Château de Carrouges

Château de Carrouges
Château de Carrouges
Image illustrative de l'article Château de Carrouges
Façade sud-est du château
Début construction XIVe siècle (bâtiments actuels)
Fin construction XVIIIe siècle
Propriétaire initial Jean de Carrouges
Propriétaire actuel État français
Destination actuelle musée
Protection  Classé MH (1927)
Coordonnées 48° 33′ 36″ N 0° 09′ 16″ W / 48.5601, -0.154448° 33′ 36″ Nord
       0° 09′ 16″ Ouest
/ 48.5601, -0.1544
  [1]
Pays France
Anciennes provinces de France Normandie
Région Basse-Normandie
Département Orne
Commune française Carrouges

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Château de Carrouges

Le château de Carrouges est un château médiéval du XIVe siècle situé dans la région Basse-Normandie, dans le département de l'Orne, sur la commune de Carrouges.

Géré par le centre des monuments nationaux, il fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 6 décembre 1927[2].

Sommaire

Histoire

Blason de Carrouges

Dabord oppidum défensif (place forte en hauteur) situé à la frontière méridionale du duché normand de Guillaume le Conquérant, vainement assiégé par les Plantagenêt en 1136, et détruit au début de la Guerre de Cent Ans, il fut reconstruit dans la vallée au milieu des étangs entre Maine et Normandie par les Seigneurs de Carrouges, qui se le virent confisquer pour insurrection par le roi dAngleterre. Jean de Carrouges (IV), à lorigine du château dont subsiste le donjon, était chambellan du comte Pierre II d'Alençon et devint chevalier dhonneur du roi Charles VI à la suite d'un duel judiciaire il avait mis en jeu sa vie pour sauver son honneur et celui de son épouse Marguerite de Thibouville qui avait été violée pendant son absence. Lui et ses hoirs seront aux côtés des rois de France pendant la durée de la Guerre de Cent Ans et contribueront à bouter les Anglais hors du royaume au prix de leur vie.

Lhistoire du château de Carrouges se déroule du XIVe au XXe siècles. D'abord place forte, assiégée par les Plantagenêt, reconstruite après la guerre de Cent Ans, le nouveau château fut remonté au XVe siècle par Jean Blosset, seigneur du lieu et grand sénéchal de Normandie, qui ajouta aux éléments d'origine une aile complète. Jean Blosset fit construire sur les prières de son épouse Marguerite de Derval, une chapelle quelle voulut placer sous le vocable de Notre-Dame-de-Bon-Confort et qu'il transformera en chanoinerie en 1493, juste après sa mort. Cette collégiale, fondée sous Louis XI, abrite maintenant le siège du parc naturel régional Normandie-Maine.

Blosset n'ayant pas eu dhéritier, cest sa sœur Marie qui transmettra le domaine à son fils Jean Le Veneur qui ornera lédifice dun châtelet à lépoque de la Renaissance (pavillon du cardinal Jean Le Veneur)Louis XI dormit au château le 11 août 1473.Le château fut plusieurs fois remanié entre les XIVe et XVIIe siècles (le pavillon du cardinal Le Veneur, le bastion ouest fortifié au temps des guerres de Religion, et les grands appartements notamment). Il est réaménagé au XVIIIe siècle, et doté d'un salon de musique. C'est au XVIe siècle que les Le Veneur de Tillières prirent possession du domaine, et ce jusqu'en 1936, date à laquelle il fut vendu à l'État. Il est restauré après 1944. Le château de Carrouges devint au cours du Grand Siècle une résidence somptueuse (suite des grands appartements), réaménagée au Siècle des Lumières (salon de musique).

Architecture exterieure

Le château de Carrouges

De forme rectangulaire, entouré de douves en eaux vives, le château délimite une cour d'honneur. Au sud-ouest, il donne sur une terrasse que délimite une grille en fer forgé. Bien que possédant des éléments datant des XVe et XVIe siècle, l'architecture générale relève plutôt des styles Henri IV et Louis XIII. La façade et en brique rouge et granit, les toits sont en ardoises bleue.

