- Vickers Wellington
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Vickers Wellington
Wellington B Mark IA. La structure géodesique est visible sur le hublot latéral.Constructeur Vickers-Armstrongs (Aircraft) Ltd. Rôle Bombardier moyen, Patrouilleur maritime Premier vol 15 juin 1936 Mise en service Octobre 1938 Date de retrait fin octobre 1945 Nombre construits 11 461 (de 1936 à 1945) Équipage 6 (1 pilote, 1 radio, 1 navigateur/bombardier , 1 observateur/mitrailleur avant, 1 mitrailleur arrière, 1 mitrailleur de sabord) Motorisation Moteur Bristol Pegasus Mark XVIII Nombre 2 Type radial Puissance unitaire 1 055 Dimensions Longueur 19,68 m Hauteur 5,33 m Surface alaire 69,7 m2 Masses À vide 8 417 kg Maximale 11 703 kg Performances Vitesse maximale 410 km/h Plafond 6 710 m Vitesse ascensionnelle 320 m/min Rayon d’action 3 540 km Charge alaire 168 kg/m2 Rapport poussée/poids 0,13 Armement Interne 6 à 8 mitrailleuses Browning 1919 de 7,7 mm (calibre .303 British) :
2 en tourelle avant
2 en sabord
2 ou 4 en tourelle de queue[1]Externe 2 040 kg de bombes en soute Avionique
Radar ASV Mark II (Sur la Version Coastal Command GR Mark XI & XIII )
Radar ASV Mark III (Sur la Version Coastal Command GR Mark XII & XIV)modifier Le Vickers Wellington est un bombardier bimoteur britannique conçu dans les années 1930. Il a été employé couramment pendant les deux premières années de la Seconde Guerre mondiale avant d'être remplacé par des bombardiers quadrimoteurs beaucoup plus grands, comme l'Avro Lancaster. Le Wellington a été appelé populairement "Wimpy" par le personnel de service d'après le personnage J.Wellington Wimpy de dessins animés de Popeye.
Sommaire
Développement
Le Wellington emploie une structure géodésique unique conçue par le célèbre Barnes Wallis pour le bombardier monomoteur Vickers Wellesley. Le fuselage est construit à partir de poutres à rainures, faites en alliage d'aluminium (duralumin) et qui forment un grand lacis. On fixe des baguettes en bois à la surface de l'alu que l'on recouvre de "textile irlandais" qui, recouvert de nombreuses couches d'enduit, constitue l'enveloppe extérieure de l'avion. C'est ce tressage en métal qui a donné à l'avion sa très grande résistance, car chaque stringer pouvait supporter le poids venant même de l'autre côté de l'avion. Même si les poutres de côté étaient arrachées, la structure de l'avion restait intacte. Des Wellingtons avec des fuselages très endommagés continuèrent à rentrer à la base contrairement à ce qui se serait passé pour d'autres types d'avions. L'effet le plus spectaculaire était lorsque l'enduit avait brûlé, mettant ainsi la structure à nu.
Cependant, le système de construction a également des inconvénients. Il ralentit considérablement la construction du Wellington, alors que d'autres conceptions utilisaient les techniques de construction monocoque. En outre, il n'est pas possible de percer des trous dans le fuselage pour fixer des montants additionnels d'accès ou d'équipement.
Néanmoins, vers la fin des années 1930, Vickers construit un Welington par jour à Weybridge et 50 par mois à Chester. La production maximale en temps de guerre en 1942 s'élevait à 70 Wellington par mois à Weybridge, 130 à Chester et 102 à Blackpool.
Le prototype K4049 conçu pour satisfaire la spécification ministérielle B.9/32, vola la première fois avec le Type 271 à Brookland le 15 juin 1936 avec comme pilote J. Summers. Après beaucoup de changements, l'avion est accepté le 15 août 1936 avec le nom de Wellington. Le premier modèle fut le Wellington Mk I, actionné par une paire de moteurs Bristol Pegasus de 780 kW, construit à 180 exemplaires dont 150 pour la Royal Air Force et 30 pour la Royal New Zealand Air Force (Armée de l'air de la Nouvelle-Zélande). Le Mk I entre la première fois en service avec le 9th squadron de la RAF en octobre 1938. À la déclaration de guerre, les escadrons de bombardiers lourds du Royal Air Force Bomber Command sont équipés de 183 Wellington Mk IA dont les tourelles ont été améliorées. Le Wellington fut surclassé par ses contemporains bimoteurs, le Handley Page Hampden et l'Armstrong Whitworth Whitley, mais il leur fut supérieur en longévité.
