Deuxième guerre de l'opium

Deuxième guerre de l'opium

Seconde guerre de l'opium

Seconde guerre de l'opium
Informations générales
Date octobre 1856 - octobre 1860
Lieu
Issue Victoire occidentale, traité de Tianjin
Belligérants
Royaume-Uni Royaume-Uni
Drapeau français Empire français
États-Unis États-Unis
Chine Empire de Chine
Commandants
Flag of the United Kingdom.svg Michael Seymour
Flag of the United Kingdom.svg James Bruce
Flag of France.svg Jean-Baptiste Louis Gros
Flag of France.svg Auguste-Léopold Protet
Flag of France.svg Charles Cousin-Montauban
États-Unis James Armstrong
Chine Sengge Rinchen
Forces en présence
Royaume-Uni : 11 000 hommmes
France : 6700 hommes, 173 navires de guerre
Etats-Unis : 3 navires
200 680 hommes

La seconde guerre de l'opium dura de 1856 à 1860 et opposa la France et le Royaume-Uni à la Chine. Cette guerre peut être vue comme le prolongement de la première guerre de l'opium, d'où le nom que l'on lui a attribué.

Sommaire

Chronologie des principaux événements

Avant les guerres de l’opium

1731 : interdiction de l’importation de l’opium en Chine par les Qing
1757 : La Compagnie des Indes acquiert des droits de culture de l’opium au Bengale
1765 : La Compagnie des Indes acquiert des droits de culture de l’opium au Bihar

Première guerre de l’opium (1839-1842)

1816 : La compagnie des Indes développe le commerce de l’opium en Chine
5 janvier 1840 : Lin Zexu ordonne la fermeture du port de Canton
1842 : Traité de Nankin
(Révolte des Taiping (1851-1864))
25 février 1850 : Mort de l’empereur Daoguang remplacé par Xianfeng

Deuxième guerre de l’opium (1856-1860)

8 octobre 1856 : Un bateau contrebandier anglais est arrêté, l’Angleterre se prépare à attaquer
23 octobre 1856 : cinq mille soldats anglais investissent Canton
1857 : Bombardement de Canton par les Anglais et les Français
1858 : Traité de Tianjin
24 juin 1859 : Les forces franco-anglaises tentent de pénétrer dans Tianjin et se font refouler
17 juillet 1860 : Les armées anglaises et françaises débarquent sur le sol chinois
2 septembre 1860 : Les armées anglaises et françaises prennent Tianjin
5 octobre 1860 : Les armées anglaises et françaises campent sous les murailles de Pékin, les armées vont piller le « Palais d’été »
13 octobre 1860 : La ville de Pékin tombe
17 octobre 1860 : Le « Palais d’Eté » est incendié
24 octobre 1860 : Traité de Pékin

Après les guerres de l’opium

1861 : Mort de l’empereur Xianfeng. Avènement de l’empereur Tongzhi âgé de 5 ans, sa mère Cixi prend la régence

Contexte

Le traité de Nankin, faisant suite à la première guerre de l'opium, ne laissait que cinq ports à disposition des Occidentaux pour le commerce.

Malgré cet accord, les puissances européennes, dont la balance commerciale était largement déficitaire, désiraient étendre leur commerce vers le Nord et vers l’intérieur de la Chine.

De plus, le commerce de l'opium était toujours illégal en Chine. Cependant, le vice-roi de la ville de Canton le pratiquait tout en faisant condamner à mort les étrangers accusés de ce commerce. C'est ainsi que la France et les États-Unis demandèrent, en 1854, des révisions dans le traité de Huangpu et le traité Wangxia. Le Royaume-Uni fit la même demande, citant les articles sur le « traitement égalitaire » dans les statuts des nations les plus favorisées.

En 1854, les ministres occidentaux et états-uniens contactèrent de nouveau les autorités chinoises et demandèrent des révisions des traités :

  1. Pouvoir pénétrer sans hostilité dans Canton.
  2. Pouvoir étendre le commerce à la Chine du Nord et le long du fleuve Yangzi.
  3. Le commerce de l’opium était toujours illicite, ils voulaient le légaliser.
  4. Les Occidentaux voulaient traiter avec la cour directement à Beijing.