Flanqué de deux pavillons d'angle carrés, le château possède également un donjon du XIVe siècle à deux étages couronné de mâchicoulis. La chanoinerie dans les dépendances du château, est le siège de l'équipe d'animation du parc naturel régional Normandie-Maine.

Le châtelet

Le châtelet d'entrée

Le châtelet d'entrée, cantonné de quatre tourelles circulaires, date du XVIe siècle et fut probablement construit par Jean Le Veneur. Sa construction est une association de briques rouges et noires.

Architecture intérieure

Le rez-de-Chaussée est composé par les communs et les services, tandis que le Ier étage abrite les pièces d'apparat.

Les appartements présentent un décor allant du style Renaissance au Classique. La chambre de Louis XI contient un lit à pentes de tissu imitant le point de Hongrie. L'antichambre d'honneur possède une cheminée dont le manteau de la hotte est décoré d'une scène de chasse. La salle à manger, quant à elle, est garnie d'une cheminée encadrée de deux piédroits de granit poli, coiffés de chapiteaux corinthiens. Le mobilier se compose de bas de buffets Louis XIV et sièges Restauration. Le salon des Portraits rassemble les portraits de seigneurs et propriétaires de Carrouges. Le grand Salon occupe une partie du pavillon d'angle, les boiseries de couleur jaune paille datent de la fin du XVIIe et du début du XVIIIe siècle. L'escalier d'honneur, aux voûtes de briques roses, repose sur quatre piles disposées en carré.

Jardins

La terrasse en terre-plein, le jardin, sa cloture, son mur de cloture et le parc sont inscrits au pré-inventaire des jardins remarquables[3]. Ils font partie du classement monument historique du 6 décembre 1927château de Carrouges, sur la base Mérimée, ministère de la Culture. Le parc et les jardins actuels (10 hectares) sont en cours de restauration.

La famille Le Veneur de Tillières

Article détaillé : Le Veneur de Tillières.

Au début du XVIe siècle, Jean Le Veneur, évêque-comte de Lisieux (fils de Philippe Le Veneur, baron de Tillières, et de Marie Blosset) est le bâtisseur du pavillon d'entrée (châtelet). Proche de François Ier, il siège à son conseil. Il devient grand aumônier de France en 1525 et est fait abbé du Mont-Saint-Michel. Il devient cardinal en 1533. Il meurt en 1543.

Au XVIIe siècle, Tanneguy II Le Veneur, comte de Tillières, est dépêché en Angleterre pour négocier le mariage d'Henriette de France, sœur de Louis XIII avec le futur roi Charles Ier. Tanneguy II vécut sur ses terres de Tillières et laissa Carrouges à son frère Jacques, abbé de Silly. En 1637, Jacques Le Veneur de Tillières se démit de son abbaye pour se consacrer entièrement à Carrouges. Il fit aménager et décorer le château et le parc à partir de plans et dessins de Maurice Gabriel, architecte à Argentan. Mais la famille s'insère également dans la vie locale par une activité de maîtres de forge.

À la fin du XVIIIe siècle, Alexis Le Veneur, vicomte de Tillières, est militaire et partisan des idées progressistes. Il est l'époux d'Henriette de Verdelin (1757-1834), fille de la marquise de Verdelin (1728-1810) qui est une correspondante et protectrice de Jean-Jacques Rousseau. Adhérant aux idées progressistes, il prend position pour l'abandon des privilèges avant la Révolution. Il participe à plusieurs campagnes militaires qui lui valent le grade de lieutenant général puis de général de division. Il est élu maire de Carrouges et administrateur du département de l'Orne, puis 1er président du Conseil général de l'Orne et enfin député de l'Orne au Corps Législatif. Il est fait Comte d'Empire avec majorat par Napoléon Bonaparte. Il meurt en 1833 à l'âge de 86 ans.

