- Ploubalay
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Ploubalay
Église de Ploubalay
DétailAdministration Pays France Région Bretagne Département Côtes-d'Armor Arrondissement Dinan Canton Ploubalay (chef-lieu) Code commune 22209 Code postal 22650 Maire
Mandat en coursMarie Annick Guguen
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Côte d'Émeraude Site web Site officiel de la mairie de Ploubalay Démographie Population 2 557 hab. (2007[1]) Densité 72 hab./km² Aire urbaine 17 287 hab. () Gentilé Ploubalaysien, Ploubalaysienne Géographie Coordonnées Altitudes mini. 2 m — maxi. 77 m Superficie 35,45 km2 Ploubalay ( Plouvalae en breton, Ploubala (prononcé [plubalɑ] en gallo) est une commune, chef-lieu de canton du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.
Sommaire
Géographie
Situation
Siutée dans le Nord-Est des Côtes-d'Armor, Ploubalay est une commune de bord de mer, mais qui a la particularité de ne pas avoir de plage.
Elle est entourée par les communes de Lancieux, Trégon, Créhen, Languenan et Pleslin-Trigavou dans les Côtes-d'Armor ; et de Pleurtuit dans l'Ille-et-Vilaine.
La commune du Plessix-Balisson est une particularité géographique puisqu'elle est totalement enclavée dans Ploubalay. On ne peut y accéder que par des routes de campagne entretenues par la commune de Ploubalay.
Ploubalay dispose d'une centaine de kilomètres de routes[réf. nécessaire].
La commune a acquis le surnom de « carrefour des plages » du fait de sa situation géographique. En effet, le bourg est traversé par la route départementale D2 reliant Dinan à la côte, et la route D786 reliant Plancoët à Dinard.
Le bourg est bordé à l'Est par le Floubalay, un cours d'eau indépendant de la Rance ou du Frémur, au delà duquel toute construction est interdite.
La route D768 en direction de Plancoët délimite un espace nommé « les polders. » La mer montait en effet jusqu'au milieu du bourg actuel, dans les zones marécageuses où se trouvent les lotissements de la Prée Neuve et le nouveau centre commercial. La digue qui fut construite (référence nécessaire) permit de stopper la propagation de la mer lors des marées d'équinoxe. Ceci produisit un envasement qui priva définitivement la commune de plage.
Communes limitrophes
Toponymie
Le nom de la ville de Ploubalay est d'origine brittonique. Plou signifie « la Paroisse » et Balae est le saint Fondateur de la paroisse de la ville, personnage mystérieux peut-être disciple de saint Guénolé. La forme gallo ne présente pas la mutation de /b/ > /v/ caractéristique du celtique insulaire, par contre c'est le cas dans Lanvallay, composé avec le même nom de saint. C'est l'indice d'un recul plus précoce du breton dans cette région.
Histoire
La paroisse de Ploubalay était rattaché sous l'ancien régime au diocèse de Saint-Malo. La première élection municipale se déroula en 1790.
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes des Côtes-d'Armor.Blasonnement D'argent à la bande de gueules chargée de trois mâcles d'or et surmontée d'un lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or.Blason de la famille du Plessix de Grenédan
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1941 1983 Ernest Rouxel Progrès et démocratie moderne - 1983 1995 Jean Cochet Divers droite - 1995 2008 Henri Derouin Sympathisant PS - 2008 - Marie-Annick Guguen PS - Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelage
Ploubalay est jumelée avec la ville de Boreham, Essex (comté) ( Royaume-Uni) depuis 1987.
