Société interculturelle

Société interculturelle

La société interculturelle est un ensemble de populations de cultures diverses qui ont en commun le respect mutuel et mettent en avant la volonté de vivre ensemble avec les différences.

La dynamique sociale ainsi créée se distingue des deux modèles qui aujourdhui dominent le paysage culturel : le multiculturalisme, dans lequel les contraintes découlant du vivre-ensemble sont réduit au minimum, représenté surtout dans les pays de tradition anglo-saxonne, et lassimilation culturelle qui conduit à lalignement des cultures minoritaires sur la plus forte en faisant disparaître les différences, représenté par la France.

Sommaire

Secteurs d'activités touchés par la société interculturelle

Cette forme dinteraction se développe dans tous les secteurs dactivités et toutes les sciences sociales, relevant de domaines théoriques aussi multiples.

Sont concernés particulièrement :

  • lanthropologie (études des changements culturels et de leur impact sur les populations) ;
  • la sociologie (études des relations culturelles entre composantes de la société ; rapports entre majorité et minorités…) ;
  • la psychologie (études de effets des changements culturels sur la psyché) ;
  • le Droit (statut des étrangers, des minorités, diaspora, conventions internationales);
  • la Psychopédagogie et les sciences de léducation (étude des incidences de la différence culturelle sur les processus dapprentissage ; adaptations du système scolaire et des formations) ;
  • les sciences de la communication (étude des processus de communication et des problèmes posés par les différences culturelles) ;
  • la philosophie (élaboration et critique de concepts : culture, identité, communauté, altérité, intérité[1] ;
  • les sciences politiques (étude des formes de gestion étatique de populations culturellement hétérogènes ; lintégration de minorités culturelles ; la résolution des conflits) ;
  • la linguistique (étude des changements linguistiques découlant du mélange des populations ; élaboration dune méthodologie pour lapprentissage des langues ; études des possibilités et des effets de la traduction ; effets du bilinguisme) ;
  • les sciences du management (étude des différentes formes de management et de négociation ; incidences culturelles pour les entreprises multinationales ; problèmes liés à lexpatriation ; le marketing) ;
  • lhistoire (étude de la formation des entités culturelles pour expliquer létat des relations intercommunautaires et intracommunautaires actuelles) ;
  • lesthétique (étude des emprunts et bricolages culturels comme source de création de cultures) ;
  • la science des religions (étude de syncrétismes et oppositions entre systèmes religieux).

Historique. Acteurs et auteurs

Les relations entre populations de cultures différentes ont toujours existé, avec leur cortège dincompréhensions, de conflits, de mélanges et denrichissements. Mais cest seulement depuis quelques décennies, à la faveur de la multiplication des échanges commerciaux, diplomatiques et démographiques, que ce phénomène de linterculturalité est devenu un objet détude. Avec Jacques Demorgon[2], on peut faire la distinction entre le fait deséchanges entre populations que nous appelons l'''''interculturalité''' et la gestion de cette interculturalité pour en tirer des bénéfices au lieu den consacrer le statut de source de conflits, que lon peut appeler l''''interculturel'''. Pris sous cet angle politique (dans le sens large du mot) linterculturel volontaire se présente alors comme une dynamique, un horizon, une perspective, une ressource. La société interculturelle est caractérisée par la place importante accordée à linterculturel volontaire.

Historiquement, linterculturel est de linsatisfaction ressentie devant les réflexes individuels et collectifs les plus habituels devant la différence des cultures. Le pionnier en la matière est Edward T. Hall qui était insatisfait des comportements culturels des diplomates et commerciaux des Etats-Unis lorsquils se trouvaient à létranger. Avant lui, des anthropologues avaient commencé à mettre en question les rapports entre les populations de cultures différentes dans une perspective de décolonisation et démancipation, analysant les processus des changements culturels consécutifs aux « chocs des cultures »[3].

