 9 octobre 1992 à Saragosse, demeure à ce jour l'ultime concert donné par le groupe. Les tournées remportent un grand succès en Europe (automne/hiver 1991 et de printemps/été 1992). Le groupe se sépare officiellement en 1995, avec un Mark Knopfler au bout du rouleau qui déclare « [ne plus vouloir] entendre parler de Dire Straits pendant au moins 10 ans ! »
Le quatuor accompagné par leur manager à la batterie se reconstitue une seule fois, le temps de 5 chansons (Walk of Life, Sultans of Swing, Money For Nothing, Nadine et Wild Theme from Local Hero) à l'occasion du mariage de John Illsley le 19 juin 1999[6].
Style et influences
Débutant en pleine époque punk et évoluant dès les années 80, Dire Straits n'en reste pas moins un groupe de rock « à l'ancienne », influencé principalement par les années 60, voire 50, et le blues. Les influences du groupe sont à chercher du côté de Bob Dylan pour le style de chant, et de J.J. Cale, Hank Marvin, Eric Clapton ou encore Chet Atkins pour le jeu de guitare. Mark Knopfler joue exclusivement aux doigts, n'utilisant pas de médiator, et emploie l'ancestrale technique blues qui consiste à alterner phrases chantées et phrases de guitare selon un système de questions-réponses. Son jeu, simple et classique mais d'une grande élégance, est le fondement du son de Dire Straits. Les autres membres du groupe sont pour le moins discrets, et Knopfler se réserve en général les solos. Chet Atkins dira de lui « Knopfler fait n'importe quoi, mais il le fait bien ! »
Comme l'a fait remarquer le journal Le Monde, une grande modestie a toujours fait partie de l'image de marque du groupe (qui alla même jusqu'à décapitaliser son nom sur certaines affiches et pochettes : dIRE sTRAITS). Ses membres refusèrent longtemps de faire figurer leurs photos sur les pochettes. Cela se retrouve même dans les thèmes des chansons : du Sultans of Swing des tout débuts jusqu'à Calling Elvis, Mark Knopfler semble plus soucieux de rendre hommage aux artistes qu'il admire que de se mettre en valeur lui-même. Cette discrétion personnelle s'accompagnait d'un grand perfectionnisme, notamment sur le plan technique : le groupe était réputé pour faire le désespoir des ingénieurs du son et des organisateurs de leurs tournées (auxquels sont dédiés la chanson et le clip Heavy fuel). Ce son très soigné a fait de Dire Straits le groupe idéal pour les débuts du CD, qui leur permettait de faire ressortir les moindres nuances de leur son. Brothers in Arms fut d'ailleurs souvent employé pour faire la démonstration des possibilités sonores des nouveaux lecteurs. Il arriva même que l'album soit fourni avec l'appareil.
Malgré une grande discrétion personnelle et une musique relativement peu innovante, le groupe n'en est pas moins devenu une référence, voire pour certains un véritable mythe, notamment à l'extérieur de l'Occident (Inde…), où Dire Straits reste l'un des groupes européens les plus appréciés. Les albums solo de Mark Knopfler, pourtant parfois de qualité comparable, sans être boudés par le public, ne sont jamais parvenus à remporter le même succès.
Composition
Groupe
- Mark Knopfler : guitare, chant
- David Knopfler : guitare (jusqu'en 1980)
- John Illsley : basse
- Pick Withers : batterie (jusqu'en 1982)
- Hal Lindes : guitare (de 1980 à 1984)
- Alan Clark : clavier (à partir de 1980)
- Terry Williams : batterie (à partir de 1983 jusqu'en 1988)
- Guy Fletcher : clavier (à partir de 1985)
- Jack Sonni : guitare (de 1985 à 1988)
Musiciens
- Chris White : saxophone ténor (à partir de 1985) mais jamais crédité comme membre.
- Chris Whitten : batterie (de 1991 à 1992) mais jamais crédité comme membre.
- Phil Palmer : guitare (de 1991 à 1992) mais jamais crédité comme membre.
- Paul Franklin : pédale steel guitare (de 1991 à 1992) mais jamais crédité comme membre.
- Mel Collins : saxophone (de 1982 à 1984) mais jamais crédité comme membre.
- Tommy Mandel : clavier (de 1982 à 1984) mais jamais crédité comme membre.