Démographie
Évolution démographique 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2 150 2 217 2 292 2 334 2 385 2 488 2 557 Économie
- Hôtel : 1 /
- Grandes surfaces généralistes (supermarchés) : 2 /
- Distribution spécialisée (meuble, bricolage, jardinage...) : 1 /
- Grandes et moyennes surfaces de discount : 1 /
- Alimentations, épiceries : 1 /
- Boucheries, charcuteries, traiteurs : 4 (+ supermarché) /
- Poissonneries : 3 (+ supermarché) /
- Boulangeries, pâtisseries : 5 (+ supermarché) /
- Presse, fournitures scolaires et de bureau : 3 (+ supermarché) /
- Mode, habillement, chaussures : 2 (+ supermarché) /
- Banques, assurances : 4 /
- Bars, tabac : 4 /
- Restaurants : 3 /
- Coiffure, hygiène, esthétique : 4 /
- Matériel informatique (vente, entretien) : 1 /
- Auto-école : 2 /
- Art de la table, cadeaux : 1 /
- Bijouterie, horlogerie : 1 /
- Automobile (vente, entretien) : 2 /
- Moto, cycles, motoculture (vente, entretien) : 1 /
- Carburants : 3 (+ supermarché) /
- Vins et spiritueux : 1 /
- Pharmacie, Optique : 1 /
- Médecine de ville, paramédical, vétérinaire : 5 /
- Photo, vidéo (vente de matériel, développement photo) : 1 /
- Radio-télévision, électroménager : 1 /
- Cordonnerie, pressing, sellerie : 1 /
- Fleurs, pépiniéristes : 4 /
- Immobilier, architecture, travail temporaire : 4 /
- Pompes funèbres : 2 /
- Boutique souvenirs "Bretagne" : 2 /
- Tatoueur : 1 /
Marché le Vendredi matin sur la place de l'Église.
Monuments et lieux touristiques
Constructions anciennes remarquables
Château de la Mallerie
Bâti sur les ruines d'un château du XVe siècle, ce manoir présente un aspect proche des malouinières, bien que n'ayant jamais été habité par des armateurs bretons. Ce style, développé par l'architecte Garengeau, se distingue par la parfaite symétrie des deux façades principales en retrait ou en avancé, par des petits pavillons situés sur les côtés et par le fait que la partie verticale du château est égale à la hauteur du toit. Le château est acheté en 1787 par Me Toussaint Briot, devenu par la suite Toussaint de La Mallerie. Il transforme le château en centre de recrutement pour le complot royaliste organisé par le chevalier de La Rouerie. Le 30 juin 1792, une perquisition y est effectuée par cent hommes, en vain. La découverte de documents compromettants permet l'arrestation de Briot et de son fils, qui sont ensuite relâchés faute de preuves. La charpente du château est incendiée par les révolutionnaires, et Briot la fait refaire en 1799. Durant la Seconde Guerre mondiale, le propriétaire, un Américain du nom de Karl Cate, quitte le château en 1940 et le confie à sa gouvernante Rosa Gautier. Celle-ci, en coupant l'électricité, préserve la demeure de l'occupation allemande.
Château de La Crochais
Le château de La Crochais est probablement construit au cours du XVIIIe siècle, et prend appui sur les murs de l'ancienne ferme du manoir. La propriété est cernée au sud par des douves asséchées. Jean-Marie Ladvocat et son frère Charles-René s'associent, en 1789, à la manifestation de la noblesse bretonne qui refuse d'élire des députés aux États généraux, afin de protester contre les atteintes portées par le pouvoir royal aux libertés et franchises de leur province. La famille de La Crochais émigre avant la fin du XVIIIe siècle et participe activement aux insurrections de la chouannerie. Ses propriétés sont presque entièrement confisquées par les révolutionnaires, et, vendues comme biens nationaux, sont démembrées. À leur retour d'émigration, en 1801, les descendants des Ladvocat rachètent le domaine, qui subit de graves dégâts durant la Seconde Guerre mondiale.
La seigneurie de La Crochais a d'abord comme siège ce manoir avec des fenêtres avec meneaux en croix de la fin du XVe siècle et une porte d'entrée gothique. Le domaine semble avoir appartenu à la famille Ladvocat aussi loin que remontent les sources écrites. À la fin de l'Ancien Régime, le domaine de La Crochais compte ainsi sept métairies, une trentaine de journaux de terre plantés en bois et deux moulins placés sur des étangs. Dès 1676, et probablement auparavant, les seigneurs de La Crochais possèdent un privilège du passage de Dinard, qui leur permet d'exercer en cette qualité des droits de haute justice ainsi que de prélever des droits sur le passage des personnes comme sur le passage et la vente des boissons et des marchandises. Jean Ladvocat de La Crochais jouit de ces privilèges jusqu'en 1679, date à laquelle Louis XIV supprime le droit prohibitif de passage, lequel se trouve converti en 1707 en rente annuelle.
