Villa romaine de Chiragan

Villa romaine de Chiragan
Villa romaine de Chiragan
Bustes découverts dans la villa de Chiragan au Musée Saint-Raymond de Toulouse
Bustes découverts dans la villa de Chiragan au Musée Saint-Raymond de Toulouse
Présentation
Protection  Inscrit MH (1998)
Géographie
Pays Drapeau de France France
Région Midi-Pyrénées
Département Haute-Garonne
Localité Martres-Tolosane
Région de Toulouse-Saint Bertrand de Comminges et localisation de Chiragan

La villa romaine de Chiragan était une villa romaine qui se trouvait sur la commune française de Martres-Tolosane, département de Haute-Garonne. Elle fut occupée jusqu'à la fin de l'Empire romain et son caractère exceptionnel est lié aux riches marbres exhumés lors des fouilles successives qui s'y sont succédé, depuis les premières découvertes au XVIIe siècle et surtout depuis les fouilles menées par Alexandre Du Mège de 1826-1830.

Par son importance elle constituait selon certains archéologues du site dont Léon Joulin, la villa la plus importante d'Europe après la Villa Hadriana. Les éléments sculptés découverts, d'une importance majeure, ornent désormais le Musée Saint-Raymond de Toulouse, qui possède grâce à ceux-ci la collection la plus importante de France de bustes d'empereurs romains, après celle du Musée du Louvre. Des copies des œuvres découvertes ont été placées dans un musée dans la commune de sa découverte.

Les œuvres, par leur richesse et leur unité thématique, compliquent l'interprétation de la villa et l'identification du propriétaire du domaine.

Sommaire

Histoire

Plan de la pars urbana de la villa, plan récapitulatif de Joulin, 1901

Évolution dans l'Antiquité

Trois étapes ont été identifiées dans la construction.

Premier état : une villa modeste

la première date de l'époque d'Auguste et était relativement modeste. Elle comportait cependant des thermes et un péristyle[1][réf. incomplète].

Second état : le début du IIe siècle

La seconde étape date de l'époque de Trajan, et la bâtisse comprend un atrium et deux péristyles[1].

L'expansion maximale

La dernière date de l'époque de la dynastie des Antonins et à cet instant la surface est égale au tiers de la Villa Hadriana[2].

La destruction

Les débris recueillis lors des fouilles sont selon L. Joulin un témoignage des dévastations du temps des invasions du Ve siècle[3].

Le site sert durant des siècles de carrière de matériaux, même si aux alentours du milieu du XVIIe siècle les vestiges en semblent encore importants[4][réf. incomplète]. Le témoignage du chanoine Lebret en 1692 atteste de murs en élévation de 3 à 4 m[5][réf. incomplète]. Alexandre Du Mège témoigne de la présence de murs de 1 à 2 m de haut lors d'une visite effectuée sur le site en 1812[6][réf. incomplète]. Les murs en élévation sont détruits à partir du milieu du XIXe siècle, du fait du développement de l'agriculture intensive[7][réf. incomplète].

Histoire des découvertes

Le Musée Saint-Raymond de Toulouse, la galerie des empereurs se situe au niveau de la série d'arcades

Les premiers fouilleurs ont comme objectif de découvrir des éléments mobiliers ; l'intérêt pour l'architecture de la villa, perceptible à partir des années 1840, ira croissant jusqu'au rôle essentiel de Léon Joulin au tournant du XIXe et du XXe siècle[8][réf. incomplète].

Premières découvertes

Des découvertes de sculptures ont eu lieu de manière ponctuelle de manière attestée dès le XVIIe siècle[9]. De beaux éléments sculptés furent trouvés sur le site aux XVIIe-XVIIIe siècles[10], en particulier vers 1630-1640[5]. Les premières découvertes au cours du XVIIe siècle, sont dues au creusement d'un canal dit du moulin en 1612[5]. A l'extrême fin du XVIIe siècle l'évêque de Rieux fait placer des marbres en provenance de Martres-Tolosane dans le palais épiscopal[11]. Au cours du XVIIIe siècle des découvertes ponctuelles ont lieu[6].