Service opérationnel
Le premier bombardement de la guerre par la RAF a été réalisé par des Wellington des 9th et 149th Squadron, avec aussi des Bristol Blenheims, le 4 septembre 1939 à Brunsbüttel en Allemagne. Les premiers avions à être descendus sur le front de l'Ouest, deux Wellington, le furent pendant cette mission. Il participa aussi au premier raid de nuit sur Berlin le 25 août 1940. Dans le premier raid de 1 000 bombardiers sur Cologne, le 30 mai 1942, 599 des 1 046 avions étaient des Wellington (dont 101 étaient pilotés par des équipages polonais).
Les Wellington du Bomber Command ont réalisé 47 409 missions, ont largué 41 823 tonnes de bombes et 1 332 d'entre eux ont été perdus.
En 1944, les Wellingtons du Coastal Command sont déployés en Grèce et participent à diverses missions de soutien pendant la participation de la RAF pendant la guerre civile grecque. Quelques Wellington ont été cédés à l'Armée de l'air grecque.
Variantes
Variantes Bomber Command
- Type 271
- Désignation du prototype du bombardier Wellington.
- Type 285 Wellington Mark I
- Désignation du prototype de pré-série. Motorisé avec deux Bristol Pegasus X.
- Type 290 Wellington Mark I
- Désignation de la première série de production. Équipé de deux moteurs à piston Bristol Pegasus XVIII de 1 000cv chacun. Armé de tourelles Vickers, 183 exemplaires construits dans les usines de Weybridge et de Chester.
- Type 408 Wellington Mark IA
- version de production construite à partir des spécifications B Mark II pouvant être équipé de moteurs Pegasus ou Rolls-Royce Merlin, bien qu'en pratique il ne fut installé que des moteurs Pegasus XVIII de 1 000cv[2]. La roue principale du train d'atterrissage fut déplacée de 8cm (3in) vers l'avant. Armé avec des tourelles Nash & Thomson. 187 construits à Weybridge et Chester.
- Type 416 Wellington Mark IC
- Désignation de la première variante de production basée sur la version Mark IA mais accueillant en plus deux mitrailleuses de sabord. La variante Mark IC possède un équipage de 6 personnes (pilote, opérateur radio, navigateur/bombardier, observateur/mitrailleur avant, mitrailleur arrière et mitrailleur de sabord). 2 685 exemplaires construits à Weybridge, Chester et Blackpool.
- Type 406 Wellington Mark II
- Motorisé avec des Rolls-Royce Merlin X de 1 145cv. 400 exemplaires construits à Weybridge.
- Type 417 Wellington B Mark III
- Équipé de moteurs Bristol Hercules III ou XI de 1 375cv et d'une tourelle arrière quadritube (au lieu d'une bitube). Cette version servit au sein du Bomber Command à partir de 1941. 1 517 exemplaires construits à Chester et Blackpool.
- Type 424 Wellington B Mark IV
- Motorisé avec des Pratt & Whitney Twin Wasp de 1 200cv et utilisé par la Polish Air Force. 220 exemplaires construits à Chester.
- Type 442 Wellington B Mark VI
- Pressurisé, avec une plus grande envergure et motorisé avec des Merlin R6SM de 1 600cv. 63 exemplaires furent construits et utilisés par le No. 109 Squadron RAF et pour l'entrainement au système GEE. 63 exemplaires construits à Weybridge.
- Type 440 Wellington B Mark X
- Variante la plus produite avec un total de 3 803 exemplaires. Similaire à la version Mark III exception faite des moteurs Hercules VI ou XVI de 1 675cv et de la structure en alliage au lieu d'être en acier. La version Mark X servit de base aux variantes destinées au Coastal Command. 3 803 exemplaires construits à Chester et Blackpool.
Variantes Coastal Command
- Type 429 Wellington GR Mark VIII
- Conversion de la variante bombardier Mark IC pour les missions du Coastal Command. Missions incluant reconnaissance, attaques anti-navire et anti-sous-marine. Un Wimpy du Coastal Command fut le premier appareil équipé du système de lutte ASM Leigh light. 307 exemplaires construits à Weybridge, dont 58 équipés du système Leigh light.
- Type 458 Wellington GR Mark XI
- Version maritime du B Mark X avec une tourelle avant ordinaire et un radar ASV Mark II (ASV pour Air to Surface Vessel) sans radôme avant, mitrailleuses de sabord supprimées, 180 exemplaires construits à Weybridge et Blackpool.
