Abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle

Abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle

48°1310N 1°3429O / 48.21944, -1.57472

Abbaye Notre-Dame
du Nid-au-Merle
Image illustrative de l'article Abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle

Ordre propre, d'inspiration bénédictine
Abbaye mère chef dordre
Fondation 1112
Fermeture 1792
Diocèse relève directement
du Saint-Siège
Fondateur Raoul de La Futaie
Dédicace Sulpice le pieux
Personnes liées Marie de Blois
Emplacement Bretagne, forêt de Rennes
Pays
Coordonnées 48° 13′ 10″ N 1° 34′ 29″ W / 48.219444, -1.57472248° 13′ 10″ Nord
       1° 34′ 29″ Ouest
/ 48.219444, -1.574722
  

L'abbaye Notre-Dame-du-Nid-au-Merle ou abbaye de Saint-Sulpice des Bois est située sur le territoire de la commune française de Saint-Sulpice-la-Forêt, dans lancienne forêt du Nid-au-Merle, aujourdhui forêt de Rennes.

Sommaire

Le nom

Le nom ancien de la forêt viendrait de lhistoire dun jeune berger découvrant dans un nid de merle, non loin dun étang, une statuette de la Vierge. Sept fois il la rapporte chez lui, sept fois la statuette retourne dans le nid.

Les textes, depuis le XIIe siècle, donnent au monastère le nom de Saint-Sulpice. Par exemple, le nécrologe indique en ces termes la mort de Raoul de La Futaie : « Sanctus Rodulphus, monachus Sancti Jovini, puter fratrum et monialium Sancti Sulpitii, obiit 17 kal. septembris anno Domini 1129[1]. » L'abbatiale est en effet dédiée à Sulpice le Pieux, évêque de Bourges, qui venait d'être canonisé[2]. Mais, sappuyant sur une lettre de 1127 larchevêque de Tours aurait cité le nom de Notre-Dame du Nid-de-Merle, le père Chardronnet estime quil sagit du tout premier nom du monastère. Lequel aurait perdu ce nom au fil des ans, au profit de ceux de Saint-Sulpice-des-Bois, puis de Saint-Sulpice-la-Forêt[3].

Une petite chapelle, voisine du monastère, est quant à elle dédiée à Notre-Dame. Elle est mentionnée en 1146. On lappelle dabord Sainte-Marie sur lÉtang, puis Notre-Dame sur lEau (nom que, reconstruite, elle porte aujourd'hui), et parfois « chapelle ducale »[4].

Historique

Raoul de La Futaie, ancien compagnon de Robert d'Arbrissel, est à la tête dune communauté déjà établie dans la forêt lorsqu'il crée le monastère en 1112[5]. Parmi les autres fondateurs, on connaît les noms de Geoffroy Gastineau et de lermite Aubert[6]. Raoul, après la fondation, ne serait pas resté de façon permanente sur les lieux[7]. Ermengarde, épouse dAlain Fergent, est peut-être la bienfaitrice de labbaye[8].

Cest un monastère double selon les antiques traditions orientale et celtique, cest-à-dire accueillant séparément des moniales et des moines (les « condonats[9] »). Les moniales prennent en main le temporel, tandis que les moines assurent la direction spirituelle et les offices[10]. Les prêtres nentrent jamais dans lespace de vie des moniales, pas même pour administrer les derniers sacrements : les mourantes sont conduites dans le chœur de léglise pour les y recevoir[11]. Les deux communautés sont réunies sous lautorité de labbesse.

« La première abbesse dont on sache le nom » serait, selon Dom Lobineau, Marie de Blois, fille dÉtienne d'Angleterre, et ce, jusquen 1156[12]. Il est difficile de retracer le parcours chaotique de Marie de Blois, tant les sources sont confuses et contradictoires. Marie aurait un jour quitté labbaye pour lAngleterre, en compagnie de sept religieuses. Le groupe aurait été admis dans le monastère de Stratford at Bow (Middlesex)[13]. La cohabitation se révélant difficile entre religieuses insulaires et continentales, les parents de Marie auraient créé pour elle un nouveau monastère à Lillechurch (ou Lilleherche, aujourdhui Higham, dans le Kent), dépendance de Notre-Dame du Nid-au-Merle[13]. Marie serait ensuite devenue abbesse de Romsey[14], et cest à Romsey quelle aurait été enlevée par Mathieu d'Alsace.