Le château sera resté cinq siècles dans cette noble famille « Le Veneur » dont les membres remplirent dignement leur rôle social, jusquau 23 avril 1936, date à laquelle Marie Gaston Tanneguy IX, comte Le Veneur de Tillières, nayant pas de descendance mâle et subissant le déclin de l'économie rurale de cet entre-deux guerres, se voit contraint de céder le château à lÉtat qui, dès 1927, lavait classé parmi les monuments historiques, pour la modique somme de 200 000 Francs.

Légende de Carrouges

Une légende raconte qu'une comtesse de Carrouges surprit son époux dans les bras d'une autre femme. Surprise et furieuse, elle poignarda la malheureuse qui succomba à ses blessures. Néanmoins, cette dernière était une fée qui entreprit de maudire la famille de Carrouges avant de mourir. C'est ainsi que le lendemain du meurtre, le comte était découvert assassiné à son tour. À cette nouvelle, une tâche rouge apparût sur le front de la comtesse qui, quelques mois plus tard accoucha d'un fils lui-même marqué de cette tâche au front. Elle lui donna le nom de Charles (ou Karl-le-Rouge). Et c'est de que vint le nom Carrouges.

La légende de la Fée de Carrouges[4]

Le Château de Carrouges est une forte belle demeure dont certaines parties remontent au XIVe siècle, et sont le fait du chevalier Jehan IV de Carrouges. Après la Guerre de Cent Ans, le grand Sénéchal de Normandie, Seigneur du lieu, Jehan Blosset, époux de lhéritière de Jehan IV, y reçut le Roi Louis XI qui lavait fait chef de sa garde rapprochée.

Cent ans plus tard, Le Comte Tanneguy Le Veneur, héritier de Marie Blosset, y accueillit la reine Catherine de Médicis et ses jeunes enfants François II, Charles IX et Henri III, en chemin vers le Mont-Saint-Michel. Cette noble famille Le Veneur occupera, aussi bien sous la Monarchie, lEmpire que sous les Républiques, de très hautes fonctions et charges même épiscopales.

Cependant cest bien avant cette époque que se déroula cette triste affaire qui ensanglanta le blason des seigneurs du lieu.

Cette histoire donna lieu à moult dits, odes ou déclamations de ménestrels et devint, du fait, cette légende de la Fée de Carrouges quaimaient à raconter au cours des banquets et des tournois, les Seigneurs du Comté, tels Jean II d'Alençon (Valois) « Le gentil Duc de Jeanne dArc » dont lhistoriographe était le mari dune Dame de Carrouges.

Le Comte Ralph, Seigneur de Carrouges, était un beau et valeureux chevalier chargé de défendre le Duché de Normandie contre les invasions éventuelles des Angevins ou des Seigneurs du Maine, ses voisins, via le poste frontalier quétait son château fort. Il avait épousé la fille dun seigneur voisin, la comtesse Louise de la Motte-Fouquet, fort jolie du reste et parée de toutes les qualités du cœur et de lesprit. Et après huit ans de mariage, une seule chose ternissait leur bonheur : « Elle ne lui avait point encore donné denfant ».

Aussi, quelle ne fut pas la joie de Ralph à lannonce de la grossesse de son épouse ! Il décida sur-le-champ de convier tous les seigneurs voisins et ses amis chevaliers à venir festoyer quelques jours au château pour marquer lévènement.

Au programme, chasses sur ses terres, détentes et ripailles, jeux, jongleries et ménestrandie. Le dernier jour, le Comte décida dune grande chasse au gros gibier qui durerait jusquau soir. Dès laube, les veneurs, cors en bandoulière, avaient découplé les chiens. Ceux-ci flairèrent rapidement une piste et levèrent un dix-cors rusé et agile ; le genre de cerf qui met à lépreuve la résistance et lhabileté des chasseurs. Au bout du jour, ces derniers, épuisés, abandonnèrent les uns après les autres la poursuite afin de ne pas rater lultime banquet.