La cour impériale de la dynastie Qing rejeta alors les demandes de révision du Royaume-Uni, de la France et des États-Unis d'Amérique. Dès lors, les puissances occidentales cherchèrent d'autres moyens pour arriver à rééquilibrer une balance commerciale très déficitaire.

La guerre

Les puissances occidentales estimaient que seule la guerre pouvait amener l'Empire chinois à changer de position. Dès lors, les puissances occidentales attendirent l'événement qui pouvait amener le conflit. Cet événement eut lieu le 8 octobre 1856, lorsque des officiers chinois abordèrent l’Arrow, un navire chinois enregistré à Hong Kong sous pavillon britannique, suspecté de piraterie et de trafic d'opium. Ils capturèrent les douze hommes d’équipage et les emprisonnèrent. Cet épisode est souvent appelé « l'incident de l'Arrow ».

Les Britanniques demandèrent officiellement la relaxe de ces marins en faisant valoir la promesse par l'empereur de la protection des navires britanniques. Ces arguments furent ignorés par les autorités chinoises. Les Britanniques évoquèrent ensuite l’insulte faite au drapeau britannique par les soldats de l'Empire Qing.

La première partie de la guerre

Bien qu'affaiblis par une mutinerie difficile à réprimer aux Indes, la révolte des Cipayes, les Britanniques répondirent à l’incident de l’Arrow en 1857 en attaquant Canton depuis la rivière des Perles. Ye Mingchen, alors gouverneur des provinces du Guangdong et du Guangxi, ordonna aux soldats chinois en poste dans les forts de ne pas résister. Après avoir pris sans difficulté le fort voisin de Canton, l’armée britannique attaqua la ville elle-même. Les navires de guerre américains, y compris l'USS Levant, bombardèrent Canton. Les habitants ainsi que les soldats résistèrent à l'attaque et forcèrent les assaillants à battre en retraite vers Humen.

Le parlement britannique décida d'obtenir coûte que coûte réparation de la part de la Chine pour l’incident de l'Arrow, demanda à la France, aux États-Unis et à la Russie de s’allier à elle. La France rejoignit les Britanniques contre la Chine après l’exécution du missionnaire Auguste Chapdelaine (incident dit du père Chapdelaine), par les autorités locales chinoises dans la province du Guangxi. Les Américains et les Russes firent des offres d’aide aux Britanniques et aux Français, mais, finalement, ne les aidèrent pas militairement.

Les Britanniques et les Français désignérent des ministres plénipotentiaires chargés des négociations avec les Chinois. Le représentant britannique était Lord Eldgin, l'ambassadeur français le baron Gros.Les deux nations joignirent leur force sous le commandement de l’amiral Sir Michael Seymour. L’armée britannique dirigée par l'amiral Seymour et l’armée française dirigée par le contre-amiral Rigault de Genouilly, attaquèrent et occupèrent Canton à la fin de l’année 1857. Ye Mingchen fut capturé et Baigui, le gouverneur de Guangdong, se rendit. Un comité mixte de l’Alliance fut formé. Baigui fut maintenu à son poste original pour maintenir l’ordre au nom de l’Alliance. L’Alliance maintint Canton sous son contrôle pendant près de quatre ans. Ye Mingchen fut exilé à Calcutta, en Inde, où il se laissa mourir de faim.

La coalition se dirigea ensuite vers le nord pour prendre les forts de Dagu, qui défendaient l'embouchure de la rivière Hai He en aval de Tianjin, en mai 1858.

