Chateau de Keriolet

Chateau de Keriolet

Château de Kériolet

Façade Sud du château de Kériolet. A droite, pavillon comprenant la "salle des gardes" et la statue équestre de Louis XII.

Le Château de Kériolet est un château néo-gothique situé sur la commune de Concarneau, dans le Finistère en France.

Cette demeure privée a été inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 21 décembre 1984 pour ses façades et toitures, sa salle des gardes avec sa cheminée et ses vitraux[1].

Sommaire

Un château breton

A la fin des années 1850, sous le Second Empire, Charles Chauveau rencontre la princesse russe Zénaïde Youssoupoff, née Narischkine, à Paris. Zénaïde est devenue princesse Youssoupoff en épousant feu le prince Boris (1794-1849), neveu du tsar Nicolas 1er.

La princesse Zénaïde est de plus de vingt-cinq ans l'ainée de Charles Chauveau, et veuve. Elle s'éprend de lui, lui achète deux titres nobiliaires (comte de Chauveau et marquis de Serres), l'épouse à Saint-Pétersbourg le 3 septembre 1860. La nouvelle position sociale du comte lui permet alors d'ambitionner une carrière politique. Un siège de conseiller général se libère à Concarneau, dans le Sud-Finistère. Afin de pouvoir se présenter aux élections, le jeune candidat doit acquérir une résidence dans la circonscription qu'il convoite. Il recherche donc une propriété, est élu en 1860 et achète personnellement, en 1862, le domaine de Kériolet, en Beuzec-Conq (la commune ne sera rattachée à Concarneau qu'en 1945). Remontant au XVe siècle, le manoir, bâtisse relativement modeste, ancienne propriété des Kéryollet, des Trédern, des Kersalaun, est entourée de près de cinquante hectares de terres. L'endroit, proche de l'océan et du Moros, séduit la princesse. Grâce à sa fortune, celle-ci va permettre à son époux de transformer l'endroit à sa guise. Il lui en coûtera la somme d'1,5 million de francs-or. Le manoir du Moros, domaine voisin et ancienne propriété d'Abraham Duquesne, est également acheté par le couple et remanié, dans des proportions bien plus modestes que Kériolet.

Allée du parc.
Portail d'entrée sur la cour d'honneur.

Transformations du château

Le couple confie à Joseph Bigot, le soin de transformer le château. Après plusieurs projets non validés par la princesse, dont un château de style élizabéthain, l'architecte parvient enfin à la convaincre de débuter une importante série de transformations sur le vieux manoir, à la condition expresse de ne pas la déranger dans son intérieur. La demeure est alors recouverte par une enveloppe de granit finement travaillé. On bâtit une tour et une nouvelle aile, de style médiéval, pour fermer la cour d'honneur. Les entrepreneurs Martineau et Bonduelle, de Concarneau, vont ensuite rajouter un pavillon comprenant, notamment, une imposante salle des gardes, et puis se lanceront dans la construction de la chapelle.

L'appareilleur sera Jean-Louis Le Naour, dont l'atelier familial se trouvait à Quimper. Il sera l'auteur de nombreux clochers finistériens et participera à la construction du château de Trévarez.

Les travaux vont s'échelonner de 1863 à 1883. Le château comporte des références au Moyen-Age ; le caractère féodal des constructions est accentué notamment par l'ajout de tourelles, donjons, mâchicoulis, douves et armoiries.

Statue équestre de Louis XII, sur la façade Sud.

C'est ainsi que le « nouveau » château de Kériolet se réfère au château de Blois (statue équestre en bas-relief de Louis XII sur la façade), au château de Rustéphan (tourelle-escalier), au prieuré de Locamand (portail d'entrée). Sur l'aile sud, on peut voir, sculptées, les couronnes de comte et de marquis, des fleurs de lys, des hermines de Bretagne, des étoiles d'inspiration russe, des coquilles Saint-Jacques, les lettres A (pour Anne de Bretagne) et L (pour Louis XII) accolées. Un ours en pierre, le regard tourné vers la Russie, domine du haut de la façade sur le parc, un couple de bretons en habits traditionnels. La devise « Toujours et quand mesme » est sculptée sur un ruban de granit. Des gouttières, ouvragées de feuilles de chêne en relief, ornent la demeure. Les lucarnes à pignon, la balustrade du corps de logis, rappellent celles du château de Josselin, chef-d'oeuvre du gothique flamboyant[réf. nécessaire].

Le parc est agrémenté de statues : une Velléda, copie de celle d'Hippolyte Maindron exposée au musée du Louvre[2]; un Vercingétorix, un Charles VIII, et une Anne de Bretagne, la bonne duchesse si chère au cœur de la princesse, une Jeanne d'Arc, un Bertrand Du Guesclin. Le parc comprend également, à proximité immédiate du château, la Tour de garde, et la Tour Marie-Jeanne (du nom de la cuisinière du comte).

