Abbaye de La Celle

Abbaye de La Celle
Abbaye de La Celle
Présentation
Culte Catholique romaine
Type Ancienne Abbaye
Rattaché à Propriété du Conseil Général du Var depuis 1990
Fin des travaux XIIIe siècle
Style(s) dominant(s) Roman
Protection 1886
Géographie
Pays Drapeau de France France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Var
Ville La Celle
Coordonnées 43° 23′ 39″ N 6° 02′ 23″ E / 43.3942566, 6.03973159999998243° 23′ 39″ Nord
       6° 02′ 23″ Est
/ 43.3942566, 6.039731599999982
  

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Abbaye de La Celle

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Abbaye de La Celle

L'abbaye de La Celle est un ensemble architectural roman composé d'églises liées à un cloître, située dans la commune de La Celle, dans le Var. Ce monument historique médiéval est classé au titre des Monuments historiques par arrêté du 12 juillet 1886[1] pour les restes de l'abbaye de La Celle, bien qu'ici le terme d'abbaye soit impropre.

Ce monument est ouvert à la visite, hormis durant les périodes de chantier de restauration.

Sommaire

Situation

La Commune de La Celle était au début du XIeme siècle encore un hameau de Brignoles, dont elle est limitrophe. Elle est blottie dans la vallée que surplombent le Roc de Candelon et le Massif de la Loube (830 mètres). Le village est traversé par le CD 405. La rivière du Caramy borde le territoire de la commune. L'abbaye de La Celle se trouve au centre de ce bourg ecclésial. Ce monument historique est accessible en visites guidées tous les jours sauf le mardi. Actuellement en chantier de restauration, les visites du monastère reprendront après Pâques et jusqu'à la fin septembre 2012.

Historique

Les origines

Le fils de Clovis: Childebert, guérit miraculeusement d'une maladie incurable accorde en remerciement par une charte de 538 à l' évêque Germain de Paris une terre nommée Cella. Cette charte stipule: "Mais de plus le seigneur Pontife nous a lui même demandé à cause des oliviers qui serviront à alimenter les les luminaires, une petite localité que nous avons dans la Provence, au pays de Fréjus, ce que pour accroître notre récompense nous accordons et donnons à savoir: la susdite CELLA avec la basilique St Romain et ensemble son territoire et ses colons " C'est le premier acte authentique témoignant d'une communauté à La Celle.

Les VIIIe, IXe et Xe siècles furent des périodes de désolations pour toute la région, avec l'anarchie intérieure et les invasions des sarrasins, des lombards, auxquelles s'ajoutèrent les famines et les épidémies. Le village et l'abbaye sont détruits.

En 973, Guillaume Ier, comte de Provence réussit à chasser les envahisseurs, son frère Pons Ier, reçut des terres qu'il restitua à l'Abbaye de Saint-Victor à qui elles appartenaient à l'origine. La Chapelle dédiée à Sainte-Perpétue existait au début du XIe siècle, avait-elle remplacée celle de Saint-Romain?

XIe - XIIe siècle

En 1011, Guy et son épouse Gualdrade font donation à l'Abbaye Saint-Victor de Marseille de terres sur le territoire de Brignoles avec une église dédiée à Sainte-Perpétue pour relever de ses ruines un premier monastère au pied du Roc de Candelon. La plus grande partie du temporel de l'abbaye se situe dans la région de Brignoles. Les femmes de ce monastère appartiennent toutes à la haute noblesse de Provence, ou du Languedoc.

L'abbaye installe y installe quelques moines pour mettre en valeur la terre et assurer les offices pour les populations locales et relever de ses ruines le premier édifice. En 1076 le Pape Grégoire VII confirme par une Bulle, les biens de Saint-Victor, parmi lesquels figurent l'église de Sainte-Perpétue et les terres autour, avec l'église Sainte-Marie, consacrée en 1057.

Les terres s'étendaient selon les textes anciens à l'Est par la rivière de Camps, au Midi par le ruisseau appelé Siccus qui se jette dans le Caramy en face du hameau des Majureaux[2]. En remontant au-dessus de la rivière de Camps jusqu'au Mont Pennicus (Penne). Au Nord, depuis la rivière de Camps jusqu'à la source appelée Fons Grossa en suivant la route et au Couchant, depuis cette source jusqu'au Mont Pennicus. Et en 1012, Gérard, fils d'Ingilran, donne ses biens aux religieux dont une terre et une vigne auprès de l'église de Sainte-Perpétue. Cette même année Amélius, un autre fils de l'évêque de Cavaillon Enguerrand, offre donne tout ce qu'il posséde dans les limites des terres déjà données au lieu-dit: Les Molières. Puis en 1016, le frère d'Ingilran: Nevolongus, son épouse et ses enfants renouvellent et confirment pour leur part l'offrande de Ste Perpétue et des terres de son domaine.