Découvertes majeures au XIXe siècle

Bilan des fouilles du XIXe par Léon Joulin en 1901

Une crue ou une forte pluie consécutive à un violent orage[6] a mis au jour des vestiges de la villa le 23 mai 1826. Le maire de Martres-Tolosane prévient le maire de Toulouse, qui charge Alexandre Du Mège, inspecteur des antiquités, de mener des fouilles[6]. Alexandre Du Mège met au jour de nombreux éléments sculptés[12], dont il fait une véritable « récolte »[4]. Une convention est signée avec le propriétaire du champ afin de déposer les trouvailles au musée de Toulouse. Une grande partie des découvertes eut lieu les 21 et 22 septembre 1826, Alexandre Du Mège écrivant au maire de Toulouse qu'« à chaque quart d'heure je vois sortir du sein de la terre un dieu, une déesse, un empereur ». Déposées à la mairie de Martres-Tolosane, les sculptures rejoignent par charrette son emplacement définitif[13]. Le fouilleur signale des mosaïques, hypocaustes et traces de peintures dans la partie inférieure des murs[14]. Les fouilles dans la villa menées par Du Mège se déroulent jusqu'à la révolution de 1830.

Il y a de nouvelles fouilles menées par la Société archéologique du Midi de la France à partir de 1840 jusqu'en 1842, puis de 1842 à 1848 pour relier les nouvelles découvertes aux espaces dégagés par Alexandre Du Mège[15]. Les fouilleurs du début des années 1840 concentrent leurs recherches à l'est des fouilles de Du Mège et effectuent des relevés des murs retrouvés. Ces fouilles mettent au jour des thermes[16][réf. incomplète]. Les fouilles de 1842 à 1848 semblent avoir donné moins de résultat et avoir complété les connaissances déjà acquises du site[16].

Des découvertes ponctuelles continuent au cours du XIXe siècle, le plus souvent fortuites[7].

Des fouilles débutent en 1890-1891, sous la direction d'A. Lebègue, enseignant d'antiquités gréco-romaines à l'université de Toulouse, avec comme objet de vérifier les dires d'Alexandre Du Mège. La communauté scientifique était très suspicieuse envers ce dernier et les découvertes mobilières effectuées sur le site, et les fouilles avaient le but de « dissiper les doutes »[17]. Les fouilles se concentrent donc sur le mobilier même s'il fait des observations sur les substructions rencontrées[18][réf. incomplète]. Les fouilles du secteur fouillé par Du Mège confirment le bouleversement du terrain et les vestiges signalés par ce fouilleur[18] même si au final Lebègue ne fait pas confiance en le plan de Du Mège[19][réf. incomplète]. Julie Massendari signale que les fouilles de Lebègue sont beaucoup plus profondes que celles de Du Mège et que les destructions liées aux exploitations agricoles ont pu bouleverser le site[19].

Malheureusement A. Lebègue décède dès 1894, ce qui stoppe tout[7]. Les fouilles sont reprises par A. Ferré en 1894-1895, avec quelques résultats[7]. Ferré identifie les vestiges retrouvés comme ceux d'ateliers construits en matériaux périssables et recouverts de tuiles[19].

Action décisive d'un précurseur : Léon Joulin

Frontispice de l'ouvrage de synthèse fondamental de Joulin publié en 1901

Léon Joulin, en désaccord avec certaines conclusions émises, effectue des fouilles d'envergure financées par l'État, le département et la ville de Toulouse, avec l'aide d'A. Ferré de 1897 à 1899[7]. Son travail est publié en 1901[19].