- Type 455 Wellington GR Mark XII
- Version maritime du B Mark X équipée avec des torpilles et un radôme avant abritant le radar ASV Mark III, tourelle avant avec une seule mitrailleuse, 58 exemplaires construits à Weybridge et Chester.
- Type 466 Wellington GR Mark XIII
- Version maritime du B Mark X avec une tourelle avant ordinaire et un radar ASV Mark II sans radôme avant, mitrailleuses de sabord supprimées, 844 exemplaires construits à Weybridge et Blackpool.
- Type 467 Wellington GR Mark XIV
- Version maritime du B Mark X avec un radôme avant abritant le radar ASV Mark III et équipé de racks de roquettes RP-3 sous les ailes, 841 exemplaires construits à Weybridge, Chester et Blackpool.
Variantes de Transport
- Wellington C Mark XV
- Conversion du Wellington Mark IA en avion de transport désarmé, avec une capacité d'emport de 18 personnes.
- Wellington C Mark XVI
- Conversion du Wellington Mark IC en avion de transport désarmé, avec une capacité d'emport de 18 personnes.
Variantes d'entrainement
- Type 487 Wellington T Mark XVII
- Conversion du Bombardier Wellington Mark XVII en avion d'entrainement avec un radar d'interception. Motorisé avec des Bristol Hercules XVII.
- Type 490 Wellington T Mark XVIII
- Version de production. Motorisé avec des Bristol Hercules XVI. 80 construits à Blackpool, plus quelques conversions.
- Wellington T Mark XIX
- Conversion du Wellington Mark X utilisé pour l'entrainement à la navigation. Reste en service pour l'entrainement jusqu'en 1953.
- Type 619 Wellington T Mark X
- Conversion d'après-guerre du bombardier Wellington Mark X en avion d'entrainement par la firme Boulton Paul à Wolverhampton[3]. Pour les entrainements à la navigation la tourelle avant fut retirée et remplacée par un carénage et l'intérieur ré-équipé[3]. Plusieurs furent vendus à la France et à la Gréce.
Variantes expérimentales & de conversion
- Type 298 Wellington Mark II prototype
- Désignation pour un Wellington n° de série L4250. Équipé avec deux moteurs à piston en ligne Rolls-Royce Merlin de 1 145cv.
- Type 299 Wellington Mark III prototype.
- Deux exemplaires.
- Type 410 Wellington Mark IV prototype.
- N° de série R1220. Équipé avec des moteurs à piston en étoile Pratt & Whitney Twin Wasp.
- Type 416 Wellington (II)
- Prototype original du Wellington II converti avec un canon Vickers S de 40mm en position dorsale.
- Type 418 Wellington DWI Mark I
- Désignation de quatre Wellington Mark IA convertis pour le dragage des mines marines à déclenchement magnétique. Ces avions étaient équipés avec un moteur thermique Ford V-8 et un générateur électrique Maudsley pour générer un champ magnétique dans un anneau de métal de 14,63 mètres de diamètre monté sous le fuselage. Ils possédaient de plus un "nez" solide avec des points d'attaches pour l'anneau sous le nez, la queue, les ailes et le côté des nacelles moteurs. Cette variante DWI était présentée comme un projet d'installation directionnelle sans fil, qui était une couverture pour le vrai emploi de .
- Type 419 Wellington DWI Mark II
- DWI Mark I amélioré avec une installation d'un moteur De Havilland Gipsy pour augmenter la puissance du générateur. Au moins 11 appareils furent convertis dans cette version[4].
- Type 407 et Type 421 Wellington Mark V
- Respectivement le premier et le second prototype : trois furent construits, pour des missions en haute altitude avec une cabine pressurisée et des moteurs turbocompressés Hercules VIII.
- Wellington Mark VI
- Désignation pour un prototype d'appareil pour les vols en haute altitude.
- Type 449 Wellington Mark VIG
- Version de production du Type 431. Deux exemplaires seulement.
- Wellington Mark VII
- Désignation pour un appareil construit pour servir de banc de test pour une tourelle équipée avec un canon Vickers S de 40mm.
- Type 435 Wellington Mark IC
- Conversion d'un Wellington équipé du système Turbinlite.
- Type 437 Wellington Mark IX
- Conversion d'un Mark IC en transport de troupes.