Depuis une trentaine dannées, dans la sphère francophone, plusieurs universitaires et praticiens ont publié des ouvrages théoriques avec un impact pratique, par exemple Carmel Camilleri (psychologie), Jacques Demorgon (philosophie et sociologie), François Jullien (philosophie) et des ouvrages pratiques avec une réflexion théorique pertinente, par exemple en psycho-pédagogie Martine Abdallah-Pretceille et Claude Clanet, en psychologie Geneviève Vinsonneau et Rose-Marie Moro, pour le travail social Margalit Cohen-Emerique, Gilles Verbunt, Emmanuel Jovelin ; pour les problèmes de communication, Michel Sauquet, Gilles Verbunt ; pour le management Philippe Pierre, Marc Bosche, Fons Trompenaars et Geert Hofstede. Lensemble de ces recherches et pratiques senracine dans linsatisfaction des acteurs sociaux devant des pratiques professionnelles (denseignants, de travailleurs sociaux, de formateurs, de psychothérapeutes, de managers, de cadres expatriés…) dans la prise en charge professionnelle de publics de cultures importées ou dexpatriés.

Pour promouvoir la société interculturelle, des chercheurs et des praticiens travaillent ensemble dans des institutions, telles que lARIC (Association internationale pour la recherche interculturelle), lIRFAM (Institut de Recherche, Formation et Action sur les Migrations), le SIETAR (Society for intercultural education training and research), société née aux Etats-Unis, la Fondation Charles Léopold Mayer pour le progrès de lhomme, et lOFAJ (Office Franco-allemand de la jeunesse dont les études dépassent le bi-culturalisme...) Des institutions ont commencé à en faire une matière à enseigner : Ecoles de commerce, universités (parmi dautres) de Montréal et Sherbrooke au Québec, de Padoue, de Liège et de BeiroutDepuis les années soixante-dix, des institutions internationales comme lUNESCO, lUnion européenne ou le Conseil de lEurope, ont publié de nombreux rapports, principalement sur la question éducative,

Lémergence de la société interculturelle a été favorisée par la problématique de lintégration dimmigrés et de leurs descendants dans les sociétés européennes. La tradition française de lassimilation ne répond plus aux objectifs de lintégration [4], dans des pays voisins de la France (Grande-Bretagne, Pays-Bas…) la politique du multiculturalisme est elle aussi un échec [5]. Des citoyens et des ONG se sont donc tournés vers l'interculturel pour inspirer une autre politique dintégration. Jacques Demorgon affirme : "Il est moins intéressant de les opposer (différancialisme anglo-saxon et universalisme français) que de les référer ensemble à un devenir interculturel inventif qui se met peu à peu en place et qui reste une lourde tâche pour demain." [6]

Lémergence tardive du courant interculturel sexplique par la lente maturation des idées concernant lévolution des cultures et des identités, opérée dans le sillage de la décolonisation et initiée par des anthropologues français (Roger Bastide, Georges Balandier) et américains [[(Ruth Benedict, Melville Herskovits)]], et par linsistance sur les rapports communautaires dans les mégapoles américaines (Ecoles de Chicago). La multiplicité et la variété des angles dattaque des recherches ont conduit à la multiplication du vocabulaire et à la nécessité dune définition qui dégage le caractère spécifique de la société interculturelle.

Approches pionnières de linterculturel

Au cours de lélaboration de lidée de société interculturelle, plusieurs notions sont apparues dont il nest pas inutile de citer lexistence pour éviter les confusions. La plupart de ces notions sont, en effet, apparues dans des contextes historiques particuliers[7].

Acculturation, culturalisme et interculturel

La notion dacculturation a été définie aux Etats-Unis en 1936 dans un mémorandum signé par les anthropologues les plus reconnus de lépoque : « Lacculturation est lensemble des phénomènes qui résultent dun contact continu et direct entre des groupes dindividus de cultures différentes et qui entraînent des changements dans les modèles (patterns) culturels initiaux de lun ou des deux groupes » [8].

Par rapport à cette définition linterculturel insiste sur le caractère hétérogène et instable de chaque culture, existant même avant le contact avec dautres cultures. «  La notion dacculturationest trompeuse en ce quelle suppose au départ deux ensembles purs et homogènes. » [9]. Les mêmes auteurs affirment aussi que la notion « dhybriditéne résout rien, bien au contraire, avec sa connotation biologique ».