Il reprend l'essentiel du travail effectué par ses prédécesseurs pour proposer une nouvelle lecture du site et une synthèse[20], basée sur une lecture du site dans son environnement de la plaine de Martres-Tolosane et il élabore en particulier un plan qui fait encore autorité aujourd'hui[8] d'un ensemble qu'il identifie comme une villa vaste de 16 ha[21]. Les techniques qu'il utilisa alors, basées sur la stratigraphie, en font un pionnier de l'archéologie méthodique.

Dernières fouilles

De nouvelles découvertes fortuites ont lieu au XXe siècle, en 1905, puis encore en 1920 et 1930. Suite à des travaux de creusement du canal de Palaminy l'aqueduc de la villa est localisé[8].

Un dégagement important a lieu en 1969 mais le site est remblayé par la suite[22].

Suite à une enquête menée en 1994[8], les parcelles cadastrales constituant le site sont inscrites au titre des monuments historiques par arrêté du 6 mai 1998[23]. Des sondages géophysiques sur le site de la villa, recouvert de terre, ont lieu en 2000, 2001[8] puis 2003. Ces études confirment largement le plan majeur réalisé par Léon Joulin en 1901, du moins dans ses grandes lignes.

Description

La villa se trouvait sur les bords de la Garonne, à proximité de la voie de Toulouse à Dax[9] et elle fut occupée entre le Ie et le IVe siècle. Elle aurait été équipée d'un quai et d'une jetée selon des observateurs du XIXe siècle, ces éléments ayant malheureusement été détruits lors d'une inondation[19].

Les bâtiments occupaient un enclos d'une superficie de 16 hectares et étaient au nombre de 80, sur 3 hectares[2]. L'emprise de la villa est établie selon les dernières recherches archéologiques à 18 000 m²[24].

Ils comprenaient à la fois les éléments nécessaires à la production agricole et la résidence du propriétaire, avec un portique monumental, de nombreux espaces verts et des thermes privés.

Les vestiges de la villa sont peu importants en dépit de la richesse du matériel découvert[1].

La pars urbana

La pars urbana comportait des dizaines de pièces[25][réf. incomplète].

La pars rustica

Les bâtiments d'exploitation, sur trois lignes, étaient compris dans une enceinte de 1 500 m de long. Les bâtiments avaient une vocation agricole, avec écuries, porcheries, greniers etc... ; mais ils avaient aussi un rôle artisanal avec la présence d'ateliers de tisserands et de fondeurs [25].

Il semble que le domaine agricole lié à la villa était d'une superficie supérieure à 1 000 hectares[26]. 400 personnes vivaient sans doute sur le domaine[25].

Œuvres découvertes

Les premiers fouilleurs furent impressionnés par l'importance des marbres, décors architecturaux et sculptures remis au jour, dont environ 300 statues[25]. Le marbre utilisé est en majorité du marbre des Pyrénées. Les bâtiments résidentiels étaient ornés de reliefs de marbre représentant les travaux d'Hercule, datés du IIIe siècle, et des clipei (boucliers) ornés d'images de divinités. En outre furent découvertes de nombreuses statues, copies de statues grecques réalisées à Rome et une galerie de portraits d'empereurs et autres personnages. Les sculptures sont désormais conservées au Musée Saint-Raymond de Toulouse.


Éléments architecturaux

Chapiteau

Des fragments architecturaux ont été découverts lors des fouilles, dont des chapiteaux et des chambranles de portes.

Les boucliers

Les fouilles ont livré des éléments d'au moins 12 boucliers, clipei avec des sculptures en haut-relief, dits aussi tondi. Le diamètre de ces pièces est compris entre 0,75 et 0,90 m ; elles ont été qualifiées de style grossier et devaient être exposées en hauteur[27][réf. incomplète]. 6 de ces boucliers appelés clipei sont bien conservées et exposés au Musée Saint-Raymond :

D'autres fragments ont été découverts, dont peut-être ceux d'une représentation de Vénus[Inv 7] et de Diane[Inv 8], [27].