Manoir de Bellestre
Ce manoir, aussi appelé ' manoir de Bel-Être ', est, selon toute vraisemblance, édifié sur un ouvrage gallo-romain situé sur la via strata Corseul - Dinard. Le domaine appartient en 1448 à la famille Josses, puis passe aux mains des Gouyon de Matignon. Un premier bâtiment est recensé en 1513, et semble faire place à un autre manoir issu de remaniements au XVIIIe siècle. Les armes placées sur les trois lucarnes de l'édifice sont attribuées aux Josses.
Manoir de La Coudraie
À l'emplacement d'un château antérieur, la demeure seigneuriale est reconstruite au XVIIIe siècle par Pierre-Joseph Gouyon de Launay-Comatz, sur un ancien fief des Pontrouault passé par alliance aux Brignon de Léhen. Une chapelle est construite ou reconstruite en même temps que le château, laquelle a désormais disparu, comme le colombier qui est attesté au XVIIe siècle. La cour contient également un puits. Dans une lettre du 6 prairial an II (1794), le juge de paix de Ploubalay, M. Delourmel, signale qu'un rassemblement de chouans ' a fait suspendre par menaces l'exploitation au compte de la République des bois de la Coudraie '. Au cours de la même période, le citoyen Mathelon, commandant la garnison de Dinan, désarme la commune et perquisitionne. Il trouve quantité de grains et vivres au château de La Coudraie. Celui-ci est détruit partiellement par ordre des révolutionnaires lors de la chouannerie de l'an III (1795).
Manoir de la Guérais
Le fief de La Guérais est une juveignerie du Plessix-Balisson, et appartient successivement aux familles Le Bégassoux, Breil de Rays, Chrestien de Tréveneuc et Besnard. Un aveu de 1706 indique que les seigneurs de La Guérais exploitent à cette époque des salines en baie du Frémur. La Guérais est un manoir qui ne comporte qu'un seul pavillon d'extrémité, l'autre n'ayant vraisemblablement jamais été construit. Les façades sont ornées de deux oculi placés de façon symétrique par rapport aux portes d'entrée, qui éclairent les couloirs et l'escalier en pierre.
Chapelle Saint Cadreuc
Cette chapelle est construite à proximité de l'ancien prieuré Saint-Cadreuc, mentionné dès 1163 en tant que dépendance de l'abbaye de Saint-Jacut. Son érection est sans doute accomplie en remplacement de la chapelle de ce prieuré, décrite dans un inventaire de 1790 comme ' abandonnée et à peu près en ruines '. Elle est placée sous le vocable de saint Cadreuc, ou Cadoc, moine de Cambrie (pays de Galles) qui émigre en Armorique au haut Moyen Âge.
Chapelle de la Ville Briand
Propriété du château de La Mallerie, cette chapelle médiévale est située sur le point culminant de la région. Elle n'a jamais connu de remaniements et conserve un bénitier constitué à partir d'un bas de colonne d'un temple païen. Elle a comme saints patrons Fabien et Sébastien. Carl Cates, propriétaire du château dans les années 1940, offre après le dénouement de la Seconde Guerre mondiale un vitrail portant l'inscription ' À la mémoire des soldats américains morts pour la France. Trémereuc et Ploubalay. Juillet-Août 1944. ' Cette œuvre contemporaine représente Saint Louis et saint Georges, saint combattant, surplombant des soldats américains.
