Société française des urbanistes

Société française des urbanistes
Société française des urbanistes
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Contexte général
Champs d’action Urbanisme
Zone d’influence France
Fiche d’identité
Forme juridique Association loi de 1901
Fondation 1911
Siège central Paris
Président(e) Christian Luyton
Secrétaire
général(e)
Anne Michèle Donnet
Trésorier/ière Régis Dumay
Site web www.urbanistes.com

Il n'y a pas de technique sans techniciens et sans formation desdits techniciens. Avec la naissance de l'urbanisme à la fin du XIXe siècle, pour faire face au développement anarchique des villes induit par l'industrialisation, apparaît aussi la formation d'un nouveau métier, celui des urbanistes, distinct de celui des hygiénistes, des ingénieurs, des architectes, des paysagistes... S'ouvre aussi un champ disciplinaire nouveau avec ses problématiques et ses méthodes qui va susciter la mise en place de formations nouvelles et aussi de réflexions et de recherches. Il s'agit de dépasser les expériences empiriques comme celle du phalanstère de Charles Fourier, du familistère de Godin à Guise, de la Cité de Mulhouse avec Dollfus, les Salines d'Arc-et-Senans avec Nicolas Ledoux, le Val des Bois avec Léon Harmel...

La Société Française des Urbanistes (en abrégé, SFU) fête en 2011 ses 100 ans. C'est la première association professionnelle d'une profession qui émerge au tout début du XXe siècle pour faire face aux enjeux induits par le développement souvent anarchique des villes en Occident, sous les effets de l'industrialisation qui nécessite un apport de main-d'œuvre nouveau et important. Cependant et dès l'origine la SFU est bien plus qu'une association professionnelle et ses membres vont prendre une part active, notamment, à la création des premières lois d'urbanisme en France et aussi à la reconstruction après la Première Guerre mondiale de 1914-1918.

Sommaire

Naissance de la Société française des urbanistes

La Société Française des Architectes Ubanistes a été créée en 1911. Elle est, pour une large part, une émanation du Musée Social fondé en 1894 par le Comte de Chambrun et Émile Cheysson, le secrétaire et ami de Frédéric Le Play, ingénieur, sociologue et théoricien de la Paix Sociale[1]. Le Musée Social poursuit l'œuvre de F. Le Play qui fut le commissaire de la Section d'Economie Sociale des Expositions universelles en France à partir de 1856. Le Musée Social va regrouper notamment quatre mouvements impliqués dans le "patronage" dans la réflexion pour améliorer le sort des ouvriers : les protestants libéraux avec notamment Dollfus (création de la Cité de Mulhouse), son gendre Jules Siegfried..., les catholiques sociaux avec Albert de Mun, l'abbé Jules Lemire, De Voguë…, les radicaux avec Henri Sellier et les francs-maçons (Léon Bourgeois, Dollfus, Paul Doumer...). Il regroupe des industriels qui ont innové en matière d'économie sociale : Dollfus, Mame..., des médecins hygiénistes comme Portevin, Landouzy..., des hommes politiques dont Jules Simon, Raymond Poincaré, Paul Marchandeau, Léon Bourgeois, Henri Sellier, Alexandre Ribot..., des ingénieurs, des juristes, des architectes, des économistes dont Léon Say… et un militaire, Hubert Lyautey, disciple d'Albert de Mun, tous décidés à mettre en œuvre la réforme sociale pour faire barrage à la révolution.

Le 10 mars 1914 la Société Française des Architectes Urbanistes est enregistrée au Bureau des Associations de la Préfecture de Police (Président Eugène Hénard, Secrétaire Général Donat Alfred Agache). L'association a pour objet de « réunir une documentation technique, de nouer et d'entretenir des relations avec les groupements similaires à l'étranger, de centraliser les vœux émis dans les derniers congrès urbains et d'en étudier la réalisation pratique, de participer aux expositions qui auront lieu tant en France qu'à l'étranger, de se tenir à disposition des intéressés pour toute consultation. »