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La galerie des empereurs

Les propriétaires de la villa de Chiragan avaient fait aménager une galerie dans laquelle ils exposèrent les divers empereurs et autres personnages dont l'identité nous échappe pour certains d'entre eux. La chronologie des bustes retrouvés va du Ier siècle au IVe siècle. Un grand nombre de nez des empereurs a été brisé. Dès 1826 de nombreux portraits ont été dégagés[28].

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Les travaux d'Hercule

Les représentations des reliefs des travaux d'Hercule retrouvées dans les fouilles de la villa de Chiragan constituent un ensemble unique au monde et ont été beaucoup étudiées de par un aspect stylistique baroque[29][réf. incomplète]. Elles ont été retrouvées progressivement et sont dans un état de conservation divers, si certains éléments en sont bien conservés, d'autres ne le sont qu'à l'état fragmentaire. Les marbres étaient peints initialement[28]. Le marbre utilisé est peut-être un marbre local issu des carrières de Saint-Béat[29]. La taille des représentations est approximativement 1,44 m sur 0,88 m[30]. L'ensemble a été étudié par D. Cazes entre 1994 et 1999, ce qui a permis de compléter les identifications à partir de nombreux fragments[31].

Initialement considérées comme des métopes d'un temple, les sculptures des travaux d'Hercule furent considérées par L. Joulin comme appartenant à une « surface murale divisée par des pilastres »[32]. La datation qui en a été proposée évoque le IIe ou la fin du IIIe siècle, en liaison avec la grande popularité d'Hercule sous l'empereur Commode ou Maximien Hercule[30]. De manière plus générale les divinités honorés par certains empereurs sont particulièrement honorées[33].

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Détail du fragment du relief d'Hercule et les oiseaux du lac Stymphale
  • autres travaux représentés :
    • Hercule contre le lion de Némée[Inv 15]
    • Hercule saisissant les cornes du taureau de Crète[Inv 16].
    • Hercule et Cerbère[Inv 17].
    • Hercule dans le jardin des Hespérides[Inv 18].
    • Hercule chassant les oiseaux du lac Stymphale[Inv 19].
    • Hercule et l'amazone Hippolyté[Inv 20].
    • Hercule et Diomède[Inv 21].
    • Hercule et Géryon[Inv 22].


Autres découvertes

Statue acéphale d'Isis de type romain[Inv 23]

Copies d'œuvres grecques

Le site a livré des copies romaines en marbre d'œuvres grecques, souvent de qualité[25]. Les œuvres les plus populaires étaient diffusées et ont permis de conserver les travaux d'artistes dont les originaux, souvent en bronze, ont été perdus. Ces copies ont sans doute été réalisées à Rome. De nombreuses représentations mythologiques ont été retrouvées, parmi ces reproductions d'œuvres grecques d'époque classique, dont l'authentification au site pose parfois problème[34]. Parmi ces œuvres :

Reliefs

Outre les reliefs des travaux d'Hercule, le site a livré des reliefs, parmi lesquels :

En outre, doivent se rattacher au site de Chiragan une série de 15 masques de théâtre et une série de masques à thématique bacchique[35][réf. incomplète].

Problématiques liées au site

Problématique des sculptures

Le site s'est vu attribué un grand nombre de découvertes par Léon Joulin et les études récentes tendent à en écarter certaines, d'autres pièces n'étant pas encore étudiées[35].

Problématique du propriétaire des lieux

Alexandre Du Mège pensait identifier le site à la cité de Calagorris de l'Itinéraire d'Antonin et le riche mobilier découvert à un palais impérial[4]. La villa est occupée d'Auguste à Arcadius[Lequel ?] par « des procurateurs chargés d'administrer les domaines impériaux » selon Léon Joulin[36]. Certains chercheurs ont émis l'hypothèse d'un collectionneur. L'hypothèse de gouverneurs ou de hauts magistrats impériaux permettrait selon P. Gros d'expliquer « l'ampleur des éléments de réception et la place accordée à l'imagerie impériale officielle »[25].