Seul, le comte Ralph, obstiné et fier, ne savouait pas vaincu et poursuivait le dix-cors qui lemmena aux confins de la forêt de la Motte. Il finit par se retrouver au fond dune vallée sauvage et fraîche coulait une petite rivière que le comte suivit et qui l'amena bientôt au milieu d'une clairière plantée de grands arbres en quinconce autour dune petite chapelle.

Il faisait se désaltérer son destrier à leau de la fontaine qui murmurait juste derrière lédifice quand il perçut des bruits sous les feuillages. Promptement il enfourcha sa monture : « Il le ramènerait coûte que coûte, son dix-cors, en lhonneur de son futur héritier ! Il était déjà venu à bout dennemis bien plus redoutables ! pensa-t-il. Le cerf semblait remonter le cours du ruisseau et senfoncer aux creux de gorges dont les berges devenaient difficilement praticables. Des blocs éboulés venant des escarpements rocheux semblaient se lover des grottes, rendaient le terrain trop pénible aux sabots de son cheval. Ralph mit pied à terre tout en sextasiant sur la splendeur sauvage de ce coin de forêt que son épouse avait négligé de lui faire découvrir. Il songeait à lui en faire la remarque quand un murmure cristallin attira son attention. Il remarqua des nuées légères sélevant au milieu dun bassin de fortune et distingua une ravissante créature qui sy baignait en chantant et dansant joliment dans les vapeurs chaudes. Cétait un enchantement de la voir ainsi onduler avec souplesse et grâce et le comte fut aussitôt charmé. Aussi, quand la déesse des eaux laperçut et l'invita à venir la rejoindre, sans hésitation, Ralph se laissa entraîner, ravi, dans le tourbillon des eaux.

Quand Ralph revint au château, une frange dorée à lOrient annonçait le lever du soleil. Il expliqua à son épouse en pleurs, quil avait passer la nuit dans la chaumière dun bûcheron après sêtre égaré en suivant son cerf. Seulement, le soir venu, il courait déjà rejoindre en secret lenchanteresse. Pendant un temps il put séchapper sans que nul nen sache rien, mais une nuit, Louise fut prise de douleurs et pria ses servantes daller quérir son mari et lon découvrit sa couche vide. Intriguée et inquiète, le soir suivant, la comtesse fit le guet et constata les escapades nocturnes de son époux. Elle résolut de le suivre et découvrit son infortune.

La jalousie lenvahit aussitôt mais elle attendit que la nymphe se retrouve seule pour jaillir et la poignarder en plein cœur. Sa rivale émit un long gémissement tout en la maudissant et sécroula dans la fontaine avant de disparaître dans les nuées blafardes.

Satisfaite, la châtelaine regagna promptement sa demeure pour y découvrir avec stupeur que son époux venait dêtre retrouvé sans vie dans sa chambre, une fine blessure dans la poitrine. Louise fut au désespoir. Des fièvres ardentes au cours desquelles elle prétendait quune tache rouge laveuglait, troublèrent son sommeil et au matin elle accoucha dun fils, beau comme son père, mais avec une tache rouge au milieu du front. Cétait la marque de la malédiction. Celle-ci frappa les héritiers de Ralph et de Louise jusquà la septième génération. La naissance dune fille à qui la tache fut épargnée, mit fin à la malédiction.

On dit que le nom de Carrouges viendrait de : car rouge « chaire rouge », en souvenir de ces événements. Mais la véritable étymologie du nom "Carrouges" serait plutôt « quadrivium », qui signifie carrefour.

La famille de la Comtesse de la Motte-Fouquet, convertie à la religion réformée, émigra en Allemagne pour fuir les exactions de la Sainte Ligue pendant les guerres de religion. Friedrich de la Motte-Fouquet, auteur romantique allemand du XVIIIe siècle est un descendant de la famille de la comtesse à laquelle il dédia son ode « Ondine » dit-on.