L'influence d'Ebenezer Howard

Suite à une mission en Afrique du Nord, Forestier s'entretient avec Georges Risler de l'action de Lyautey, alors gouverneur général du Maroc, qui crée de nouvelles villes, et aussi du besoin de techniciens spécialisés pour cet art nouveau. Georges Risler contacte alors Henri Prost, ancien condisciple de Tony Garnier à la villa Médicis, et fonde la Société Française des Architectes Urbanistes qui deviendra en 1919 la Société Française des Urbanistes. Parmi les fondateurs de la SFAU, nous trouvons Agache, Forestier, Hébrard, Jaussely[2]... On y trouve aussi Marcel Auburtin, Henri Prost, Jules Siegfried, Gaston Bardet, Marcel Poëte… Le premier secrétaire de la SFAU est Georges Benoît-Lévy qui a déjà créé en 1903 l'Association des Cités-Jardins. Il a importé en France et traduit les réflexions de l'Anglais Ebenezer Howard qui cherchait une alternative à l'extension des faubourgs miséreux de Londres dans une perspective de Paix Sociale tout comme Frédéric Le Play. Howard a créé en juin 1899, l'Association des Cités-Jardins, connue aujourd'hui sous le nom de Town and Country Planning Association, qui donnera naissance à l'Association Internationale des Cités-Jardins et de la planification urbaine. Howard mène une réflexion pour la mise en place d'une véritable planification urbaine[3] à laquelle il entendra donner une dimension large voire universelle. Très lié au mouvement Espéranto, il faisait souvent ses conférences en cette langue[4]. Georges Charbonneaux, industriel rémois, fondateur de la première cité-jardin en France, la QCité du Chemin Vert, emmènera une délégation visiter en 1912 la toute nouvelle ville de Letchworth qu'Howard a fait édifier selon ses principes. Il y aura manifestement un lien entre d'une part un « modèle » - celui de la cité-jardin - et l'établissement d'une "règle" - la planification urbaine, pour reprendre la relation établie par Françoise Choay entre la règle et le modèle en urbanisme[5].

La SFU, une émanation du Musée Social

Le siège social d'origine de la SFU est le même que celui du Musée Social, 5, rue Las Cases à Paris. C'est au sein même du Musée Social que naîtront les premières lois d'urbanisme après la première guerre mondiale et dites lois Cornudet de 1919 et 1924. Marcel Auburtin, président de la SFU en 1923, va créer à Reims, la première cité-jardin, la cité du Chemin Vert, à l'initiative de l'industriel verrier rémois Georges Charbonneaux inspirée directement de la réalisation d'Howard. En 1932, la SFU crée avec Henri Prost la première revue d'urbanisme en France et qui a pour titre Urbanisme et dans laquelle Gaston Montsarrat, directeur honoraire du Ministère de l'Intérieur, dresse le portrait idéal de l'urbaniste.

La Première Guerre mondiale détruit une large part des villes du Nord de la France dont Reims. C'est sous l'impulsion des membres du Musée Social et de la SFU que s'est constituée La Renaissance des cités financée par la fondation Rockefeller pour reconstruire les villes détruites selon les principes nouveaux qui ont émergé depuis la seconde moitié du XIXe siècle pour trouver des solutions pérennes et humaines à l'extension des faubourgs ouvriers insalubres en périphérie des agglomérations. Le premier plan issu de tout ce processus sera, symboliquement, celui de la ville de Reims après un concours international auquel participeront bon nombre des membres de la SFU et du Musée Social.

La formation des premiers urbanistes

Pour former à ce nouveau métier de l'urbanisme, des membres de la SFU et du Musée Social créent avec Marcel Poëte et Henri Sellier en 1919 l'École des Hautes Etudes Urbaines (26 rue de Sévigné à Paris). Cette école deviendra en 1924 l'Institut d'Urbanisme de l'Université de Paris, aujourd'hui relocalisé à Créteil (Institut d'urbanisme de Créteil). Parmi les premiers professeurs, on trouve Léon Jaussely et Marcel Poëte. La création de la SFU est l'aboutissement d'une réflexion sur un nouveau modèle de ville, la cité-jardin, et aussi sur une réglementation permettant de le mettre en œuvre, mise en œuvre qui va bénéficier autant de la poursuite du développement des villes que des destructions de la guerre 14-18[6].

Le métier d'urbaniste

Le métier d'urbaniste, tel qu'il existe depuis le XXe siècle, est issu de la nécessité politique, économique, sanitaire et sociale de trouver une solution aux habitats insalubres des ouvriers qui viennent travailler en ville, du fait des besoins de l'industrialisation dès le milieu du XIXe siècle. Il faut pour cela dépasser la seule question du logement et appréhender dans son ensemble les conditions de vie des ouvriers en se préoccupant aussi de leur santé, de leur culture, de leurs loisirs voire de leur moralité. La ville ou les nouveaux quartiers sont alors abordés globalement.