Face à l'entrée de la chapelle se trouve un Christ sur la croix et, penché vers lui, un ange recueille le sang qui coule d'une de ses mains et de ses flancs, dans deux calices (XVIe siècle). La toiture de la chapelle est elle-même ornée, à l'extérieur, d'anges aux trompettes, et porte à son sommet, un archange Saint-Michel terrassant le dragon. La première pierre de la chapelle a été posée le 19 mars 1881 et l'édifice a été consacré au début de l'été 1882. [3]. Un autel avec retable est démonté en 1900 de l'église de Névez, puis remonté dans la chapelle du château de Kériolet. Il est à nouveau déplacé en 1956 pour revenir dans l'église de Névez.

A noter, à l'extrémité Ouest de la façade sur les jardins, un banc de pierre, sous un beau gable néo-gothique bénéficiant d'une remarquable acoustique.

La tour de garde, dans le parc.

C'est dans ce lieu que le comte, admirateur du musée de Cluny, va exposer toutes sortes d'objets, collections représentatives de leur époque.

Les collections (aujourd'hui disparues)

La pièce la plus emblématique, pure création à quatre mains de Bigot et du comte, est le grand hall ou "salle des gardes", véritable sanctuaire de la chevalerie et de la royauté. Dans cette vaste salle sont exposées différentes tapisseries, notamment "le mariage d'Anne de Bretagne et de Louis XII (Flandres, 1er quart du XVIe siècle), des scènes de chasse (série de 6 tapisseries des Flandres), mais également crédence et stalles gothiques, du mobilier d'époque Louis XIV, et toute une collection d'objets, parmi lesquels : 504 pièces manuscrites anciennes rangées dans un chartrier ; une statue équestre de Gaston de Foix par Frémiet ; un coffre contenant 110 médailles ou monnaies en argent, en or ; un olifant en ivoire. Le comte est bien présent dans cette salle. Il pose, assis, en chevalier en armure, sur une imposante cheminée en granit de Kersanton, heaume sur la tête et lance en main, avec son (pseudo) arbre généalogique, et sa devise "Tout est honneur et loyauté. Tout est lumière et vérité". Quatre vitraux, au Nord, représentent quatre de ses "ancêtres". Leur faisant pendant, quatre vitraux, au Sud, représentent des rois de France. Dans un angle, une loggia permettait à la princesse d'assister aux bals et autres réceptions donnés dans la salle sans se méler aux invités. Son boudoir se situait à côté ainsi que sa chambre de style Louis XV.

Le salon comprend, notamment, une chaise longue et une grande console Louis XIV, du mobilier Louis XV (table-bureau, très grande table, canapé, fauteuils et chaises), un guéridon Empire, un portrait de Louis XIV, et deux tapisseries des Flandres.

La salle-à-manger, où sont accrochées quatre tapisseries des Flandres, contient deux grandes vitrines remplies de merveilleuses céramiques. Les Rouen sont très bien représentés ; on découvre des objets en faïence de Quimper, de Nevers, de Moustiers, de Sèvres, de Chine. Un ensemble d'une grande valeur artistique et témoignage de l'intérêt du couple pour cet art. Le comte de Chauveau a d'ailleurs fait partie de la commission de l'Exposition de céramiques , évènement qui eut lieu à Quimper en 1876 et patronné pa la Société Archéologique du Finistère. De nos jours, le Musée Départemental Breton expose un beau plat à décor rouennais, aux armoiries des Moëllien et Caroff, attribué à la manufacture quimpéroise de Pierre Bousquet, au XVIII siècle, plat de l'ancienne collection de Kériolet.

Le salon et la salle-à-manger sont deux belles pièces du rez-de-chaussée, orientées au Sud, qui s'ouvrent sur les jardins. La salle des gardes donne sur la même terrasse ornée de deux lions en pierre.

Dans la sacristie, on peut voir le superbe retable ayant appartenu à Anne de Bretagne au château de Blois, retable aux quatre panneaux ornés de peintures sur bois et enrichi d'un Christ janséniste, le tout agrémenté de décorations en émail de Limoges. Une pièce majeure des collections.


Un ange à la trompette veille sur le château.

La cuisine est l'une des plus belles pièces du château (elle est parvenue pratiquement intacte jusqu'à nous). Dotée d'un confort très moderne pour l'époque, ses murs sont couverts de cinq mille précieux carreaux en faïence de Desvres, décorés de fleurs de lys et d'hermines, en bleu et blanc. Une collection unique de vingt-trois bassinoires, achetée en avril 1870, y est présentée. A côté de la cuisine, une souillarde permet les travaux nécessitant de l'eau.