En 1190, Barral, vicomte de Marseille, Gouverneur de la Provence sous Alphonse Ier d'Aragon roi d'Aragon, assiste en cette qualité à la vente que Guillaume de Pennes fait aux religieux de La Celle, de la moitié du lieu de Pennes[3].

Ce monastère avait la particularité d'être double, les hommes avaient d'un côté leurs bâtiments et desservaient l'église Sainte-Perpétue, les moniales utilisant l'église consacrée à Sainte-Marie. Les deux établissements avaient à leur tête une prieure et un prieur désignés par les moines de Saint-Victor. Cet établissement, improprement appelé abbaye, avait en fait le rang de prieuré.

Puis au bout d'un certain temps, seules les moniales restèrent dans le couvent. Un prieur en assurait le service religieux.

XIIIe - XIVe siècle

Au XIIIe siècle le prieuré avait une grande réputation, y recevant des filles de bonnes familles, et de haut lignage dont la plus célébre est la comtesse de Provence Gersende de Sabran, née Garsende de Forcalquier; mère de Raimond Bérenger IV de Provence, qui une fois veuve de Alphonse, second fils de Alphonse II d'Aragon prit le voile en 1225, comme novice et demeura en ce lieu jusqu'à son trépas vers 1242. Le Prieuré comptait une centaine de religieuses entre 1267 et 1293. En 1311 on constate déjà des contestations qui vont jusqu'au procès, concernant l'usage des biens du Monastère par la communauté de Cabasse[4].Au XIVe siècle, les religieuses souhaitent se séparer de la tutelle des moines de Saint-Victor de Marseille avec lesquels elles sont en conflit permanent. Un Prieur restera pourtant sur le Domaine jusqu'à la Révolution, alors que les religieuses avaient déjà quitté le couvent depuis longtemps.

XVe - XVIIe siècle

Le 27 janvier 1660, Louis XIV, donne l'ordre de fermer l'Abbaye. La communauté de l'Abbaye sera encadrée et transférée à Aix sous l'autorité de deux religieuses venues du Val de Grâce en mars 1660. Trois religieuses seulement accepterons de rejoindre Aix. Celles qui n'acceptèrent pas de se soumettre, virent leurs pensions supprimées, ce qui amena la communauté à son instinction, d'autant que plus aucune novice ne pouvait rejoindre ce couvent.

La Révolution

Vendue et morcelée en 1792 comme bien national, l'abbaye est transformée en exploitation agricole

XIXe - XXe siècle

L'Abbaye est classée Monument Historique en 1886, après le passage de Jean Camille Formigé qui fit en 1868 un grand nombre d'aquarelles et de plans décrivant l'état de l'abbaye. La commune a racheté l'église conventuelle au début du XIXe pour en faire l'église communale. Durant tout le XXe siècle, les architectes des monuments historiques tenteront de faire restaurer, de sauvegarder les bâtiments qui tombaient en ruine. Tant que ces bâtiments sont restés propriété privée, les restaurations seront très difficiles.

Dans les années trente Madame Sylvia Fournier, riche propriétaire des Iles de Porquerolles, rachète le domaine et y installe une hostellerie-restaurant de luxe qui sera le premier établissement 4 étoiles du Var. D'anciens bâtiments, dont l'affectation d'origine reste imprécise, deviennent un hôtel restaurant[5]. Après son décès en 1971, uin autre établissement privé s'installe. L'abbaye de La Celle devient un patrimoine public, aujourd'hui patrimoine du Conseil général du Var. En 1990, la Commune fait jouer son droit de préemption en zone urbaine, avec l'appuis financier du Conseil général à qui le Monument Historique sera rétrocédé. La partie qui accueillait l'hôtel est toujours une hôstelerie de luxe, louée aux maisons Alain Ducasse. Toujours sur le domaine de l'ancien monastère, un autre bâtiment du Conseil général est occupé par la Maison des Vins des Côteaux Varois.

Description

Église conventuelle

L'église Sainte-Perpétue, aujourd'hui partiellement disparut, était l'église paroissiale de La Celle, déservit par les moines du bourg éclesial.

L'église Sainte-Marie de l'assomption était l'église conventuelle réservée aux moniales. Elle est depuis le début du XIXe l'église paroissiale de La Celle.

Dotée d'une nef unique, avec une abside en cul-de-four, voûtée d'un berceau très légèrement brisé. Dotée de murs épais et percés de peu d'ouvertures, elle a la sobriété du style roman le plus pur. Sa façade Nord est, à l'extérieur, à bossage pour signifier la fonction du monastère dans un bourg ecclésial.

