Chant gregorien

Chant gregorien

Chant grégorien

Chant grégorien
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Plain-chant
Neumes
Modalité grégorienne
Répertoire grégorien
Articles sur la musique sacrée

Le chant grégorien est le chant liturgique officiel de l'Église catholique romaine. Issu du chant de l'Eglise de Rome et du chant messin (Scola Metensis) répandus en Occident à la fin du VIIIe siècle, il reste pratiqué régulièrement dans certaines églises et communautés religieuses, spécialement dans les cérémonies plus solennelles de la liturgie du rite romain.

Indépendamment de la liturgie, le chant grégorien est aujourd'hui apprécié pour sa qualité esthétique. C'est un genre musical qui appelle au calme, au recueillement, à la contemplation intérieure.

Sommaire

Caractéristiques

Le chant grégorien est un chant sacré anonyme, habituellement interprété par un chœur ou par un soliste appelé chantre. Il est destiné à soutenir le texte liturgique en latin.

On trouve des chœurs d'hommes ou de femmes, les abbayes de moniales au Moyen Âge chantaient le répertoire liturgique au même titre que les abbayes d'hommes.

Il doit se chanter a cappella, c'est-à-dire, sans accompagnement harmonisé instrumental, car toute harmonisation, même discrète, modifie la structure de cette musique.

Il s'agit d'un chant homophone — ou chant monodique — c'est-à-dire, une musique excluant les simultanéités sonores : toutes les voix qui l'exécutent chantent donc « à l'unisson ».

Du point de vue du système mélodique, le chant grégorien est de type modal et diatonique. Les chromatismes en sont généralement exclus, ainsi que les modulations et l'emploi de la sensible. Les différentes échelles utilisées, avec leurs degrés et leurs modes, sont appelées modes ecclésiastiques, ou échelles modales, ou modes anciens — par opposition aux échelles utilisées postérieurement en musique classique tonale.

C'est une musique récitative, qui prend son origine dans le texte, et qui favorise l'intériorisation et la conscience des paroles chantées[1]. Il n'est pas cadencé, mais il est absolument rythmé. Son rythme est très varié, par opposition à la cadence régulière de la musique issue de la Renaissance. Le rythme, qui est une question complexe en chant grégorien, découle des paroles et de la musique, en superposant les deux logiques. Dans les passages psalmodiques ou syllabiques, le rythme vient principalement des paroles ; dans les passages neumatiques ou mélismatiques, c'est la mélodie qui devient prépondérante. Ces deux composantes sont toujours présentes.

Notation

Rivers of Babylon = Ps 136:1, transcrit en notation grégorienne

Le chant grégorien dispose d'une notation spécifique, les neumes. Mais la notation n'est pas ce qui en fait la spécificité : des neumes peuvent servir à noter des musiques très variées. Des morceaux de composition tardive peuvent ainsi profiter d'un déguisement neumatique pour se glisser dans le répertoire, comme le montre l'antienne ci-contre (transcription grégorienne du classique Rivers of Babylon).

Esthétique

Pour l'esthétique grégorienne, la date de composition importe peu ; dans la mesure où elle en reflète effectivement l'esprit, c'est-à-dire :

  • La modalité est le premier élément spécifiquement grégorien. La modalité est en quelque sorte le paysage sous-jacent, dans lequel vient évoluer chaque pièce. Elle se manifeste de manière évidente par les teneurs dans la psalmodie, mais cette notion de teneur (simple ou multiple) structure tout le répertoire du plain-chant.
  • Le rythme verbal est également une caractéristique essentielle du grégorien. Le rythme est évidemment verbal dans le style psalmodique et syllabique, mais cette logique verbale se prolonge également dans le style neumatique, et jusque dans les développements mélismatiques où se retrouve encore la dynamique verbale de l'accentuation latine.