Dans le courant appelé culturalisme, on persiste à croire que, à la façon des monolithes, les cultures sont homogènes et immuables. Le culturalisme a également tendance à attribuer les dysfonctionnements de la société au malaise culturel, plutôt quà des causalités économiques ou politiques. La société interculturelle ne nie pas que la différence culturelle puisse être une source de conflit, mais refuse le rôle dalibi quon lui fait jouer pour oublier les conflits politiques ou autres [10].

Bricolage culturel et interculturel

Claude Lévi-Strauss [11] est réputé être à lorigine du terme repris par Gilles Deleuze, Félix Guettari, et Jacques Derrida. Le terme exprime la pratique, fréquente chez les personnes ou les groupes ayant été dépaysés culturellement, demprunter à leur culture dite dorigine et à la culture du nouvel environnement, des éléments hétérogènes pour bricoler une nouvelle entité culturelle.

Le procédé est fréquent en linguistique. Par exemple, des migrants peuvent fabriquer un langage dans lequel on retrouve à la fois des réminiscences de leur ancienne culture et des notions adoptées de lenvironnement social dominant. Le syncrétisme est une forme de bricolage qui emprunte des éléments à plusieurs religions.

Il sagit dune forme dinterculturel spontané, résultant moins dun échange conscient, que de la nécessité dune adaptation rapide à un nouvel environnement. Linterculturel reconnaît le bricolage culturel comme un authentique procédé de survie, tout en souhaitant ne pas en rester à ce niveau.

Créolisation et interculturel

Dabord réservé au domaine linguistique, le terme de créolisation sapplique désormais aux cultures issues des rencontres entre populations européennes colonisatrices et populations africaines colonisées. Ces cultures sont variées selon les origines diverses des colonisateurs et des colonisés. Les esclaves noirs se seraient maladroitement appropriés la culture et la langue du blanc, jugée supérieure. Des poètes et des intellectuels (Léopold Senghor, Aimé Césaire, Edouard Glissant…) ont, dans un premier temps milité pour la reconnaissance dune réelleculture noire” : la négritude. En reconnaissant la variété de ses origines, chez Glissant, la négritude sest transformée en reconnaissance de la créolité, (lantillanité) laquelle est la source de cultures originales.

Linterculturel voit dans la créolisation un processus qui na pas seulement eu lieu dans les Caraïbes et lOcéan Indien depuis quatre siècles, mais qui a toujours existé partout dans le monde. Létude de la créolisation est intéressant pour découvrir comment des cultures ont pu voir le jour, et, selon toute vraisemblance, sont encore en train de naître sous nos yeux.

Spécificité de linterculturel

Lapparition récente de la société interculturelle comme alternative aux modèles classiques issus de lépoque de la colonisation (multiculturalisme dans la sphère anglo-saxonne et monoculturalisme assimilationniste dans la mouvance française) ne lui permet pas (encore ?) dacquérir une légitimité politique à linstar de ces deux modèles. Quoique le besoin dune alternative se fasse sentir après ce que les pouvoirs publics eux-mêmes ont admis comme un échec du multiculturalisme chez les uns et un échec de la politique dintégration chez les autres, il nexiste pas encore de société interculturelle. Pourtant, « Dans le cadre de la mondialisation culturelle, il serait utile de tenter déchapper à cette crispation (sur les deux modèles), à ce repli sur un modèle historique et à cette alternative obsolète, et de trouver une voie à la fois pragmatique, historique et idéaliste, cette voie que nous appelons linterculturel » [12].

Ce sont les expériences locales (par exemple, à l’[[Ile de la Réunion]] et dans les Caraïbes) et sectorielles (par exemple, le management dentreprises internationales, la pédagogie à appliquer dans des écoles culturellement hétérogènes…) qui sont pour le moment les principaux terrains de recherche. Il importe donc de dégager la spécificité de la société interculturelle

Conception dynamique de la culture et de lidentité

Le multiculturalisme et le monoculturalisme sappuient sur une conception statique, essencialiste de la culture et de lidentité. Linterculturel leur reconnaît seulement une relative stabilité et insiste sur leur caractère dynamique de processus. « On ne doit pas identifier la culture à ses seuls produits. Elle est encore plus essentiellement une activité productrice » [13].