L'église St Pierre et St Paul du bourg
L'ancienne église de Ploubalay, Saint-Pierre, est créée en 1163 par le pape Alexandre III qui met un point d'honneur aux droits de l'Abbaye de Saint-Jacut sur l'église de Ploubalay. Ploubalay devient une paroisse dès 1439 par le Duc Jean V de Bretagne. Sous l'ancien Régime la paroisse de Ploubalay appartient au diocèse de Saint Malo. L'ancienne paroisse dépendait de la subdivision de Dinan. Elle dépendait du Roi au moment de la Révolution. La nouvelle église de Ploubalay est créée en 1869 pour mettre en évidence l'indépendance de l'église par rapport à l'Abbaye de Saint-Jacut. L'église abrite une statue de saint Jean Baptiste provenant de la chapelle Saint-Jean de La Fardelays appelée aussi Saint-Jean-Haridy.
Lieux insolites
Le château d'eau
Il s'élève à 104 m au-dessus du niveau de la mer, ce qui fait un édifice d'une hauteur de 57 m. La peinture rouge en dessous signifie qu'il sert de repère et point d'entrée Ouest pour le circuit d'approche de l'aéroport de Dinard-Pleurtuit-Saint Malo situé à proximité.
Une crêperie vous accueille de mai à octobre au sommet du château d'eau : il est en effet possible de monter pour profiter d'une vue imprenable sur les environs à 360 degrés. On peut voir la commune de Ploubalay dans son intégralité ainsi que les communes de Lancieux, St Jacut de la mer, St Briac sur Mer et Trégon. On peut apercevoir St Cast, Pleurtuit. On distingue Dinard, St Malo, Dinan... et plus loin encore. Par beau temps, on voit jusqu'aux Iles anglo-normandes ou le Mont Saint Michel.
Le château d'eau a fait l'objet d'une étude, entre 2005 et 2008, pour la création d'un parc de loisirs et de sensations. Des aménagements chiffrés à la hauteur de 2 millions d'euros auraient permis au Château d'eau de se doter d'équipements pour le saut à l'élastique et la descente en rappel. Un escalier extérieur aurait permis de gravir la tour en observant les environs. Le projet a été refusé lors d'un séance du conseil de la communauté de commune.
L'hélice d'avion
Ce monument témoigne de l'événement survenu le 24 juillet 1944, vers 14 heures : un avion américain s'abat en feu à Ploubalay, dans un champ proche de la route de Lancieux. Seul à bord, le pilote, Edward Durst, meurt carbonisé. Le corps, récupéré par les occupants allemands, est confié le soir même à la mairie de Ploubalay, pour être inhumé le lendemain. Une foule immense se manifeste lors de l'enterrement, et d'énormes quantités de fleurs sont apportées par la population. L'hélice à trois pales de son avion est alors placée sur la tombe du soldat américain.
Le menhir de la Prévôté
Le menhir est placé à l'entré du Cimetière de Ploubalay, il serait daté de l'époque néolithique.
La ferme de la Ville-Rozé
La ferme est le théâtre, le 13 avril 1796, d'un combat qui oppose à La Ville-Rozé trois cent cinquante chouans de la division de La Baronnais, commandés par Stévenot, dit ' Richard ', à quatre cents soldats républicains de la 84e demi-brigade en garnison à Dinan.
Sites naturels
Les vallées Bonas
Circuit naturel entre les arbres en descendant le long du Floubalay, les vallées Bonas proposent une balade conviviale, au frais, et permettent d'explorer rapidement plusieurs milieux naturels allant de la prairie au sous-bois humide où fourmillent les petites bêtes.
Ce circuit avait servi au rallye de moto-cross des 24 Heures de Bretagne qui se déroulaient à Ploubalay. Depuis, le circuit a été remis en valeur.
Les parcs de la Mairie
Dans la commune de Ploubalay il se trouve deux parcs distincts, gérés entièrement par le personnel communal. Il y a celui derrière l'actuelle mairie, offrant aux marcheurs de toutes horizons une découvertes de plusieurs variétés de Fleurs et d'Arbres, on peut y trouver un accès à l'ancienne bibliothèque de la ville. Un calme reposant et délicieux... Depuis 2009 un nouveau parc a été édifié dans une partie face à la mairie.
L'étang du Bois Joli
Cet étang est situé entre Ploubalay et Pleurtui. Cette une réserve artificielle est munie d'un barrage qui alimente les communes des alentours. On peut faire le tour de l’étang mais la navigation est interdite.