Pour approcher la ville dans sa complexité et non plus du point de vue esthétique (plan d'embellissement des villes) ou fonctionnel (Cf. Haussmann et le contrôle policier des faubourgs ouvriers prompts à la rébellion), il faut alors une approche pluridisciplinaire qui va regrouper dès le départ, au sein même de la SFU, des hygiénistes (médecins), des ingénieurs, des architectes, des sociologues de terrain de l'école leplaysienne, des juristes et des paysagistes. L'approche pluridisciplinaire reste l'une des caractéristiques des formations aux métiers de l'urbanisme depuis cette époque, que ce soit en Instituts spécialisés comme en Université.

Contrairement aux architectes ou aux médecins, le titre d'urbaniste n'est pas protégé par un Ordre instauré par le Maréchal Pétain. Toutefois, afin de garantir un certain niveau de formation, d'expérience et d'éthique, a été mise en place une reconnaissance professionnelle par la profession elle-même avec l'OPQU[7], l'office professionnel de qualification des urbanistes, qui regroupe l'ensemble des associations professionnelles d'urbanistes en France qu'ils soient fonctionnaires, salariés ou libéraux. Aujourd'hui, les urbanistes ont intégré les préoccupations environnementales depuis la création du CESA de Tours et l'IATEUR de Reims au début des années 1970. Une approche environnementale de l'urbanisme (A.E.U.) a été développée par l'ADEME depuis près de dix ans. Cette préoccupation "environnementale" était déjà présente à la fois dans l'approche développée par Howard et aussi grâce aux paysagistes comme Redont et Forestier qui participèrent à la création de la SFU.

La mission confiée à l'urbaniste (généralement une équipe pluridisciplinaire)[8] va des études stratégiques de développement des villes et des territoires (SCOT, projet urbain,…) jusqu'à la mise en œuvre opérationnelle (ZAC, lotissements, aménagement de centre ville, zones d'activités, zones de loisirs…) en passant par la programmation et la planification (projet urbain, PLU, ZPPAUP,…). Rares sont les villes nouvelles créées ex nihilo comme au temps de Lyautey et de la colonisation. Ces missions sont distinctes de celles de la conception et de la réalisation des bâtiments (architectes), d'espaces verts et de parcs (paysagistes), de rues et d'infrastructures (ingénieurs)… L'urbaniste a toujours une approche globale qui remet le projet ou l'opération dans une perspective/prospective souvent déterminée par les élus ou les donneurs d'ordre et en amont de l'acte de construire ou d'aménager. Il développe une méthodologie particulière qui prend en compte à la fois la complexité des systèmes urbains et des territoires, mais aussi des hommes et de leurs activités. Le but des premiers urbanistes était de contribuer concrètement à la Paix sociale. La ville n'est donc pas qu'un ensemble de fonctions ; c'est aussi un projet commun censé regrouper l'ensemble des habitants d'un territoire, que ce projet soit ou non explicité. L'urbaniste est aussi censé prendre en compte les aspects historiques, patrimoniaux voire symboliques des éléments qui composent une ville ou un territoire.

La profession

Le mode d'exercice de la profession est divers : au sein des administrations de l'État (Urbanistes de l'État), des collectivités locales depuis les lois de décentralisation des années 1980, au sein d'Agences d'urbanisme créées par les collectivités locales et regroupées au sein de la FNAU, de CAUE (Conseil départementaux d'architecture, d'urbanisme et d'environnement), en Agences d'urbanisme privées regroupant souvent plusieurs disciplines (urbanisme, paysage, environnement, ingénierie des travaux publics, ingénierie des déplacements, économie, sociologie, histoire, design et art urbain…), dans des sociétés publiques ou privées d'aménagement et en libéral, soit à titre principal soit à titre accessoire (notamment pour les architectes et les paysagistes).

L'action de la Société française des urbanistes

La SFU mena, dans la période entre les deux guerres, une action de propagande très importante en faveur de l'Urbanisme, auprès des administrations et vis-à-vis de l'opinion publique. En 1923, la SFU organise à Strasbourg le Congrès International de l'Urbanisme et d'Hygiène Municipale. Il y a parmi les membres de ce congrès de nombreux élus français (dont Herriot, Sellier, Bourgeois, Cornudet) et étrangers. On compte aussi de hauts fonctionnaires, des techniciens, des architectes, des urbanistes… et le Maréchal Lyautey.