En 1982, lUNESCO (Déclaration de Mexico sur les politiques culturelles) a encore défini la culture sans prendre en compte cette dynamique : « La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les [[systèmes de valeurs]], les traditions et les croyances. » LUNESCO complètera sans doute cette définition lorsque les adaptations souhaitées se seront suffisamment généralisées.

La redéfinition des notions de culture et didentité dans le cadre interculturel, en opposition avec les discours encore majoritaires dans les médias, les milieux politiques et lopinion publique, a comme conséquence une autre façon denvisager les questions du métissage et de lhétérogénéité des cultures.

Normalité de lhétérogénéité et du métissage

Le métissage (14) culturel est une expression métaphorique, empruntée à la biologie. En biologie, cest le résultat dune relation fusionnelle entre personnes ou populations dorigines culturelles ou ethniques différentes. Cependant, contrairement aux déterminations biologiques, linterculturel insiste sur lautonomie des individus (qui ne disparaît pas dans la fusion) et sur lintervention de la liberté individuelle ou collective contre tout déterminisme.

Le métissage, dans tous les sens du mot, est considéré dans la perspective interculturelle comme un phénomène à lorigine de la diversité humaine et culturelle, et nest en rien un phénomène anormal, une source de dégénérescence, portant atteinte à la pureté des communautés humaines, ainsi quaux réflexes de catégorisation en races et cultures. Au contraire, comme en biologie humaine, elle évite la dégénérescence des cultures et est à la base de toute civilisation : « La fermeture et la revendication homogène sonnent a contrario le glas du devenir consubstantiel à la notion de civilisation… » [14]. La réticence ressentie par certains devant le métissage ne se rapporte pas au métissage lui-même mais au regard porté sur lui par les sociétés. Le multiculturalisme et le monoculturalisme traitent les cultures comme des entités homogènes, ignorant le caractère métissé de toute culture et leur caractère hétérogène (les cultures sont traversées par des contradictions et des oppositions). La définition traditionnelle est encouragée par ceux qui ont besoin de renforcer les fondements et les frontières des nations et des communautés. La société interculturelle ne sépare pas les entités culturelles les unes des autres, et encore moins ni les dévalorise, ni les hiérarchise, mais les approcher les unes des autres en vue dune communication efficace et dun meilleur vivre-ensemble.

Le métissage doit donc être considéré comme un phénomène tout à fait normal. Si lon considère que, pour la gestion de la vie quotidienne, mieux vaut avoir à sa disposition deux ressources culturelles au lieu dune, on peut même parler denrichissement.

Limportance de la relation

Le multiculturalisme et le monoculturalisme insistent sur la préservation ou lexpansion des cultures, alors que linterculturel pense en termes de personnes et de populations culturellement différentes. Ces personnes et populations constituent leurs identités en interaction avec lautre. Il ny a pas didentité sans altérité, mais il y a une troisième composante qui entre en jeu : lintérité. [1] Le mot est dérivé du préfixe inter qui signifie, comme un trait dunion, à la fois un rapprochement et une séparation, mais dans la perspective interculturelle il a la valeur dune substance au même titre que les composantes quil unit.

Comme laccent est mis sur lactivité relationnelle des personnes et des populations, linterculturel en tant quinteraction volontaire, fait appel à une certaine implication des citoyens : il ne sagit pas dabord de renforcer une nation ou une communauté, mais de favoriser la communication, la négociation et le vivre-ensemble au-delà des frontières existantes.

Dans la société interculturelle les communautés ethniques, culturelles, religieuses jouent un rôle important, car elle permettent déviter la dissolution des cultures dans le magma incolore, sans saveur de luniformité. Toutefois, on refuse den faire les acteurs sociaux principaux, comme cest le cas dans le communautarisme. Tout en les reconnaissant comme des acteurs indispensables, la société interculturelle ne tolère pas les communautés repliées sur elles-mêmes, ce en quoi elle se distingue du multiculturalisme radical. Les communautés et leurs membres sont sommées dadopter la même perspective interculturelle que lensemble de la société sous peine den être exclues. « Tout homme, toute femme a le droit dappartenir à une communauté.… Il leur faut subordonner la communauté naturelle, celle de la lignée, à une communauté culturelle, consciente et construite, de la même façon quils subordonnent le droit du sang au droit du sol, sans nier le premier » [15].