Sur le mur Sud de l'église se trouve un magnifique Crucifix d'origine catalane du XIVe siècle en bois polychrome à la sculpture d'un très grand réalisme. Nous y trouvons également deux retables baroques du XVIIe siècle et le sarcophage dit de Garsende de Sabran du XIIIe siècle

Bâtiments conventuels des moniales

Cellier, Bibliothèque

Le Cellier a dû servir de bibliothèque, le mur Nord posséde une ouverture donnant accès au Chauffoir. Une ouverture dans le mur Ouest permet d'accéder au Cloître.L'ensemble date du XIIIe siècle

Chauffoir

Cette pièce est attenante au Cellier, par une porte au centre du mur Sud, une ouverture à l'Ouest donnant sur le Cloître

Ancien parloir

Passage compris entre le Chauffoir et la Salle Capitulaire, il donne vers les jardins et la maison de la Prieure du XVIIIe siècle et le Déambulatoire du Cloître.

Salle Capitulaire

Ou Salle du Chapitre, d'une dimension de 7 mètres sur 11 mètres à six travées. C'est une pièce remarquable du XIIIe siècle avec une voûte à arrêtes ogivales à croissillons lourds. L'ensemble est supporté par deux piliers trapus, avec des châpiteaux ornés de dessins géométriques, de style roman.

Elle comporte à l'Est trois ouvertures étroites et cintrées tandis qu'à l'Ouest en direction du cloître, une porte et deux arcades

Les moniales s'y réunissaient tous les jours pour lire un chapitre de la règle de Saint-Benoît et régler les problèmes de la communauté, ou encore recevoir des hôtes de marque, entendre des homélies.

Cloître des moniales

Il est fermé au Nord par l'église Sainte-Marie et à l'Est par la Salle Capitulaire; au Sud par la Cuisine et le Réfectoire (actuellement en cours de restauration), tandis qu'à l'Ouest il donne sur les ateliers, granges et étables. Trois galeries subsistent, donnant sur la cour autrefois vraisemblablement garnie d'une fontaine. Au siècle dernier fut planté en son centre un cèdre du Liban, abattu en 2010.

C'est la galerie septentrionale la mieux conservée, par laquelle se fait l'accès aux autres parties des bâtiments. Sur cette galerie se trouvent trois accès à l'église Sainte-Marie. Une porte toujours en service, une autre actuellement murée et transformée en placard et enfin un troisième accès donnant sur un escalier dans le mur qui menait à la tribune de l'église, démollit dans les années 1930.

Les galeries Est et Sud sont en cours de restauration. Celle de l'Ouest n'existe plus; elle fut comblée et plantée d'arbres. Sur ce mur, à droite de l'entrée une ouverture, devant être restaurée et qui servait à déposer des livres pieux, à disposition des moniales qui déambulaient en lisant des livres de prières, en méditant et priant à l'abri du vent du soleil ou de la pluie.

Le long de la galerie Nord, côté jardin, six baies à colonnettes géminées. La voûte en plein cintre est renforcée par des arcs doubleaux. Les colonnes qui supportent au Sud les arcs à doubleaux sont dites " à genoux".

En entrant dans le cloître, tout de suite à droite sur le mur touchant l'église se trouve une pierre portant la dédicace suivante:« Ici est enterrée une reine assurément bienheureuse car elle avait méprisé le monde que dans l'éternité elle repose. » Epitaphe dont l'origine est inconnue.

Logis du Prieur

Bâtisse du XVIIIe siècle, dans les jardins de l'Abbaye, transformé en hostellerie en 1945 ou vint le Général de Gaulle à trois reprises. Sera de nouveau un restaurant gastronomique et hostellerie de luxe à partir de 1998, avec 10 chambres, en location à Alain Ducasse

Bâtiments conventuels des moines

Ancien logis du Prieur

Aujourd'hui habitation privée. C'est un bâtiment du XIIIe siècle, faisant face à l'entrée principale de l'église de Sainte-Perpétue. Sur le mur une plaque rappelle aux visiteurs qu'ici vécut Marcel Cervin, Prieur du Monastère, élu Pape en 1555 sous le nom de Marcel II(1501-1555, il décéda 20 jours après.

Cloître des moines

Le Jardin

S'étendant sur trois hectares il fut entièrement restauré au XXe siècle à la demande du Conseil Général, par un paysagiste choisi par l'architecte en chef des monuments historiques: Francesco Flavigny. Il s'inspire de l'esprit provençal et a gardé les arbres bicentenaires du parc.

Inhumations

L'église renferme un sarcophage de la première moitié du XIIe. On l'attribue sans preuve à Gersende de Sabran, comtesse de Provence qui est pourtant entrée au monastère un siècle plus tard. Le sarcophage est classé au titre d'objet des Monuments historiques par arrêté du 7 juillet 2007[6] Il fut racheté par le Conseil Général du Var à un antiquaire parisien en 1999. Ce sarcophage qui provenait du cloître de l'abbaye avait été vendu en 1924.