Numéros d’inventaire au Musée Saint-Raymond

  1. Ra 34d - Inv. 30503
  2. Ra 34i - Inv. 30508
  3. Ra 34j - Inv. 30509
  4. Ra 34k - Inv. 30510
  5. 341 - Inv. 30511
  6. Ra 34m - Inv. 30512
  7. Ra 34f - Inv. 30305
  8. Ra 34h - Inv. 30507
  9. Inv. 30154
  10. Inv. 30156
  11. Ra 82 - Inv. 30139
  12. Ra 28j - Inv. 30376
  13. Inv. 30375
  14. Inv. 30374
  15. Inv. 30372 et Ra 28a - Inv. 30373
  16. Ra 28b - Inv. 30378
  17. Ra 28e - Inv. 30379
  18. Ra 28f - Inv. 30372, 30383
  19. Ra 28g - Inv. 30377
  20. Ra 28h - Inv. 30381
  21. Ra 28i - Inv. 30380
  22. Ra 28l - Inv. 30382
  23. Inv. 30307 et Ra 38 (1)
  24. Dont Inv. 30334, 30344
  25. Inv. 30345 et Ra 131
  26. Inv. 30322, 30342
  27. Inv. 30362
  28. Inv. 30370
  29. Inv. 30311 et Ra 41
  30. Inv. 30339, 30340
  31. Inv. 30312 et Ra 42
  32. Inv. 30328 et Ra 52
  33. Inv. 30301
  34. Inv. 30304 et Ra 32
  35. Inv. 30358

Notes et références

  1. a, b et c Pierre Gros, La France gallo-romaine, p. 165
  2. a et b Léon Joulin, Les établissements gallo-romains de la plaine de Martres-Tolosanes, p. 597
  3. Léon Joulin, Les établissements antiques du bassin supérieur de la Garonne, CRAI, 1906, p. 724
  4. a, b et c Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 217
  5. a, b et c Julie Massendari, La Haute-Garonne, p.213
  6. a, b, c et d Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 214
  7. a, b, c, d et e Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 215
  8. a, b, c, d et e Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 216
  9. a et b Léon Joulin, Les établissements gallo-romains de la plaine de Martres-Tolosanes, p. 596
  10. L'archéologue - Archéologie nouvelle, n°80, 2005, p. 5
  11. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 213-214
  12. L'archéologue - Archéologie nouvelle, n°80, 2005, p. 5-6
  13. L'archéologue - Archéologie nouvelle, n°80, 2005, p. 6
  14. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 217-218
  15. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 214-215
  16. a et b Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 218
  17. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 218-219
  18. a et b Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 219
  19. a, b, c, d et e Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 221
  20. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 215-216
  21. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 222
  22. CR de Catherine Balmelle, Les demeures aristocratiques ďAquitaine. Société et culture de l'Antiquité tardive dans le Sud-Ouest de la Gaule, p. 1393
  23. Notice no PA31000003, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  24. CR de Catherine Balmelle, Les demeures aristocratiques ďAquitaine. Société et culture de l'Antiquité tardive dans le Sud-Ouest de la Gaule, p. 1394
  25. a, b, c, d, e et f Pierre Gros, La France gallo-romaine, p. 166
  26. Pierre Gros, La France gallo-romaine, p. 158
  27. a et b Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 252
  28. a et b [1]
  29. a et b Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 250
  30. a et b L'archéologue - Archéologie nouvelle, n°80, 2005, p.  18
  31. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 251
  32. Cité par L'archéologue - Archéologie nouvelle, n°80, 2005, p.  18
  33. Léon Joulin, Les établissements antiques de Toulouse, CRAI, 1905, p.  293
  34. Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 253
  35. a et b Julie Massendari, La Haute-Garonne, p. 258
  36. Léon Joulin, Les établissements gallo-romains de la plaine de Martres-Tolosanes, p. 598

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Bibliographie

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