Labbesse relève non pas de lévêque de Rennes, mais directement du Saint-Siège. En moins dun demi-siècle, une trentaine de prieurés dépendant de labbaye sont fondés en Bretagne, en Anjou, dans le Maine, dans le Poitou et en Angleterre, lui assurant un fort rayonnement[15]. Très puissante, labbaye a droit de haute justice. Elle a un auditoire, des prisons, des fourches patibulaires à quatre poteaux. Elle a des halles, une grange dîmière, des moulins et un grand colombier[16].

Elle décline après le rattachement de la Bretagne à la France, et connaît de grandes épreuves : des incendies (1556, 1651, 1701), la peste (1583), la guerre de religion (1595), la famine (1661) et les ravages de la tempête (1616)[17]. Labbesse la plus connue de cette période est Marguerite dAngennes (de 1609 à 1662), dont un portrait est conservé dans la salle du conseil de la mairie[18]. On ignore quand le monastère dhommes est supprimé, peut-être au XVIIe siècle[1].

La dernière abbesse est Marie Le Maistre de La Garlais. À la Révolution, la communauté, qui a compté plus de 58 religieuses, nen a plus que 26 : labbesse, seize religieuses nobles, huit sœurs converses roturières et une novice. Auxquelles sajoutent deux chapelains, 24 domestiques et treize pensionnaires, soit, au total, 65 personnes. Le 13 octobre 1792, les religieuses doivent évacuer les lieux. Après leur départ, les biens et domaines sont saisis. Ils sont vendus comme biens nationaux, le 16 août 1796. Labbaye est alors pillée. Elle est démolie de 1835 à 1902[19].

Vestiges de labbaye

Autrefois, labbaye double formait un vaste ensemble, entouré de hautes murailles. Les deux cloîtres et la plupart des bâtiments conventuels ont disparu. Restent le transept de labbatiale du XIIe siècle, située au sud-est, et quelques bâtiments plus récents et souvent très dénaturés :

  • Linfirmerie (1628, XIXe, XXe siècle[1]), qui abrite aujourdhui le siège dune association.
  • Laile ouest du cloître, ainsi que le pavillon des visiteurs, tous deux du XVIIe siècle.
  • La porterie (1423) et le logis de labbesse.
  • Le moulin (vers 1400[1]).
  • La chapelle Notre-Dame-sur-lEau (mentionnée en 1146, reconstruite vers 1447[1]).
  • La halle du XVIIe siècle, un des plus anciens monuments de terre du bassin de Rennes[20].
  • Lauditoire et lauberge du bourg.

La propriété close couvrait une superficie de 50 journaux[21]. Au nord de labbatiale, le grand bâtiment conventuel s'allongeait jusquaux cuisines, à l'ouest desquelles était linfirmerie. Au nord-ouest de labbatiale, était le cloître des femmes. À louest, étaient la cour des journaliers, leur réfectoire, le fournil et le pavillon des visiteurs. Lensemble était fermé au sud par les appartements de labbesse, dans le prolongement de labbatiale. Plus au sud se trouvaient le moulin banal et les bâtiments de la ferme[22].

Le monastère dhommes formait un vaste carré, entouré de douves, à 200 mètres de , au lieu-dit « la Butte-aux-moines »[1]. Aujourdhui arasé, lemplacement ne peut se discerner que davion[2].

Labbatiale

ruines où subsistent des piles et des arcades
La croisée du transept et, en arrière-plan, labsidiole nord.
2 chapiteaux romans
Chapiteaux de la croisée du transept.
absidiole romane
Labsidiole sud.