Origines

Article détaillé : Chant messin.
Légende de l'origine du chant grégorien, d'après le frontispice de l'édition vaticane :
« Le très Saint Grégoire se répandait en prières, pour que le Seigneur lui accorde la musique à donner sur les textes liturgiques. L'Esprit Saint descendit alors sur lui sous la forme d'une colombe, et son cœur fut éclairé. Il commença aussitôt à chanter, et voici comment :... (suit l'Introït du premier dimanche de l'Avent). »
Grégoire Ier dictant un chant - Illustration d'un antiphonaire du XIe siècle.

Le chant grégorien doit son nom au pape Grégoire le Grand (fin du VIe siècle) auquel il a été attribué par l'historiographie carolingienne.

Le répertoire grégorien apparaît dans la seconde moitié du VIIIe siècle, dans la région de la Moselle berceau de la puissance franque et notamment après la réforme de l'évêque Chrodegang de Metz, dans la juridiction de l'abbaye de Gorze. On l'appelle alors chant messin.

C'est d'abord en Angleterre, par l'envoi de missionnaires partis de Rome, puis et surtout à la demande de Pépin le Bref, de Charlemagne et de leurs successeurs, que le chant romain s'épanouit hors d'Italie.

Il s'est alors répandu pour répondre à la volonté d'unité et d'ordre du pouvoir politique et pour remplacer le chant gallican. La diffusion du chant grégorien, comme l'initiation de l' ordo romanus dans son ensemble, servit donc avant tout à la mise en place du nouvel ordre politico-religieux chrétien et à l'imitatio imperii voulue par le nouvel empereur d'Occident. L'Église en fut l'instrument autant que la bénéficiaire.

Le répertoire et les formes musicales que l'on appelle aujourd'hui grégoriens sont le résultat du mariage du chant romain, diffusé par le bouche à oreille, avec le chant et les répertoires locaux. Le chant grégorien médiéval est né de leur cohabitation prolongée pendant des siècles. Avant de pouvoir être mis par écrit et noté, le chant romain était en effet transmis par l'intermédiaire de chantres envoyés par le pape qui, à force de mémorisation et de répétitions, venaient former l'oreille et les choeurs des régions les plus reculées.

Ces échanges d'influences expliquent l'apparition de familles musicales différentes et la survivance de particularités locales à l'intérieur même de la tradition grégorienne.

Les recherches de Dom Jean Claire, moine de l'Abbaye Saint-Pierre de Solesmes, démontrent qu'une des formes primitives du chant dit grégorien est née au milieu du VIIIe siècle, à Metz, ancienne capitale de l'Austrasie, favorisée, au niveau ecclésiastique, par saint Chrodegang de Metz, proche de Pépin le Bref. On parlait alors d'ailleurs de chant messin[2].

Plus tard, les grandes familles religieuses du Moyen Âge ont également donné naissance à leur propre tradition musicale grégorienne, souvent la diffusion des particularités musicales des livres de la maison mère (chant grégorien cistercien, cartusien, dominicain, etc.)

Ce mouvement d'uniformisation du chant sacré initié à grande échelle par les Carolingiens a été soutenu par la papauté et a accompagné l'implantation du christianisme en Europe. La diffusion du chant grégorien s'est largement appuyée sur les institutions monastiques, qui, malgré la constitution et le maintien de traditions mélodiques et d'un répertoire propres, différent du cursus romain spécialement pour l'antiphonaire de l'office, ont contribué à la diffusion du répertoire romain, par la copie et la compilation des textes religieux.

Le chant grégorien est habituellement considéré comme le point de départ de la musique occidentale savante, appelée musique classique. Cependant, celui-ci n'est pas né ex nihilo : en effet, les modes, les échelles, les mélodies même, faisaient sans doute partie des traditions orales appartenant aux nombreux groupes sociaux établis sur l'ancien empire romain — traditions gréco-romaines, celtiques et plus précisément gallicane, judéo-chrétiennes, germaniques, etc. L'autorité religieuse a, en fait, défini une norme de musique acceptable dans le cadre de l'office divin, préservant la sainteté et la dignité de celui-ci, en favorisant la contemplation et en bannissant strictement tout débordement sensuel ou tout aspect profane incongru.