Dernier duel judiciaire autorisé par la chambre de Paris

Le Duel de la Dame de Carrouges

Cette histoire figurait sur une fresque de l'abbaye Saint-Étienne de Caen et aussi sur une tapisserie du château de Charles IX à Blois et elle est développée par « Mary Cousin » dans un ouvrage historique relatant, au fil de son épée, toute la vie de ce valeureux Seigneur.

Notre seigneur, Jehan IV de Carrouges, était un preux et vaillant chevalier à limage de son père qui avait été honoré de la haute charge de Capitaine et Viscomte de Bellême sous le règne du Roi Jean Le Bon.

Alors quil venait dépouser, en deuxièmes noces, Marguerite de Thibouville, dame de Fontaine la Sorel, il fut appelé à suivre lAmiral Jean de Vienne dans une expédition guerrière en Écosse.

Pendant son absence lointaine, soucieux de ne point laisser sa jeune épouse isolée dans son château de Carrouges, il la conduisit auprès de siens, au château de Fontaine la Sorel, non loin de Brionne, il la retrouva après une bien pénible campagne. Après sy être reposé un temps, il passa visiter sa mère, au manoir de Capomesnil situé entre Pont-l'Évêque et Saint-Pierre-sur-Dives, afin quelle accueille Marguerite pendant quil irait rentre compte de sa mission auprès du jeune Roi de France (Charles VI).

Malheureusement, cest quelle se fit violer le 18 janvier 1386. Malgré les menaces de déshonneur quelle encourrait en dévoilant les faits, elle accusa toujours lécuyer Jacques Le Gris, chambellan, au même titre que son époux, du Comte Pierre II dAlençon dont il était de surcroît le favori. Jehan demanda tout de suite réparation de loutrage au Comte qui rejeta laccusation en ajoutant quil répondait de son favori.

En faveur auprès du Roy quil venait justement de visiter, le Seigneur de Carrouges obtint que sa cause soit soumise en dernier appel au Parlement de Paris qui ne réussit point à trancher et accepta la demande de Jean de Carrouges de faire appel au jugement de Dieu. Il ordonna donc un duel judiciaire qui eut lieu le 29 décembre 1386 à Paris, présidé par le Roy Charles VI et sa jeune épouse Isabeau de Bavière.

Selon un rituel très ancien, le duel se fit à cheval dabord puis à pied ensuite. Bien que blessé, notre Seigneur de Carrouges réussit à faire choir Le Gris et à le tenir en respect avec son épée « Manus Deï » avant dexécuter la justice de Dieu avec laccord du Roy. Ainsi, même sans les aveux de laccusé, la mort reconnaissait en Le Gris le criminel.

Jehan de Carrouges continua sa carrière de Chevalier au service du Roy et trouva la mort en croisade contre les Sarrazins de Bajazeth, à la fameuse défaite de Nicopolis il avait suivi son compagnon Jean II Le Meingre dit Boucicaut.

Ses trois fils Robert, Thomas et Jehan ne ternirent point lhonneur de la famille en combattant vaillamment au prix de leur vie, contre linvasion anglaise et du coup, ils se virent confisquer leur château de Carrouges au profit dun écuyer du Roi Henry V dAngleterre, « Jean de Montoëre ». Cest Jean Blosset, fils de l'époux de lhéritière de Carrouges qui recueillera le château après la Guerre de Cent Ans.

Un livre en français consacré à ce duel a été écrit par Eric Jager et publié chez Flammarion: Le dernier Duel.

Notes et références

  1. Coordonnées vérifiées sur Géoportail et Google Maps
  2. Ministère de la Culture, base Mérimée, « Notice no PA00110758 » sur www.culture.gouv.fr.
  3. parc du château, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  4. Tirée de l'histoire romancée par Mary Cousin

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