- Joop de Korte : percussions (de 1982 à 1984) mais jamais crédité comme membre.
Invité notable
- Eric Clapton : guitare (de 1988 à 1989) en tant qu'invité. (leader pour une occasion)
Musiciens de studio
- Barry Beckett alias B.Bear : clavier (sur Communiqué)
- Roy Bittan : clavier (sur Making Movies)
- Ed Wash : synthétiseurs (sur Love Over Gold)
- Omar Hakim : batterie (sur Brothers In Arms)
- Jeff Porcaro : batterie (sur On Every Street)
- Manu Katché : batterie (sur On Every Street)
- Paul Franklin : pédale steel guitare (sur On Every Street)
- Chris White : saxo, flûte (sur On Every Street)
- Danny Cummings : percussion (sur On Every Street)
- Vince Gill : chœur (sur On Every Street)
- Phil Palmer : guitare (sur On Every Street)
- Michael Brecker : saxophone tenor (sur Brothers In Arms)
- Randy Brecker : trompette (sur Brothers In Arms)
- Sting : chœur (sur Money For Nothing)
- Tony Levin : basse (sur Brothers In Arms)
- Sid McGinnis : guitare (sur Making Movies) non crédité.
- Mike Mainieri : marimba, vibraphone (sur Love Over Gold), chœurs (sur Brothers In Arms)
- Jimmy Maelen : percussions (sur Brothers In Arms)
- Dave Plews : cuivres (sur Brothers In Arms)
- Neil Jason : basse (sur Brothers In Arms)
- Malcolm Duncan : saxophone ténor (sur Brothers In Arms)
Discographie
Albums studios
- Down To The Waterline (3:55)
- Water Of Love (5:23)
- Setting Me Up (3:18)
- Six Blade Knife (4:10)
- Southbound Again (2:58)
- Sultans of Swing (5:47)
- In The Gallery (6:16)
- Wild West End (4:42)
- Lions (5:05)
1979 : Communiqué (Vertigo Records)- Once Upon a Time in the West (5:25)
- News (4:14)
- Where Do You Think You're Going? (3:49)
- Communiqué (5:49)
- Lady Writer (3:45)
- Angel of Mercy (4:36)
- Portobello Belle (4:29)
- Single-Handed Sailor (4:42)
- Follow Me Home (5:50)
1980 : Making Movies (Vertigo Records)- Tunnel of Love (8:05)
- Romeo and Juliet (5:50)
- Skateaway (6:15)
- Expresso Love (5:00)
- Hand in Hand (4:46)
- Solid Rock (3:17)
- Les Boys (4:06)
1982 : Love over Gold (Vertigo Records)- Telegraph Road (14:15)
- Private Investigations (6:45)
- Industrial Disease (5:49)
- Love Over Gold (6:16)
- It Never Rains (7:54)
- Twisting by the Pool (3:28)
- Two Young Lovers (3:22)
- If I Had You (4:15)
- Badges, Posters, Stickers and T-Shirts (4:47)
1985 : Brothers in Arms (Vertigo Records)- So Far Away (5:12)
- Money for Nothing (Knopfler, Sting) (8:26)
- Walk of Life (4:13)
- Your Latest Trick (6:34)
- Why Worry (8:31)
- Ride Across the River (6:58)
- The Man's Too Strong (4:40)
- One World (3:41)
- Brothers in Arms (7:00)
1991 : On Every Street (Vertigo Records)- Calling Elvis (6:26)
- On Every Street (5:04)
- When It Comes to You (5:01)
- Fade to Black (3:50)
- The Bug (4:16)
- You and Your Friend (5:59)
- Heavy Fuel (5:10)
- Iron Hand (3:09)
- Ticket to Heaven (4:25)
- My Parties (5:33)
- Planet of New Orleans (7:48)
- How Long (3:49)
L'album Brothers in Arms existe dans le format Super Audio CD, sous lequel il fut remasterisé et réédité en 2003. Il s'agit d'un Super Audio CD hybride, par conséquent lisible en qualité Compact Disc par toute platine CD conventionnelle, incapable de reproduire la piste haute définition Super Audio CD.