- Type 439 Wellington Mark II
- Conversion d'un Mark II pour être équipé d'une tourelle avant abritant un canon Vickers S de 40mm.
- Type 443 Wellington Mark V
- Désignation pour un appareil construit pour servir de banc de test pour les moteurs Bristol Hercules VIII.
- Type 445 Wellington (I)
- Désignation pour un appareil construit pour servir de banc de test pour un turboréacteur Whittle W2B/23, ce réacteur étant installé dans la queue de l'appareil.
- Type 454 and Type 459 Wellington Mark IX
- Prototypes avec des radars ASV Mark II, ASV Mark III, et équipés avec des moteurs en étoile Bristol Hercules VI et XVI.
- Type 470 and Type 486 Wellington
- Désignation pour deux Wellington Mark II équipés respectivement avec un turboréacteur Whittle W2B et W2/700.
- Type 478 Wellington Mark X
- Désignation pour un appareil construit pour servir de banc de test pour le moteur Bristol Hercules 100.
- Type 602 Wellington Mark X
- Désignation d'un Wellington équipé de deux turbopropulseurs Rolls-Royce Dart.
- Wellington Mark III
- Désignation d'un Wellington utilisé pour le remorquage de cible ou de planeurs Hadrian, Hotspur et Horsa.
Utilisateurs
- Royal Australian Air Force
- No. 458 Squadron RAAF Code lettres "FU"
- No. 460 Squadron RAAF Code lettres "UV" et "AR"
- No. 466 Squadron RAAF Code lettres "HD"
- Royal Canadian Air Force
- No. 405 Squadron RCAF 'Vancouver Squadron' Code lettres "LQ"
- No. 419 Squadron RCAF 'Moose Squadron' Code lettres "VR"
- No. 420 Squadron RCAF 'Snowy Owl Squadron' Code lettres "PT"
- No. 424 Squadron RCAF 'Tiger Squadron' Code lettres "QB"
- No. 425 Squadron RCAF 'Alouette Squadron' Code lettres "KW"
- No. 426 Squadron RCAF 'Thunderbird Squadron' Code lettres "OW"
- No. 427 Squadron RCAF 'Lion Squadron' Code lettres "ZL"
- No. 428 Squadron RCAF 'Ghost Squadron' Code lettres "NA"
- No. 429 Squadron RCAF 'Bison Squadron' Code lettres "AL"
- No. 432 Squadron RCAF 'Leaside Squadron' Code lettres "QO"
- Czechoslovakian Air Force en exil en Grande-Bretagne
- No. 311 (Czecho-Slovak) Squadron Code lettres "KX"
- Forces aériennes françaises libres
- Aviation navale (Après-guerre)
- Luftwaffe (capturé)
- Hellenic Air Force (Après-guerre)
- Royal New Zealand Air Force
- No. 75 (New Zealand) Squadron Code lettres "AA"
- Polish Air Forces en exil en Grande-Bretagne
- No. 300 Polish Bomber Squadron "Ziemi Mazowieckiej" Code lettres "BH"
- No. 301 Polish Bomber Squadron "Ziemi Pomorskiej" Code lettres "GR"
- No. 304 Polish Bomber Squadron "Ziemi Śląskiej im. Ks. Józefa Poniatowskiego" Code lettres "NZ"
- No. 305 Polish Bomber Squadron "Ziemi Wielkopolskiej im. Marszałka Józefa Piłsudskiego" Code lettres "SM"
- Royal Air Force
- No. 7 Squadron RAF
- No. 9 Squadron RAF
- No. 12 Squadron RAF
- No. 15 Squadron RAF
- No. 37 Squadron RAF
- No. 38 Squadron RAF
- No. 40 Squadron RAF
- No. 57 Squadron RAF
- No. 70 Squadron RAF
- No. 99 Squadron RAF
- No. 196 Squadron RAF Code lettres "ZO"
- No. 221 Squadron RAF
- Fleet Air Arm
Survivants
Il n'existe plus à ce jour que deux exemplaires complets de Vickers Wellingtons; tous les deux sont exposés dans des musées en Grande-Bretagne[3]. Il existe aussi cependant beaucoup d'épaves plus ou moins complètes[3].
- Wellington Mark IA N° de série N2980 est exposé au musée de Brooklands au sud de Weybridge (Comté de Surrey, GB). Cet appareil se crasha en 1940 dans le Loch Ness lors d'un vol d'entrainement suite à des problèmes moteurs. Tous les aviateurs survécurent, mis à part le mitrailleur arrière qui se tua quand son parachute ne s'ouvrit pas. L'appareil fut redécouvert par hasard au fond du Loch en septembre 1985 et restauré pour être exposé, avec les hélices endommagées en hommage au mitrailleur disparu[5],[6].