L'enseigne de vaisseau Henri Rieunier (1833-1918), de l'artillerie de marine, assistera à toutes les opérations de la première partie de la guerre de Chine, ses écrits exceptionnels sont conservés et relatent les évènements, comme suit:

« L'aviso "Marceau" participe à la prise d'assaut de Canton, grand port de la Chine méridionale, le 28 décembre 1857 par les flottes combinées de l'Angleterre et de la France, à la suite d'attaques contre des navires marchands anglais. Le 20 février à Canton, Henri Rieunier embarque sur la canonnière la "Mitraille" dont il dirige les batteries d'artillerie. Le 16 mars 1858, l'amiral de Genouilly, avec l'escadre quitte Canton pour la Chine du nord. Le 20 mai 1858, agissant de concert avec les Anglais, il s'empare des forts de Ta-Kou à l'embouchure du Peï-ho dans le Petchili avant de remonter le Peï-ho jusqu'à Tien-Tsin en direction de Pékin. La "Mitraille" dont l'équipage fut décimé - 2 officiers tués, un blessé - participe à leur attaque et à leur prise. Henri Rieunier fut chargé de miner et de faire sauter le fort sud de l'embouchure de Peï-ho, en juin 1858. La route de Pékin ouverte, le gouvernement chinois signe à Tien-Tsin les 27 et 28 juin 1858 avec l'Angleterre et la France, les traités qui mirent fin à la première expédition de chine de la 2ème guerre de l'opium. L'affaire de Chine étant ou paraissant réglée, l'amiral Rigault de Genouilly porte ses forces sur la Cochinchine...etc »

Le Traité de Tianjin

En juin 1858, le Traité de Tianjin conclut la première partie de la guerre à laquelle la France, la Russie et les États-Unis étaient partis prenants. Ce traité ouvrit onze ports supplémentaires au commerce occidental. Mais, dans un premier temps, les Chinois refusèrent de le ratifier.

Les points principaux du traité étaient :

  1. Le Royaume-Uni, la France, la Russie et les États-Unis auront le droit d’établir des missions diplomatiques à Pékin, jusque là, cité interdite.
  2. Dix ports chinois supplémentaires seront ouverts au commerce étranger, y compris Niuzhuang, Danshui, Hankou et Nankin.
  3. Le droit pour tous les navires étrangers, y compris les navires commerciaux, de naviguer librement sur le Yangzi Jiang
  4. Le droit pour les étrangers de voyager dans les régions intérieures de la Chine dont ils étaient jusqu’à présent bannis.
  5. La Chine doit payer une indemnité au Royaume-Uni et à la France de deux millions de taels d’argent chacune.
  6. La Chine doit payer une indemnité aux marchands britanniques de deux millions de taels d’argent pour destruction de leurs propriétés.

Les négociations se poursuivirent et, en novembre 1858, le gouvernement central accepta de légaliser le commerce de l’opium : en 1886 le commerce de l’opium porta sur 180.000 caisses (environ 10.000 tonnes). Dès 1878 : 100 millions d’opiomanes chinois. Problème jusqu’en 1906.

Les Chinois acceptèrent que les droits de douane soient extrêmement faibles et que la gestion des douanes passe sous contrôle étranger.

La ratification eut lieu plus d'un an après. Le gouvernement chinois laissa traîner les choses et les Britanniques et Français eurent recours à la force pour aller plus vite : 18.000 Britanniques et 7.000 Français s’embarquèrent sur les eaux chinoises.

Le Traité d'Aigun avec la Russie

Le 28 mai 1858, le traité d'Aigun est signé avec la Russie pour réviser les frontières entre la Chine et la Russie telles qu’elles avaient été définies par le traité de Nertchinsk en 1689.

Les Russes s’étendent vers la Chine, car ils ne peuvent s’étendre vers le Proche Orient (guerre de Crimée perdue, 1856). Il y a très longtemps que Russes et Chinois s’étaient entendus sur des frontières communes. Par la suite, les Russes avaient essayé de repousser les frontières (au-delà du fleuve Amour, en chinois Heilong Jiang) et avaient installé deux forts. Les Russes profitent de la deuxième guerre de l'Opium pour consolider leur avancée. Ils collaborent en sous main avec Français et Britanniques et se posent en médiateur. La Russie gagne la rive gauche du fleuve ainsi que le contrôle d’un territoire hors gel le long de la côte Pacifique, où elle fonde la ville de Vladivostok (le souverain de l’est) (anciennement Haishenwei) en 1860.

Les Russes ont les mêmes privilèges que les autres pays et la Chine reconnaît formellement leurs annexions de plus d'un million de kilomètres carrés de territoires.