Singles
Année Chanson Album 1978 Sultans of Swing - #2 - #7 Dire Straits 1978 Water of Love - - - - Dire Straits 1979 Lady Writer - #40 - #51 Communiqué 1981 Romeo and Juliet - - - #8 Making Movies 1981 Skateaway - - - #37 Making Movies 1981 Tunnel of Love - - - #3 Making Movies 1982 Private Investigations - - #4 #2 Love Over Gold 1983 Industrial Disease - #18 - - Love Over Gold 1983 Twisting By The Pool - #18 #11 #14 ExtendedancEPlay 1984 Love Over Gold (Live) - - - #50 Alchemy: Dire Straits Live 1985 So Far Away[7] - #24 #6 #20 Brothers In Arms 1985 Money For Nothing #1 #1 #2 #1 Brothers In Arms 1985 Brothers In Arms - - - #13 Brothers In Arms 1986 Walk Of Life - #7 #24 #1 Brothers In Arms 1986 Your Latest Trick - - - #26 Brothers In Arms 1988 Sultans Of Swing (réédition) - - - #62 Dire Straits 1991 Calling Elvis #7 #1 #2 #18 On Every Street 1991 Heavy Fuel #32 #17 - #55 On Every Street 1992 On Every Street #23 - - #42 On Every Street 1992 The Bug #44 #21 - #67 On Every Street 1992 You And Your Friend #49 - - - On Every Street 1993 Encores (EP) #17 - #1 #31 Encores (EP) 1993 Your Latest Trick (Live) #1 #91 - - On the Night Lives
- CD 1
- Once Upon a Time in The west (13:01)
- Expresso Love (5:45)
- Romeo and Juliet (8:17)
- Love Over Gold (3:27)
- Private Investigations (7:34)
- Sultans of Swing (10:54)
- CD 2
- Two young lovers (4:49)
- Tunnel of love (14:12)
- Telegraph Road (13:37)
- Solid Rock (6:01)
- Going Home (Theme from Local Hero) (6:05)
1993 : On the Night (Vertigo Records)- Calling Elvis (10:25)
- Walk Of Life (5:06)
- Heavy Fuel (5:23)
- Romeo And Juliet (10:05)
- Private Investigations (9:43)
- Your Latest Trick (5:35)
- On Every Street (7:01)
- You And Your Friend (6:48)
- Money For Nothing (Knopfler-Sting) (6:28)
- Brothers In Arms (8:55)
1995 : Live at the BBC (Vertigo Records)- Down to the Waterline (4:10)
- Six Blade Knife (3:47)
- Water of Love (5:29)
- Wild West End (5:12)
- Sultans of Swing (6:38)
- Lions (5:26)
- What's The Matter Baby? (D. Knopfler, M. Knopfler) (3:20)
- Tunnel of Love (Intro: "Carrousel Waltz" by Rodgers & Hammerstein) (11:56)
Participations
- Dire Straits a participé au concert Knebworth 90'. On retrouve sur le disque issu de l'enregistrement live Money for Nothing et I think I love you too much (morceau inédit).
Bootlegs principaux
- 1978 : Rotterdam
- 1978 : Chester
- 1978 : Rockpalast
- 1979 : Live on WDR Radio
- 1981 : Wechter
- 1985 : San Antonio
- 1985 : Wembley
- 1986 : Sydney
- 1987 : Annemasse
- 1988 : Concert hommage à Nelson Mandela avec Eric Clapton
- 1991 : Wembley
- 1992 : Nîmes
- 1992 : Basel
- 1992 : Woburn Abbey
Compilations
- 1988 : Money for Nothing
- 1998 : Sultans of Swing: The Very Best of Dire Straits
- 2005 : Private Investigations - The Best of Mark Knopfler & Dire Straits
LaserDisc
- 1990 : Alchemy
- 1992 : The Vidéos
- 1993 : On The Night
Vidéographie
- 1984 : Alchemy, (VHS)
- 1993 : Dire Straits on the Night (VHS et DVD)
- 2010 : Alchemy, (DVD/BLU RAY)
- On entend Romeo and Juliet dans l'autoradio de Timothy Dalton dans le film Hot Fuzz ainsi que dans le film Empire Records.
Notes et références
- [1]
- [2]
- Dire Straits, Images du Rock, Silvia Grijalba, 1995.
- Concert de Dire Straits - Chorus sur ina.fr
- Page sur l'album On Every Street
- (en) Info sur le mariage
- Sortie USA/Canada en 1986
Voir aussi
Liens externes
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