  • 1224 - Guillemette de Blancas épouse de Geoffroy, dit " Gaufridet", vicomte de Marseille, demande dans son testament à être inhumée à La Celle[3].

Religieuses connues

  • Femme et fille de Pons de Léras, (1135, qui les place au Prieuré de Ste Perpétue près Brignoles, Var, qui dépendait, comme St Sauveur où il avait placé son fils, de l'Abbaye St Victor de Marseille[7].
  • 1385- 1410 ca- Sance et Philippine de Roquefeuil[3].
  • 1420 - Perpétue de Simiane et sa sœur, Marie de Simiane, toutes deux citées à cette date[8].
  • 1538 - Mademoiselle de Vintimille d'Ollioules
  • 1538 - Mademoiselle de Castellane de Dalmisue
  • S - D - Alasacie de Montpellier
  • S - D - Sancie de Signes
  • S - D - Cécile d'Évenos
  • S - D - Béatrice de Villeneuve
  • S - D - Louise de Castellane

Prieurs

(liste non exhaustive)

Abbés commandataires

Personnalités ayant séjourné à l'Abbaye

(liste chronologique, non exhaustive)

Bibliographie

  • Paulette L'Hermite-Leclercq, Le monachisme féminin dans la société de son temps, le monastère de La Celle (XIE - début du XVIe siècle), 1989
  • Yann Codou, Les église médiévales du Var, 2009
  • Raoul Bérenguier, Le Monastère Royal de La Celle, 1937
  • Jacques Dubois, Les Ordres Monastiques
  • Gérard Sivery, Marguerite de Provence
  • Georges Duby, L'Adolescence de la Chrétienté Occidentale
  • E. Lebrun, Essai historique sur la ville de Brignolles
  • Collectif, L'Histoire de la Provence
  • Bourrilly et Bousquet, La Provence au Moyen-Âge
  • G. Cornuez, La Celle et son ancienne abbaye royale, photographie de Robert. A. Callier, Imprimerie Brignolaises, 1993. 19. P.
  • Conseil Général du Var, Abbaye de La Celle 4 pages, photos L. Trouillas, conception Studio MCB, imp: Hemisud, 2010.
  • C. Dolan, Culture de guerre et violence au couvent:le tranfert du monastère de La Celle (1658-1660), in Revue d'Histoire de l'Eglise de France, éd Société d'Histoire religieuse de la France, vol n°:96, 2010.
  • M. Achard, Descriptions historiques...des villes...de la Provence, t.I. Aix,1787.
  • Dictionnaire des églises de France, R. Laffont, t.I-II D. 58.
  • R. H. Leclers, Dictionnaire d'archéologie chrétienne, t.VI, 1924.

Voir aussi

Sources complémentaires

  • Bibliothèque Méjanes, Aix, mss.343 à 352.

Ces manuscrits constituent l'essentiel du fonds de ce Monastère. Le n°:343 est l'inventaire des Archives, les n°s. 334&345 constituent le Cartulaire de l'Abbaye; le n°346: les Bulles; les n)s 347 & 348 les diplômes comtaux; divers actes dans les n°s: 350 à 352.

  • Bibliothèque de Carpentras mss, n°1861 folio 360 à 401.
  • Archives des Bouches-du-Rhône; collection Albanès XXVI F 8.
  • Archives des Bouches-du-Rhône fonds Nicolaï
  • Archives du Var; notaires de Brignoles 3 E 7. Minutes intéressant La Celle pour la fin du XIVe siècle, les XV et XVIe siècle.

Liens internes

Liens externes

Notes et références

  1. Notice no PA00081575, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  2. Abbé Magloire Giraud, dans sa notice sur les cours d'eau du Var
  3. a, b et c Généalogie de la Maison de Fos et des vicomtes de Marseille.
  4. AD du Var, E Dépôt 81/158, copie de transaction de 1311, (AC de Cabasse, ancienne côte 1-FF art 2).
  5. Jacques Paul Tournon, La Grande Dame de La Celle: Sylvia Fournier ou la Renaissance de l'Abbaye et de son Hostellerie, éd du Conseil Général du Var, 1900, 1999, 64. p.
  6. Notice no PM83001260, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  7. P. A. Verlaquet, Cartulaire de l'Abbaye de Silvanès, Rodez, 1910, n°:470; Chronique, Hugues Francigena (1161-1171).
  8. Anselme de Sainte-Marie & Ange de Sainte-Rosalie, Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France et des Pairs et Grands Officiers de la Couronne, 3e éd, Cie des Libraires Réunis, Paris, 1766, t.II. p. 244.
  9. AD du Var; 24 H 12. Autorisation de vendre un terrain au quartier de Fiassac et un autre au quartier du Pré du Château. 10 pièces paier, 1 cahier parchemin.


Références


Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Abbaye de La Celle de Wikipédia en français (auteurs)

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