La seconde partie de la guerre

En 1859, après le refus de la Chine d’autoriser l’établissement d’ambassades à Pékin comme stipulé dans le traité de Tianjin, une force navale sous le commandement de l’amiral Sir James Hope encercla les forts gardant l’embouchure de la rivière Hai He, mais subit des dommages et fit retraite sous la couverture d’un escadron naval commandé par Josiah Tattnall.

En 1860, une force franco-britannique partie de Hong Kong accosta à Pei Tang, le 3 août, et attaqua avec succès les forts de Dagu le 21 août. Le 26 septembre, la force arriva à Pékin et occupa la ville le 6 octobre. Nommant son frère, le prince Gong comme négociateur, l’empereur chinois Xianfeng se réfugia dans son palais d’été de Chengde. Les troupes franco-britanniques incendièrent les deux palais d’été, le nouveau et l’ancien, à Pékin, après plusieurs jours de pillage. Le vieux palais d'été fut totalement détruit. Cependant, Pékin elle-même ne fut pas prise, les troupes restant cantonnées en dehors de la ville.

La Convention de Pékin

Après la fuite de Pékin de l’empereur Xianfeng et de sa suite, en juin 1858, le Traité de Tianjin est finalement ratifié par le frère de l’empereur, le prince Gong, lors de la Convention de Pékin le 18 octobre 1860, mettant un terme à la seconde guerre de l’opium.

Le commerce de l’opium est légalisé et les chrétiens voient leurs droits civils pleinement reconnus, incluant le droit de propriété privée et celui d’évangéliser.

La convention de Pékin inclut :

  1. La reconnaissance par la Chine de la validité du traité de Tianjin
  2. L’ouverture de Tianjin en tant que port commercial, destiné au commerce avec Beijing
  3. La cession du district de Kowloon au Royaume-Uni
  4. La liberté de culte en Chine. Les missionnaires catholiques français ont le droit d’acheter des terres et de construire des églises.
  5. L’autorisation pour les navires britanniques d’amener de la main-d’œuvre chinoise à l'étranger pour remplacer les esclaves récemment affranchis. Ces coolies partiront pour les mines ou les plantations de Malaisie, d’Australie, d’Amérique latine, des États-Unis.
  6. Le paiement aux Britanniques et aux Français d’une indemnité augmentée à huit millions de taels d’argent chacun.

Les conséquences

Les conséquences de la guerre de l’opium sont très négatives pour la Chine à plusieurs niveaux :

Au niveau économique, l’empire doit donner de grosses sommes d’argent aux pays contre qui elle a été en guerre. De plus, la balance commerciale du pays n’est toujours pas stable, car les importations de thé depuis la Chine ne suffisent toujours pas à équilibrer l’argent que ses habitants utilisent pour s’acheter de l’opium. Durant les guerres de l’opium, les Russes ont profité du chaos régnant dans le pays pour envahir quelques territoires chinois. La Chine doit verser 50 millions de roubles [1] au tsar pour tout récupérer.

Au niveau démographique, plusieurs pays envahissent quelques parties de la Chine. En effet, le pays du milieu s’est considérablement affaibli durant les deux guerres qui viennent de le ravager, mais aussi à cause de la révolte des Taiping qui continuera à la secouer jusqu'en 1864. Les puissances de l’époque en ont profité pour agrandir leur territoire. Ainsi, la Chine perd l’Annam pour la France, la Birmanie pour les Anglais, la Corée qui devient indépendante et beaucoup d’autres régions du grand empire chinois [2] .

Au niveau culturel, les pays qui ont gagné la guerre ont pillé de nombreux trésor comme les objets du « Palais d’Eté », qui a même été brulé par les armées françaises et anglaises par la suite. Au niveau de la santé publique, les pays vainqueurs peuvent continuer le commerce de leur opium, ce qui fait que de très nombreux Chinois sont toxicomanes, dépendant à cette drogue.

La Chine vit une période très difficile à surmonter, et l’impératrice Cixi décide qu’il est temps que la Chine commence à se moderniser en prenant exemple sur les pays plus développés. Elle s’industrialise, commence à créer des armes, ses ports se développent et les bateaux à vapeur apparaissent, les lignes de chemin de fer arrivent dans le pays… Une des conséquences principale de la deuxième guerre de l’opium est donc la modernisation de la Chine, qui s’ouvre enfin sur le monde extérieur, ce qui lui permet de se développer.