Donat Alfred Agache, Secrétaire Général de la SFU, est alors un de ceux qui tentent une approche doctrinale de l'Urbanisme. Lors du Congrès SFU de 1923, il intervient sur la question des plans de ville de cette façon : "Le Plan (de ville) est une œuvre d'ensemble qui a pour but de fournir les directives générales permettant de modeler la ville au fur et à mesure de son développement. Cette œuvre d'ensemble [...] a besoin d'être étudiée en fonction de données anthropogéographiques, économiques et sociales bien définies" (Congrès SFU de Strasbourg 1923). Plus tard, en 1932, Donat Alfred Agache précisait sa pensée ainsi : "L'Urbanisme - nous l'avons souvent dit dans nos conférences - est à la fois une science, un art et une philosophie. Une science car il procède de l'étude méthodique des faits. Il faut avoir étudié les villes du passé, leurs caractéristiques, leur formation… Il s'agit ensuite de rechercher les causes de développement ou de malaise et enfin, après un travail précis d'analyse, il faut, dans une synthèse générale, prévoir les améliorations nécessaires pour le développement futur de la cité. Observation, classification, analyse et synthèse : voilà bien ce qui caractérise l'étude scientifique." [...] "Mais, si la science suffisait à résoudre l'Aménagement des villes, cette urbanisation se réduirait sans doute à un certain nombre de formules. Il n'en est pas ainsi. L'Urbanisme constitue également un art, car l'intuition, l'imagination et la composition jouent un rôle important dans son application : l'urbaniste doit traduire en proportions, en volumes, en perspectives, en silhouettes, les différentes propositions suggérées par les ingénieurs, les économistes, les hygiénistes et les financiers." [...] "L'Urbanisme est aussi du domaine de la philosophie sociale. La ville, en effet, cherche à réaliser plastiquement le cadre adéquat à l'existence d'une collectivité organisée ; son rôle est de grouper autour du citadin tout ce que l'organisation et le confort moderne ont inventé pour sa commodité, ceci en diminuant les frais généraux de cette existence en voisinage immédiat[9]."

De 1932 à 1944, les manifestations de la SFU se veulent plus pédagogiques. On veut aborder, sensibiliser le grand public. C'est le moment des salons et des expositions. À l'occasion de ces salons, où se trouvent exposés des Projets d'Aménagement, on tente de faire apparaître "les aspects techniques, sociaux et esthétiques considérés dans leur rapports mutuels et dans leur rapport avec l'ensemble de la Ville et de la Région" (5e Salon des Urbanistes, section des Beaux Arts au Grand Palais, 1936). Il y a, en outre, des cycles de conférences publiques[10].

Fondateurs

Références

  1. François-Xavier Tassel, La reconstruction de Reims après 1918, illustration de la naissance d'un urbanisme d'Etat, thèse de doctorat, Université de Paris VIII, 1987
  2. Gaston Bardet, in Revue Urbanisme n° 28, Paris, 1934, Naissance de l'urbanisme
  3. Ebenezer Howard and the Town Planning Movement, Dugald Macfadyen, Manchester University Press, 1933
  4. ↑ "The creation of Esperanto Association of Britain" [archive]
  5. Françoise Choay, La Règle et le Modèle : Sur la théorie de l'architecture et de l'urbanisme, Seuil, Paris, 1980
  6. François-Xavier Tassel, La reconstruction de Reims après 1918, illustration de la naissance d'un urbanisme d'État, thèse de doctorat, Université de Paris VIII, 1987
  7. www.opqu.org
  8. http://www.opqu.org/pdf/opqu_referentiel_urba_204.pdf
  9. La remodélation d'une capitale 1932 in 323 citations sur l'Urbanisme de Auzelle, Gohier, Vetter, Paris
  10. http://www.urbanistes.com/page-4.html

Voir aussi

Bibliographie

  • François-Xavier Tassel, La reconstruction de Reims après 1918, illustration de la naissance d'un urbanisme d'Etat, thèse de doctorat, Université de Paris VIII, 1987
  • Jean-Pierre Gaudin, L'avenir en plan, technique et politique dans la prévision urbaine - 1900-1930, Seyssel, Ed. Champ Vallon, 1985
  • William Ashworth, The Genesis of modern British town planning, Londres, Routledge & Paul, 1954
  • A. Briggeman, « Le développement de l'urbanisme en France depuis la guerre », in Annales de la Régie directe, n° 178-180, Paris, 1924
  • Antoine Savoye, Frédéric Le Play : Parcours, audience, héritage, Paris, PressesENSMP (École des Mines), 2007

Liens externes


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