Labbatiale est un édifice singulier de larchitecture bretonne du XIIe siècle (peut-être du milieu du siècle, peut-être sous Conan IV), dune perfection technique assez rare. La plus grande partie de ses vestiges, darchitecture romane, en grès, schiste et granite, est dorigine. De cette grande église, il reste essentiellement le transept.

Nef

La nef sallonge à lorigine sur 33 mètres. Quand elle est ruinée par louragan de 1616, on décide de la raccourcir de moitié : lannée suivante, un nouveau mur la ferme à louest, tandis que le mur sud est refait en grande partie. Des murs dorigine, il ne subsiste à présent que la partie de ce mur sud qui est proche du transept.

Transept

Le transept est composé de trois carrés égaux : la croisée (carré central) et les deux croisillons (ou bras du transept), qui forment deux chapelles. Deux passages, dits « passages berrichons », permettent de circuler de la nef à ces chapelles latérales, sans passer par la croisée, protégée de cloisons, et réservée aux moniales. Ce sont les seuls exemples de passages berrichons en Bretagne, avec celui de léglise de Tremblay[23].

Le transept conserve ses quatre puissantes arcades en plein cintre à double archivolte, qui portaient le clocher. Leurs claveaux, de granite et de schiste en alternance, sont soigneusement appareillés. Elles reposent sur quatre piles carrées, aux angles renforcés de colonnes. Ces dernières prouvent lexistence, à lorigine, dune voûte[20] (les culots, témoins de lexistence dun plancher, ne sont pas dorigine). Les huit chapiteaux de ces colonnes présentent des motifs variés, qui débordent parfois sur labaque (la partie supérieure du chapiteau: crossettes, figures humaines, feuilles deau, billettes, grecques[23]Ces abaques se prolongent sur la pile, formant une corniche qui relie les chapiteaux et bague lensemble constitué de la pile et des colonnes[20]. Ce type de motif ne se rencontre pas fréquemment.

Le « sanctuaire » comprend deux parties. Dans le carré du chœur proprement dit, autrefois voûté, se tenaient les moniales. Labside, se trouvait lautel, a disparu. Les deux absidioles sont entièrement dorigine.

Dans le croisillon nord, subsistent des traces de polychromie très variées : sur la porte de la tourelle descalier ; ou dans labsidiole, se devinent bandeaux noirs, feuillages verts, fleurs rouges à cinq pétales.

Le croisillon sud est dédié, au Moyen Âge, à saint Jacques. Il garde la quasi-totalité de ses murs et toutes ses ouvertures. Sur le mur sud, la baie romane est remplacée au XVe siècle par une baie gothique[23].

Chapelle Saint-Roul

chauve-souris
Grand murin.

Le croisillon sud est prolongé dun bâtiment un peu plus long et un peu plus étroit que lui-même, faisant partie du plan dorigine[23], autrefois voûté, recouvert dun toit en appentis. Cest une chapelle sépulcrale, dite chapelle Saint-Roul[20]. Cest que lhagiographe breton Albert Le Grand dit avoir vu reposer les restes de Raoul de la Futaie et dAubert, les deux fondateurs de labbaye[1]. Des fouilles ont en effet permis de retrouver deux sarcophages maçonnés, vides, pieds dirigés vers lOrient, entourés de quantité de pièces de monnaie du XIIe au XVIIIe siècle. On entre dans cette chapelle par le croisillon sud, ce qui permet aux pèlerins daccéder aux reliquesau contraire de Fontevraud, la sépulture de Robert d'Arbrissel se trouve dans le chœur des moniales[23]. Cette chapelle sert aujourdhui de refuge dhibernation à cinq espèces de chauves-souris, dont le grand murin. Une chapelle identique existait, en prolongement du croisillon nord. Elle accueillait probablement la sépulture des abbesses[24].

La statuette

On ignore ce quest devenue la statuette miraculeuse. Les religieuses, quand elles quittent létablissement en 1792, emportent avec elles une statuette de bois de quelque huit centimètres de hauteur, qui serait de la fin du XVe siècle[25]. Cest une Vierge à l'Enfant, coiffée jadis dun petit diadème. Elle est actuellement visible dans léglise paroissiale de Saint-Sulpice-la-Forêt.