L’empire chinois a donc perdu toute sa puissance à cause des guerres de l’opium. Leurs conséquences ont été catastrophiques pour le pays qui mettra des décennies à s’en remettre.

Reportages photographiques

Cette guerre fut l'une des premières guerres à être suivie et documentée par des photographes, parmi lesquels Felice Beato, John Papillon chez les Anglais et Antoine Fauchery chez les Français.

Voir aussi

Récits de la campagne

  • Ch. COUSIN-MONTAUBAN, L’expédition de Chine de 1860. Souvenirs du général Cousin-Montauban, comte de Palikao publiés par son petit-fils, le comte de Palikao, Paris : Plon, 1932
  • Comte d’HERISSON, Journal d’un interprête en Chine, Paris : Ollendorff, 1886.
  • Capitaine LABBE, Expédition des mers de Chine. Rapports adressés à S.E. le Ministre de la Guerre, Paris : Imprimerie Impériale, 1858.* Armand LUCY, Lettres intimes sur la campagne de Chine, Marseille, Barile, 1861.
  • Emile MAISON, Lettre d'un volontaire au 102ème (expédition de Chine), Paris : Benjamin Dupat, 1861.
  • Charles de MUTRECY, Journal de la campagne de Chine, Paris : Librairie nouvelle, 1861, 2 vol., 387 et 412 p.
  • de NEGRONI, Souvenirs de la campagne de Chine, Paris, Imprimerie Renou et Maulde, 1864.
  • Lieutenant de vaisseau PALLU, Relation de l'expédition de Chine en 1860, Paris : Imprimerie Impériale, 1863, 236p.
  • Lieutenant de vaisseau PALLU, Examen critique et réfutation d'une relation de l'expédition de Chine en 1860, Paris : Dentu, 1864, 35p. [cote 29 965].
  • J. Saint-martin , Le Comte d' Escayrac de Lauture, sa captivité chez les Chinois, 1859-1860, Noyon : G. Andrieux, 1885, 51 p.
  • César de Bazancourt, Les expéditions de Chine et de Cochinchine, d'après les documents officiels par le Baron de Bazancourt, Paris : Amyot, 1861-1862, 2 vol.
  • Henri de Begouen, "La France et l'Angleterre en Chine, d'après la correspondance du Général de Palikao", in Le Correspondant, 10 octobre 1891.
  • Ch. de Chassiron, Notes sur le Japon, la Chine et l'Inde Paris : Dentu, 1861.
  • Henri Cordier, L’expédition de chine de 1860. Histoire diplomatique, Paris : Félix Alcan, 1906, 460 p.
  • Lord Jocelyn, La campagne de Chine ou 6 mois avec l'expédition anglaise, trad. Xavier Raymond, Paris : Delloye, 1841, carte et dessins.
  • Pierre Maidiere, De Paris à Palikao, expédition de Chine, 1860, Paris : Tallandier, 1933, 92 p.
  • Paul Tain, L’Expédition de Chine, Paris : Michel Lévis éditeurs, 1862.* P. VARIN, Expédition de Chine, Paris : Michel Lévy frères, 1862.

Sources

  • Membres de l'entreprise Clio, Chronologie de la Chine, Le "Break up of China" [1]
  • Peyrefitte Alain, L’empire Immobile : le Choc des Mondes. Paris : Fayard, 1989. 558 p.
  • Frèches José, Il était une fois la Chines : 4500 ans d’histoire. Saint-Armad-Montrond : XO éditions, 2005. 381p.

Liens internes

Notes et références

  1. Information trouvée dans le livre de Frèches José, Il était une fois la Chines : 4500 ans d’histoire. Saint-Armad-Montrond : XO éditions, 2005. 381p.
  2. Informations sur la séparation du pays trouvées dans le livre de Peyrefitte Alain, L’empire Immobile : le Choc des Mondes. Paris : Fayard, 1989. 558 p.
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