La réciprocité

Le préfixe inter renvoie à lexistence dune réciprocité, phénomène évité par le multiculturalisme et phénomène passager (le temps dune acculturation) dans le monoculturalisme.

Alors que le multiculturalisme est un chacun-chez-soi culturel et que le monoculturalisme est un mouvement en sens unique, la société interculturelle favorise la réciprocité. La réciprocité idéale nexiste quentre cultures œuvrant dans une relative [[égalité du rapport de forces]]. Des institutions étatiques et internationales (surtout lUNESCO) et des ONG peuvent intervenir pour sapprocher dune réciprocité plus équitable.

Linterculturel nignore pas la dimension conflictuelle qui est réelle dans les contacts culturels, mais comme laccent est mis sur la participation de personnes et de populations, et non sur lirréductabilité dune culture à lautre, les oppositions culturelles peuvent être réduites sous certaines conditions par la communication et la négociation. La première condition est la reconnaissance de lautre dans un rapport d’(une certaine) égalité, au moins dans labsence de volonté hégémonique. La deuxième condition est lacquiescement au droit à lexistence de lautre et à labsence dune volonté de réduction à soi dans un processus de fusion favorable au plus fort.

Il serait inapproprié de penser que linterculturel puisse résoudre tous les conflits. Ceux-ci ont souvent des causes multiples[16]. Cependant, linterculturel permet de dénier lattribution du conflit à lexistence de différences culturelles pour dégager la possibilité den démasquer les vraies causes.

Il nest peut-être pas souhaitable de construire un modèle théorique de société interculturelle, à la façon dune utopie. Il est par contre tout à fait envisageable de poser la société interculturelle comme un horizon qui peut ouvrir aussi bien la société multiculturelle que la société assimilatrice à bénéficier du potentiel enrichissant de la diversité culturelle.

Notes et références

  1. a et b Lintérité est le trait-dunion exprimé par le préfixe inter, aussi fondamental que lidentité et laltérité quelle relie. Cf. Jacques Demorgon, Critique de linterculturel, Première partie, chap.3.
  2. Critique de linterculturel, pages 2-3.
  3. Carmel Camilleri et Margalit Cohen-Emerique, Chocs de cultures : concepts et enjeux pratiques de l'interculturel, Paris, L'Harmattan, 1989.
  4. Dominique Schnapper, Quest-ce que lintégration ? Paris, Gallimard, 2007.
  5. A linstar de louvrage de Francesco Fistetti; il faudrait parler de théories du multiculturalisme, tant est grande lécart entre le modèle canadien et lancien modèle de lapartheid.
  6. Dans L'Histoire interculturelle des sociétés, 2e éd. 2002, Ed. Economica, page 204.
  7. Denys Cuche, La notion de culture dans les sciences sociales, Paris, La Découverte 1996 ; (2e édition 2004).
  8. 8 o.c. Cuche, pp 51-67.
  9. Marc Augé et Jean-Paul Colleyn, Lanthropologie, Paris, PUF, “Que sais-je ?”, n° 3705, 2004, page 21.
  10. A cause de lambiguité liée au terme de culturalisme, mieux vaut éviter de parler d'interculturalisme.
  11. La pensée sauvage, Paris 1962, page 26 et Cuche page 72-73.
  12. Gilles Verbunt, La modernité interculturelle. La voie de lautonomie, Pais, LHarmattan, p. 47.
  13. Jacques Demorgon, Complexité des cultures et de linterculturel, Paris, Anthropos/Economica, pp. 260-261 (éd.1996).
  14. Lentrée Métissage, en Gilles Ferréol et Guy Jucqois (éd), Dictionnaire de laltérité et des relations interculturelles, Paris, Armand Colin, 2003.
  15. Régis Debray (2004), Ce que nous voile le voile. La République et le sacré, Paris, Gallimard, page 36.
  16. Ce quignore, par exemple, Samuel Huntington, Le choc des civilisations, Paris, Odile Jacob, 2001.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie thématique francophone

Généralités/Philosophie

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Liens externes


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