Liste des abbesses

  • 1112-1159 : Marie I de Blois
  • 1159-11?? : Nine
  • 11??-1198 : Ennoguent de Bretagne
  • 1198-1210 : Ameline d'Ecosse
  • 1210-1214 : Olive I
  • 1214-1228 : Mabille
  • 1228-1239 : Eustachie I
  • 1239-1240 : Amice de Dinan
  • 1240-1250 : Jeanne I Bonamy
  • 1250-1258 : Jeanne II de Keraer[26]
  • 1258-1285 : Agnès
  • 1285-1294 : Guillemette I
  • 1294-1302 : Eustachie II
  • 1302-1315 : Jeanne III
  • 1315-1345 : Perrine des Granges
  • 1345-1372 : Marguerite I de Coëtquen
  • 1372-13?? : Almote
  • 13??-1391 : Guibaude dOrange
  • 1391-1407 : Jeanne IV Millon
  • 1407-1426 : Gillette de Talie
  • 1426-14?? : Guillemette II Millon
  • 14??-1461 : Jeanne V de Quédillac
  • 1461-14?? : Marie II
  • 14??-1498 : Jeanne VI Millon
  • 1498-1529 : Andrée Belloneau
  • 1529-1546 : Alizon de Pontbellanger
  • 1546-1577 : Jacqueline dHarcourt
  • 1577-1579 : Marguerite II dHarcourt
  • 1579-1583 : Gabrielle de Morais de Brézolles
  • 1583-1608 : Antoinette de Morais de Brézolles
  • 1608-1662 : Marguerite III dAngennes de Rambouillet
  • 1662-1704 : Marguerite IV de Morais de Brézolles
  • 1704-1721 : Angélique-Renée de La Forest dArmaillé du Boisgélin
  • 1721-1727 : Olive II Claude-Eléonore de Lesquen de La Villemeneust
  • 1727-1755 : Madeleine I Elisabeth de Bouchard dEsparbès de Lussan dAubeterre
  • 1755-1778 : Madeleine II Clotilde de La Bourdonnaye de Clermont
  • 1778-1792 : Marie III Angélique-Henriette Le Maistre de La Garlaye

Source : Gallia Christiana

Monument historique

Plusieurs éléments de labbaye ont été protégés au titre des monuments historiques[27],[28] :

  • 15 décembre 1926 : inscription des restes de labbaye, sauf parties classées ;
  • 26 mai 1992 : classement de la chapelle Notre-Dame-sur-lEau ;
  • 9 septembre 1993 (rectification 29 avril 1994: classement des vestiges de léglise de labbaye, y compris les chapiteaux, ainsi que les sols correspondant à lemprise de cette église et du cloître.

Référence littéraire

Un chapitre du Marquis de Fayolle, le roman inachevé de Gérard de Nerval, a pour cadre cette abbaye.