Les Polders
Pour le côté historique, les Polders de Ploubalay, sont issus d'une création de digue par l'homme, les terres protégées sont environ à 10 mètres et les terres ont été asséchées pour y être cultivées. La digue est une création des moines bénédictins de l’abbaye de St Jacut pour y cultiver sur la zone de Ploubalay. La plus ancienne des Digues entre Ploubalay - Lancieux (Digue des Moines), a été construite vers la fin du XVe pour protéger la zone des Bauglais et des Briantais actuel.
La digue des Polders de Ploubalay a été construite bien après la première, au XVIIe siècle et au XVIIIè siècles. Ceci est encore sous la direction de l'abbaye de Saint Jacut, mais cette fois-ci elle n'a pas été construite par les moines mais par les repris de justice de la ville de Saint-Malo se situant à proximité. Les digues ont été fortement étudiées pour posséder un "Bec" central permettant de briser les vagues les jours de mauvais temps. Dans cette zone d'activité, on ne faisait pas seulement de l'agriculture mais aussi de la saliculture, celle-ci était une activité très présente dans la zone Lancieux-Ploubalay, au XVIIIe siècle on pouvait compter 13 salines dans la Baie de Lancieux et Ploubalay. Mais aujourd'hui il n'y a plus aucune trace de ce passé remarquable, sauf quelques petites traces de murs.
Pour le côté environnemental, les Polders de Ploubalay comme d'autres zones bretonnes, est un lieu de halte migratoire exceptionnel à mi-parcours entre les pays du Nord et les pays du Sud, comme l'Espagne et l'Afrique. Nous observons énormément d'espèces limicoles (bécasseaux, les gravelots, les chevaliers et les barges), d'espèces de fauvettes (des jardins, à tête noire, babillarde).
Au niveau des polders on y distingue deux zones remarquables. La slikke (vases de sel recouvertes après chaque marée), on y retrouve dans cette zone vasière une espèce comme par exemple la Spartine d'Angleterre. Qui a la particularité de résister au sel et qui progresse avec les apports de sédiments naturel. Et il y a le schorre (zone recouverte seulement à quelques périodes de l'année, pendant de grande marée), et ici on retrouve des plantes rares comme la lavande de mer, l'obione et des prairies de puccinellies.
Pour le côté préservation de l'environnement, bien sûr ce lieu d'exception est protégé et classé en Zone Naturelle d’intérêt Écologique Faunistique et Floristique (Z.N.I.E.F.F).
Vie sociale
Service municipaux
- Bibliothèque municipale, médiathèque et ludothèque)
- Accueil de loisirs (mercredis et vacances scolaires)
- EHPAD (ancien Foyer Logement)
- Camping municipal (du 15 juin au 15 septembre)
- Syndicat d'initiative (du 15 juin au 15 septembre)
- Centre communal d'action sociale en mairie de Ploubalay.
Services intercommunaux
- SIVU crèche et multi-accueil « Mobydouce »
- CAP Sports et CAP Armor (avec Lancieux)
- SA d'HLM La Rance
- SIDCOM
Services publics
- Gendarmerie
- Poste
Scolarité
- Espace Scolaire Henri Derouin (écoles maternelle et élémentaire publiques)
- École St Jospeh (enseignement catholique de Bretagne)
- Restaurant d'enfants (le midi, les jours d'école, pour les enfants du public et du privé)
- Accueil de loisirs périscolaire (matin et soir les jours d'école)
Évènements
- Feu de Saint-Jean
- Tournoi de Football Mickaël Esnault
- Bal populaire du 14 juillet
- Concours d'attelage (Ploubalay - Lancieux), en aout
- Foire de la St Mathieu, dite « Foire aux ânes », fête foraine & vide grenier (mi-Septembre)
- Le festival annuel de musique Ska : Les Fennecs (Ce festival n'existe plus à Ploubalay, il se déroule dans le pays de Dinan)
Liens externes
Références
Catégorie :- Commune des Côtes-d'Armor
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