Restauration du chant grégorien

Il fallut de longs travaux pour restaurer chant grégorien. Ce sont surtout les travaux des bénédictins de Solesmes qui rendirent possible cette restitution : Dom Joseph Pothier d'abord, qui après avoir retrouvé la lecture des neumes cursives, publia la première édition un peu sérieuse, le Liber gradualis de 1883, et fixa les principales règles d'exécution en 1880 dans ses Mélodies grégoriennes, rapidement devenues célèbres.

Dom André Mocquereau, disciple de Dom Pothier, fit la première restauration de la mélodie et du rythme, et l'énoncé des lois de l'interprétation traditionnelle (fortement imprégnées des conceptions musicales de l'époque).

En 1889, Dom Mocquereau fonda la Paléographie musicale, vaste recueil trimestriel, destiné à reproduire par la phototypie les principaux manuscrits de chant conservés dans les bibliothèques de l'Europe, et contenant des études et des analyses qui permirent d'étudier non seulement la ligne mélodique dans sa pureté originelle, mais les lois de composition et les moindres nuances d'interprétation. Toutefois aujourd'hui, il est possible de corriger et de dépasser les conceptions qui prédominaient au début du XXème siècle, pour aller plus près des sources, par la «sémiologie grégorienne ». Développée par son successeur Dom Eugène Cardine, c'est une méthode qui analyse l'utilisation des différents signes (ou neumes) primitifs, permettant ainsi de préciser l'interprétation des mélodies grégoriennes, particulièrement l'articulation du phrasé, du rythme et la durée des sons, grâce aux indications relativement précises des plus anciens manuscrits (notamment ceux qui utilisent la notation sangallienne - c'est-à-dire originaire de l'abbaye suisse de St Gall - et la notation messine).

Un premier aboutissement de ces travaux fut la publication à Rome, par une commission nommée par Pie X et présidée par Dom Pothier, d'une édition officielle pour toute l'Église, nommée édition vaticane. Le Graduel (contenant tous les chants de la Messe) parut en 1908; l'Antiphonaire (contenant tous les chants de l'Office, hors nocturnes) en 1912; et d'autres extraits ont été publiés depuis: l'office des morts, le chant de la Passion, les Répons de la semaine sainte et de Noël. C'est à l'abbaye de Solesmes qu'a été confié le soin de continuer et d'achever l'édition vaticane.

Les « éditions de Solesmes », ainsi qu'on les appelle, reproduisent l'édition vaticane, mais en la complétant par un système de signes dits rythmiques. Ces signes sont d'un intérêt mitigé.[non neutre] Ils sont en partie empruntés à la notation sangallienne, précisant l'interprétation traditionnelle du Moyen Âge, et en partie le reflet des théories de Dom Mocquereau.

Afin de faciliter la prise en compte des notations primitives dans le chant, Solesmes publiait en 1979 le Graduel Triplex, qui superpose la version en notes carrées de l'édition précédente et une copie minutieuse des notations sangallienne et messine. Les pièces grégoriennes y sont classées selon la forme ordinaire du rite romain (aussi appelée « messe de Paul VI »).

Pratique du chant grégorien

Le chant grégorien est indissociable de la langue latine (et des quelques termes grecs ou hébreux qui apparaissent dans la liturgie latine). Il n'existe pas de pièce grégorienne traduite en langue vernaculaire, hormis quelques mélodies récitatives, comme celles de la préface et des oraisons qui peuvent être adaptées sans trop de heurs à certaines langues. Ce lien au latin explique qu'il n'est guère utilisé dans les liturgies catholiques courantes, bien qu'on assiste à un regain d'intérêt pour l'usage liturgique du chant grégorien dans le cadre paroissial de nombreuses villes, soit régulièrement, soit occasionnellement : notamment en France, en Italie, en Allemagne, en Autriche, et dans les pays du Benelux ...