Notes et références

  1. a, b, c, d, e, f et g « Abbaye de Saint-Sulpice, Saint-Sulpice-la-Forêt », infobretagne.com.
  2. a et b Bertrand Hardy de La Goupillière, Saint-Sulpice-la-Forêt et son abbaye, p. 2.
  3. Joseph Chardronnet, O.M.I. (oblat de Marie-Immaculée), « Notre-Dame du Nid-de-Merle », dans Daniel Andrejewski (dir.), Les Abbayes bretonnes, B.A.B./Fayard, 1983, p. 233. Non recoupé.
  4. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 1.
  5. Selon lhagiographe breton du XVIIe siècle, Albert Le Grand. « Avant 1117 », dit Dom Lobineau, Histoire de Bretagne, Palais Royal, 1973, p. 115.
  6. Disciple de Guillaume Firmat, Aubert est un ermite ayant pratiqué le jeûne et la prière dans une forêt du Mainepeut-être dans un lieu nommé plus tard l'Habit d'Aubert ou Saint-Ellier. Vieux déjà, Aubert y eut pour compagnon Alleaume d'Étival, avant de rejoindre Raoul de la Futaie.
  7. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 84.
  8. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 89-91.
  9. Dom Lobineau, op. cit., p. 151.
  10. Dom Lobineau, op. cit., p. 115.
  11. Dom Lobineau, Vie de Robert dArbrissel.
  12. Dom Lobineau, Histoire de Bretagne, p. 151. La Gallia Christiana donne également Marie comme abbesse de cette maison. Gallia Christiana, XIV, 787. Cité par (en) British History Online, Houses of Benedictine nuns - The priory of Higham or Littlechurch.
  13. a et b (en) S. P. Thompson, « Mary, suo jure countess of Boulogne (d. 1182) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, sept. 2004.
  14. Certaines sources ((en) The abbesses of Romsey) désignent Marie de Blois comme abbesse de Romsey de 1155 à 1160, tandis que dautres ((en) The Abbey of Romsey) donnent Maud (Mathilde) comme abbesse de Romsey, pour la même période 1155-1160, Marie ne lui ayant succédé que quelques mois. Concernant les premières abbesses des deux fondations, les listes sont incomplètes et parfois conjecturales.
  15. Marc Déceneux, La Route des abbayes de Bretagne, Ouest-France, coll. « Itinéraires de découvertes », 2004 (ISBN 2-7373-3222-1) (erroné) (ISBN 2-7373-3222-2) (corrigé), p. 87.
  16. La lettre de lABREC, no 43, octobre 2008, ABREC.
  17. Marc Déceneux, ibid.
  18. «  Saint-Sulpice et son passé religieux », Saint-Sulpice-la-forêt,.
  19. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 42.
  20. a, b, c et d Roger Blot, Saint-Sulpice-la-Forêt.
  21. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 70.
  22. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 72.
  23. a, b, c, d et e Panneau explicatif, sur le site.
  24. « Daprès un rapport de 1651 », dit un panneau explicatif sur le site.
  25. Bertrand Hardy de La Goupillière, opcit., p. 108-111.
  26. Pierre Anger, Histoire de l'abbaye de Saint-Sulpice-la-Forêt, Ille-et-Vilaine, p. 370-372.
  27. « Ancienne abbaye Notre-Dame du Nid-au-Merle », recensement immeubles MH, 1992, réf. PA00090883, sur la base Mérimée, ministère de la Culture.
  28. Xavier Gilbert et Olivier Guérin, « Abbaye Notre-Dame du Nid au Merle », inventaire général du patrimoine culturel, 2001, réf. IA35010811, sur le site du Conseil Régional de Bretagne.

Bibliographie

  • Pierre Anger, Religieuses de l'abbaye de Saint-Sulpice-la-Forêt avec références généalogiques, H. Champion, 1911, 53 p.
  • Pierre Anger, Histoire de l'abbaye de Saint-Sulpice-la-Forêt, Ille-et-Vilaine : de ses relations, de la vie religieuse au Moyen Âge et au XVIIIe siècle ; Paris : Champion ; Rennes : Plihon et Hommay, Bahon-Rault ; 1920, 372 p.
  • Pierre Leroy, Bertrand Hardy, Pierre Jacquemar, Abbaye de Notre-Dame du Nid-au-Merle, Saint-Sulpice-la-Forêt, Société archéologique de Saint-Sulpice, 1983, 20 p.
  • Bertrand Hardy, Marguerite d'Angennes, 1580-1662, abbesse de Saint-Sulpice-la-Forêt, Saint-Sulpice-la-Forêt, Société archéologique de Saint-Sulpice, 1985, 27 p.
  • Bertrand Hardy de La Goupillière, Saint-Sulpice-la-Forêt et son abbaye, Saint-Sulpice-la-Forêt, Société archéologique de Notre-Dame-du-Nid-au-Merle, 1992, 140 p.
  • Roger Blot, Saint-Sulpice-la-Forêt : église abbatiale et ses environs, Rennes, Mission du développement culturel, 2007, dépliant, 4 volets.

Voir aussi

Articles connexes

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Lien externe

Abbaye Notre-Dame du Nid au Merle sur linventaire général du patrimoine culturel dIlle-et-Vilaine


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