- Wellington T Mark X N° de série MF628 exposé au Royal Air Force Museum[7], de Londres. Il fut livré à l'unité RAF No.18 MU (MU pour Maintenance Unit) de RAF Tinwald Downs, Dumfries, sous la désignation Wellington Mark X, le 11 mai 1944[3]. En mars 1948 la tourelle frontale fut retirée lors de la conversion en variante T du Mark X pour servir en tant qu'appareil d'entrainement; Cependant, le musée réinstalla la tourelle pour retrouver la configuration initiale de variante Mark X[3],[7],[8].
Voir aussi
- Développement lié
- Avions similaires
Notes
- La tourelle quadritube est seulement présente sur la version Mark III
- (en) C. F. Andrews, The Vickers Wellington I & II, vol. 6, Profile Publications, 1970, p. 44–56
- Vickers Wellington X MF628/9210M: Museum Accession Number 69/A/17, Royal Air Force Museum Retrieved: 13 January 2008.
- "Pewter Aircraft Wellington DWI page." Pewter Aircraft. Retrieved: 14 January 2008.
- "Environmental Impact - Crashed Planes." World War Two in the Highlands. Retrieved: 14 January 2008.
- The Wellington Bomber, Loch Ness & Morar Project. Consulté le 14 January 2008
- "Vickers Wellington X." Royal Air Force Museum. Retrieved: 13 January 2008.
- Histoire du Wellington N2980 exposé au Brooklands Museum
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Vickers Wellington » (voir la liste des auteurs)
- Andrews, C.F. The Vickers Wellington I & II (Aircraft in Profile 125). Leatherhead, Surrey: Profile Publications Ltd., 1967. No ISBN.
- Andrews, C.F and Morgan, E.B. Vickers Aircraft since 1908. London:Putnam, 1988. ISBN 0 85177 815 1.
- Bowman, Martin. Wellington, The Geodetic Giant. Shrewsbury, UK: Airlife Publishing Ltd., 1989. ISBN 1-85310-076-5.
- Bowyer, Chaz. Wellington at War. Shepperton, Surrey: Ian Allan Ltd., 1982. ISBN 0-7110-1220-2.
- Bowyer, Chaz. Wellington Bomber. London: William Kimber & Co Ltd., 1986. ISBN 0-7183-0619-8.
- Cooksley, Peter G. Wellington, Mainstay of Bomber Command. Wellingborough, Northhamptonshire: Patrick Stephens Ltd., 1987. ISBN 0-85059-851-6.
- Crosby, Francis. The World Encyclopedia of Bombers. London: Anness Publishing Ltd., 2007. ISBN 1-84477-511-9.
- Delve, Ken. Vickers Armstrong Wellington. Ramsbury, Wiltshire, UK: The Crowood Press Ltd., 1998. ISBN 1-86126-109-8.
- Flintham, V. Air Wars and Aircraft: A Detailed Record of Air Combat, 1945 to the Present. Facts on File. (1990) ISBN 0-8160-2356-5.
- Gilman J.D. and J. Clive. KG 200. London: Pan Books Ltd., 1978. ISBN 0-85177-819-4.</ref>
- Hall, Alan W. Vickers Wellington, Warpaint Series No. 10. Husborne Crawley, Berfordshire: Hall Park Books Ltd., 1997. No ISBN.
- Lihou, Maurice. Out of the Italian Night: Wellington Bomber Operations 1944-45. Shrewsbury, UK: Airlife Publishing Ltd., 2003. ISBN 1-84037-405-5.
- Lumsden, Alec. Wellington Special. Shepperton, Surrey: Ian Allan Ltd., 1974. ISBN 0-7110-0527-3.
- Mackay, Ron. Wellington in Action, Aircraft Number 76. Carrollton, TX: Squadron/Signal Publications, Inc., 1986. ISBN 0-89747-183-0.
- Murray, Dr. Iain ''Bouncing-Bomb Man: The Science of Sir Barnes Wallis''. Haynes. ISBN 978-1-84425-588-7.
- Ovčáčík, Michal and Susa, Karel. Vickers-Armstrongs Wellington Medium Bomber variants. Prague, Czech Republic: 4+ Publications, 2003. ISBN 80-902559-7-3.
Liens externes
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