A l'étage, on découvre la chambre du Roy, celle de la princesse et celle du comte.

Le château n'a jamais accueilli de roi. La Troisième République a balayé la monarchie et l'Empire. Pourtant, la chambre du Roy attend somptueusement son illustre occupant, tendue de cuir gaufré, décorée d'un grand lit en bois sculpté, à colonnes et balustres, avec tenture et dessus de lit en soie jaune agrémentée de broderies.Dans le mobilier, on compte également un secrétaire hollandais marqueté, cinq fauteuils Louis XIII, un tableau représentant le roi Philippe II d'Espagne, une grande tapisserie des Flandres à scène champètre.

La chambre de la princesse, au plafond au décor en trompe-l'oeil de fleurs et de ciel, contient, notamment, le bureau à cylindre Louis XVI du comte de Mirabeau, deux commodes Régence, le lit en bois sculpté et doré Louis XV de la tragédienne Rachel Félix, dite Rachel. Cette chambre a un double accès à la salle des gardes et aux jardins (terrasse). La princesse bénéficie d'une salle de bains et d'un cabinet de toilette alimentés en eau chaude courante.

La chambre du comte est ornée de son portrait par Fouques, et de celui de son épouse par Dubufe père.

Exceptionnel confort pour l'époque, trois calorifères assurent le chauffage du château, même pour les parties réservés aux domestiques.

Remous et espoir à Kériolet

Le comte de Chauveau, âgé de 60 ans, décède en octobre 1889 à Kériolet. Son caveau se trouve dans le cimetière tout proche de Beuzec-Conq. Charles de Chauveau a légué le domaine à sa soeur, Madame Prieur. Sa veuve rachète Kériolet et décide alors d'en faire don, avec ses terres et ses collections, au Département du Finistère, à condition de tout laisser en l'état. Elle passera encore quelques étés dans sa résidence concarnoise, avant de s'éteindre à son tour, le 26 février 1893, dans son hôtel particulier du Parc des Princes, à l'âge de 90 ans. Sa dépouille est rapatriée en Russie. Peu après, Kériolet est ouvert au public. Les collections du comte et de la comtesse de Chauveau sont complétées par un ensemble d'oeuvres du peintre Camille Bernier (1823-1902), qui vécut au manoir de Kerlagadic à Bannalec, et par de nombreux costumes bretons. Le peintre concarnois Théophile Deyrolle (1844-1923) participera à la mise en valeur du nouveau musée, en tant que premier conservateur nommé. C'est ainsi que Kériolet deviendra un lieu de promenade et de visite très prisé.

Cave Canem : ce chien pompéien monte la garde.

Dans la deuxième moitié des années 1910, en Russie, le tsar Nicolas II est confronté à une grave crise politique. Le pays est engagé dans la guerre commencée en Europe en 1914, le peuple gronde, on accuse le couple impérial d'être sous la coupe de Raspoutine. L'aristocratie elle-même rue dans les brancards. C'est ainsi qu'un complot s'organise pour éliminer le staretz, et est finalement mis à exécution, le 29 décembre 1916, dans le palais Youssoupoff, quai de la Moïka, à Saint-Pétersbourg. C'est le prince Félix Youssoupoff lui-même, arrière petit-fils et filleul de la princesse Narischkine, qui participe à cet assassinat.


Le prince Félix et son épouse, la princesse Irina Alexandrovna de Russie (fille du grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch et de la grande-duchesse Xénia ; cette dernière, soeur du tsar Nicolas II) quittent définitivement la Russie en avril 1919. Tous leurs biens sont confisqués en Russie. Ils s'installent en France, achètent une maison à Boulogne-Billancourt, une dépendance de l'ancien hôtel particulier de la comtesse de Chauveau. Le prince a réussi à sauver d'importants bijoux, dont la célèbre perle, la Pélégrina (perle de 58,50 carats, trouvée au XVe siècle dans le golfe Persique, figurant à partir de 1826 dans la légendaire collection de la princesse Tatiana Youssoupoff, et finalement vendue par le prince Félix en 1953, à Genève), des dagues orientales couvertes de pierreries, des miniatures dans des cadres de diamants, des créations de Fabergé, deux portraits par Rembrandt. Il vend progressivement tous les vestiges de son ancienne fortune. Avec son épouse, il crée la maison de couture Irfé (Ir pour Irina, pour Félix). Le couple aide de nombreux réfugiés russes et ses moyens financiers déclinent rapidement. Le prince visite Kériolet une première fois, dans les années vingt, alors que sa mère a déjà tenté en vain de récupérer le domaine (les clauses du legs n'auraient pas été respectées par le département du Finistère, des objets et une parcelle de terre ayant été vendus).