L'Eglise et la réforme du chant grégorien

L'intérêt spirituel du chant grégorien dans la liturgie a été exprimé par Pie X au moment de la réforme grégorienne, au tout début du XXe siècle:

« Notre mère la Sainte Église, à qui est divinement confié le soin de former l’esprit des fidèles à la sainteté, s’est toujours heureusement servie, dans ce but si noble, de l’aide qu’elle trouve dans la sainte liturgie. De peur que, en cette matière, la variété ne désunisse les âmes, et, au contraire, pour que l’unité demeure intacte, elle qui donne la force et la beauté au corps mystique du Christ, l’Église s’est toujours efforcée, par des soins assidus, de conserver les anciennes traditions; et si, par la faute du temps, celles-ci sont parfois tombées dans l’oubli, elle s’est toujours occupée de les rechercher diligemment et de les restaurer puissamment.

Le chant sacré doit être compté au premier rang parmi ce qui convient le mieux à la sainte liturgie, lui apporte de la splendeur, lui ajoute de l’efficacité. L’expérience nous apprend, en effet, de quelle façon le chant donne au culte divin une grandeur qui attire merveilleusement les âmes vers les choses célestes. C’est pourquoi en aucun temps l’Église n’a cessé de recommander l’usage du chant, et a cherché assidûment à ce qu’il ne s’éloigne pas de sa dignité primitive.

Pour que ce but soit atteint, il est nécessaire que le chant destiné à la liturgie possède le sens sacré, et puisse être utile aux âmes. Il faut, en premier lieu, qu’il brille de gravité religieuse, alors il sera apte à restaurer véritablement et suavement les sentiments chrétiens dans l’âme. Il doit de plus être catholique —ou universel— c’est-à-dire répondre aux nécessités de toute nation, de toute région, de toute époque ; et enfin, unir la simplicité à la perfection artistique.

Où trouver mieux et plus richement doté, à ce point de vue, que le chant grégorien ? « Il est le chant propre de l’Église Romaine, le seul qu’elle ait reçu de l’héritage des Pères, fidèlement gardé au cours des âges dans ses manuscrits, recommandé comme sien à l’usage des fidèles, et qui, seul, est encore ordonné en certaines parties de la liturgie. » »

— Saint-Pie X, Motu Proprio Tra le sollecitudini sur la musique sacrée du 22 Novembre 1903

Réforme liturgique

Aujourd'hui, le concile Vatican II a proclamé que

« L’Église reconnaît dans le chant grégorien le chant propre de la liturgie romaine. C’est donc lui qui, dans les actions liturgiques, toutes choses égales par ailleurs, doit occuper la première place. Les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins, pourvu qu’ils s’accordent avec l’esprit de l’action liturgique »

— Concile Vatican II, Sacrosanctum Concilium, §116

Le concile recommande dans ce sens :

« Le trésor de la musique sacrée sera conservé et cultivé avec la plus grande sollicitude. Les scholae cantorum seront assidûment développées, surtout auprès des églises cathédrales. Cependant les évêques et les autres pasteurs veilleront avec zèle à ce que, dans n’importe quelle action sacrée qui doit s’accomplir avec chant, toute l’assemblée des fidèles puisse assurer la participation active qui lui revient en propre. »

— Concile Vatican II, Sacrosanctum Concilium, §114

Après la réforme liturgique

En dépit des prescriptions claires du concile Vatican II sur l'usage du chant grégorien (et du latin), il n'est aujourd'hui repris que rarement dans les célébrations dominicales paroissiales des diocèses, et même de la chapelle pontificale à Rome, bien qu'on y note un timide retour du répertoire grégorien depuis l'avènement de Benoît XVI, spécialement pour le chant de l'ordinaire, et plus modérément pour les pièces du propre, chantées par une schola.

« Comme les réunions entre fidèles de diverses nations deviennent de plus en plus fréquentes, il est bon que les fidèles sachent chanter ensemble, en latin, sur des mélodies faciles, au moins quelques parties de l'Ordinaire de la messe, et surtout la profession de foi et l'oraison dominicale.[3] »

Par contre, il est toujours très largement utilisé dans le cadre de la liturgie monastique catholique de tradition bénédictine : principalement les monastères de la congrégation de France (Solesmes, Abbayes Sainte Anne de Kergonan et Saint Michel de Kergonan, Saint-Wandrille, Notre Dame d'Argentan, Ligugé, les chartreux et quelques autres. La communauté Saint-Martin, une société de prêtres et de diacres attachée à la célébration solennelle de la liturgie dans une double fidélité à la réforme liturgique et à la tradition latine et grégorienne, le pratique quotidiennement dans sa Maison de formation et régulièrement dans ses paroisses (forme ordinaire du rite romain, dite Paul VI).

Le grégorien est aussi la forme habituelle du chant sacré dans les communautés de rite tridentin dont il fait partie intégrante : ainsi les abbayes bénédictines de Fontgombault, de Randol, de Triors, du barroux, Abbaye Notre-Dame-de-l'Annonciation du Barroux, l’Abbaye Notre-Dame-de-Fidélité de Jouques, l’Abbaye Notre Dame de Bellaigue, la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, la Fraternité de la Transfiguration, la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier, la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre, les chanoines réguliers de la Mère de Dieu, l'Opus Sacerdotale, l'Institut des Dominicaines du Saint Esprit, l'Institut de la Sainte-Croix, les Capucins de Morgon, les Dominicaines de Fanjeaux, les Dominicains d'Avrillé, les Petites Sœurs de Saint-Jean-Baptiste... Ces instituts, ainsi que des associations de laïcs, ont maintenu l'existence de choeurs qui perpétuent la pratique du chant grégorien dans son cadre liturgique. De nombreuses autres communautés monastiques continuent de chanter certaines pièces du répertoire grégorien, comme les antiennes, les répons et certaines pièces du graduel ou de l'ordinaire de la messe, tout en adoptant une liturgie vernaculaire pour les autres textes. Au total plus de trois cents lieux de culte en France. De nombreux chœurs, ensembles de solistes et scholae de laïcs chantent régulièrement le chant grégorien dans son cadre liturgique.

Futur

Les chants grégoriens sont les seuls a avoir été officiellement promulgués par l'Église Romaine, et cette primauté a été confirmée par le concile de Vatican II.

Cependant, historiquement, le répertoire grégorien n'a jamais été le chant universel de l'Église romaine. Sa pratique a toujours été limitée aux communautés monastiques, et à quelques communautés ecclésiales. Seuls les chants de l'ordinaire peuvent prétendre avoir eu une expansion plus générale. C'est donc une mauvaise compréhension de la situation historique réelle qui associe le chant grégorien à une pratique liturgique passée.

Quand le concile Vatican II déclare que le chant grégorien est « le chant propre de la liturgie romaine », cette déclaration n'a pas une portée historique, mais pastorale: le concile reconnaît la valeur inspirée du chant grégorien, et attire l'attention sur l'importance spirituelle de son utilisation future: la réforme liturgique dans l'esprit du concile doit conduire à donner une place centrale au chant grégorien.[réf. nécessaire]

Chant Grégorien dans la culture populaire

Plusieurs groupes modernes ont fait du « Grégorien-pop ». C'est le cas de Gregorians - Master of Chants ainsi que Enigma qui a connu un grand succès dans les années 1990 avec son tube Sadness.

Bibliographie

  • Albert-Jacques Bescond, Giedrius Gapsys, Le chant grégorien, collect° « Les traditions musicales », éd° Buchet/Chastel, Paris, 1999, (ISBN 2-283-01811-0). 255 p., avec à la fin une bibliographie sélective.

Notes et références

  1. Saint Augustin dit dans l'Enarratio in Psalmos (72, 1) « Qui cantat bis orat » : « Celui qui chante prie deux fois ».
  2. Portail sur le chant grégorien, sur le site de la ville de Metz
  3. Const. lit., art. 54 ; Instr. Inter OEcumenici, no 59 ; Instr. Musicam sacram, no 47 ; Ordo cantus Missae, 1972

Voir aussi

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