Bien plus tard, dans les années cinquante, il essaiera à son tour d'obtenir la restitution du château à sa famille. Après des années de procédure, il gagne son procès, en 1956. La préfecture de Quimper récupère alors un portail du parc, aujourd'hui ornement du jardin du préfet, le département retire ses rajouts aux collections primitives. Le prince entre en possession de Kériolet, mais la demeure ne lui plaît pas, et très vite les collections sont dispersées, le domaine morcelé. Félix Youssoupoff propose à la ville de Concarneau d'acquérir son château, les pourparlers s'éternisent. Il offre même, en pure perte, le puits des cuisines de Kériolet, puits aujourd'hui remonté dans la Ville-Close de Concarneau. Le domaine se réduit en peau de chagrin, il est finalement vendu, revendu. Différents projets d'aménagement de Kériolet ne se réalisent pas. En 1971, la chapelle est détruite, ses pierres sont récupérées pour la construction d'une maison. Le château se dégrade inexorablement, il est livré aux pilleurs, de nombreux éléments de décoration intérieure et du parc disparaissent à jamais. La tempête de 1987 emporte la toiture. Christophe Lévèque, rachète alors le château le restaure, le remeuble, et l'ouvre à nouveau au public.

Notes et références de l'article

Bibliographie

  • Prince Félix Youssoupoff, "Mémoires" (V&O Editions, 1990)
  • Prince Félix Youssoupoff, "La fin de Raspoutine" (V&O Editions, 1992)
  • "Guide Bleu Bretagne" (Hachette, 1924)
  • A. Paban, "Catalogue du Musée Départemental de Kériolet" (Librairie Le Tendre, CONCARNEAU, 1900)
  • Nolwenn Rannou, "Joseph Bigot (1807-1894), architecte et restaurateur" (Presses Universitaires de Rennes, collection "Art & Société", 2006)
  • "Le Guide Quimper", ouvrage collectif (monum, Editions du patrimoine, 2006)
  • Michèle Le Goffe, "Sites, signes, vies, au centre de la vallée de l'Aulne" (Editions ar Garo, 1989)
  • Miriam Rothschild et Lionel de Rothschild, "Les jardins Rothschild" (Editions Abbeville, 1997)
  • Derek Wilson, "Les Rothschild" (Editions Stock, 1989)
  • Tatiana de Metternich, "Les Stroganoff" (V&O Editions, 1991)
  • Géza von Habsburg, "Fabergé" (Editions Abbeville, 1996)
  • Claude de Grève, "Le voyage en Russie, anthologie des voyageurs français en Russie aux XVIIIe et XIXe siècles" (Editions Robert Laffont, 1990)
  • Nicholas V. Riasanovsky, "Histoire de la Russie" (Bouquins, Editions Robert Laffont, 1998)
  • "Guide Saint-Pétersbourg" (Hachette, 2005)
  • "Monuments Historiques, Russie", n°179 de janvier-février 1992 (Editions de la Caisse Nationale des Monuments Historiques et des Sites)
  • Bernard Jules Verlingue et Philippe Le Stum, "Encyclopédie des céramiques de Quimper, tome II, le XIXe siècle" (Editions de la Reinette, 2004)
  • Gilles et Bleuzen du Pontavice, "La cuisine des châteaux de Bretagne" (Editions Ouest- France, 1997)
  • Hervé Maneglier, "Paris Impérial" (Editions Armand Colin, 1990)
  • Jean Nagle, "Luxe et charité, le faubourg Saint-Germain et l'argent" (Librairie Académique Perrin, Histoire et fortunes, 1994)
  • Jules et Edmond de Goncourt, "Journal" (Bouquins, Editions Robert Laffont, 1989)
  • Marcel Boulenger, "Le Duc de Morny" (Librairie Hachette, Figures du passé, 1925)
  • Jean des Cars, "La Princesse Mathilde" (Librairie Académique Perrin, 1988)
  • Eric Mension-Rigau, "Boni de Castellane" (Editions Perrin, 2008)
  • "Diptyques du Collège Stanislas 1835-1901" (Collège Stanislas de Paris, 1901)
  • "Bretagne XXe, un siècle d'architectures", ouvrage collectif (Terre de Brume, Archives Modernes d'Architecture de Bretagne, 2001)
  • "Bretagne, terre des peintres", catalogue de l'exposition présentée au château de Suscinio et au musée des beaux-arts de Vannes en 2003 (Editions Cloître, 2003)
  • Pierre Angrand, "Histoire des musées de province au XIXe siècle, l'Ouest" (Le cercle d'or, 1984)
  • Collection particulière de cartes postales anciennes du Musée de Kériolet

Voir aussi

Articles connexes

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47°53′12″N 3°54′29″O / 47.88667, -3.90806

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